Occurences de l'expression
pour NIVELLE DE LA CHAUSSEE, Pierre Claude
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LA FAUSSE ANTIPATHIE (1734)
- On ne se plaindra plus que je suis indocile. v.1 (Prologue, scène 1, LE GÉNIE)
- Sur le goût du public je vais être éclairci : v.2 (Prologue, scène 1, LE G?NIE)
- Lui-même, il m'apprendra ce secret difficile... v.3 (Prologue, scène 1, LE G?NIE)
- Que vois-je ? La Folie et la Bon-Sens aussi. v.4 (Prologue, scène 1, LE G?NIE)
- Si je n'étais pas la Folie, v.5 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Oh ! Je voudrais être Thalie : v.6 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Son projet est digne de moi. v.7 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Voulez-vous bien me dire en quoi ? v.8 (Prologue, scène 2, LE GÉNIE)
- Ah ! L'extravagance est complète. v.9 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Si vous ne daignez pas vous en expliquer mieux... v.10 (Prologue, scène 2, LE GÉNIE)
- Comment ? Vous ajournez le public en ces lieux, v.11 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Pour le mettre sur la sellette ; v.12 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Et lui faire avouer en quoi, comment, par où, v.13 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- On peut le contenter ? Eh ! Mais rien n'est plus fou. v.14 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Demander au public le secret de lui plaire ! v.15 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Vous allez bien l'embarrasser. v.16 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Vous m'étonnez. Puis-je mieux faire ? v.17 (Prologue, scène 2, LE GÉNIE)
- À qui faut-il donc m'adresser ? v.18 (Prologue, scène 2, LE G?NIE)
- À tout autre. Sait-il ce qu'il veut, ce qu'il aime, v.19 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Lui, qui ne fut jamais d'accord avec lui-même ? v.20 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ne lui demandez pas ce qu'il ne jamais sut. v.21 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ce qui le détermine est toujours imprévu : v.22 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Le caprice est son guide et sa loi naturelle : v.23 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Son goût est pour lui-même une énigme éternelle. v.24 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Le public n'est pas tel que vous le dépeignez ; v.25 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Du moins, le véritable : et vous vous méprenez. v.26 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Qu'appelez-vous le véritable ? v.27 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Combien en tentez-vous ? v.28 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Autant qu'il est de gens, v.28 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Dont les goûts sont entre eux plus_ou_moins différents, v.29 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Le moindre cercle usurpe un nom si respectable ; v.30 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- C'est là qu'un suffisant décide à tout hasard, v.31 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Suivant les préjugés, les goûts, et les usages v.32 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- De tous ces différents et faux aéropages, v.33 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Chaque société forme un public à part : v.34 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Mais il en est un autre ; et c'est le véritable, v.35 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Le moins nombreux de tous, et le plus redoutable ; v.36 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Qui sait ce qui lui plaît, qui sait ce qu'il lui faut, v.37 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Qui, tous les jours ici, le déclare assez haut. v.38 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- N'attendez pas de lui ces louanges frivoles, v.39 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Ces ris contagieux, ces éclats indécents ; v.40 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Enfants de l'ignorance, ennemis du bon-sens, v.41 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Qu'excite tous les jours aux pièces les plus folles v.42 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Un premier mouvement qui ne se soutient pas. v.43 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Sa joie et ses plaisirs ne sont point un délire, v.44 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Un accès passager qui n'a qu'un faux appas : v.45 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Il ne rougit jamais de ce qui l'a fait rire ; v.46 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Ce public m'appartient, les autres sont à vous. v.47 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Bon-Sens, vous radotez. Ils m'appartiennent tous. v.48 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- De quel droit venez-vous ici me tenir tête. v.49 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ou par droit naturel, ou par droit de conquête. v.50 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Vous allez discourir, et m'ennuyer à mort. v.51 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Eh, que m'importe, à moi, d'avoir raison, ou tort ? v.52 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ici la préséance entre nous est réglée. v.53 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ne vous lassez-vous point de vous y voir sifflée ? v.54 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Vous l'êtes tous les jours ; jamais je ne le fus. v.55 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- On m'aime ; et l'on vous craint : voilà la différence. v.56 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Lorsque vous paraissez, on baille ; et rien de plus. v.57 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ah ! Je ressens déjà l'effet de sa présence. v.58 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Oh ! Vous allez jouer un rôle fort plaisant. v.59 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- On va plaider ma cause, et j'y serai présent. v.60 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Tant pis. v.61 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Peut-être. v.61 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Ah ! Serviteur, Déesse. v.61 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- D'où vient donc que ces gens lui font tant de caresses ? v.62 (Prologue, scène 3, LA FOLIE)
- Ah ! Parbleu, mon Patron, je vous sers assez bien, v.63 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Envers et contre-tous ; je ne ménage rien. v.64 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Vous êtes ce que j'ai de plus cher au monde. v.65 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Sans cesse, à tout propos, je critique, je fronde. v.66 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Malheur à tous les sots, y compris les auteurs ; v.67 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Sans compter les admirateurs. v.68 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Quand, suivant leur coutume, ils vous font quelque outrage, v.69 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Ventrebleu ! Je m'élève, et contre eux je fais rage. v.70 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Je vous suis obligé. Mais loin de me servir, v.71 (Prologue, scène 3, LE BON-SENS)
- Si vous continuez, vous me ferez haïr. v.72 (Prologue, scène 3, LE BON SENS)
- Le sexe dont je suis ne vous rend guère hommage : v.73 (Prologue, scène 3, LA PRÉCIEUSE)
- Mais je déroge à notre usage, v.74 (Prologue, scène 3, LA PR?CIEUSE)
- Et mets en non-valeur ma dispense de vous. v.75 (Prologue, scène 3, LA PR?CIEUSE)
- Je veux bien vous devoir mes charmes les plus doux. v.76 (Prologue, scène 3, LA PR?CIEUSE)
- Madame fait valoir le moindre bagatelle. v.77 (Prologue, scène 3, L'ADMIRATEUR)
- Personne, en vérité, ne s'exprime comme elle. v.78 (Prologue, scène 3, L'ADMIRATEUR)
- Tant pis, morbleu. v.79 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Voyons ; ce n'est pas d'aujourd'hui v.79 (Prologue, scène 3, LA FOLIE)
- Que je vois les plus fous se réclamer de lui. v.80 (Prologue, scène 3, LA FOLIE)
- Touchez-là, notre ami ; je suis aussi le vôtre. v.81 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Demandez à ma femme, à qui, soir et matin, v.82 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- je vous prône sans cesse; et c'est, comme dit l'autre, v.83 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Perdre son temps et son latin. v.84 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Vous savez l'embarras que mon emploi me donne ; v.85 (Prologue, scène 3, LE GÉNIE)
- Je suis chargé du soin de vos amusements. v.86 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Je voudrais, s'il se peut, ne déplaire à personne ; v.87 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Et réunir enfin vos applaudissements. v.88 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Donnez m'en le secret ; vous le savez ? v.89 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Sans doute. v.89 (Prologue, scène 3, TOUS)
- Convenez entre vous ; déterminez ma route ; v.90 (Prologue, scène 3, LE GÉNIE)
- Et vous serez servis au gré de vos désirs. v.91 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Dites-moi votre goût ; ordonnez vos plaisirs. v.92 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Qui, mieux que moi, peut vous le dire ? v.93 (Prologue, scène 3, LA FOLIE)
- N'est-ce pas moi qui les inspire ? v.94 (Prologue, scène 3, LA FOLIE)
- Or sus, pour commencer, tout d'abord je conclus v.95 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Que la meilleure pièce est où l'on rit le plus. v.96 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Pour moi, la plus joyeuse est celle où je me livre. v.97 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Du reste, serviteur ; je m'ennuie en entrant ; v.98 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Et fut-elle un chef-d'oeuvre, et propre à faire un livre, v.99 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Malgré moi, ventrebleu, je baille, en admirant. v.100 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Oui, j'aimerais assez une pièce égayée. v.101 (Prologue, scène 3, L'ADMIRATEUR)
- En un mot, j'aime à rire, à gorge déployée. v.102 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Est-ce qu'on rit encore ? v.103 (Prologue, scène 3, LA PRÉCIEUSE)
- Est-ce qu'on ne rit plus ? v.103 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Vous me la donnez belle ! Et, par quelle aventure... v.104 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- La joie est tombée en route. v.105 (Prologue, scène 3, LA PRÉCIEUSE)
- Et le Bon-Sens aussi. Je m'en moque. Au surplus, v.106 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Je veux rire ; ou sambleu ! Je prendrai ma revanche. v.107 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Monsieur l'ordonnateur, adieu, jusqu'à dimanche. v.108 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Et d'un public. v.109 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Eh bien ? Celui-là par hasard v.109 (Prologue, scène 4, LA FOLIE)
- N'est-il point à vous ? v.110 (Prologue, scène 4, LA FOLIE)
- Non : je n'y prends point de part. v.110 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Ainsi du reste. v.111 (Prologue, scène 4, LA FOLIE)
- À vous, caustique impitoyable. v.111 (Prologue, scène 4, LA FOLIE)
- Dites-nous votre avis. Que trouvez-vous de bon ? v.112 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Rien. v.113 (Prologue, scène 4, LE-CRITIQUE)
- Rien ? v.113 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Oui, rien de bon, ni même de passable. v.113 (Prologue, scène 4, LE-CRITIQUE)
- Vous ne louez donc jamais ? v.114 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Non ; v.114 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Je n'en eux de mes jours la sotte complaisance. v.115 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Quoi, vous n'approuvez rien ? v.116 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Je n'ai jamais été v.116 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Réduit à cette extrémité : v.117 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Et pour n'y pas tomber, je blâme tout d'avance. v.118 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Le titre de l'ouvrage, et le nom de l'auteur, v.119 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Suffisent pour cela, quand on est connaisseur. v.120 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- C'est le Bon-Sens qui fait que jamais je ne loue. v.121 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Moi ? Soyez assuré que je vous désavoue. v.122 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Je n'approuvai jamais cette extrême rigueur v.123 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Que l'on exerce autant par air, que par humeur. v.124 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Mais au contraire, je me prête v.125 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- en faveur des beautés, je fais grâce aux défauts. v.126 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Trop de délicatesse est souvent indiscrète. v.127 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Un dégoût général désigne un esprit faux. v.128 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Qui n'est jamais content, n'est pas digne de l'être. v.129 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Tel épluche un ouvrage, en croyant s'y connaître ; v.130 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Et trouve des défauts partout, v.131 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Qui ne sont bine souvent que dans son propre goût, v.132 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Ah ! Vous êtes trop bon. v.133 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Et vous, trop intraitable. v.133 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Je n'ai rien à vous demander. v.134 (Prologue, scène 4, LE G?NIE)
- Cependant je puis vous aider v.135 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- A donner un spectacle un peu moins détestable. v.136 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Je connais le public. Il est malin, cruel, v.137 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Il aime à voir la bile avec le fiel. v.138 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Quittez tout autre goût ; embrassez la critique ; v.139 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Armez-vous de ses traits ;devenez satyrique. v.140 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Ce genre a trouvé du crédit ; v.141 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- On l'a rendu facile : Il y faut moins d'esprit. v.142 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- La critique, autrefois moins âpre et moins amère, v.143 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Instruisait les auteurs, savait les redresser ; v.144 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Comme on voit une tendre mère v.145 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Corriger des enfants qu'elle craint de blesser. v.146 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Alors, elle pouvait briller sur le théâtre : v.147 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Mais son utilité n'a pas duré longtemps ; v.148 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Ce n'est plus aujourd'hui qu'une affreuse marâtre, v.149 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Qui dès le berceau même étouffe ses enfants. v.150 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Vous voulez supprimer la plaisir de médire ? v.151 (Prologue, scène 4, LA FOLIE)
- Qu'importe que l'on nuise aussitôt qu'on fait rire ? v.152 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Tombera sur ce peuple d'auteurs v.153 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- À qui l'appas du gain et sa fainéantise v.154 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Font apporter ici sottise sur sottise, v.155 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Dont ils savent trop bien empaumer les acteurs : v.156 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Aides-les à se faire une guerre cruelle ; v.157 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Empoisonnez encore leur haine mutuelle. v.158 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Et la rage qu'ils ont à s'entre-déchirer ; v.159 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- N'épargnez à pas un la plus forte satyre ; v.160 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Fut-ce même Apollon. Le public aime à rire v.161 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- De ceux que tous les jours on lui voit admirer. v.162 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- En suivant votre avis... v.163 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Vous ne pouvez mieux faire. v.163 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Je serai donc sûr de vous plaire. v.164 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Point du tout. Quant à moi, ce que je vous en dis, v.165 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- C'est pour votre profit. Jamais je n'applaudis. v.166 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Cette guerre d'auteurs aurait bien son mérite. v.167 (Prologue, scène 5, L'ADMIRATEUR)
- Vous moquez vous des spectateurs ? v.168 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Quoi ? Nous aurons toujours des bisbilles d'auteurs ? v.169 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Ces sujets sont trop bas. La Public vous en quitte, v.170 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Génie, élevez-vous à des objets plus grands. v.171 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Prenez le ton philosophique ; v.172 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Ajustez la métaphysique v.173 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- À l'usage du sexe et des honnêtes gens ; v.174 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Pour la mettre à portée, ôtez-lui ses échasses : v.175 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Mais ne lui donnez pas des allures trop basses. v.176 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Ayez le badinage abstrait et clair-obscur, v.177 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Toujours enveloppé d'une tendre crépuscule. v.178 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Faites-vous deviner, vous plairez à coup sûr. v.179 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Ayez pour votre langage un peu moins de scrupule ; v.180 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Osez-en disposer comme de votre bien : v.181 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Pour dire ce qu'on veut, c'est l'unique moyen. v.182 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- D'heureuses libertés sont bine récompensées, v.183 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Soyez maniéré dans vos réflexions, v.184 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Et toujours imprévu dans vos expressions. v.185 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Agences votre style à l'air de vos pensées. v.186 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Ah miracle ! v.187 (Prologue, scène 5, L'ADMIRATEUR)
- Monsieur entend apparemment v.187 (Prologue, scène 5, LE BON-SENS)
- Ce jargon-là tout couramment ? v.188 (Prologue, scène 5, LE BON SENS)
- J'imagine l'entendre, ou du moins je l'admire. v.189 (Prologue, scène 5, L'ADMIRATEUR)
- Hé ! Mais rien n'est plus clair. Je ne pourrais mieux dire. v.190 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- Ah ! Vous haussez les épaules à tout ce que l'on dit. v.191 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- Ce langage n'est pas la vôtre : v.192 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- C'est celui de l'esprit. Quiconque en parle un autre ; v.193 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- Encanaille à la fois sa langue et son esprit. v.194 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- Donnerons-nous encor dans ce tatillonnage ? v.195 (Prologue, scène 5, LE GÉNIE)
- La nouveauté du genre a d'abord ébloui ; v.196 (Prologue, scène 5, LE BON-SENS)
- Mais le charme est évanoui. v.197 (Prologue, scène 5, LE BON SENS)
- La raison a repris son ancien langage ; v.198 (Prologue, scène 5, LE BON SENS)
- Et c'est celui de vos aïeux : v.199 (Prologue, scène 5, LE BON SENS)
- Il doit être pour vous aussi bon que pour eux. v.200 (Prologue, scène 5, LE BON SENS)
- J'en appelle. v.201 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- À qui donc ? v.201 (Prologue, scène 5, LE GÉNIE)
- Au bon sens. v.201 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- C'est lui-même. v.201 (Prologue, scène 5, LE GÉNIE)
- Qui vient de décider. v.202 (Prologue, scène 5, LE G?NIE)
- Votre erreur est extrême. v.202 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Je m'y connais : ce n'est point lui. v.203 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Ismène ouvre, ce soir, son cercle académique. v.204 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- On doit en sa faveur y relire aujourd'hui v.205 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Une pièce d'un goût Métaphysi-comique ; v.206 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- C'est de l'esprit tout pur, passé par l'alambic, v.207 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Trop fin pour le goût du public ; v.208 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- La Bon-sens ; mais je dis le bon-sens véritable. v.209 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Vous verrez que nous sommes deux. v.210 (Prologue, scène 5, LE BON-SENS)
- Autant que le public ; cela n'est pas douteux. v.211 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- Il y fera, vous dis-je, et ce juge équitable v.212 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Approuvera mon goût, et me rendra raison v.213 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- De l'accueil si bourgeois qu'on me fait en son nom. v.214 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- La bonne connaissance ! v.215 (Prologue, scène 6, LE BON-SENS)
- Allez, ma chère amie ; v.215 (Prologue, scène 6, LA FOLIE)
- J'aurai soin de me rendre à votre Académie. v.216 (Prologue, scène 6, LA FOLIE)
- Pour moi, l'on satisfait aisément mes désirs. v.217 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Je suis de tous les goûts et de tous les plaisirs. v.218 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- J'ai pour tous les auteurs une estime infinie : v.219 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Je ne sifflai jamais aucun d'eux de ma vie. v.220 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Tout homme qui s'adonne à divertir autrui, v.221 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Mérite que l'on ait un peu d'égard pour lui. v.222 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Aussi malgré ma femme, et ses façons maussades ; v.223 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- J'en ai toujours sans vanité v.224 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Chez moi deux ou trois accolades, v.225 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- À l'heure du dîner, pour leur commodité, v.226 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Mon cuisinier fait des merveilles. v.227 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Ces messieurs, à leur tour, enchantent nos oreilles. v.228 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Ainsi... v.229 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- De vos avis on se passera bien. v.229 (Prologue, scène 6, LE GÉNIE)
- Quiconque admire tout, ne se connaît à rien. v.230 (Prologue, scène 6, LE G?NIE)
- Je viens tard ; excusez. Je me sauve au plus vite. v.231 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Déesse, vous voilà ! Je vous en félicite. v.232 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Je vous trouve partout ou l'on trouve quelqu'un, v.233 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Quel est ce visage importun ? v.234 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Je n'ai vu sa figure en aucun lieu du monde. v.235 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Cela sent son poète une lieue à sa ronde. v.236 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- C'est toute une autre espèce, un être de raison. v.237 (Prologue, scène 7, LA FOLIE)
- Avez qui vous n'aurez jamais de liaison. v.238 (Prologue, scène 7, LE BON-SENS)
- Qu'on nomme ? v.239 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Le Bon-Sens. v.239 (Prologue, scène 7, LA FOLIE)
- Oui, je me le rappelle. v.239 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- C'est du plus loin. v.240 (Prologue, scène 7, LE BON-SENS)
- Quelle nouvelle ? v.240 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Hé bien ? Qu'a-t-on conclu ? v.241 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Rien encore entre nous. v.241 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Qu'attend-on ? v.242 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Votre avis. v.242 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Soit. v.242 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- D'abord, aimez-vous ?... v.242 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Beaucoup. v.243 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- La comédie ? v.243 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Oui, quand elle est meublée. v.243 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Qui vous la fait aimer ? v.244 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Le monde, et l'assemblée. v.244 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Mais... v.245 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Le monde se cherche, et je le cherche aussi. v.245 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- C'est là tout ce qui peut vous attirer ici ? v.246 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Oui, l'affluence est tout ce qui m'est nécessaire. v.247 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Je jette, en arrivant, un coup d'oeil circulaire. v.248 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Nous ne valons qu'autant que nous nous faisons voir, v.249 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Si quelque femme d'importance, v.250 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Fière d'être à la Cour un peu sur le trottoir, v.251 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Veut éluder ma révérence, v.252 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Je me fais un plaisir d'abaisser son orgueil v.253 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Jusqu'à me saluer : je fais le guerre à l'oeil, v.254 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Je le tiens en arrêt, et je m'opiniâtre v.255 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Tant, qu'au milieu d'un acte enfin l'on m'aperçoit. v.256 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Je me lève, on me rend le salut qu'on reçoit ; v.257 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Cela fait un coup de théâtre. v.258 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Et la pièce ? v.259 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Elle va son train, et moi, le mien. v.259 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Sans qu'elle vous occupe en rien ? v.260 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Car vous n'êtes pas homme à prendre la fatigue v.261 (Prologue, scène 7, LE G?NIE)
- D'entrer dans les détails, et d'en suivre l'intrigue. v.262 (Prologue, scène 7, LE G?NIE)
- L'intrigue ! Ah ! Palsambleu, l'auteur peut arranger v.263 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- La sienne pour le mieux. J'ai la mienne à songer. v.264 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Avant qu'on soit au fait des nouvelles courantes, v.265 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Que l'on ait décliné vingt femmes différentes, v.266 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- À qui, de loge en loge, on va faire sa cour, v.267 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Et qu'on ait au foyer été faite son tour, v.268 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- La pièce est aux abois ; le dernier acte expire. v.269 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Et vous jugez alors ?... v.270 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Définitivement. v.270 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Mais encor, que pouvez-vous dire ? v.271 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Ma décision roule alternativement v.272 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Sur ces deux mots... v.273 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Qui sont ? v.273 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Divin, ou détestable, v.273 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Et souvent le dernier est le plus véritable. v.274 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Ah ! Je vous reconnais pour être d'un pays, v.275 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Où d'abord on sait tout, sans avoir rien appris. v.276 (Prologue, scène 7, LE G?NIE)
- Enfin, les spectacles que j'aime, v.277 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Sont ceux où la presse est extrême. v.278 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Pour l'attiser ici, savez-vous un moyen ? v.279 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Parbleu, rien n'est plus simple. v.280 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Hé bien ? v.280 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Les nouveautés sont toujours belles. v.281 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Sans vous embarrasser du choix, v.282 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Ne nous donnez jamais que des pièces nouvelles ; v.283 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Affichez-les d'abord pour la dernière fois ; v.284 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Prenez-double, rendez vos plaisirs impayables ; v.285 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Exceptez la parterre : il pourrait au surplus v.286 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Vous envoyer à tous les diables. v.287 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- C'est du reste à quoi je conclus. v.288 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Voilà bien des publics qui passent en revue. v.289 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Vous voyez qu'à la ville aussi bien qu'à la cour, v.290 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Vous n'étrennerez pas, si cela continue. v.291 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Peut-être que j'aurai mon tour. v.292 (Prologue, scène 8, LE BON-SENS)
- Passons à vous, Monsieur. v.293 (Prologue, scène 8, LE GÉNIE)
- Moi, sur cette matière v.293 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Je n'ai qu'un faible usage, et fort peu de lumière. v.294 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Je pourrais me tromper. v.295 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- C'en est le pis-aller. v.295 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Cela ne doit jamais empêcher de parler. v.296 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Comment ? Vous rougissez ? v.297 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- J'ai lieu d'être timide. v.297 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- On pense mal des gens qui n'osent dire un mot. v.298 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Souvent il n'en faut qu'un pour passer pour un sot. v.299 (Prologue, scène 8, LE BON-SENS)
- Bon, bon, dites toujours. v.300 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Jamais je ne décide. v.300 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Peut-on s'en empêcher ? v.301 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- J'écoute ce qu'on dit ; v.301 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Et je tâche au surplus de la mettre à profit. v.302 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Cet homme, par hasard, serait-il raisonnable ? v.303 (Prologue, scène 8, LE BON-SENS)
- J'aime sa retenue, et sa timidité. v.304 (Prologue, scène 8, LE BON SENS)
- Quand on compte si peu sur sa capacité, v.305 (Prologue, scène 8, LE BON SENS)
- On ne dit jamais rien qui ne soit convenable. v.306 (Prologue, scène 8, LE BON SENS)
- Je vais, puisque vous l'exigez, v.307 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Dire à peu près ce que je pense, v.308 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Mais ce sera sans conséquence. v.309 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Ce ne sont que des préjugés. v.310 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Sur le théâtre, enfin, que faut-il vous produire ? v.311 (Prologue, scène 8, LE GÉNIE)
- Je cherche à m'amuser ; encor plus à m'instruire. v.312 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- À s'instruire ! Cet homme est de mauvaise foi. v.313 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- La vrai, le naturel ont des charmes pour moi. v.314 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Renvoyez aux forains ces folles rapsodies, v.315 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Que l'on veut bien nommer du nom de comédie, v.316 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Qu'on ne voit qu'une fois, que jamais on ne lit, v.317 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Où l'esprit et le coeur ne font aucun profit. v.318 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Quoi ? Nous aurons des farces surchargées ? v.319 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Une intrigue cousue à des scène brochées ? v.320 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Des suppositions, des caractères faux, v.321 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Absurdes, indécents, chargés outre mesure ; v.322 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Des portraits inventés, dont jamais la nature v.323 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- N'a fourni les originaux ? v.324 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Hé quoi ? Dans le siècle où nous sommes, v.325 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Quelle nécessité d'imaginer des hommes ! v.326 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- De pousser leur folie au suprême degré ! v.327 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- C'est assez des travers que chacun d'eux se donne. v.328 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Peignez les tels qu'ils sont. Un ridicule outré v.329 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Fait rire, et cependant ne corrige personne. v.330 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Je m'explique peut-être avec témérité. v.331 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Bien d'autres cependant osent penser de même, v.332 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Toutefois je n'en tire aucune autorité. v.333 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- À vos décisions, je soumets mon système. v.334 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Ah ! Je le reconnais à ce discours sensé. v.335 (Prologue, scène 9, LE BON-SENS)
- La voilà ce public que j'avais annoncé, v.336 (Prologue, scène 9, LE BON SENS)
- À qui par préférence, il faut cherche à plaire. v.337 (Prologue, scène 9, LE BON SENS)
- Que ne m'est-il permis d'y borner tous mes soins ? v.338 (Prologue, scène 9, LE GÉNIE)
- Lui ? C'est un franc visionnaire, v.339 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Et, de tous les publics, celui qui vaut le moins ; v.340 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Car il est sérieux. Avec la multitude v.341 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- On ne gagne souvent que de l'incertitude. v.342 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Mais j'ai pitié de vous. Je serai votre appui. v.343 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Laissez-moi sur la scène un souverain empire ; v.344 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Surtout que le Bon-sens pour jamais se retire : v.345 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Je ne veux rien avoir à débattre avec lui. v.346 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- À ce prix, j'entreprends d'entretenir Thalie, v.347 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Et Melpomène encor, par dessus le marché. v.348 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Je ne puis, Au on-sens je suis trop attaché. v.349 (Prologue, scène 9, LE GÉNIE)
- Mais souffre qu'avec lui je vous réconcilie. v.350 (Prologue, scène 9, LE G?NIE)
- Cet accord vous convient, et ferait mon bonheur. v.351 (Prologue, scène 9, LE G?NIE)
- Qui, moi ? Que je m'unisse avec un raisonneur. v.352 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Qui s'oppose sans cesse à mon heureux délire, v.353 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Dont le but est d'apprendre à se passer de rire ? v.354 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Un pédant, dont le front toujours chargé d'ennui, v.355 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Écarte le plaisir qui vient s'offrir à lui ? v.356 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- La fléau de tous ceux qui deviennent sa proie, v.357 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Qui dispense à regret, et mettre la joie v.358 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Que je répands à pleines mains ? v.359 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Ce ridicule accord déplairait aux humains. v.360 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Vous vous corrigerez tous les deux l'un et l'autre. v.361 (Prologue, scène 9, LE GÉNIE)
- Entre nous, en un mot, il faut se déclarer. v.362 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Je n'oserais vous séparer. v.363 (Prologue, scène 9, LE GÉNIE)
- Son secours m'est utile, et j'ai besoin du vôtre. v.364 (Prologue, scène 9, LE G?NIE)
- Hé bien ! Éprouve donc sa persécution, v.365 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Insensé ; je te livre à sa direction. v.366 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Bientôt tes spectateurs aussi froids que des ombres, v.367 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Encor plus ennuyés que les mânes plaintifs, v.368 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Épars sur les rivages sombres, v.369 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Rappelleront ici les plaisirs fugitifs : v.370 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- J'aurai conduit ailleurs leur folâtre cohorte. v.371 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- À commencer dès aujourd'hui, v.372 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Ce lieu va devenir le temple de l'ennui. v.373 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Tu finiras par mettre écriteau sur la porte. v.374 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- C'est prédiction pourrait bien s'accomplir. v.375 (Prologue, scène 10, LE GÉNIE)
- Je crains qu'elle aille s'établir... v.376 (Prologue, scène 10, LE G?NIE)
- Laisser, laissez aller cette folle immortelle : v.377 (Prologue, scène 10, LE BON-SENS)
- On peut ici se passer d'elle. v.378 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- Vous ne manquerez pas de prodiges nouveaux. v.379 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- Plus d'un vrai nourrisson des filles de Mémoire v.380 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- Pour quelque temps encore assurent votre gloire. v.381 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- Si ce n'est pas assez, ils auront des rivaux. v.382 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- J'en sais qui n'ont besoin que d'un peu plus d'audace ; v.383 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- Et je vais les encourager. v.384 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- Je suis dépourvu. Que faut-il que je fasse ? v.385 (Prologue, scène 6, LE GÉNIE)
- La Folie en tous temps, est bonne à ménager. v.386 (Prologue, scène 6, LE G?NIE)
- Déesse, vous voyez mon embarras extrême. v.387 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Oui, le public n'est pas d'accord avec lui-même. v.388 (Prologue, scène 12, THALIE)
- J'ai reçu vingt avis tous différents entre eux : v.389 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Un seul m'a paru bon ; mais il est dangereux. v.390 (Prologue, scène 12, LE G?NIE)
- Il faut pourtant le suivre. v.391 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Où prendrez-vous des pièces ? v.391 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Les Bon-sens t'a promis ses soins officieux. v.392 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Oui, mais en attendant l'effet de ses promesses, v.393 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Je n'ai rien à donner. v.394 (Prologue, scène 12, LE G?NIE)
- Eh bien ? Faute de mieux, v.394 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Prends cette comédie. v.395 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Est-ce une bonne aubaine ? v.395 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- C'est l'essai d'un auteur que je connais à peine. v.396 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Tant pis. v.397 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Au bas du Pinde on m'a fait ce présent. v.397 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Si c'en est un. v.398 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Peut-être. Et je n'ose à présent v.398 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Jurer de rien, en fait d'ouvrage, v.399 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Le Public qu'on prévient, refuse son suffrage. v.400 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Entre-nous, celui-ci paraît hasardeux. v.401 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Je ne sais ;j'y voudrais une fable mieux faite, v.402 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Un peu plus de comique, et l'intrigue plus nette. v.403 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Allons, prenons toujours ; les temps sont malheureux. v.404 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Ton maître et ma maîtresse auraient bien dû s'aimer. v.405 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- C'est lui... v.406 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- C'est elle... v.406 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Quoi ? v.406 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Qui devait l'enflammer. v.406 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Léonore a toujours une mélancolie v.407 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Qui lui fait bien du tort. L'amour suit la folie. v.408 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- On veut qu'une maîtresse ait l'air vif, sémillant ; v.409 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Un peu moins de bon sens, un peu plus de brillant. v.410 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Un fou cherche une folle, et la trouve de reste. v.411 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- L'état de Léonore est cruel et funeste. v.412 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Frontin, toute sa vie, est... v.413 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Défiez-vous-en ; v.413 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- L'histoire d'une femme est toujours un roman. v.414 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Oui. Le sien commença par un sot mariage. v.415 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Ce ne fut point l'amour qui la mit en ménage ; v.416 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Et jamais on n'en eut un dépit plus mortel. v.417 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Il fallut obéir, et marcher à l'autel : v.418 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Mais, en sortant du temple, un jeune téméraire, v.419 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- À qui, sans le savoir, elle avait trop su plaire, v.420 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Furieux de la perdre, attaqua son époux, v.421 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- L'obligea de se battre, et tomba sous ses coups. v.422 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Pour dérober sa tête à l'injuste poursuite v.423 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- D'un ennemi puissant, cet époux prit la fuite. v.424 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Léonore aussitôt saisit sa liberté ; v.425 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Et s'enfuit en secret dans un cloître écarté, v.426 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Sous ce nom inconnu, qu'elle conserve encore. v.427 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Que ne ferait-on pas pour fuir ce qu'on abhorre ? v.428 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Sa mère, mais trop tard, en mourut de regret. v.429 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Géronte apprit enfin notre asile secret, v.430 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Et vint nous apporter... v.431 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Un brevet de veuvage ? v.431 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Oui. Nous vîmes la fin d'un si long esclavage. v.432 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Cet oncle généreux nous retira chez lui. v.433 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Mais je ne vois point là tant de sujet d'ennui ; v.434 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Car Léonore est veuve, et dans le plus bel âge. v.435 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Douze ans d'absence ont mis tous ses biens au pillage : v.436 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- C'est pour les recueillir, ou du moins leurs débris, v.437 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Que Géronte est allé faire un tour à Paris. v.438 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- S'il ne réussit pas dans ses justes poursuites, v.439 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Vois l'état malheureux où nous serons réduites. v.440 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Géronte a pour sa nièce une tendre amitié ; v.441 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Mais tu sais qu'on ne peut vivre avec sa moitié. v.442 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Il le faudra, peut-être. Est-il enfer plus rude, v.443 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Que d'être à la merci d'une maudite prude, v.444 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Toujours contente d'elle, et jamais du prochain ; v.445 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Dont la vertu bruyante insulte au genre humain ? v.446 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Joins à l'humeur d'Orphise un sujet infaillible, v.447 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Qui la rendra pour nous encore plus terrible : v.448 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Elle a, d'un premier lit, une fille à pourvoir. v.449 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Ceci m'ouvre l'esprit ; et je crois entrevoir... v.450 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Que je n'étais qu'un sot... oui. v.451 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Cela peut bien être. v.451 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Je crois que Léonore arrête ici mon maître ; v.452 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Mais qu'à cause d'Orphise il tient ses feux secrets. v.453 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Quand Damon acheta cette terre ici près, v.454 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Tu sais que le château n'était pas praticable ; v.455 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Et qu'il était besoin pour le rendre habitable... v.456 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Oui, je sais qu'il fallut le faire rétablir. v.457 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Géronte, en attendant, s'en vint nous accueillir ; v.458 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Et, comme un bon voisin, nous offrir un asile. v.459 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Nous vînmes donc chez lui. Mais notre domicile v.460 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Est depuis quelque tems en état d'y loger : v.461 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Mon maître cependant paraît n'y pas songer. v.462 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Ta remarque est juste. Oui... mais la fille d'Orphise... v.463 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Julie ? Ah ! Si mon maître en avait l'âme éprise, v.464 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Son amour oserait paraître à découvert. v.465 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Léonore est trop fière ; et sa fierté nous perd. v.466 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Les femmes ne sont pas tout ce qu'elles paraissent. v.467 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- J'en aurai le coeur net. v.468 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Les femmes se connaissent. v.468 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Léonore m'appelle. Adieu. Cela suffit. v.469 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Je m'en vais travailler sur ce que tu m'as dit. v.470 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Tout ce que ma mémoire à présent me rappelle, v.471 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Me confirme encor plus cette heureuse nouvelle. v.472 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Vous m'avez appelée. v.473 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Oui. Je voulais sortir. v.473 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Mais de la part d'Orphise on vient de m'avertir v.474 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Qu'elle veut me parler ; ainsi je vais l'attendre. v.475 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Pour toi, l'on ne sait plus désormais où te prendre. v.476 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Tu sembles te lasser de l'état où je suis ; v.477 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Et pourtant je m'en plains tout le moins que je puis. v.478 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- J'étais avec Frontin, puisqu'il faut vous le dire : v.479 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Je lui parlais de vous. v.480 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Je sais ce qui l'attire. v.480 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Nous disions que Damon aurait dû vous aimer : v.481 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Il a pourtant bien fait de ne pas s'enflammer. v.482 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Tu n'es pas raisonnable. v.483 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Il serait trop à plaindre. v.483 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Va, ce malheur pour lui ne fut jamais à craindre. v.484 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Tu m'assurais pourtant... v.485 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Oui, je croyais d'abord v.485 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Que Damon vous aimait, madame, j'avais tort. v.486 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- J'y prends peu d'intérêt. Mais sur quelle assurance v.487 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Accuses-tu Damon de tant d'indifférence ? v.488 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Si l'on aimait encore, ainsi que Céladon, v.489 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Peut-être je pourrais en soupçonner Damon. v.490 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Mais de pareils amans ne sont plus qu'en idée. v.491 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- À présent une intrigue est bientôt décidée : v.492 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- On ne se donne plus le tems d'être enchaîné : v.493 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- L'amour prend son essor aussitôt qu'il est né. v.494 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Dès qu'on aime, on en fait un récit infidèle ; v.495 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- On exagère un feu qui n'est qu'une étincelle ; v.496 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Pour mieux en assurer l'objet de son amour, v.497 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Un amant en instruit et la ville et la cour. v.498 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- La sotte vanité conduit tout le mystère ; v.499 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Et la fatuité l'empêche de se taire. v.500 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Si Damon vous aimait, il en eût fait l'aveu. v.501 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Ainsi nous nous trompions... cela vous fâche un peu ? v.502 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Vous vous émancipez. M'avez-vous reconnue v.503 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Pour être, en ma faveur, follement prévenue ? v.504 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Ainsi vous croyez donc mon discours conséquent. v.505 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Non, ma chère maîtresse, il est extravagant, v.506 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Insoutenable. v.507 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- En quoi ? v.507 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- C'est que Damon vous aime. v.507 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Mais accorde-toi donc, Nérine, avec toi-même. v.508 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Un tiers voit mieux que ceux qui sont dans l'embarras. v.509 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Tu viens de me prouver... v.510 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Que Damon n'avait pas v.510 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Les défauts des amans qu'en ce siècle on voit naître. v.511 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Quoi ? Parce que l'on n'est ni fat, ni petit-maître, v.512 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- On ne peut vous aimer ? L'obstacle est imprévu. v.513 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Par où peux-tu juger... v.514 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Par tout ce que j'ai vu. v.514 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Mais encore, quoi donc ? v.515 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Premièrement, vos charmes. v.515 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Je n'ai jamais compté sur de si faibles armes. v.516 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- J'ai démêlé, vous dis-je, à travers ses respects, v.517 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Des soupirs étouffés, des regards indirects, v.518 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Un silence pénible, autant qu'involontaire, v.519 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Des désirs, des égards, du trouble, du mystère, v.520 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Un intérêt secret, un soin particulier. v.521 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Un homme indifférent est bien plus familier. v.522 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Ce sont-là mes garants. Tout cela fait en somme v.523 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- De l'amour ; et, de plus, un amant honnête homme. v.524 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- J'ai vu bien plus encore. v.525 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Achève ; dis-moi tout. v.525 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Que cet amant serait assez de votre goût. v.526 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Ah ! C'est trop voir. Finis ; je ne veux plus t'entendre. v.527 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Je te défends... hélas ! Que puis-je lui défendre ? v.528 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Quoi ! De faibles attraits flétris par les douleurs, v.529 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Ces yeux accoutumés à pleurer mes malheurs, v.530 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Pourraient causer encore une faiblesse ? v.531 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Et surtout à l'objet pour qui l'amour vous blesse ? v.532 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Car il faut vous aider. v.533 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Nérine, tu me perds. v.533 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- De quoi m'accusez-vous ? Croyez que je vous sers. v.534 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Léonore et Damon sont formés l'un pour l'autre. v.535 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- C'est moi qui vous apprends sa défaite et la vôtre. v.536 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- L'hymen peut réparer les maux qu'il vous a faits. v.537 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Il forme quelquefois des liens pleins d'attraits. v.538 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Quand on dépend de soi, pour soi l'on se marie. v.539 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Ne me rappelle plus le malheur de ma vie, v.540 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Ni les égarements d'un âge sans raison. v.541 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- À peine j'achevais ma première saison, v.542 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- On me tira du cloître ; et j'entrai dans le monde, v.543 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Avec les préjugés dont la jeunesse abonde. v.544 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Une mère absolue, abusant de ses droits, v.545 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Avait promis ma main, sans consulter mon choix. v.546 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je me prévins d'abord. Mon dépit fut extrême. v.547 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je croyais qu'on devait m'obtenir de moi-même. v.548 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je croyais mériter du moins quelques soupirs : v.549 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Mais, loin de s'abaisser à flatter mes désirs, v.550 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- On ne m'honora pas d'une seule entrevue. v.551 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je fus au temple ; et là, sans détourner la vue, v.552 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Victime dévouée au cruel intérêt, v.553 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- On me fit malgré moi prononcer mon arrêt. v.554 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Quel hymen ! Ou plutôt quelle union fatale ! v.555 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- L'aversion, sans doute, entre nous fut égale. v.556 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- En sortant de l'autel, Sainflore disparut. v.557 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Moi-même je m'enfuis ; et mon époux mourut. v.558 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Mais j'ai connu l'erreur de mon antipathie, v.559 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je crois, si mon époux n'eût pas perdu la vie, v.560 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Que sans doute l'hymen, mon devoir, et le temps, v.561 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Auraient mis dans mon coeur de plus doux sentiments. v.562 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- En tout cas, par bonheur, il est en l'autre monde. v.563 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Pour vous montrer sur quoi mon préjugé se fonde, v.564 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Au sujet de Damon, il faut vous expliquer v.565 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Ce que m'a dit Frontin. Il m'a fait remarquer v.566 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Que Damon s'accoutume à la maison d'Orphise. v.567 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Peut-être que sa fille... v.568 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Eh ! Souffrez qu'on vous dise... v.568 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Mais on vient. v.569 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- C'est, sans doute, Orphise que j'attends ! v.569 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Le diable qui l'amène a bien mal pris son temps. v.570 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Vous pouvez demeurer. Vous avez quelque adresse ; v.571 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- J'aurai besoin de vous, et de votre maîtresse. v.572 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Madame, vous savez qu'autant que je le puis, v.573 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je me fais un devoir d'adoucir vos ennuis. v.574 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Entre ma fille et vous tout mon coeur se partage. v.575 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- J'espère que Géronte en fera davantage ; v.576 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Qu'il vous fera rentrer dans vos biens usurpés. v.577 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Si par malheur enfin ses soins étaient trompés, v.578 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Vous deviendrez, madame, une seconde fille, v.579 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Que la fortune aura mise dans ma famille ; v.580 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Et vos plus grands malheurs m'attacheront à vous. v.581 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Que diantre signifie un exorde si doux ? v.582 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Madame... v.583 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Je prévois ce que vous m'allez dire. v.583 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Ma reconnaissance... v.584 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Est telle que je désire. v.584 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- De grâce... v.585 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Épargnez-vous de vains remerciements. v.585 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- C'est tout ce que je crains quand j'oblige les gens. v.586 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Souffrez... v.587 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Je viens d'apprendre un départ qui m'afflige. v.587 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Damon va nous quitter. Et c'est ce qui m'oblige v.588 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- À vous venir prier d'empêcher son départ. v.589 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Pour vos moindres désirs il aura plus d'égard. v.590 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- N'importe. Je voudrais, sans être compromise, v.591 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Que vous employassiez ici votre entremise. v.592 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Madame, sur Damon, ai-je assez de crédit ?... v.593 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Assez, pour l'amener au point dont il s'agit. v.594 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- J'ai des desseins secrets qu'il faut que je vous dise. v.595 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Connaissez-vous Damon ? Parlez avec franchise. v.596 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je le crois honnête homme. v.597 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Oh ! Je n'en doute pas. v.597 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Le mystère a pour lui de furieux appas. v.598 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je m'y perds comme vous. Depuis qu'il nous fréquente, v.599 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il est d'une réserve incivile et piquante. v.600 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- En quoi, Madame ? v.601 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- En tout. En voici quelques traits. v.601 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il est homme de guerre, et n'en parle jamais. v.602 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Tous ses pareils devraient imiter sa prudence. v.603 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Quand on est noble, on peut en faire confidence. v.604 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il ne cite jamais ni lui, ni ses ayeux. v.605 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Ceux qui font autrement sont toujours ennuyeux. v.606 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Quand on est riche, est-il naturel qu'on s'en cache ? v.607 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Le premier avantage est que chacun le sache. v.608 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il n'appartient qu'aux sots d'en tirer vanité. v.609 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Ainsi vous approuvez sa singularité ? v.610 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Tant mieux. Du reste, il est homme assez sociable. v.611 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je crois qu'on en peut faire un mari fort passable. v.612 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Plaît-il ? v.613 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Rien. v.613 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Ciel ! De quoi va-t-elle me prier ! v.613 (Acte 1, scène 4, L?ONORE)
- J'ai, comme vous savez, ma fille à marier. v.614 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Et ce serait me faire un plaisir véritable v.615 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- De savoir si Damon est un parti sortable. v.616 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- En ce cas, agissez, madame ; servez-nous, v.617 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Comme on vous servirait ; faites comme pour vous. v.618 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Sans doute, c'est à quoi vous devez vous attendre. v.619 (Acte 1, scène 4, NÉRINE)
- Je veux, de votre main, l'accepter pour mon gendre. v.620 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je crois qu'il va venir vous faire son adieu. v.621 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je sors ; il ne faut pas qu'il me trouve en ce lieu. v.622 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Vous ne mettrez en jeu ni moi, ni la future. v.623 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- En vérité, Madame... v.624 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- En pareille aventure, v.624 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il faut avec adresse employer les détours. v.625 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Tout homme qu'on recherche en abuse toujours : v.626 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Se renchérit d'abord, sans valoir davantage : v.627 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Et, de rien qu'il était, s'érige en personnage. v.628 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Leur fatuité vient du cas que l'on en fait. v.629 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il faut les maîtriser, malgré que l'on en ait, v.630 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Se les assujettir, les faire à son caprice. v.631 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Nous perdons leur estime, en leur rendant justice ; v.632 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Nous nous avilissons, si nous sentons leur prix ; v.633 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Et la moindre indulgence attire leur mépris. v.634 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je vous laisse. v.635 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Nérine... v.635 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Ah ! Rien n'est plus risible. v.635 (Acte 1, scène 5, NÉRINE)
- Orphise vous procure un moyen infaillible v.636 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- De vous servir vous-même, en servant ses desseins. v.637 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- Voilà des intérêts remis en bonnes mains. v.638 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- Quelle commission dangereuse et cruelle ! v.639 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Je ne puis y songer ni pour moi, ni pour elle. v.640 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Oui, cette occasion n'est qu'un piége fatal. v.641 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Je m'exposerais trop, je la servirais mal. v.642 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Laissons aller Damon ; il faut que je l'évite. v.643 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Imagine une excuse, et reçois sa visite. v.644 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Quel danger courez-vous ? Quoi ! Vous n'osez saisir v.645 (Acte 1, scène 5, NÉRINE)
- La seule occasion qui peut vous éclaircir. v.646 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- J'aime mieux à jamais ignorer ma victoire, v.647 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Que de mettre en danger mon honneur et ma gloire. v.648 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- À ne point voir Damon, ne vous obstinez plus. v.649 (Acte 1, scène 5, NÉRINE)
- Que pourrait-il penser d'un semblable refus ? v.650 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- Cette affectation serait plus dangereuse. v.651 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- D'ailleurs, Madame Orphise en serait furieuse. v.652 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- Madame, il faut céder à la nécessité. v.653 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- Mais j'aperçois Damon. v.654 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- Que ne l'ai-je évité ! v.654 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Que deux amants sont sots, quand ils sont en présence ! v.655 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Il faut que je les aide à rompre le silence. v.656 (Acte 1, scène 6, N?RINE)
- On dit que vous allez chercher en d'autres lieux v.657 (Acte 1, scène 6, N?RINE)
- Une société qui vous amuse mieux. v.658 (Acte 1, scène 6, N?RINE)
- L'ennui n'habite point le séjour où vous êtes. v.659 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Des motifs plus pressants, d'autres peines secrètes... v.660 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Quoi ! Vous partez, Monsieur ? v.661 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Oui, Madame, je fuis ; v.661 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Je fais ce que je dois, et plus que je ne puis. v.662 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Si la maison vous plaît ? v.663 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Que trop ? v.663 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Hé ! Qui vous presse ? v.663 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Mon honneur, ma raison, le danger, ma faiblesse ; v.664 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Votre repos, enfin. v.665 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mon repos, dites-vous ? v.665 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Ah ! Madame, daignez m'écouter sans courroux. v.666 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- N'y cherchez point un sens coupable et téméraire. v.667 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Oui, pour votre repos, ma fuite est nécessaire. v.668 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Orphise dans ces lieux cherche à me retenir ; v.669 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Et c'est ce qui m'a fait résoudre à me bannir. v.670 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Car enfin je dois voir ce qu'on rend trop visible, v.671 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Sa bonté m'est à charge, et vous serait nuisible. v.672 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Quoi ! Vous savez déjà le bien qu'elle vous veut ? v.673 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Quelqu'un l'ignore-t-il ? Non, jamais on ne peut v.674 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Avec plus de mystère, être plus indiscrète. v.675 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mais je ne puis répondre à ce qu'elle souhaite. v.676 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- On croyait que Julie aurait dû vous charmer. v.677 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Quoi ! Ses attraits naissants n'ont pu vous enflammer ? v.678 (Acte 1, scène 6, L?ONORE)
- Ah ! Tout autre que moi doit lui rendre les armes. v.679 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Vous ne l'aimez donc pas ? v.680 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Non. J'échappe à ses charmes. v.680 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Vous seriez exposée à des soupçons jaloux. v.681 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Orphise, avec raison, n'accuserait que vous v.682 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Du refus que je fais de prendre cette chaîne. v.683 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Sa pénible amitié se changerait en haine. v.684 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Sans compter d'autres maux trop aisés à prévoir, v.685 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Je payerais trop cher le plaisir de vous voir. v.686 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Vous le voulez ? Il faut approuver votre zèle. v.687 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Allez, monsieur, allez où l'amour vous appelle. v.688 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- De quoi m'accusez-vous ? Je m'exile chez moi. v.689 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- D'ailleurs, si quelqu'objet me tenait sous sa loi, v.690 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Hélas ! Je n'aurais point de retour à prétendre ; v.691 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mon coeur s'entretiendrait dans l'amour le plus tendre, v.692 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Sans laisser éclater le moindre de ses feux. v.693 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Tenez monsieur, j'ai peine à croire au merveilleux : v.694 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Tant de discrétion est hors de vraisemblance. v.695 (Acte 1, scène 6, N?RINE)
- Sans entrer plus avant dans votre confidence, v.696 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Puisque vous nous quittez, vous avez vos raisons. v.697 (Acte 1, scène 6, L?ONORE)
- Moi, des raisons ? Je vois vos injustes soupçons. v.698 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Vous croyez que je vole où mon bonheur m'appelle. v.699 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Si vous saviez combien cette erreur m'est cruelle ! ... v.700 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Puisque vous m'y forcez, apprenez mon état. v.701 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Si j'aimais, mon amour éviterait l'éclat. v.702 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Je dis plus. Mon aveu deviendrait un outrage, v.703 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Qui déshonorerait l'objet de mon hommage. v.704 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mon vainqueur ne pourrait répondre à mon amour. v.705 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Hé ! Que me servirait le plus tendre retour ? v.706 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Il ferait le malheur de cette infortunée. v.707 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Je gémis dans les fers d'un cruel hyménée. v.708 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Vous êtes marié ? v.709 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Je le suis. Mais enfin v.709 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Un prompt événement peut changer mon destin. v.710 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Partez, monsieur, partez ; vous ne pouvez mieux faire. v.711 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Orphise approuvera ce départ nécessaire. v.712 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Madame, j'obéis. J'espère un prompt retour. v.713 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Il est donc marié ?... Que devient mon amour ? v.714 (Acte 1, scène 7, LÉONORE)
- Nérine, je l'aimais... Sa présence funeste v.715 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- N'eût fait qu'entretenir un feu que je déteste. v.716 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Est-ce là le bonheur dont mon coeur s'est flatté ? v.717 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Rassure-moi ; je crains d'avoir trop éclaté. v.718 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Ai-je pu contenir ma colère trop prompte ? v.719 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- N'en ai-je point trop dit ? Ah ! Je mourrais de honte. v.720 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Je ne puis qu'approuver un trop juste dépit. v.721 (Acte 1, scène 7, NÉRINE)
- Mais quel sens peut avoir un mot qu'il vous a dit. v.722 (Acte 1, scène 7, N?RINE)
- Qu'un prompt événement peut changer sa fortune ? v.723 (Acte 1, scène 7, N?RINE)
- Ah ! Ne te donne point une gêne importune. v.724 (Acte 1, scène 7, LÉONORE)
- Quand la nécessité ramène ma raison, v.725 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Cesse de retarder encor ma guérison. v.726 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- C'est assez... va chercher l'épouse de Géronte. v.727 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- De tout ce qui se passe, il faut lui rendre compte. v.728 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Pour ne plus voir Damon, qui part dans un moment, v.729 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Je vais me renfermer dans mon appartement. v.730 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Ah ! Te voilà, Nérine ! Enseigne-moi mon maître. v.731 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Il faut que je t'étrangle. Approche, double traître. v.732 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Ton maître est marié ; tu m'en fais un secret ? v.733 (Acte 1, scène 8, N?RINE)
- Si j'en sais rien, je veux être étranglé tout net. v.734 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Mon maître est un sournois comme on n'en trouve guère : v.735 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Oui, je crois que le diable est son homme d'affaires. v.736 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Je le trouvai jadis en pays étranger : v.737 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Il n'a, depuis ce tems, cessé de voyager. v.738 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ce n'est que depuis peu, que nous sommes en France. v.739 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Il n'a fait, que je sache, aucune connaissance ; v.740 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Si ce n'est chez Géronte, où tu sais bien comment v.741 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Il n'a pu refuser de prendre un logement. v.742 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Oh ! S'il est marié, ce que je ne puis croire, v.743 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ce n'est pas de mon bail : c'est quelque vieille histoire... v.744 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Bon ! Il n'a point de femme appartenante à lui ; v.745 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Partout il a roulé sur le compte d'autrui. v.746 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- C'est un fait. D'où viens-tu ? v.747 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Je viens, à toute outrance, v.747 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- De chez cet avocat ici près en vacance ; v.748 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- J'y vais dix fois pour une, et toujours sans succès ; v.749 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Mais à la fin... v.750 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ton maître a-t-il quelque procès ? v.750 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Ma foi, je ne sais point quelle est leur manigance. v.751 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Le robin m'a donné ce paquet d'importance, v.752 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- En me disant : " voilà votre maître en repos... v.753 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Mais, à quoi rêves-tu ? " v.754 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- C'est à certains propos... v.754 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Pourrais-tu deviner ce que ce papier chante ? v.755 (Acte 1, scène 8, N?RINE)
- Oui, si j'étais sorcier. Ah ! L'enquête plaisante ! v.756 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ah ! Tu n'es bon à rien. Va-t'en, sans différer. v.757 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Je ne sais pas pourquoi j'ose encore espérer. v.758 (Acte 1, scène 8, N?RINE)
- Damon est-il parti ? v.759 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Sans doute qu'il doit l'être. v.759 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Orphise ne vient point ? v.760 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- C'est qu'elle sait peut-être v.760 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Tout ce que vous avez à lui dire. En tout cas... v.761 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- La voilà justement. v.762 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Ne m'abandonne pas. v.762 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Madame, en vérité, vous êtes admirable, v.763 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Une personne unique, une femme adorable. v.764 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Des noms aussi flatteurs ne me conviennent point : v.765 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Et vous me surprenez, madame, au dernier point. v.766 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Damon nous reste enfin, grâce à votre entremise : v.767 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Si je le sais déjà, n'en soyez pas surprise. v.768 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Madame, excusez-moi... v.769 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Ses gens l'ont dit aux miens. v.769 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Les valets savent tout ; c'est d'eux que je le tiens. v.770 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Vous me voyez sensible, on ne peut davantage. v.771 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Allons, Madame, il faut achever votre ouvrage. v.772 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Mon ouvrage ? v.773 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Quoi donc ? v.773 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Je n'y prends point de part. v.773 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Mais ne venez-vous pas d'empêcher son départ ? v.774 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Il vous plaît de le croire. v.775 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Et de plus, j'en suis sûre. v.775 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Madame, il n'en est rien. v.776 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Comment ? v.776 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Non, je vous jure. v.776 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Damon reste pourtant ; les ordres sont donnez. v.777 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Cela peut être vrai ; mais vous me l'apprenez. v.778 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Quoi, véritablement ? v.779 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Je vous le certifie. v.779 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Je n'ai parlé de rien. v.780 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- J'en ai l'âme ravie. v.780 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Vous n'avez point écrit ? v.781 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Encore moins. v.781 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Tant mieux. v.781 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Je connais le motif qui l'attache en ces lieux. v.782 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Ma fille, j'en suis sûre, en a tout le mérite. v.783 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Damon ne peut quitter un séjour qu'elle habite. v.784 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Pour vous, madame, à qui cette affaire déplaît, v.785 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Il faut vous dispenser d'y prendre d'intérêt. v.786 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Oui, je n'ignore pas qu'une femme à votre âge, v.787 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- N'aime guère à jouer un second personnage. v.788 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Elle voudrait que tout lui devînt personnel ; v.789 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- être l'unique but, l'objet perpétuel v.790 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Où tendent tous les coeurs, les yeux et les oreilles ; v.791 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Plaire, à l'exclusion de toutes ses pareilles ; v.792 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- N'en reconnaître aucune, et dominer partout. v.793 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- À votre âge, madame, on est fort de ce goût. v.794 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Oui, je sais qu'une femme aime un peu trop à plaire ; v.795 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- C'est de l'âge où je suis la faiblesse ordinaire. v.796 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Dans l'arrière-saison, on ne fait qu'en changer ; v.797 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Du monde qui nous quitte on cherche à se venger, v.798 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Du plaisir qui nous fuit, des défauts qu'on regrette, v.799 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Auxquels on voudrait bien être encore sujette. v.800 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Alors, par désespoir et par nécessité, v.801 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- On se masque ; l'on prend un air d'autorité ; v.802 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- On se croit vertueuse en voulant le paraître, v.803 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Tandis qu'au fond du coeur, on néglige de l'être ; v.804 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Qu'au contraire on se fait un plaisir inhumain v.805 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- De nourrir son orgueil aux dépens du prochain. v.806 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- L'esprit de charité paraît une faiblesse ; v.807 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Et la mauvaise humeur prend le nom de sagesse : v.808 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Ainsi chaque âge apporte un travers différent. v.809 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- On échange un défaut contre un autre plus grand ; v.810 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Et l'on corrige un vice avec un autre vice. v.811 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Mais je veux vous forcer à me rendre justice. v.812 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Un mot vous suffira, pour voir quel intérêt v.813 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Je dois prendre à Damon. v.814 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Voyons donc ce que c'est. v.814 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Apprenez que Damon ne peut être à Julie. v.815 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Qui l'en empêchera ? Pourquoi donc, je vous prie ? v.816 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Par un hymen secret il se trouve lié. v.817 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Bon ! Que me dites-vous ? Le traître est marié ? v.818 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- En secret. v.819 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Avec vous ? v.819 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Non, je vous en assure. v.819 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Ainsi, vous voyez bien que c'est me faire injure. v.820 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Ah ! L'énigme est assez facile à deviner. v.821 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Damon devait cesser de nous importuner. v.822 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Il n'est point retenu par moi, ni par Julie ; v.823 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Et cependant il reste. v.824 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Ah ! Quelle calomnie ! v.824 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Je n'y saurais tenir ; je suis au désespoir. v.825 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Quel trait injurieux ! En est-il un plus noir ? v.826 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Il reste ; je l'ignore ; et l'on m'en fait un crime : v.827 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Mon repos, mon honneur, tout en est la victime. v.828 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Vous connaissez Orphise, et sa malignité. v.829 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Et pouvais-je m'attendre à cette indignité, v.830 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Et qu'on m'imputerait la dernière bassesse ? v.831 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Nérine, quelle horreur ! On me croit la maîtresse v.832 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- D'un homme marié ? v.833 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Ce trait est inouï. v.833 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Une prude jamais n'a bien pensé d'autrui. v.834 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Que vais-je devenir ? Le bruit va s'en répandre. v.835 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Orphise va le dire à qui voudra l'entendre. v.836 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Et l'on n'en croira rien. v.837 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Ah ! Quelle est ton erreur ? v.837 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- C'est assez qu'une histoire attaque notre honneur, v.838 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Elle passe aussitôt pour être véritable. v.839 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Tout ce qui peut nous nuire, ou nous perdre, est croyable, v.840 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- On n'examine rien ; et la crédulité v.841 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Va toujours contre nous jusqu'à l'absurdité. v.842 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Je ne m'étonne plus si tant d'infortunées v.843 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Se plaignent, tous les jours, d'être à tort condamnées. v.844 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Je vois bien à présent qu'une femme d'honneur, v.845 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Avec son innocence, a besoin de bonheur. v.846 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Dis-moi la vérité. Ne m'as-tu point trahie ? v.847 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Moi, vous trahir, madame ? En quoi, je vous supplie ? v.848 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Damon devait partir. J'ai reçu ses adieux : v.849 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Cependant il s'obstine à rester en ces lieux. v.850 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- N'aurais-tu point parlé ? v.851 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Nullement, je vous jure. v.851 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Je ne sais que penser ; je ne sais que conclure. v.852 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Me serais-je oubliée ?... Aurait-il deviné ? v.853 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Dis-moi par quel motif il s'est déterminé ? v.854 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Après tant de respect, d'où lui vient tant d'audace ? v.855 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Il faut donc m'éloigner, il faut que je me chasse. v.856 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Mais il devinera que c'est lui que je fuis. v.857 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Il me suivra partout, puisqu'il reste où je suis. v.858 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Va le trouver. Dis-lui... Non, il vaut mieux écrire. v.859 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- On ne dit par écrit que ce que l'on veut dire. v.860 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Et toi, tu lui feras remettre mon billet. v.861 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Allez. v.862 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Je vais tâcher de trouver son valet. v.862 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
- S'il est intelligent, il me pourrait instruire v.863 (Acte 2, scène 4, N?RINE)
- D'où vient ce changement, et qui peut le produire. v.864 (Acte 2, scène 4, N?RINE)
- Faisons cesser enfin le bruit de mon trépas. v.865 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Mon ennemi s'apaise après tant de débats. v.866 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Celle à qui mon malheur avait uni ma vie, v.867 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Se porte à dénouer la chaîne qui nous lie ; v.868 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Du moins on se fait fort de lui faire agréer v.869 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Ce projet, que ses gens viennent de m'envoyer. v.870 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- J'ai donné ma parole ; on répond de la sienne. v.871 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Ainsi, dans quelque endroit que ma femme se tienne, v.872 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Nous nous verrons bientôt, pour ne nous plus revoir. v.873 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Mes amis en secret m'ont donné cet espoir. v.874 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Qu'il m'est doux de briser une odieuse chaîne ! v.875 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Je tiens notre rupture infaillible et prochaine ; v.876 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Il ne nous manque plus qu'une formalité v.877 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Pour achever enfin notre félicité. v.878 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- En attendant, cessons une feinte importune : v.879 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Allons à Léonore annoncer ma fortune. v.880 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Avant que je lui dise et mon nom et mon rang, v.881 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Pénétrons dans son coeur. C'est d'où mon sort dépend. v.882 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Voyons si mon amour... mais j'aperçois Nérine. v.883 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Peut-on voir Léonore ? v.884 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Ah ! Monsieur, j'imagine v.884 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Que vous rêvez. v.885 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- Je veux lui parler un moment. v.885 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Vous me faites frémir d'y penser seulement. v.886 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Il faut que je la voie. v.887 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Ah ! Je vous crois trop sage v.887 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Pour oser à ses yeux vous offrir davantage. v.888 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- Votre présence ici cause assez d'embarras. v.889 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- De grâce, annonce-moi. v.890 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Je ne le ferai pas. v.890 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Que je lui dise un mot. v.891 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Cela n'est pas possible. v.891 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Il m'est de conséquence. v.892 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Elle n'est pas visible. v.892 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- En vérité, monsieur, je ne vous comprends pas... v.893 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- Que cherchez-vous ? v.894 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- Ma bague. v.894 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Ah ! Je la vois là-bas, v.894 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Ou je suis bien trompée. Oui, justement c'est elle. v.895 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- C'eût été grand dommage ; elle est vraiment fort belle. v.896 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- Elle est en bonnes mains ; et, puisqu'elle te plaît, v.897 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Profite du présent que le hasard te fait. v.898 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Moi, que je la garde ? v.899 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Oui ; c'est une bagatelle : v.899 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Nérine, je voudrais qu'elle eût été plus belle. v.900 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Ce n'est qu'un faible essai du bien que je te veux. v.901 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Voilà ce qui s'appelle un homme dangereux. v.902 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- On ne saurait prévoir des tours de cette espèce. v.903 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- Puisqu'on ne peut parler à ta belle maîtresse, v.904 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Tu lui donneras bien un billet de ma part. v.905 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Voilà donc l'encloueure ! Allons, à tout hasard. v.906 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- L'avez-vous ce billet ? Il faut que je m'acquitte. v.907 (Acte 2, scène 6, N?RINE)
- Je cours te le chercher, je reviens au plus vite. v.908 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Je ne sais, à présent que j'ai le diamant, v.909 (Acte 2, scène 7, NÉRINE)
- Je vois que je me suis oubliée un moment : v.910 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Réfléchissons un peu sur mon étourderie. v.911 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Je devais refuser cette galanterie. v.912 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Mon petit intérêt m'a fait illusion. v.913 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- C'est la première fois... maudite occasion ! v.914 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Tu sais apprivoiser l'honneur le plus sauvage ; v.915 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Tu mènes où tu veux la fille la plus sage. v.916 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Sans toi, l'on pourrait l'être avec facilité. v.917 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Je ne me croyais pas tant de fragilité. v.918 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Cependant, si je rends la bague que j'ai prise v.919 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Je répare une faute avec une sottise. v.920 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Damon ne voudra pas reprendre son présent : v.921 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Au contraire, il croira qu'il n'est pas suffisant. v.922 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Il sera généreux ; je voudrai me défendre ; v.923 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Il ne démordra pas, je finirai par prendre : v.924 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Voilà pour cet article. Autre réflexion. v.925 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Mais comment m'acquitter de ma commission ? v.926 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Tiens, fais rendre à Damon... v.927 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Tiens, donne à ta maîtresse... v.927 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Donnez, je remettrai chacune à son adresse. v.928 (Acte 2, scène 8, NÉRINE)
- Damon ! v.929 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Madame avait quelque ordre à me donner ? v.929 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Vous le deviez attendre ; et je dois m'étonner v.930 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- De n'avoir pas reçu cette marque d'estime. v.931 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Une raison heureuse, ou du moins légitime, v.932 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Dont je vais vous instruire... v.933 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Épargnez-vous le soin v.933 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- D'un éclaircissement, dont je n'ai pas besoin. v.934 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Nous nous devons toujours éviter l'un et l'autre. v.935 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- J'ai ma raison. Souffrez que j'ignore la vôtre. v.936 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Partez, monsieur, partez ; et cessons de nous voir ; v.937 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Que ce soit par égard, si ce n'est par devoir. v.938 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- C'est pour vous en prier que j'ose vous écrire. v.939 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Mais... v.940 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Vous ne devez plus avoir rien à me dire. v.940 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Ah ! Madame... v.941 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Damon ose me retenir ? v.941 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Apprenez donc mon crime, avant de me punir. v.942 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- J'ai lieu de m'offenser de votre résistance. v.943 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Il est vrai. Pardonnez cette dernière instance. v.944 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Il y va de mes jours. Permettez en partant, v.945 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Qu'on vous dise un secret qui peut m'être important. v.946 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Je ne veux rien savoir... v.947 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Hélas ! Daignez m'entendre. v.947 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Enfin, je puis céder à l'amour le plus tendre. v.948 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ces soupirs, si longtemps retenus dans mon coeur, v.949 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Peuvent enfin paraître aux yeux de mon vainqueur. v.950 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Moins je l'offense, et plus je ressens que je l'aime. v.951 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Je n'ai plus désormais que sa rigueur extrême... v.952 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Votre épouse n'est plus ? v.953 (Acte 2, scène 8, NÉRINE)
- Ah ! Ce titre si doux v.953 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Aurait dû ne jamais appartenir qu'à vous. v.954 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Celle qui le portait n'a point perdu la vie ; v.955 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous cédons l'un et l'autre à notre antipathie ; v.956 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Et ces noeuds que l'hymen avait désavoués, v.957 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Sont d'un commun accord entre nous dénoués. v.958 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Quoi ! Vous vous séparez ? v.959 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Une heureuse rupture v.959 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous dégage tous deux d'une chaîne trop dure. v.960 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nos serments étaient nuls, ils ont été forcés ; v.961 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Notre bouche à regret les avait prononcés. v.962 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nos coeurs ont réclamé contre la tyrannie v.963 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- De ceux à qui le ciel nous fit devoir la vie. v.964 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- La loi me restitue et ma main et mon coeur. v.965 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous pouvons tous les deux nous choisir un vainqueur. v.966 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Hélas ! Mon choix est fait ; et vous devez m'entendre. v.967 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- C'est donc-là ce secret que vous vouliez m'apprendre ? v.968 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Et vous croyez, monsieur, qu'il doit m'intéresser ? v.969 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Quoi donc ! Ce faible espoir peut-il vous offenser ? v.970 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Malgré tous ces détours où votre esprit s'efforce, v.971 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Ce que vous m'annoncez est toujours un divorce. v.972 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Oui, tel que soit le nom dont vous les colorez, v.973 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- C'est votre épouse enfin que vous déshonorez. v.974 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Vous prétendez, monsieur, me rendre la complice v.975 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- D'un coupable abandon fondé sur un caprice. v.976 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- C'est vous qui l'exigez. Peut-elle y consentir ? v.977 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Je sens le désespoir qu'elle doit ressentir v.978 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- D'un si terrible affront. Je me mets à sa place. v.979 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Pour elle enfin, monsieur, je vous demande grâce. v.980 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Si vous n'aimiez ailleurs... ah ! N'en espérez rien. v.981 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Elle m'accuserait... votre coeur est son bien. v.982 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Loin de favoriser cette indigne rupture, v.983 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Je ne puis profiter de sa triste aventure. v.984 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- N'appelez point divorce un accommodement. v.985 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Quand je consens à rompre un faux engagement, v.986 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Une chaîne, à tous deux également cruelle, v.987 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ce n'est point un affront ; c'est un bonheur pour elle. v.988 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Vous n'avez jamais su, vous n'éprouverez point v.989 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Que le plus grand malheur est celui d'être joint v.990 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Au déplorable objet d'une haine invincible. v.991 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Quelle conformité. v.992 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Soyez-y donc sensible. v.992 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Quand vous refuseriez de vous rendre à mes voeux, v.993 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous ne romprons pas moins nos liens rigoureux. v.994 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ma femme n'eut pour moi qu'une haine mortelle ; v.995 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- C'est ce que vous avez de commun avec elle. v.996 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Dites-moi donc comment elle a pu vous haïr ? v.997 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Vous me haïssez bien. v.998 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Ah ! Laissez-moi vous fuir. v.998 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Oublions-nous tous deux. v.999 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Moi, que je vous oublie ? v.999 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Vous, sur qui je fondais le bonheur de ma vie, v.1000 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Qui seule avez trouvé le secret d'enflammer v.1001 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Un coeur que je croyais incapable d'aimer, v.1002 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Dont vous allez causer l'éternelle souffrance ! v.1003 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Perd-on le souvenir, en perdant l'espérance ? v.1004 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ce n'est qu'en expirant d'amour et de douleur, v.1005 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Que je puis oublier l'auteur de mon malheur. v.1006 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Vous l'apprendrez bientôt ; c'est l'espoir qui me reste. v.1007 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- N'ajoutez pas encore à mon état funeste v.1008 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Cet affreux désespoir. v.1009 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- C'est vous qui le causez. v.1009 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ces frivoles raisons que vous me proposez, v.1010 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Qu'invente contre moi votre délicatesse, v.1011 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ne l'emporteraient pas sur la moindre tendresse. v.1012 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- De votre aversion, c'est le plus sûr garant. v.1013 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Restez dans votre erreur, et vivez seulement. v.1014 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Ah ! Puis-je interpréter ce que je viens d'entendre ? v.1015 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Est-ce pitié ? Serait-ce un sentiment plus tendre ? v.1016 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Léonore, achevez. v.1017 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Damon... v.1017 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Éclaircissez... v.1017 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Que vois-je ! Orphise ? Adieu ; fuyez, disparaissez. v.1018 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Ferme, tenez-vous bien. v.1019 (Acte 2, scène 9, NÉRINE)
- Ce que j'ai vu m'enchante ! v.1019 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Quoi donc ? v.1020 (Acte 2, scène 9, NÉRINE)
- En vérité, l'attitude est touchante. v.1020 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Je venais vous marquer que j'avais du regret v.1021 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- D'avoir conçu peut-être un soupçon indiscret. v.1022 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- L'excuse n'a plus lieu. v.1023 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Pardonnez-moi, madame. v.1023 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Vous souffrez que Damon vous parle de sa flamme ? v.1024 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Je fais plus ; car je l'aime. v.1025 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Avez-vous oublié v.1025 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Que Damon, par malheur, est déjà marié ? v.1026 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Pour vous, apparemment, c'est une bagatelle ; v.1027 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Ou bien vous m'avez dit une fausse nouvelle. v.1028 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Elle était vraie alors ; mais tout est bien changé. v.1029 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- D'un malheureux hymen Damon est dégagé. v.1030 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- On va briser sa chaîne ; il me l'a dit lui-même. v.1031 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Voilà ce qui me fait avouer que je l'aime : v.1032 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Car je dois avec vous bannir un vain détour. v.1033 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Toutefois à Damon j'ai caché mon amour. v.1034 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Je le crois ; ou du moins je cherche à me séduire. v.1035 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Mais, Madame, en tout cas, vous pouvez l'en instruire. v.1036 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- On va briser ses fers ? v.1037 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Ils vont être rompus. v.1037 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Madame, il devient libre, et vous ne l'êtes plus. v.1038 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Oui, je n'en rougis point ; je chéris ma défaite ; v.1039 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Je perds ma liberté, sans que je la regrette ; v.1040 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- J'ai rencontré l'objet que je devais aimer. v.1041 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Un mutuel amour a su nous enflammer. v.1042 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- C'est une sympathie invincible, absolue, v.1043 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Que j'ai d'abord sentie à la première vue. v.1044 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Si le même rapport n'eût agi dans son coeur, v.1045 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Jamais je n'aurais pu survivre à ce malheur. v.1046 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Vous survivrez, madame, à de plus grandes peines. v.1047 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- La mort de votre époux n'a point brisé vos chaînes : v.1048 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Il est encore vivant. v.1049 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Mon époux est vivant ! v.1049 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Oui. C'est ce que Géronte a dit en arrivant. v.1050 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Il va vous confirmer cette heureuse nouvelle. v.1051 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Il était temps. v.1052 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Il vit, et je suis infidèle ! v.1052 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Grand dieu ! Dans quelle horreur me précipitez-vous ? v.1053 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Est-ce un si grand malheur de revoir un époux ? v.1054 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Ah ! Vous n'ignorez pas quelle est l'antipathie, v.1055 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Que m'inspira l'époux à qui je suis unie. v.1056 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- L'un et l'autre aux autels nous fûmes entraînés, v.1057 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- L'un à l'autre à regret nous fûmes enchaînés. v.1058 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Une fille aisément se prévient, et s'entête ; v.1059 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Et veut mal-à-propos se choisir sa conquête. v.1060 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Je subis, à votre âge, un hymen plus fâcheux : v.1061 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- J'en ai fait un second plus conforme à mes voeux : v.1062 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Et bien, je vous dirai qu'ils reviennent au même. v.1063 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Hélas ! Pour éviter une infortune extrême, v.1064 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- À quel triste moyen n'ai-je pas eu recours ? v.1065 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Que ne me laissait-on finir mes tristes jours ? v.1066 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- J'avais passé douze ans ignorée et tranquille : v.1067 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Devais-je consentir à quitter mon asile, v.1068 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Pour venir retrouver celui que je fuyais ? v.1069 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Sainflore n'était plus ; du moins je le croyais ; v.1070 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Il ne m'en resta pas la moindre incertitude. v.1071 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- C'est-là ce qui me fit quitter ma solitude. v.1072 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- J'ai cru renaître. Hélas ! Je n'avais point vécu. v.1073 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Le plus beau de ma vie avait été perdu ; v.1074 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Et l'amour en devait empoisonner le reste. v.1075 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Damon vint dans ces lieux. C'est l'époque funeste v.1076 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Du plus grand de mes maux. Mon coeur en fut blessé. v.1077 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Je crus pouvoir aimer. Mon coeur s'est trop pressé. v.1078 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Il faudra bien éteindre une flamme importune. v.1079 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Et d'ailleurs, quelle est donc cette grande infortune ? v.1080 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- C'est d'avoir cru pouvoir disposer de mon coeur. v.1081 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Mais enfin, sous ce nom, qu'au moins pour mon bonheur v.1082 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Votre époux a voulu que je gardasse encore, v.1083 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Je peux fuir à jamais un époux qui m'abhorre. v.1084 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- De quel front à présent paraîtrais-je à ses yeux ? v.1085 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Pourrais-je soutenir le reproche odieux v.1086 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Dont il accablerait une épouse infidèle, v.1087 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Que peut-être il voudrait retrouver criminelle ? v.1088 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- C'est la sujétion du sexe infortuné v.1089 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- De périr sous le joug quand il est enchaîné. v.1090 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Abandonnez enfin le nom de Léonore. v.1091 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- La feinte vous rendrait plus criminelle encore. v.1092 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Allez, Silvie, allez, retrouver votre époux. v.1093 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Vous vous inspirerez des sentiments plus doux. v.1094 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Aussi bien que l'amour, l'aversion s'épuise. v.1095 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- D'autre ressource enfin ne vous est plus permise. v.1096 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- On connaît son erreur sans pouvoir en guérir. v.1097 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Adieu. Je pars, je fuis ; et je vais en mourir. v.1098 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Léonore est en pleurs ? D'où vient qu'elle m'évite ? v.1099 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- C'est vous, Monsieur Géronte ? Où courez-vous si vite ? v.1100 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Je dois à Léonore un petit compliment ; v.1101 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Je vais m'en acquitter. v.1102 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Eh ! De grâce, un moment. v.1102 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- À votre appartement, je me suis fait écrire. v.1103 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Si vos gens sont exacts, ils pourront vous le dire. v.1104 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Certes, pour un époux l'accueil est très galant ; v.1105 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Après un mois d'absence, il est fort consolant. v.1106 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Nous nous retrouverons ; et plutôt dix fois qu'une. v.1107 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ne nous imposons point une gêne importune, v.1108 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ni ces empressements follement amoureux, v.1109 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ridicules à l'âge où nous sommes tous deux. v.1110 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Monsieur, parlez du vôtre. v.1111 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Oui, dans l'âge où nous sommes, v.1111 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Vous croyez que le tems ne vieillit que les hommes ? v.1112 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Autrefois... v.1113 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Est passé pour ne plus revenir. v.1113 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Et vous anticipez toujours sur l'avenir. v.1114 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Monsieur, entendons-nous une fois dans la vie. v.1115 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- C'est quand vous le voudrez. v.1116 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Au sujet de Silvie... v.1116 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Eh ! Madame, pourquoi l'appeler de ce nom ? v.1117 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Vous avez toujours eu cette démangeaison. v.1118 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Monsieur, c'est que jamais je n'aimai le mystère. v.1119 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Vous savez cependant qu'il était nécessaire, v.1120 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- De peur d'effaroucher des gens intéressés v.1121 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Entre qui tous ses biens se trouvaient dispersés : v.1122 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Mais c'était un secret, et la charge est pesante. v.1123 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- L'apostrophe est commune, et même déplaisante. v.1124 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Tout va bien. v.1125 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Son époux est vivant ? v.1125 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Ah ! D'accord. v.1125 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Oui, cet homme prétend n'avoir pas été mort : v.1126 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Il revient, c'est à quoi je ne m'attendais guère : v.1127 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Les gens qu'il a chargé du soin de ses affaires, v.1128 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ont arrêté les miens, quand j'allais terminer : v.1129 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Mais d'une autre façon j'ai su me retourner, v.1130 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Sans paraître autrement, que par mes émissaires ; v.1131 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- J'ai pris les sûretés qui m'étaient nécessaires. v.1132 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Léonore, en tout cas, n'y participe en rien. v.1133 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- C'est sur quoi nous allons avoir un entretien ; v.1134 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Car elle ne sait pas ce que j'ai fait pour elle. v.1135 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- En vérité, j'ai plaint sa fortune cruelle. v.1136 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Tant mieux. v.1137 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Mais cependant, pour certaine raison, v.1137 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Il faudra, qu'elle ou moi, sortions de la maison. v.1138 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Parbleu, l'alternative est toujours quelque chose. v.1139 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Pourquoi donc, s'il vous plaît ? v.1140 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- C'est que je me propose v.1140 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- De marier... v.1141 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Ah, ah ! v.1141 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ma fille avec Damon. v.1141 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Oui-da, ce parti-là pourrait être assez bon. v.1142 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Mais, pour cela, faut-il que je chasse ma nièce ? v.1143 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- C'est qu'en un mot ici sa présence me blesse. v.1144 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Je n'en dirai pas plus, ni d'elle, ni de lui. v.1145 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Suffit. Je n'aime point à parler mal d'autrui. v.1146 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- J'entends à demi-mot. v.1147 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Disposez votre nièce v.1147 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- À suivre son époux. J'y compte. Je vous laisse. v.1148 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Arrangez-vous ensemble ; et faites pour le mieux. v.1149 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Les femmes ont toujours des projets merveilleux. v.1150 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Ma nièce n'aura point regret à mon voyage. v.1151 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- D'abord, j'ai retiré tous ses biens du pillage. v.1152 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Son époux, il est vrai, n'est pas mort. Cependant v.1153 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Je n'en suis pas la cause ; et c'est un accident v.1154 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Qui n'interrompra guère, ou très peu son veuvage, v.1155 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Puisqu'il veut bien laisser casser son mariage. v.1156 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Allons la préparer à cet événement. v.1157 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Elle n'espère pas un si bon dénouement. v.1158 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Sachons ce que Géronte aura fait chez sa nièce. v.1159 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
- S'il aime un peu ma fille, en cas qu'il s'intéresse v.1160 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
- À son hymen, il peut me servir à mon gré. v.1161 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
- Damon est gentilhomme ; il est même titré... v.1162 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
- La femme est une espece à qui rien ne ressemble ; v.1163 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- C'est tout bien ou tout mal ; et tous les deux ensemble. v.1164 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Est-elle vertueuse ? Elle l'est à l'excès. v.1165 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Sa sagesse devient un véritable accès ; v.1166 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- La modération lui paraît insipide : v.1167 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- C'est toujours à l'extrême où son penchant la guide. v.1168 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Ses moindres mouvements sont des convulsions ; v.1169 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- La vertu, dans son coeur, se change en passions, v.1170 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Dégénère en faux zèle, et devient fanatique. v.1171 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Ah ! Vous voilà, monsieur, dans votre humeur critique. v.1172 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Ne vous chagrinez pas d'un portrait si flatté. v.1173 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Une femme, à tout âge, est un enfant gâté. v.1174 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Le mépris pour le sexe est un air qu'on se donne, v.1175 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Qui n'est, en vérité, convenable à personne. v.1176 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Madame, je suis juste, et sans prévention. v.1177 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- J'avais fait jusqu'ici certaine exception... v.1178 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Peut-on savoir combien vous en exceptiez ? v.1179 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Une. v.1179 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Et c'était encor trop. v.1180 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Pour nous quelle fortune ! v.1180 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- C'est Silvie. Ah ! Morbleu, je me trompe de nom. v.1181 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Son caprice imprévu me trouble la raison. v.1182 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Diable ! Je ne sais plus ce que je voulais dire. v.1183 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- J'exceptais Léonore ; et cela vous fait rire. v.1184 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- C'est votre nièce, à qui vous faisiez cet honneur ? v.1185 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Léonore, elle-même. v.1186 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Elle a bien du bonheur. v.1186 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Oui, d'avoir du mérite. v.1187 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Autant que de sagesse. v.1187 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Que trop. Et c'est en elle un excès qui me blesse, v.1188 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Un travers véritable, un faux raffinement, v.1189 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Fondé sur le scrupule, et sur l'entêtement. v.1190 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Je m'en vais préparer Damon à sa disgrâce. v.1191 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Bon ! Je l'ai prévenu de tout ce qui se passe. v.1192 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Déjà ? Mais vous l'avez accablé de douleurs ? v.1193 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Il fallait, tôt ou tard, qu'il apprît ses malheurs. v.1194 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Plutôt on les apprend, plutôt on s'en console. v.1195 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- J'espère cependant... v.1196 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Espérance frivole. v.1196 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Peut-être que Damon, que j'ai fait avertir, v.1197 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Aura plus de crédit... v.1198 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Eh ! Laissez-la partir. v.1198 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Elle est mariée... v.1199 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Oui. v.1199 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- L'affaire est terminée. v.1199 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Point du tout. Si ma nièce était moins obstinée, v.1200 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Elle pourrait... v.1201 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Aller retrouver son époux. v.1201 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Venez, monsieur, venez vous unir avec nous ; v.1202 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- La pauvre Léonore... elle se croyait veuve. v.1203 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Eh bien, il n'en est rien ; nous en avons la preuve. v.1204 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Mais de son esclavage on pourrait l'affranchir. v.1205 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Peut-être mieux que moi vous pourrez la fléchir. v.1206 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Un mot de ce qu'on aime a toute une autre force. v.1207 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Quoi ! Vous voulez, monsieur, la porter au divorce ? v.1208 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Déterminez un coeur fortement combattu. v.1209 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ne l'abandonnez pas à sa triste vertu. v.1210 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Car je n'ignore plus qu'elle vous intéresse. v.1211 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Vous l'aimez ? v.1212 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Je l'adore. À quoi sert ma tendresse ? v.1212 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Ce sont-là de vos tours. Vous servez en ami. v.1213 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Ma foi, sans le savoir, je travaillais pour lui. v.1214 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Quand ma nièce peut rompre une chaîne cruelle, v.1215 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Elle n'approuve plus ce que j'ai fait pour elle. v.1216 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Sous main, depuis un mois, j'ai mis l'affaire en train ; v.1217 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Mais le diable jaloux, ou l'esprit féminin, v.1218 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ne veulent pas permettre une union si belle. v.1219 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- On s'en consolera. Modérez votre zèle. v.1220 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Je m'en consolerai ? v.1221 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Vous serez dans le cas. v.1221 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Jamais ; et j'en mourrai. v.1222 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Non, vous n'en mourrez pas. v.1222 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Eh ! Madame, tâchez d'être un peu plus tranquille. v.1223 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Vous, donnez un conseil plus sage et plus utile. v.1224 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Jetez-vous à ses pieds. v.1225 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ne la voyez jamais. v.1225 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Employez les soupirs. v.1226 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Oubliez ses attraits. v.1226 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Allez. v.1227 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Quoi ? Voulez-vous déshonorer Silvie. v.1227 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Moi, la déshonorer ? En quoi, je vous supplie ? v.1228 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Ah ! Silvie aurait tort de se plaindre de moi. v.1229 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Je fais ce qu'elle veut ; et je lui rends sa foi. v.1230 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Elle a fait trop longtemps le malheur de ma vie. v.1231 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Quand on ne s'aime point, aisément on s'oublie. v.1232 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Quand on ne s'aime point ? v.1233 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Pour le coup, je m'y perds. v.1233 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- On cherche volontiers à sortir de ses fers. v.1234 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Ceci ne laisse pas d'être incompréhensible. v.1235 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Pour qui donc votre coeur était-il si sensible ? v.1236 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Léonore n'est point l'objet de vos amours ? v.1237 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Léonore est l'objet que j'aimerai toujours. v.1238 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Nous extravaguons tous. v.1239 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Je m'en doutais, madame. v.1239 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ma nièce est cependant l'objet qui vous enflamme ? v.1240 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- L'équivoque des noms a pu nous embrouiller ; v.1241 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Mais l'histoire en serait trop longue à détailler. v.1242 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Mon secret doit ici n'être su de personne. v.1243 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Ce nom m'a fait frémir ; et ce rapport m'étonne. v.1244 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- C'est peut-être le nom de certaine beauté, v.1245 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Qui vous a fait, sans doute, une infidélité. v.1246 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Madame, à vos avis je rends plus de justice. v.1247 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Vous arrêtez mes pas au bord du précipice. v.1248 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Victime d'un penchant devenu criminel, v.1249 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- J'allais m'envelopper d'un opprobre éternel ; v.1250 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- J'allais me dérober au pouvoir légitime v.1251 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- D'un époux, qu'on ne peut abandonner sans crime. v.1252 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ma nièce, en vérité, tous ces grands sentiments v.1253 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Sont des inventions pour orner des romans. v.1254 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- La morale est légère, et ce n'est pas la mienne. v.1255 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Monsieur, que voulez-vous que madame devienne ? v.1256 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Heureuse, apparemment. v.1257 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Eh ! Le moyen ? v.1257 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Est sûr. v.1257 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Quoi ! Faudra-t-il qu'au fond de quelque asile obscur, v.1258 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Elle aille ensevelir une épouse craintive, v.1259 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Ou mener une vie errante et fugitive ? v.1260 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- C'est un dessein coupable ; et je n'y pense plus. v.1261 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Je reprends des liens que je croyais rompus. v.1262 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Il m'en coûtera cher... que dis-je, malheureuse ? v.1263 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Mais la nécessité me rendra vertueuse. v.1264 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- J'ai gagné sur mon coeur, ou du moins je le crois. v.1265 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ah, rencontre cruelle ! Et qu'est-ce que je vois ? v.1266 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- C'est un infortuné, qui n'a plus guère à vivre. v.1267 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Je vous l'ai dit, vivez ; mais cessez de me suivre. v.1268 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Eh ! Le puis-je ? C'est vous qui voulez mon trépas. v.1269 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ah ! Ne m'engagez point à de nouveaux combats. v.1270 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Mon coeur n'a pas besoin d'une épreuve cruelle. v.1271 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Hélas ! Que craignez-vous ? À quoi servirait-elle ? v.1272 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- À vous faire haïr, à me désespérer. v.1273 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- C'est me persécuter, c'est me déshonorer, v.1274 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Que d'exposer encor mon coeur à se défendre. v.1275 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ce sont de vains regrets que je ne puis entendre. v.1276 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Vous avez un rival qui n'en doit point avoir. v.1277 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Je vais le retrouver, et remplir mon devoir. v.1278 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Vous l'étendez plus loin qu'il ne devrait s'étendre. v.1279 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Madame, si je crois ce qu'on m'a fait entendre, v.1280 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Sans blesser ce devoir, vous pourriez recourir v.1281 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- À des moyens plus doux, qu'on vient de vous offrir. v.1282 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Non, je n'ai point assez d'audace, ni de force, v.1283 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Pour aller mendier un malheureux divorce. v.1284 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Je n'imagine pas qu'une femme de bien, v.1285 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Puisse jamais avoir recours à ce moyen. v.1286 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Il faut un front d'airain pour donner ce scandale. v.1287 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- On vous excepterait de la loi générale. v.1288 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ne vous en flattez pas. v.1289 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Le cas est différent. v.1289 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Sur l'espoir d'un succès toujours déshonorant, v.1290 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Je ne risquerai point d'être tympanisée. v.1291 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Le plus grand des malheurs est d'être méprisée. v.1292 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Hé quoi ! Sur un prétexte absurde et mendié, v.1293 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Aller de porte en porte implorer la pitié, v.1294 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Y faire de sa vie un journal équivoque, v.1295 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Que personne ne croit, et dont chacun se moque v.1296 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Suborner des témoins, gagner des partisans ; v.1297 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Remplir les tribunaux de ses cris indécents ; v.1298 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Y faire débiter des plaintes infidèles ; v.1299 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Inonder le public d'injurieux libelles ; v.1300 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ébruiter des malheurs qu'on pouvait empêcher, v.1301 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ou qu'au moins la raison devait faire cacher : v.1302 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Je ne puis seulement soutenir cette idée. v.1303 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Eh ! Non. Rassure-toi. Ta crainte est mal fondée. v.1304 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Eh ! Mais, pardonnez-moi. v.1305 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Non. Il s'agit au plus v.1305 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- D'achever de briser des noeuds presque rompus, v.1306 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- De m'en laisser le soin ; en un mot, de reprendre v.1307 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- L'heureuse liberté qu'on offre de lui rendre ; v.1308 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- De quitter un époux. v.1309 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Daignez lui pardonner. v.1309 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- À sa discrétion, je veux m'abandonner. v.1310 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Peut-être que l'absence, et son état funeste v.1311 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Auront changé son coeur ; le mien fera le reste. v.1312 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Erreur ! N'espérez pas de si tendres retours. v.1313 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Vous allez exposer votre gloire, et vos jours. v.1314 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Songez-vous qu'un mortel, insensible à vos larmes, v.1315 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Va jouir, malgré vous, d'un bien si plein de charmes ? v.1316 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Je ne vous parle point du désespoir affreux v.1317 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Où vous allez jeter le coeur d'un malheureux, v.1318 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Qui mourra, malgré vous, dans sa persévérance. v.1319 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- J'avais pris dans vos yeux une fausse espérance. v.1320 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Je perds tout, en perdant ce bonheur apparent. v.1321 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ce que je deviendrai vous est indifférent. v.1322 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ah, cruel ! D'où vient donc le remords qui m'accable... v.1323 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Qu'ai-je dit ? Je me rends encore plus coupable. v.1324 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ne vous promettez rien des pleurs que je répands. v.1325 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Non, quand je briserais les noeuds que je reprends, v.1326 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Notre hymen ne peut plus devenir légitime. v.1327 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ce serait avouer, et consommer mon crime. v.1328 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Vous avez une épouse. Imitez-moi tous deux : v.1329 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ou, plutôt, puissiez-vous l'un et l'autre être heureux. v.1330 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Je sens que tôt ou tard il faut qu'elle vous aime. v.1331 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- N'exigez pas de moi cette faiblesse extrême. v.1332 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Sa haine ou son amour ne m'intéressent plus. v.1333 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ne consent-elle pas que nos fers soient rompus ? v.1334 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- C'est vous qui le voulez. v.1335 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Y consentirait-elle, v.1335 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Si ce n'était pour prendre une chaîne nouvelle ? v.1336 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Je n'eus jamais son coeur ; elle a repris sa foi. v.1337 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Arrêtez. On pourrait en dire autant de moi. v.1338 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- C'est vous qui me jugez. v.1339 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Quelle bizarrerie ! v.1339 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Oh ! Vous traitez toujours la vertu de folie. v.1340 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Vos gens et vos chevaux, tout est prêt pour aller... v.1341 (Acte 3, scène 5, FRONTIN)
- Eh ! Ventrebleu, va-t-en les faire dételer. v.1342 (Acte 3, scène 5, GERONTE)
- Pourquoi s'abandonner au torrent des scrupules ? v.1343 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- De trop grands sentiments sont souvent ridicules. v.1344 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Si c'était un époux tel qu'eût été Damon, v.1345 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Passe ; mais ç'en est un qui n'en eut que le nom ; v.1346 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Un jeune écervelé qui laisse sa compagne, v.1347 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Et, pour libertiner, va battre la campagne ; v.1348 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Que je ne connais point ; car ma soeur, dieu merci, v.1349 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Ne consultait personne en tout, comme en ceci ; v.1350 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Un homme qui n'agit que par ses émissaires, v.1351 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Et n'ose se montrer que par ses gens d'affaires ; v.1352 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Qui, lorsqu'on le croit mort, revient après douze ans v.1353 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Pour se démarier. v.1354 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Quels rapports étonnants ! v.1354 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Respectez ses malheurs. v.1355 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- Eh ! De grâce, Madame... v.1355 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Voilà pourtant l'époux que ma nièce réclame ! v.1356 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Peut on savoir le nom... v.1357 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Ne le sachez jamais. v.1357 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- Ne me refusez pas... v.1358 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- J'entrevois vos projets ; v.1358 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- Et le coupable espoir que vous gardez encore. v.1359 (Acte 3, scène 6, L?ONORE)
- Voulez-vous achever de perdre Léonore ? v.1360 (Acte 3, scène 6, L?ONORE)
- Son repos, son honneur devraient bien vous toucher. v.1361 (Acte 3, scène 6, L?ONORE)
- Sous ce nom étranger, cessez de vous cacher. v.1362 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Vous vous nommez Silvie, et non pas Léonore. v.1363 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Que n'êtes-vous aussi l'épouse de Sainflore ! v.1364 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Ah ! Qui m'a pu trahir !... Téméraire ! Arrêtez. v.1365 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- Quelle horreur !... Laissez-moi... v.1366 (Acte 3, scène 6, L?ONORE)
- Madame, permettez... v.1366 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Damon, y songez-vous ? v.1367 (Acte 3, scène 6, ORPHISE)
- Pour le coup, il s'oublie. v.1367 (Acte 3, scène 6, NÉRINE)
- Je renais... Ah ! Madame... Ah ! Ma chère Silvie... v.1368 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Tenez... je suis... voilà votre consentement ; v.1369 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Retrouvez un époux dans le plus tendre amant. v.1370 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Voyons donc. v.1371 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Vous, Sainflore ? v.1371 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- Ah, grand dieu ! v.1371 (Acte 3, scène 6, ORPHISE)
- C'est lui-même. v.1371 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Ô sort trop fortuné ! C'est mon époux que j'aime. v.1372 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- La bonne antipathie ! Ah ! Gardez-la toujours. v.1373 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Haïssez-vous ainsi, le reste de vos jours. v.1374 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
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AMOUR POUR AMOUR (1753)
- Ma foi, pour un Auteur, c'est avoir du courage . . - v.1 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Que de venir ainsi faire tête à l'orage. v.2 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- On n'a que des soupçons, qui seront dissipés v.3 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Sitôt qu'on me verra si fort en évidence. v.4 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Comptez que les plus fins y seront attrapés. v.5 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- D'ailleurs, je veux savoir au vrai ce que l'on pense v.6 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- M'entendre, sans détour, juger de vive voix ; v.7 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Peser le bien, le mal, la louange, le blâme ; v.8 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Récapituler tout dans le fond de mon âme, v.9 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Et recueillir de quoi mieux faire une autre fois. v.10 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Ma foi, l'intention est très bonne, sans doute : v.11 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Mais l'exécution ?... v.12 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Je sais ce qu'elle coûte. v.12 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Vous êtes inquiet ? v.13 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Où peut-il s'être mis ? v.13 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Qui cherchez-vous de l'oeil ? v.14 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Je ne vois point Damis. v.14 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il ne manque jamais une pièce nouvelle. v.15 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Oh ! Je ne doute pas qu'il ne vienne aujourd'hui, v.16 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il sait bien que ce jour est un grand jour pour lui ; v.17 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Est que plus d'un Bureau d'esprit mâle et femelle, v.18 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- De ses décisions. Écho toujours fidèle, v.19 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Attend ce qu'il dira pour se déterminer, v.20 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Pour juger, comme lui, sans rien examiner. v.21 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Sa Sentence, je crois, n'est pas toujours mortelle. v.22 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Mais il est c[h]ef de meute ; on le fuit au hasard ; v.23 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Et malheur aux Auteurs ; du moins à la plupart v.24 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il est et fut toujours en butte : v.25 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- C'est un homme excellent pour hâter une chute.. v.26 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Le beau talent ! v.27 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Aussi l'a-t-il, jusqu'à ce jour ; v.27 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Exercé, sans quartier, sur les pièces qu'on donne. v.28 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il est bien attrapé, quand une pièce est bonne, v.29 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Un auteur qui fait bien, lui joue un mauvais tour. v.30 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Pourquoi donc ? v.31 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Ah pourquoi ? Quand une Comédie v.31 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Est, par malheur pour lui, justement applaudie, v.32 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Que diable voulez-vous qu'il en dise ? v.33 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Du bien. v.33 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Eh, ne voyez-vous pas qu'il irait trop du sien ? v.34 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il croirait déroger, en donnant son suffrage. v.35 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Déroger ! Et comment ? v.36 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- En louant un ouvrage. v.36 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Mais il faut être fou pour se l'imaginer. v.37 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- En matière d'esprit, on ne veut point de maître. v.38 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Sur les gens du métier on aime à dominer. v.39 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On s'érige en Juge, on veut l'être, v.40 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On se met au dessous de ceux qu'on applaudit : v.41 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Au lieu, qu'en se rendant difficile et caustique v.42 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On se met au dessous de ceux que l'on critique. v.43 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Outre que l'amour propre y fait mieux son profit, v.44 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Le rôle de Censeur a bien plus de ressource. v.45 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- La louange est si sèche, elle produit si peu ! v.46 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Mais la Critique abonde ; elle coule de source, v.47 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Anime le génie, et lui donne du jeu : v.48 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Le rend vif, pétillant, ironique, fertile ; v.49 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Lui fournit des bons mots qui, trottant parla Ville, v.50 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Font citer leur Auteur, et penser comme lui. v.51 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On ne brille jamais mieux qu'aux dépens d'autrui. v.52 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Cela pourrait bien être. v.53 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Ah ! Vous pouvez m'en croire ! v.53 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Ma foi, serviteur à la gloire ? v.54 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Sans être cependant aveugle admirateur, v.55 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Pour moi, j'embrasserais l'honnête homme d'auteur v.56 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Qui me régalerait d'un excellent Ouvrage, v.57 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Je lui donne du moins hautement, mon suffrage ; v.58 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- J'applaudis franchement sans en être fâché, v.59 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Sans regretter l'encens que je donne est échange : v.60 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Parbleu, c'est du plaisir que je paye en louange ; v.61 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Et je pense que c'est l'avoir à bon marché. v.62 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Je suis de votre avis... Mais qui vois-je paraître ? v.63 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- De grâce, dites-moi quel est ce nouvel être. v.64 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Et qui donc ? v.65 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Cet adolescent v.65 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Que l'on voit depuis peu, comme un astre naissant, v.66 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Commencer sa carrière, et parfumer le monde v.67 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- De l'ambre qu'il exhale, une lieue à la ronde, v.68 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Eh ! Le voici lui-même avec tout son éclat, v.69 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Qui soit de la coulisse, armé de sa lorgnette. v.70 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- La définition en sera bientôt faite. v.71 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Ce n'est qu'un jeune sot qui voudrait être un fat. v.72 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Ah ! Le voici qui nous regarde. v.73 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Il va nous aborder si nous n'y prenons garde. v.74 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Tâchons de l'éviter. v.75 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Où diable courez-vous ? v.75 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Nous allons nous placer. v.76 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Parbleu, vous êtes fous. v.76 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Pourquoi ? v.77 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Dans un moment vous ferez à votre aise. v.77 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Prétendez-vous rester ? v.78 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Si vous le trouvez bon. v.78 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Restez ; amusez-vous beaucoup. v.79 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Et pourquoi non ? v.79 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Vous ne savez donc pas ?.... v.80 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Que la pièce est mauvaise. v.80 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Fiez-vous à l'Affiche ! On va faire un beau bruit. v.81 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Qu'est-il donc arrivé ? Peut-on en être instruit ? v.82 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Point de pièce nouvelle : oui, vous dis-je, elle est nulle ; v.83 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- On ne la donne point. Rien n'est plus ridicule. v.84 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Mais le savez-vous bien ? v.85 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Attendez un moment. v.85 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Suivant toutes les apparences, v.86 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- L'Orateur de la troupe, après trois révérences, v.87 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Vous va faire un sot compliment ; v.88 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Et puis, du Bajazet, tant qu'il pourra s'étendre, v.89 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Que vous ferez priés très humblement d'entendre, v.90 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- À votre avis, le tour vous paraît-il galant ? v.91 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Du Bajazet ! Ma foi rien n'est plus régalant ! v.92 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Qu'en dites-vous ! Parlez, je veux voir la déroute. v.93 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ce que vous m'apprenez, m'étonne. v.94 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Et moi, j'en doute. v.94 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- J'ai vu dans les foyers les acteurs en turban, v.95 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Les actrices en Doliman. v.96 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Répliquez. Vous riez ? v.97 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Je n'ai point de réplique. v.97 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Peut-être les acteurs, en ce moment critique, v.98 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Un peu mieux avisés, ont craint un mauvais sort. v.99 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Mais n'importe ; la Troupe a tort, v.100 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Une pièce nouvelle est toujours assez bonne. v.101 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Les vieilles à présent n'amusent plus personne. v.102 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Et celle qu'on devait aujourd'hui nous donner, v.103 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Vous est-elle connue ? v.104 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- On m'en a fait l'histoire, v.104 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Eh bien ? v.105 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Je n'en ai pas surchargé ma mémoire. v.105 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ce que nous dit Monsieur, a de quoi m'étonner ; v.106 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Car l'auteur ne lit guère, autant qu'on n'a pu dire. v.107 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- J'avais pourtant promis de me la laisser lire. v.108 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- La Lecture devait s'en faire un certain jour, v.109 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- ( Lecture d'amitié s'entend ) J'en devais être. v.110 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Justement j'eus à faire un voyage à la Cour. v.111 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- On remit la partie. v.112 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ah, le sot petit-maître ! v.112 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Mais à votre retour on sut mieux ménager... v.113 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Les femmes, à leur tour, ne purent s'arranger, v.114 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Tenez, la pièce est malheureuse. v.115 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Cette fatalité, qui la poursuit ici, v.116 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- A fait qu'aucun projet ne nous a réussi. v.117 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- L'Auteur, je crois, m'en garde une rancune affreuses v.118 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Comment ? v.119 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- C'est qu'il comptait un peu sur mes avis. v.119 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ah ! Je n'y pensais pas. v.120 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Il les aurait suivis. v.120 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Peut-être ; mais du moins, il me l'a fait accroire. v.121 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Vous vous intéressez fortement à fa gloire ? v.122 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Oh ! Beaucoup. Il peut s'en flatter, v.123 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Vous le connaissez ? v.124 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Fort. v.124 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Oh ! Je vais éclater. v.124 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Il est de vos amis ? v.125 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- On ne peut davantage. v.125 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Cet aveu m'est bien cher ; je vous suis obligé. v.126 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- De quoi ? v.127 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- C'est que Monsieur est votre protégé. v.127 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Ah ! J'ignorais que j'eusse un si grand avantage. v.128 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Du jour qu'il vous plaira, nous n'aurons qu'à dater. v.129 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Soyez toujours pour moi, Monsieur, ce que vous êtes. v.130 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Oui, c'est-à-dire un sot. v.131 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Monsieur... v.131 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ce font des dettes. v.131 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Que ma reconnaissance aura soin d'acquitter. v.132 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Je connais tant d'auteurs, que j'ai crû vous connaître. v.133 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- D'ailleurs, je suis ravi... v.134 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Non ; c'est moi qui dois l'être. v.134 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Messieurs, je vous salue. v.135 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Adieu donc. v.135 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Serviteur. v.135 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- N'êtes-vous pas charmé de cette connaissance ? v.136 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Vous venez d'acquérir un nouveau protecteur. v.137 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- N'ai-je point trop blessé fa sotte suffisance ? v.138 (Prologue, scène 3, L'AUTEUR)
- Il peut être fâché ; mais non pas affligé. v.139 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Comptez qu'il est puni, sans être corrigé. v.140 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Mais Damis vient. Il a quelque chose à vous dire, v.141 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Tenez-vous bien. v.142 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Pourquoi ? v.142 (Prologue, scène 3, L'AUTEUR)
- Votre procès est fais. v.142 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Ne le voyez-vous pas à son air satisfait ! v.143 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Peut-on rire avec vous de ce qui vous fait rire ? v.144 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Je ris de la détresse et de l'épuisement v.145 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- De ceux qui sont chargés de notre amusement : v.146 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Oui nos faiseurs de Comédies v.147 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Vont-ils présentement chercher leurs rhapsodies ? v.148 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il est bien singulier que lés Auteurs du temps v.149 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ne puissent rien tirer de la source publique ! v.150 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et que, pour leur fournir une pièce comique, v.151 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il faille un autre monde, et d'autres habitants ! v.152 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ah ! Bientôt ils iront se pourvoir dans la Lune ; v.153 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Oui, les auteurs iront... v.154 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est La même rancune v.154 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Que vous gardez toujours contre ces pauvres gens ! v.155 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Point du tout ; je suis juste, et des plus indulgents . v.156 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et j'éclate, à regret, contre leur ignorance. v.157 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ne fournissons-nous plus à rire à nos dépens ? v.158 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Est-ce que le bon sens a fait fortune en France ? v.159 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et les Originaux y sont-ils moins fréquents ! v.160 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- À la Ville, à la Cour, l'espèce manque-t-elle ? v.161 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il me semble pourtant que la moisson est belle ; v.162 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et que, sans en taxer directement aucun, v.163 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il en est parmi nous, plus de cent, au lieu d'un, v.164 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Dont les Ministres de Thalie v.165 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Peuvent avec succès célébrer la folie. v.166 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Que n'êtes-vous auteur ? v.167 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Vous vous moquez de moi. v.167 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- J'en serais bien fâché. Mais à propos de quoi, v.168 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Où va cette tirade ? Elle est pourtant fort belle. v.169 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Parbleu, c'est à-propos de la pièce nouvelle. v.170 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- On vous l'a lue apparemment ? v.171 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Non : mais dans les Foyers une petite amie v.172 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- M'en a fait à l'instant toute l'anatomie. v.173 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est une actrice, ah bon ! Suivant son sentiment. v.174 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Cela ne vaut donc rien ? v.175 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- C'est assez son idée : v.175 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Mais ce n'est pas par où l'affaire est décidée ; v.176 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Car on peut appeler de ces jugements-là ; v.177 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- D'autant plus, que pour l'ordinaire v.178 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Une Actrice ne voit que le rôle qu'elle a. v.179 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- S'il n'a pas l'honneur de lui plaire, v.180 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Sur le reste, aussitôt, elle étend son arrêt. v.181 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et vous, sur son rapport, qu'est-ce qui vous déplaît ? v.182 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- D'abord lé titre est bon. v.183 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Oui, s'il tient fa promesse. v.183 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est ce qu'on ne voit point pour la plupart du temps ; v.184 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et je ne crois non plus au titre d'une pièce v.185 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Qu'aux affiches des charlatans. v.186 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Celle-ci, selon vous, ne peut qu'être mauvaise ? v.187 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Très mauvaise. v.188 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Voyons. v.188 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- C'est que, par parenthèse v.188 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- La fable en est absurde. v.189 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ah ! Ceci me confond. v.189 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Oui, bizarre, apocryphe, étrange, imaginaire. v.190 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Elle peut n'être pas dans la forme ordinaire. v.191 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Soyez sûr que la forme emportera le fond. v.192 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Voici d'abord sur quoi ma critique s'exerce. v.193 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Le lieu de la Scène est en Perse. v.194 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Les personnages sont des Français déguisés ; v.195 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ou, si vous l'aimez mieux, des Persans francisés ; v.196 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Dont l'habit et le nom, suivant toute apparence, v.197 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Feront entre eux et nous la seule différence : v.198 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Car l'auteur aura fait comme les autres font. v.199 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Sans doute il n'a pas pris la peine v.200 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- De nous représenter des Persans tels qu'ils sont. v.201 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ose-t-on aujourd'hui dépayser la scène ? v.202 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- L'auteur en connaît le danger. v.203 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Imputez-en la faute..... v.204 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- À qui donc ? v.204 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- À vous autres ; v.204 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Qui ne supportez rien qui vous soit étranger, v.205 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Et qui n'admettez plus d'autres moeurs que les vôtres ; v.206 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Eh ! Comment varier vos plaisirs en ces lieux ? v.207 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Renfermés dans la sphère où le sort vous fit naître, v.208 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous bornez la nature à votre façon d'être. v.209 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Tout ce qui n'est point vous, est absurde à vos yeux. v.210 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous ne reconnaissez aucune autre manière ; v.211 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- De parler, de penser, et même d'exister, v.212 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Que celle qui vous est propre et particulière. v.213 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Que faire ? L'on a beau réclamer, insister ; v.214 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous ne voulez plus voir, que vous, sur vos théâtres, v.215 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Ou de vos préjugés soyez moins idolâtres, v.216 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Ou souffrez, puisqu'on cherche à combler vos désirs, v.217 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Que l'uniformité règne dans vos plaisirs. v.218 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous êtes du métier, Monsieur, à vous entendre ? v.219 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et vraiment oui, pour mes péchers. v.220 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Je ne sais pas pourquoi vous vous le reprochez : v.221 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Mais aurez-vous aussi la bonté de défendre v.222 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Une autre absurdité ? v.223 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Voyons-la, j'y consens. v.223 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- L'Auteur a crû faire un chef-d'oeuvre, v.224 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- En mettant la Féerie en oeuvre. v.225 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est une nouveauté. v.226 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Qui n'a pas le bon sens. v.226 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Comment ! Du merveilleux et de l'imaginaire v.227 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Dans un tableau des moeurs, où tout doit être vrai. v.228 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Dans un portrait naïf de la vie ordinaire, v.229 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Dans une Comédie ; enfin ? v.230 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est un essai[.] v.230 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Qui tombera d'abord ; comptez sur ma parole. v.231 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il peut plaire... v.232 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Jamais. Le genre est trop frivole. v.232 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Mais on s'y prête ailleurs. v.233 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Oui, dans un conte bleu ; v.233 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ou sur le Théâtre_Lyrique : v.234 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- On veut bien souffrir là, que tout soin chimérique ;. v.235 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Mais à la Comédie, il n'en est pas ainsi. v.236 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- N'est-ce pas le plaisir que vous cherchez ici ? v.237 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Oui : mais on veut qu'il soit d'une certaine espèce. v.238 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Sitôt qu'il extravague, il nous choque, il nous blesse. v.239 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il a son caractère, il a son genre à part, v.240 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Prescrits dans tous les temps par les règles de l'Art. v.241 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Comment, vous prétendez lui donner des entraves, v.242 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Mais le connaissez-vous, le plaisir ? v.243 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Je crois qu'oui. v.243 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Vous y gagnerez plus en dépendant de lui. v.244 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Loin d'être ses tyrans, devenez ses esclaves. v.245 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Ennemi d'un joug rigoureux, v.246 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Si tôt qu'il n'est plus libre, il devient l'ennui même. v.247 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Renoncez au plaisir, ou changez de système. v.248 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Quand il cherche à vous rendre heureux, v.249 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Cessez de lui prescrire une triste formule. v.250 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Les moyens qu'il saisit sont toujours les meilleurs : v.251 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Quelque forme qu'il prenne, ici tout comme ailleurs, v.252 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Croyez que le plaisir n'est jamais ridicule. v.253 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Son nom le définit. Dès qu'il est, c'est assez. v.254 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Les règles n'y font rien. Il est au dessus d'elles. v.255 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Quant à nous, ne soyons jamais embarrassez v.256 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Que de le présenter sous des formes nouvelles, v.257 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- C'est à nous autres d'en trouver ; v.258 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- C'est à vous de les approuver. v.259 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Eh mais ! Il a raison : que diable ! Au bout du compte, v.260 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Nous ne devons ici proscrire que l'ennui. v.261 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- S'il est vrai, craignez donc la pièce d'aujourd'hui. v.262 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Elle peut réussir. v.263 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- L'épreuve en serait prompte. v.263 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Je me préviens pour elle. v.264 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Ah ! Je m'en réjouis. v.264 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Pour moi, je suis prévenu contre. v.265 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Êtes-vous toujours juste en pareille rencontre ? v.266 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Seriez-vous curieux de perdre cent_Louis ? v.267 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Gagez contre Monsieur. v.268 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Il en est bien le maître. v.268 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il ne risque déjà que trop. v.269 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Cela peut être. v.269 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Et combien mettrez-vous ? v.270 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Autant. v.270 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ah ! C'est trop peu. v.270 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Quand il s'agît du fort d'une pièce nouvelle, v.271 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- On a tant d'avantage à parier contre elle, v.272 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Qu'on ne peut mettre moins de dix contre un au jeu. v.273 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Pour qu'elle réussisse il saut presque un miracle. v.274 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Mais la toile se lève. v.275 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Adieu, Messieurs, adieu. v.275 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Je m'en vais me placer. v.276 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Vous vous troublez ? v.276 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Morbleu, v.276 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Son préjugé pourrait devenir un oracle. v.277 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Tu sors d'avec Nadine ; et cet objet charmant v.278 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- T'aura communiqué son aimable enjouement. v.279 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Car on prend volontiers l'humeur de ce qu'on aime ; v.280 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- N'est-il pas vrai, Zaleg. v.281 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Je ris d'un stratagème, v.281 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Dont je vais essayer le succès en ce jour. v.282 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Mais à quoi me sert-il d'être heureux en amour ? v.283 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Comment donc ? v.284 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Si la Fée eût eu la moindre envie v.284 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- De nous laisser revoir un jour notre Patrie, v.285 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Dès longtemps sa promesse aurait eu son effet. v.286 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Tu murmures ? v.287 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- J'ai tort ! v.287 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Sans doute. v.287 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Tout_à_fait ! v.287 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pour des êtres tels que nous sommes, v.288 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Il est fort amusant de vivre avec des Hommes ; v.289 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pour peu qu'on les connaisse, on en est bientôt las. v.290 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Notre exil eut d'abord pour moi quelques appas ; v.291 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et je regrettai moins le séjour des Génies. v.292 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- À tout prendre, il est vrai, que chez le genre humain, v.293 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- On peut rencontrer sous la main v.294 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Des Mortelles assez jolies ; v.295 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et que parmi l'espèce, il se trouve des coeurs, v.296 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Dont il nous serait doux de nous rendre vainqueurs v.297 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Mais ? Tout ce que l'on en peut dire, v.298 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Est que la Terre a ses plaisirs. v.299 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Hé comment pourraient-ils remplir tous nos désirs, v.300 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Puisqu'à ceux des Mortels ils ne peuvent suffire ? v.301 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Tu n'as donc plus d'espoir. v.302 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ma foi, je n'en ai plus. v.302 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et nous verrons finir notre métamorphose. v.303 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Tu sais la loi qu'on nous impose v.304 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Pour rentrer dans les droits dont nous sommes déchus. v.305 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Oui, sous cette figure assez hétéroclite v.306 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Je sais qu'il faut nous faire aimer v.307 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- D'un objet qui soit jeune, et digne de charmer : v.308 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- C'est la condition que l'on nous a prescrite : v.309 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nous avons satisfait à tout exactement. v.310 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Il faut croire que non. v.311 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Comment ? v.311 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- N'avons-nous pas rempli cette clause importune. v.312 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- J'en doute. v.313 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ah ! C'est à quoi je ne m'attendais pas. v.313 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Quelque part où le sort ait promené nos pas, v.314 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Quoi ! N'avons-nous pas fait vingt conquêtes pour une ? v.315 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Cependant nous voilà, tout comme au premier jour, v.316 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Habitants enchaînés dans ce maudit séjour : v.317 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et la clause a pourtant été bien accomplie. v.318 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pour obtenir notre retour, v.319 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Il fallait inspirer un véritable amour : v.320 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Cette condition n'a pas été remplie. v.321 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- En voici bien d'une autre ! Hé, qu'avons-nous donc fait ? v.322 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nous n'avons inspiré qu'un goût faible et volage, v.323 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et l'on n'a pris, pour nous, qu'un amour, de passage. v.324 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ma foi, je n'en crois rien : je suis sûr de mon fait, v.325 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- J'ai plu, je me suis fait aimer. v.326 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- En apparences. v.326 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et mais, on me l'a dit cent fois. v.327 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Vaine assurance. v.327 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Vous me poussez, à bout... Parbleu j'en suis charmé ; v.328 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Vous verrez qu'on peut être heureux sans être aimé. v.329 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Le véritable Amour n'est plus guère en usage. v.330 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Vous raffinez surtout... Pour moi, je suis plus sage. v.331 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nous ferions selon vous, pour jamais en exil, v.332 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Puisqu'on ne peut trouver de cet amour sincère ! v.333 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Mais où se tient-il donc ? C'est donc une chimère ! v.334 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et vous, Seigneur Azor, dites-moi, se peut-il v.335 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Qu'on n'ait point eu pour vous un amour véritable ? v.336 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ah ! Rien n'est plus indubitable, v.337 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Mais laissons le passé, songeons présentement... v.338 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Croyez que le présent n'ira pas autrement v.339 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et pourquoi donc ? Nadine, et l'aimable Zémire, v.340 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Sont capables d'aimer bien véritablement. v.341 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- On se flatte toujours de ce que l'on désire. v.342 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Aussi, que n'avez-vous aimé v.343 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Cette fée, à présent inflexible et cruelle, v.344 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Dont le coeur fut pour vous vainement enflammé ? v.345 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- C'est notre Souveraine. Elle était assez belle. v.346 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle ne nous eut pas envoyés ici-bas, v.347 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pour chercher un amour qui ne s'y trouve pas. v.348 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Car, sur quoi fondez-vous un espoir qui m'étonne ? v.349 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Si la fée eut voulu nous laisser nos attraits, v.350 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Passe encor : mais Seigneur, nous paraissons tout prêts v.351 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- D'entrer dans la saison qui précède l'automne. v.352 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Depuis que, sous ces traits, nous sommes déguisés, v.353 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ont-ils changé ? v.354 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Non : mais nos trésors épuisés.... v.354 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- En avons-nous besoin auprès de nos maîtresses ? v.355 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ce ne font, à leurs yeux, que de fausses richesses. v.356 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- L'amour le plus honnête en consomme toujours. v.357 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Il vous est défendu de dire qui vous êtes. v.358 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et vous ne pouvez faire entrer dans vos fleurettes v.359 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Tous ces mots consacrés aux plus tendres amours : v.360 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ceux d'aimer, d'adorer, de flamme, de tendresse, v.361 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ne vous sont pas permis. La défense est expresse. v.362 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Vous en êtes réduit aux soins officieux, v.363 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Aux assiduités, au langage des yeux, v.364 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Aux marques d'amitié. v.365 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Que faire ? v.365 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Quand on donne, on n'a pas besoin de commentaire. v.366 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et pour vous achever, vous avez un rival, v.367 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Qui ne s'en tiendra pas à l'amour pastoral. v.368 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ses grands airs, ses grands mots, son rang, son opulence, v.369 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Doivent emporter la balance, v.370 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Qu'avez-vous à pouvoir mettre en comparaison ? v.371 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- De l'esprit, du savoir, du sens, de la raison v.372 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et le reste ; Seigneur, tout, cela mis en somme v.373 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Fait tout juste en amour zéro, je le sais bien. v.374 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Mais Assan n'est qu'un fat. v.375 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et morbleu, n'est-ce rien ? v.375 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pour l'ordinaire, un fat supplante un honnête homme. v.376 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- C'est l'ordre. Attendez-vous à jouer de malheur. v.377 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ah ! Zémire, Zémire, aurais-je la douleur v.378 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- De vous voir devenir son heureuse conquête ? v.379 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Il a tout ce qu'il faut pour lui tourner la tête. v.380 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Zémire aura le sort que tant d'autres ont eu. v.381 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ne la compare point à tout ce que j'ai vu. v.382 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Toute comparaison serait injurieuse. v.383 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Je m'attendais à ce discours ; v.384 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Car, en fait de maîtresse, il arrive toujours v.385 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Qu'on croit que la dernière est la plus merveilleuse. v.386 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ah, quelle différence ! Et que j'ai de raisons v.387 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Pour excepter Zémire, et pour mieux juger d'elle ! v.388 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- À cet âge, où l'on croit qu'il suffit d'être belle, v.389 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Zémire croit avoir besoin de mes leçon v.390 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Que dis-je ? Elle en connaît le prix. v.391 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Loin de lasser sa complaisance, v.392 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Mes conseils sont reçus avec reconnaissance. v.393 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Les progrès que j'ai faits, ne m'ont pas moins surpris v.394 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Que le fonds de son coeur et de son caractère. v.395 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Non, Zaleg, les soins assidus v.396 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Que je prends tous les jours d'une élève si chère, v.397 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Pour Zémire et pour moi ne seront point perdus. v.398 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et ne voit-elle rien à travers ce mystère ? v.399 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Hélas ! Je n'en sais rien. Mais indépendamment v.400 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- De l'ordre rigoureux qui me force à me taire, v.401 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Je n'aurais pas voulu me conduire autrement. v.402 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Je crois que le plus sûr est de chercher à plaire, v.403 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- D'aimer, avant que d'être un amant déclaré. v.404 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Un aveu bien souvent ne devient téméraire v.405 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Que faute d'être préparé. v.406 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- C'est ainsi que mes soins, agréés par Zémire, v.407 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- La mènent pas_à_pas vers l'amoureux empire ; v.408 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Elle s'attache à moi, sans s'en apercevoir. v.409 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Elle s'accoutume à m'entendre ; v.410 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- La sincère amitié qu'elle me laisse voir, v.411 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Se changera bientôt en amour le plus tendre : v.412 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ce moment n'est pas loin ; il viendra ; je l'attends. v.413 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ce moment pourrait bien n'arriver de longtemps. v.414 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Supposez que Zémire, à qui vous pourriez plaire v.415 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ait, pour vous cet amour qui vous est nécessaire ; v.416 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- S'il demeure secret, il vous servira peu. v.417 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Il faut qu'elle en fasse l'aveu, v.418 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- De façon que la fée en soit bien convaincue : v.419 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Autrement, marché nul, et l'affaire est rompue. v.420 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Il faut qu'avec sincérité, v.421 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et sans aucune obscurité, v.422 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Zémire dise d'elle-même ; v.423 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- J'aime Azor ; c'est Azor que j'aime. v.424 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ce sont les mots prescrits. v.425 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Hélas ! Je le sais bien. v.425 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Tous les équivalents ne serviraient à rien. v.426 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Zémire les dira. v.427 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- La chimère est nouvelle ! v.427 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle ne les sait pas ; comment les dira-t-elle ! v.428 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Comment ? v.429 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Oui ; répondez à cette objection. v.429 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- La nature et l'amour les lui pourront apprendre. v.430 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ah Seigneur ! C'est fort bien le prendre. v.431 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- En admettant la supposition, v.432 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pourra-t-elle, avec vous, en faire aucun usage, v.433 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Que vous ne vous soyez déclaré son amant ; v.434 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Que vous n'ayez parlé, comme on parle en aimant ? v.435 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Préviendra-t-elle votre hommage ? v.436 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Quand vous en seriez adoré, v.437 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ira-t-elle au-devant d'un amour ignoré ? v.438 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Elle doit vous laisser venir, et vous attendre. v.439 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et vous vous attendrez tous deux. v.440 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ainsi le veut la Fée. v.441 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ah ! Je crois mieux l'entendre. v.441 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Je compte, en dépit d'elle, être bientôt heureux, v.442 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Sans craindre qu'elle s'en offense, v.443 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- J'ai trouvé le. secret d'éluder sa défense. v.444 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nadine va savoir, à n'en pouvoir douter, v.445 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Que je l'aime. v.446 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Tu sais ce qui peut t'en coûter. v.446 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ne craignez rien pour moi. J'ai chargé du message v.447 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Certains jeunes oiseaux dressés pour cet usage. v.448 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nadine, avant la fin du jour, v.449 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Aura bien entendu parler de mon amour. v.450 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Va donc, et réussis. v.451 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Je n'en suis pas en peine. v.451 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Adieu. v.452 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Voici l'heure à peu près : v.452 (Acte 1, scène 2, AZOR)
- Voyons dans la route prochaine v.453 (Acte 1, scène 2, AZOR)
- Si Zémire n'est point sous ces ombrages frais. v.454 (Acte 1, scène 2, AZOR)
- Ne ferions-nous pas mieux d'être avec nos compagnes v.455 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- À folâtrer ensemble au milieu des campagnes ? v.456 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ces prétendus plaisirs ne flattent plus mes sens. v.457 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- En trouvez-vous ici de plus intéressants ? v.458 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et peut-on préférer ces bois à nos prairies ? v.459 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je voudrais égayer un peu mes rêveries. v.460 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Pour moi j'irais plutôt au bord de nos ruisseaux : v.461 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On entend leur murmure ; on voit couler leurs eaux ; v.462 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Assise sur les fleurs qu'ils sont sans cesse éclore ; v.463 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On en cueille ; on s'en paie ; on s'embellit encore ; v.464 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On y respire un air délicieux, v.465 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qui donne à nos attraits une fraîcheur nouvelle : v.466 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Leur onde claire et pure est un miroir fidèle ; v.467 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On peut avec plaisir y promener ses yeux ; v.468 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Le Ciel s'y peint, et l'on s'y voit soi-même. v.469 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ces amusements-là ne sont plus ceux que j'aime. v.470 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Tu vois comme l'on change ! v.471 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Oui, sans savoir pourquoi. v.471 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ne réprouvai-je pas moi-même ? Expliquez-moi, v.472 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Pourquoi, de jour en jour, je deviens si joyeuse. v.473 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Souvenez-vous du temps, où vous disiez très bien v.474 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qu'une fille ennuyée est toujours ennuyeuse. v.475 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je l'étais ; ou plutôt je n'étais bonne à rien ; v.476 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Mais nous avons troqué d'humeur l'un avec l'autre ; v.477 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Vous avez pris la mienne ; et moi, j'ai pris la vôtre : v.478 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je crois, en bonne foi, vous devoir du retour. v.479 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Peut-être. v.480 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Ah ! Rien n'est plus visible, v.480 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Eh quoi ! Tous vos plaisirs s'envolent chaque jour. v.481 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- D'autres ont succédé. v.482 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Cela n'est pas possible ! v.482 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et quels sont ces plaisirs ? v.483 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ce sont ceux que le temps, v.483 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- L'âge, avec la raison, amènent chaque année. v.484 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Ah, ah, vous parlez d'âge ! À peine êtes-vous née. v.485 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Hé quoi donc ? Dans quatre ans n'aurai-je pas vingt_ans ? v.486 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Et mais, un jour viendra que nous en aurons trente. v.487 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- D'ici-là, c'est un siècle. On n'en voit pas la fin. v.488 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Cependant, profitons de la saison courante. v.489 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Dans les plaisirs du temps coulons notre destin. v.490 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Nous serons comme ont fait nos mères, nos parentes. v.491 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- D'ailleurs, chaque saison a des fleurs différentes ; v.492 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Chaque âge doit avoir ses plaisirs ; au surplus... v.493 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Tout me donne à rêver[.] v.494 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Et moi tout me dissipe. v.494 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je me forme l'esprit[.] v.495 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Et moi je m'émancipes. v.495 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- J'occupe mes loisirs. v.496 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Pour moi je n'en ai plus. v.496 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Tandis que je le puis, j'amasse, je rassemble v.497 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- De quoi me faire, un fond heureux et suffisant v.498 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Pour un temps à venir[.] v.499 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Vous perdez le présent v.499 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qui vaut tout l'avenir ensemble. v.500 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On ne rajeunit pas. v.501 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Hé qu'importe ! v.501 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Fort bien. v.501 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ah ! De grâce, finis ce fâcheux entretien. v.502 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Vous ne méritez pas ; d'être à l'âge où vous êtes, v.503 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ni même les saveurs que le ciel vous a faites. v.504 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Peut-on s'en soucier si peu ! v.505 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ce que parmi les fleurs est la rose nouvelle, v.506 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Vous l'êtes parmi nous ; et d'un commun aveu, v.507 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Nous vous cédons l'honneur d'en être la plus belle ; v.508 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Encor faut-il y prendre un peu de part. v.509 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Quelque riche qu'on soit des dons de la nature, v.510 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Il ne faut pas laisser que d'y joindre un peu d'art, v.511 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- La beauté même a besoin de parure. v.512 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Pardonnez ma franchise, et sachez votre état ; v.513 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Déjà cette langueur qui vous est étrangère, v.514 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- A fait sur vos appas une trace légère : v.515 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et l'ennui qui vous gagne altère votre éclat. v.516 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je suis donc bien changée. v.517 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Eh mais, un peu, vous dis-je ; v.517 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Si vous n'y mettez ordre... v.518 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Hélas ! v.518 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Vous soupirez ? v.518 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Il est vrai. v.519 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Qu'avez-vous ? Quel sujet vous afflige, v.519 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Zémire, est-ce là tout ce que vous me direz ? v.520 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Tu m'en demandes plus que je n'en sais encore. v.521 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Le mystère entre nous n'est pas trop de saison. v.522 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Puis-je expliquer ce que j'ignore ? v.523 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Hé quoi, vous prétendez que c'est à la raison v.524 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qu'il faut attribuer votre métamorphose ? v.525 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je l'ai cru. v.526 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais il faut qu'elle ait une autre cause. v.526 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Une autre cause ? v.527 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Assurément. v.527 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- C'était votre pensée ; et moi, voici la mienne. v.528 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Lorsque la raison vient (puisqu'il faut qu'elle vienne) v.529 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Peut-elle en_même_temps, et si différemment, v.530 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Changer, comme elle a fait, mon humeur et la vôtre ; v.531 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Égayer l'une, attrister l'autre ? v.532 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Elle doit opérer de la même façon. v.533 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Mais effectivement j'en ai quelque soupçon. v.534 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Avouez-moi d'où vient vôtre langueur extrême. v.535 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qu'est-ce donc qui se passe au-dedans de vous-même ? v.536 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Avec étonnement je regarde ces lieux. v.537 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Hélas ! Depuis un temps que suis-je devenue ? v.538 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Il semble que j'habite une terre inconnue : v.539 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Tout ce qui m'environne est étrange à mes yeux : v.540 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Je vois différemment ce qui s'offre à ma vue; v.541 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Mon âme est autrement émue. v.542 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Mes esprits et mes sens n'ont plus le même cours. v.543 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- J'y trouve un changement qui n'est que trop visible ; v.544 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Je me cherche en moi-même, et je m'y perds toujours. v.545 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Je n'ai plus rien de libre. Il ne m'est pas possible v.546 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- De démêler d'où vient le trouble de mon coeur. v.547 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- C'est en vain que je veux sortir de ma langueur : v.548 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Je m'y sens retenir par d'invincibles charmes. v.549 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Je m'exhale sans cesse en soupirs, en regrets : v.550 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Et sans savoir quels sont mes sentiments secrets, v.551 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Souvent je m'attendris jusqu'à verser des larmes. v.552 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Cependant, quel que soit l'état où tu me vois, v.553 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Il ne me déplaît sans autant que tu le crois. v.554 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Le meilleur serait, ce me semble, v.555 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- De chercher à sortir d'un état importun. v.556 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- C'est comme un sort : il y ressemble, v.557 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- À l'égard du remède, il doit s'en trouver un. v.558 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Que ne consultez-vous ?.... v.559 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qui donc ? v.559 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Azor. v.559 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je n'ose. v.559 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Vous, n'osez ? v.560 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Non, vraiment. v.560 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Et quelle en est la cause ? v.560 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Hélas ! C'est ce que jusqu'ici v.561 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Je n'ai pas encor éclairci. v.562 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Mais à propos de lui, vraiment, je me rappelle v.563 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Qu'il faut que je retourne au hameau promptement. v.564 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Attends-moi. Je reviens ici dans un moment. v.565 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- J'attendrai. v.566 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Sois toujours ma compagne fidèle. v.566 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Je t'ai confié ma douleur ; v.567 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Tu vois que j'ai bien du malheur : v.568 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- C'est un titre de plus pour m'aimer davantage. v.569 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Allez, je sais à quoi notre union m'engage : v.570 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Comptez de plus en plus sur ma tendre amitié. v.571 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ne t'en vas pas. v.572 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Hé non. v.572 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Elle me fait pitié. v.572 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Azor la perd. Depuis cette époque fatale, v.573 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Zémire chaque jour fond, change, et dépérit. v.574 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et voilà ce qu'on gagne à raisonner morale ; v.575 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et, qui pis est encore, à s'en remplir l'esprit ! v.576 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- J'ai toujours bien pensé qu'elle nous est mortelle. v.577 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- La fureur de savoir quelque chose de plus, v.578 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et de primer sur nous d'une façon nouvelle, v.579 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- De pouvoir abonder en discours superflus v.580 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- De parler, ou plutôt d'ennuyer comme un livre, v.581 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Entre Azor et Zémire a fait la liaison. v.582 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Si, par un coup du Ciel, elle ne s'en délivre, v.583 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- La pauvre malheureuse y perdra la raison. v.584 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Vous cherchez Zémire ? v.585 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Oui, Nadine, v.585 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Je la cherche. v.586 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Elle sort à l'instant de ces lieux. v.586 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Peut-être qu'elle a craint de paraître à vos yeux. v.587 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Pourquoi donc ? v.588 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Je me l'imagine. v.588 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle me voit toujours avec tant de bonté ! v.589 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Ne fait-on jamais rien contre sa volonté ? v.590 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Excusez ma franchise. v.591 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle est un peu cruelle. v.591 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Vous veniez reprendre avec elle v.592 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ces sublimes discours, ces propos merveilleux, v.593 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ces entretiens abstraits, que d'abord on admire, v.594 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Et qu'on ne tarde guère à trouver ennuyeux ? v.595 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Nos entretiens sont tels qu'il convient à Zémire. v.596 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Je ne sais pas comment elle a pu s'en coiffer. v.597 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ce n'est point notre fait que de philosopher. v.598 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Quoi qu'on dise en faveur du sexe dont nous sommes, v.599 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Les éloges sont faux, ou du moins trop flatteurs. v.600 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Le Ciel ne nous fit point pour être des docteurs : v.601 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- C'est un métier qu'il faut abandonner aux hommes, v.602 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Par forme, comme on dit, de dédommagement. v.603 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Chacun a son talent. L'art de plaire est le nôtre ; v.604 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Celui de raisonner, bien ou mal, est le vôtre. v.605 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ainsi tout s'est trouvé réparti sagement. v.606 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Zémire vient d'en faire une épreuve assez belle. v.607 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Avant que vous eussiez sur elle v.608 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Acquis un peu trop de pouvoir, v.609 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle avait tout l'esprit que nous devons avoir ; v.610 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle cherchait à plaire ; elle parait ses charmes ; v.611 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Et de l'ajustement y joignait le secours. v.612 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Sa beauté n'a besoin que de ses propres armes. v.613 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Chansons ! En se parant, on y gagne toujours. v.614 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- D'ailleurs, tout s'en suivait ; les plaisirs et les grâces v.615 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Semblaient voltiger sur ses traces. v.616 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ne les y voit-on plus ? v.617 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Non. v.617 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- C'est donc d'aujourd'hui ? v.617 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- La date n'y fait rien. Elle se meurt d'ennui. v.618 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je n'en sais pas la moindre chose. v.619 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- C'est que l'on ne sait pas tous les maux que l'on cause. v.620 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je la vois tous les jours. v.621 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Mais je la vois aussi. v.621 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle ne semble pas avoir aucun souci. v.622 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Sa tristesse paraît assez sur son visage ; v.623 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Et je ne comprends pas que l'on dispute un fait. v.624 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- De l'amour que j'inspire est-ce un heureux présage ? v.625 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Aurais-je le bonheur de causer cet effet ? v.626 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Ou bien serait-ce Assan, pour qui Zémire !... v.627 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Mais quelle vision ! Que venez-vous me dire ? v.628 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Votre amie a précisément v.629 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Cette douce gaieté, cet aimable enjouement, v.630 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Qui, sans aller jamais jusques à la folie... v.631 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- S'éloigne également de la mélancolie. v.632 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Eh ! C'est qu'apparemment je ne m'y connais point. v.633 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je ne puis vous passer ce point. v.634 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Elle, de la tristesse ; elle n'en a pas l'ombre. v.635 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Elle est si bien en proie au chagrin le plus sombre v.636 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Que même sa beauté s'en ressent. v.637 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ah, grands Dieux ! v.637 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Jamais un feu plus vif n'a brillé dans ses yeux : v.638 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Les beaux jours du printemps ne font pas plus beaux qu'elle : v.639 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- À chaque instant quelque grâce nouvelle v.640 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Vient, d'un nouvel éclat, embellir ses appas. v.641 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Il faut donc qu'avec vous elle se contrefasse; v.642 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Nadine, la beauté ne se contrefait pas. v.643 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Je voudrais qu'elle vînt pour vous confondre en face : v.644 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je l'attends ici justement. v.645 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je conviens avec vous que son ajustement v.646 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- N'emprunte point de l'art la folle bigarrure ; v.647 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Que la simplicité fait toute sa parure. v.648 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Nadine je ne puis la blâmer en cela. v.649 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Vous avez raison. v.650 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Me voilà. v.650 (Acte 1, scène 6, ZÉMIRE)
- Quelle parure ! Ah Ciel ! v.651 (Acte 1, scène 6, AZOR)
- Quelle joie éclatante ! v.651 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Zémire cherche à plaire, et ce n'est pas à moi. v.652 (Acte 1, scène 6, AZOR)
- J'ai suivi tes avis. v.653 (Acte 1, scène 6, AZOR)
- Je devine pourquoi. v.653 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Vous me paraissez bien contente ! v.654 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Pour contente, à présent je la suis. v.655 (Acte 1, scène 6, ZÉMIRE)
- Un moment. v.655 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Apporté bien du changement. v.656 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Ah ! Nadine, un moment, laissez-nous, je vous prie. v.657 (Acte 1, scène 6, AZOR)
- Volontiers : aussi bien le sérieux m'ennuie. v.658 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Azor !... v.659 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Zémire !... v.659 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Hé mais.... v.659 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Hé bien ? v.659 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Vous paraissez v.659 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Rêveur ? v.660 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Je le deviens. v.660 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Pourquoi donc ? v.660 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Je ne sais. v.660 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Par quelle aventure imprévue v.661 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Aurais-je le malheur de blesser votre vue ? v.662 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Votre éclat m'éblouit. v.663 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Quel est ce sombre accueil ? v.663 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Azor ne daigne pas m'honorer d'un coup d'oeil ! v.664 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Ah ! Vous embellissez ce qui pare les autres. v.665 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Des compliments si vains ne peuvent me flatter. v.666 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Vous vous les attirez. v.667 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Daignez mieux me traiter ; v.667 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Azor, au nom des Dieux, quels chagrins sont les vôtres ? v.668 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Que me demandez-vous ? v.669 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- D'en être de moitié. v.669 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Je suis trop malheureux. v.670 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Mes instances sont vaines ! v.670 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Si vous ne voulez pas que j'entre dans vos peines, v.671 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Quand voulez-vous jouir de ma tendre amitié ? v.672 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Elle peut, au défaut de mon expérience, v.673 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Du moins, de vos malheurs, adoucir la rigueur. v.674 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Mais vous, qui me pressez de vous ouvrir mon coeur, v.675 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Avez-vous bien en moi la même confiance ? v.676 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Depuis qu'auprès de vous je me suis attaché, v.677 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Voyons, n'avez-vous rien que vous m'ayez caché ? v.678 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- La confiance exige, et veut du réciproque. v.679 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Ce doux épanchement doit être mutuel. v.680 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Hé quoi donc ? Vous gardez un silence équivoque ? v.681 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Nadine aura tout dit. v.682 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Ah, quel moment cruel ! v.682 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Le trouble et la rougeur vous servent d'interprète. v.683 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Azor, ne croyez pas une amie indiscrète. v.684 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Ce reproche ingénu n'est pas un désaveu. v.685 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Zémire... v.686 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Qu'ai-je dit ?. v.686 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Remettez-vous un peu. v.686 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Concertez mieux votre réponse. v.687 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Qu'entends-je ? C'est Assan ! Ce grand bruit nous l'annonce. v.688 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Vous l'attendiez, sans doute ! Il tourne ici ses pas, v.689 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Et viens, fort à propos, vous tirer d'embarras. v.690 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Je ferai beaucoup mieux de lui céder la place. v.691 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Observons-les des yeux. v.692 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Je rejoindrai la chasse. v.692 (Acte 1, scène 8, ASSAN)
- Sous ces traits empruntés, continuons toujours v.693 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- À me venger d'Azor, en troublant ses amours ; v.694 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- L'ingrat n'a pu m'aimer, empêchons qu'on ne l'aime. v.695 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ah ! Zémire, c'est vous ! Mon bonheur est extrême. v.696 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Je m'échappe en secret pour venir honorer v.697 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- L'objet le plus charmant que le Ciel ait fait naître. v.698 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Dans son plus bel ouvrage, Assan vient t'adorer. v.699 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Zémire, à ce portrait, devrait se reconnaître. v.700 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Qui, moi ? v.701 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Vous seule y ressemblez. v.701 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ramenez vos regards errants dans ces retraites. v.702 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ne cherchez point ailleurs ce qui n'est qu'où vous êtes. v.703 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- L'amour et la beauté sont ici rassemblés ; v.704 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Assan vient, à vos pieds, déposer son hommage. v.705 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Vous ne me dites rien ? v.706 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Vous parlez un langage. v.706 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Qui ne s'est pas encore introduit dans ces lieux. v.707 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- C'est celui qu'il convient de parler à Zémire ; v.708 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Et je n'exprime rien que ce qu'elle m'inspire. v.709 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Si je vous inspirais, je vous entendrais mieux. v.710 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Zémire, se peut-il que rien ne vous éclaire ? v.711 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Quoi ! Vous ne voyez pas que je cherche à vous plaire, v.712 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Que je vous aime enfin ? v.713 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Vous m'aimez ! Et pourquoi ! v.713 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- À peine avez-vous fait connaissance avec moi. v.714 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Vous avez triomphé dès la première vue, v.715 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Mon coeur fut pénétré d'une atteinte imprévue, v.716 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Quand j'ai voulu combattre, il n'en était plus temps. v.717 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Plus vous vous expliquez, et moins je vous entends. v.718 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Ces grands mots de combat, de triomphe, d'atteinte, v.719 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- M'embarrassent l'esprit. v.720 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- En quoi ? v.720 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Il semblerait que c'est par forcé et par contrainte v.721 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Que vous avez conçu de l'amitié pour moi. v.722 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Vous parlez d'amitié, lorsque je vous adore ! v.723 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ce que vous m'inspirez porte un nom plus charmant. v.724 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Et quel est-il ? v.725 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- L'amour, dont le feu me dévore. v.725 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Dites-moi, cet amour est donc un sentiment. v.726 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Ah Ciel, si c'en est un ! v.727 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Voilà ce que j'ignore. v.727 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Plus doux que l'amitié ? v.728 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Mille fois plus-encore. v.728 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- De tous les sentiments, l'amour est le plus doux. v.729 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Tel qu'il est dans mon coeur, il les renferme tous. v.730 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Il peut avoir raison. v.731 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Le rapport est fidèle. v.731 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Puissiez-vous en juger par vous-même en ce jour ! v.732 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- La plus vive amitié n'en est qu'une étincelle : v.733 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ou plutôt elle n'est que l'ombre de l'Amour. v.734 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Jamais rien d'approchant n'a frappé mes oreilles : v.735 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- J'en ignorais jusques au nom... v.736 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Pourriez-vous m'expliquer de si grandes merveilles ? v.737 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Quand on a de l'amour, à quoi le connaît-on ? v.738 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- À tout ce que je sens, quand le sort nous rassemble. v.739 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Et que ressentez-vous ? v.740 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Tous les plaisirs ensemble. v.740 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Voilà l'effet qu'Azor produit sur tous mens sens. v.741 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Puis-je vous exprimer tout ce que je ressens, v.742 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- L'effet que font sur moi vos armes invincibles ? v.743 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne définit bien l'amour qu'aux coeurs sensibles. v.744 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ce qu'on ne ressent point ne s'imagine pas. v.745 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Fort bien. v.746 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- M'entendez-vous ? v.746 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Je vous suis pas_à_pas. v.746 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Et quand vous me quittez ? v.747 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Quelle horreur m'environne ! v.747 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Oui, Zémire, aussitôt mon bonheur m'abandonne ; v.748 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Les chagrins, les soucis m'attendent au retour ; v.749 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Partout ailleurs, qu'au fond de cet heureux séjour, v.750 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Aucun amusement n'est plus à mon usage : v.751 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Je ne sais quelle affreuse et mortelle langueur v.752 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Répand autour de moi le plus sombre nuage. v.753 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Il semble, mot-à-mot, lire au fond de mon coeur. v.754 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Aurais-je de l'amour ? Achevons de m'instruire. v.755 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Je devine, à peu près, ce que vous m'enseignez. v.756 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- J'imagine l'état que vous me dépeignez : v.757 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Mais quel but à l'amour ? À quoi peut-il conduire ? v.758 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Au bonheur le plus grand, quand il est mutuel. v.759 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Et quand il ne l'est pas ? v.760 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Ah ! Rien n'est plus cruel. v.760 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Comment faut-il qu'il soit pour être réciproque ? v.761 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- On ne peut s'y tromper ; rien n'est moins équivoque. v.762 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Pour être l'un à l'autre, il semble qu'on soit né ; v.763 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Chacun, vers l'objet de sa flamme, v.764 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Par un penchant égal, est sans cesse entraîné ; v.765 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne fait plus qu'un coeur, qu'un esprit et qu'une âme ; v.766 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne pense, on n'agit, on n'existe en effet v.767 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Qu'autant que l'on s'adore ; on devient ce qu'on aime. v.768 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ce que vous m'apprenez est le bonheur suprême. v.769 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Ah ! De tous les états, voilà le plus parfait. v.770 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Ce n'est pas assez de me croire : v.771 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Pour en être plus sûre, agréez la victoire v.772 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Qui me met en votre pouvoir. v.773 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- C'en est assez ; j'ai su ce que je veux savoir. v.774 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Non, Zémire, il vous reste encore v.775 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- À goûter le plaisir d'aimer à votre tour. v.776 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Que savez-vous si je l'ignore ? v.777 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Que cet aveu m'est cher ! Oh, trop heureux retour ! v.778 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Zémire, l'on peut donc vous aimer et vous plaire ? v.779 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ce transport n'est pas nécessaire. v.780 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Je connais le prix d'un don si précieux. v.781 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Zémire, aimez autant que vous êtes aimée ; v.782 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Et soyez, à jamais, ma fortune, mes dieux... v.783 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Qu'est devenu l'objet dont mon âme est charmée ? v.784 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- C'est toi qui l'as fait fuir, rival trop indiscret ! v.785 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Reste ; et dévore ici ta honte et ton regret. v.786 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Ce qu'il me fait entendre, a de quoi me confondre ; v.787 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Il n'est donc plus de coeur dont on puisse répondre ? v.788 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- D'où vient qu'à mon aspect Zémire a disparu ? v.789 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Elle a fui dès qu'elle m'a vu. v.790 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Serait-ce par égard pour moi-même, où pour elle ? v.791 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Que veut dire un coup_d_oeil confus, embarrassé, v.792 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Qu'elle semble m'avoir tendrement adressé ? v.793 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- La victoire d'Assan peut n'être pas réelle. v.794 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- N'en croyons que Zémire. On peut lire aisément v.795 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Dans le coeur ingénu de cet objet charmant. v.796 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Je pourrais avoir pris une alarme trop forte... v.797 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Je cherche à m'abuser, je le sens ; mais n'importe ; v.798 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Saisissons une erreur qui flatte mes désirs : v.799 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- On n'en refuse point de la main des plaisirs. v.800 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- L'Amour m'a fait trouver un heureux stratagème v.801 (Acte 2, scène 1, ZALEG)
- Nadine doit savoir à présent que je l'aime. v.802 (Acte 2, scène 1, ZALEG)
- On n'avait jamais pris de pareils truchements. v.803 (Acte 2, scène 1, ZALEG)
- Mais il suffit d'aimer ; et tout sert aux amants. v.804 (Acte 2, scène 1, ZALEG)
- Reprenez vos oiseaux. v.805 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Pourquoi donc ? v.805 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Quel dommage ! v.805 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Vous leur avez gâté leurs chants harmonieux, v.806 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- En y substituant un refrain ennuyeux. v.807 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Je ne puis soutenir cet étrange ramage. v.808 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Que vous, disent-ils donc de si fâcheux. v.809 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Comment ? v.809 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Du matin jusqu'au soir s'entendre incessamment v.810 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Répéter, fredonner, ramager à l'oreille ; v.811 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Zaleg aime Nadine ! Est-il gêne, pareille ? v.812 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Que ne leur laissiez-vous les sons mélodieux v.813 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Dont ils font retentir nos forêts etc nos plaines. v.814 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Ils vous parlent de vous. v.815 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- J'aimerais cent fois mieux v.815 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Les entendre chanter leurs plaisirs que vos peines. v.816 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- On peut varier ce refrain. v.817 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Qui vous paraît trop uniforme. v.818 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Pour lui donner une autre forme, v.819 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Vous avez un moyen certain.. v.820 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- En transposant les noms.... v.821 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- J'ai peine à vous entendre. v.821 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Et mais, vous pourriez leur apprendre v.822 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- À mettre votre nom à la place du mien. v.823 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Cela dirait : Nadine aime Zaleg. v.824 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Fort bien. v.824 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Alors ils chanteraient mes plaisirs et les vôtres. v.825 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Je ne veux pas qu'ils soient dans la bouche des autres. v.826 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Bon voyage aux oiseaux : en faveur de leurs chants, v.827 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Ils vont tous, de ma grâce, avoir la clef des champs. v.828 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Soit. Ils iront dans ces retraites. v.829 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Continuer leurs chants nouveaux ; v.830 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Et bientôt les autres oiseaux v.831 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Seront aussi mes interprètes. v.832 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Ils auront des petits qui les imiteront. v.833 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Les uns, de proche en proche, iront dans les campagnes, v.834 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Dans les forêts, sur les montagnes, v.835 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Les apprendre aux échos qui les répéteront ; v.836 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- D'autres, accoutumés à de plus grands voyages, v.837 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Traverseront les vastes mers, v.838 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Et porteront au bout de l'univers v.839 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- La nouveauté de leurs ramages ; v.840 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Et par-là, nos deux noms réunis désormais, v.841 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Seront connus partout, et ne mourront jamais. v.842 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Non ; un pareil honneur n'est pas ce qui m'anime, v.843 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Plus nous faisons de bruit, et moins on nous estime. v.844 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Ainsi je garderai vos petits indiscrets, v.845 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Afin qu'ils n'aillent pas répandre nos secrets. v.846 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Ah ! Nadine, achevez de me rendre la vie, NADINE.. v.847 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Avec Zémire ici je suis en rendez-vous. v.848 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Je la vois ; elle vient. Laissez-nous, je vous prie ; v.849 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Elle n'a pas besoin d'un témoin tel que vous. v.850 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Nadine, excuse-moi, si je t'ai fait attendre. v.851 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Quand j'attends, je m'amuse au lieu de m'ennuyer. v.852 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Eh bien, Azor, Assan, n'ont pu vous égayer ? v.853 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Je ne sais plus auquel entendre. v.854 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Eh ! De leur tyrannie il faut vous affranchir. v.855 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Ah, Nadine ! v.856 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Quoi donc ? v.856 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- J'ai bien à réfléchir. v.856 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Sur quel sujet ? v.857 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Sur tout ce que je viens d'apprendre. v.857 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Assan, qui me déplaît, que je ne puis souffrir, v.858 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Vient pourtant de me découvrir v.859 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Des choses qui vont te surprendre, v.860 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Dont il semble qu'Azor ait craint de me parler, v.861 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et qu'au fond de mon coeur j'ai peine à démêler. v.862 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Voyons. v.863 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- C'est une découverte v.863 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Qui pourra bien causer ma perte. v.864 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Que vous a-t-il appris ? v.865 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Le secret de mon coeur. v.865 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Comment ? v.866 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Oui, la cause cachée v.866 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- De cette mortelle langueur v.867 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Que tu m'as, tant de fois, vainement reprochée. v.868 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- La découverte est bonne ; elle doit vous charmer. v.869 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Nous croyons nous aimer autant qu'on peut aimer ? v.870 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- L'amitié nous unit : rien n'égale la nôtre, v.871 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Eh bien dans la nature, il est un sentiment v.872 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Cent sois plus doux, plus vif, plus tendre, et plus charmant, v.873 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Que toute l'amitié qu'il nous joint l'une à l'autre. v.874 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et ce sentiment-là, comment l'appelez vous ? v.875 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Il le nomme l'amour. v.876 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Eh bien, s'il est si doux, v.876 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Soit ; ayons de l'amour, Zémire, il en faut prendre. v.877 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- J'ai bien peur d'en avoir. On vient de me l'apprendre. v.878 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Comment vous craignez d'en avoir ? v.879 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Oui, ma chère Nadine. v.880 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Et ne peut-on savoir v.880 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Pourquoi, loin d'en être enchantée v.881 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Zémire me paraît en être épouvantée ? v.882 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Ne m'avez-vous pas dit qu'il n'est rien de plus doux ? v.883 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Oui : mais il n'est charmant qu'autant qu'on en inspire v.884 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- S'il n'est pas mutuel, c'est un cruel martyre. v.885 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Mais, vraiment, il sera mutuel entre nous. v.886 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Si c'est là le moyen de s'aimer davantage, v.887 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Zémire, vous n'avez qu'à m'en communiquer. v.888 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Nous ne pouvons ensemble en faire aucun partage. v.889 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Cet amour.... je ne sais comment te l'expliquer... v.890 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ah, que j'y suis embarrassée ! v.891 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je ne puis deviner. v.892 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Non, j'ai dans la pensée v.892 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Qu'il faut que tout me reste, ou qu'un autre que toi, v.893 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Que je n'ose nommer, le partage avec moi. v.894 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Par exemple, Assan m'aime ; il me l'a fait connaître : v.895 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il a pour moi de cet amour : v.896 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il sera malheureux autant qu'on puisse l'être ; v.897 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il n'obtiendra de moi jamais aucun retour. v.898 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- L'énigme est un peu moins obscure; v.899 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Mais voyons, contez-moi cette étrange aventure. v.900 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Cet Assan, dites-vous, a pour vous de l'amour, v.901 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Et faute d'un certain retour, v.902 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Sa situation deviendra bien affreuse ? v.903 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Je serai dans le même cas. v.904 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Et ne pourriez-vous l'être un peu moins malheureuse ? v.905 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Non ; puisque apparemment Azor ne m'aime pas, v.906 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- J'ai mes raisons aussi pour chercher à m'instruire. v.907 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Mais à quoi voyez-vous qu'Azor n'a point d'amour ? v.908 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Quel effet dans son coeur aurait-il dû produire ? v.909 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Tous les transports qu'Assan m'a fait voir en ce jour. v.910 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Il vient de me jurer qu'il m'aime, qu'il m'adore ; v.911 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Qu'ils a pris dans mes yeux un feu qui le dévore : v.912 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- En termes plus flatteurs, plus doux, et plus charmants, v.913 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- On ne peut jamais rendre un si sensible hommage, v.914 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- L'encens qu'on offre aux Dieux ne vaut pas ce langage : v.915 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Hélas ! c'est celui des amants. v.916 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Dans la bouche d'Azor qu'il aurait eu de charmes ! v.917 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et qu'il m'épargnerait de soupirs et de larmes ! v.918 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il s'en serait servi, s'il avait de l'amour : v.919 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et peut-on en parler un autre à ce qu'on aime ? v.920 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je ne me souviens pas qu'Azor, jusqu'à ce jour, v.921 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- M'ait jamais fait jouir de la douceur extrême v.922 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- De lui voir éprouver ces transports enchanteurs : v.923 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Jamais, en me parlant, il ne m'a fait entendre v.924 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ni ces expressions, ni ces termes flatteurs, v.925 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- "Dont je crois que l'usage est si doux et si tendre. v.926 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Les aurais-je oubliés, s'il les eût employés ! v.927 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Azor n'a point d'amour. v.928 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Mais dites-moi, Zémire, v.928 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Supposé que vous en ayez, v.929 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Est-il sûr que ce soit pour Azor ? v.930 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Je t'admire ! v.930 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Et quel autre que lui pourrait m'en inspirer ? v.931 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Sur ce qu'Assan m'a dit, je me suis reconnue. v.932 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Le détail qu'il m'a fait a dessillé ma vue : v.933 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ce n'est que loin d'Azor qu'on me voit soupirer ; v.934 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Son absence, m'accable, et me devient mortelle : v.935 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il semble que ce soit une éclipse cruelle. v.936 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Mais sitôt que je le revois, v.937 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ma situation change, elle n'est plus la même. v.938 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il ranime mes yeux, mon esprit, et ma voix. v.939 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je me retrouve alors dans un état que j'aime. v.940 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Qu'il est doux ! Ah ! Nadine, en effet, je jouis v.941 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Du bonheur que je crois le plus grand de la vie. v.942 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Dans ces moments, toujours trop tôt évanouis, v.943 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- L'avenir, le passé, tout se perd et s'oublie. v.944 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Mes chagrins sont si bien détruits ou suspendus, v.945 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Qu'il ne me souvient pas d'en avoir jamais eus. v.946 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je m'instruis fort bien avec elle. v.947 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Ah ! Comme vous vous animez ! v.948 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Vous avez deviné, c'est lui que vous aimez. v.949 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Oui : mais j'aimerais seule. v.950 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Il vous fuit avec zèle ; v.950 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Il vous donne des soins ; il vous préfère à nous. v.951 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- D'accord. v.952 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Il ne se plaît seulement qu'avec vous. v.952 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Il n'entre point d'amour dans toute sa tendresse. v.953 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Ce n'est que l'amitié qui pour moi l'intéresse. v.954 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Tous ses soins les plus doux peuvent s'y rapporter, v.955 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il ne me trouve pas digne d'un autre hommage. v.956 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je manque apparemment d'attraits, d'esprit ou d'âge. v.957 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Je ne puis plus me supporter. v.958 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Tout bien considéré, je crois que Zaleg m'aime ? v.959 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Que ne me l'a-t-il dit ? D'où viennent ces égards. v.960 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Qu'est-ce que tu dis-là 3 v.961 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Je compte avec moi-même. v.961 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Cependant, quand je songe à ces tendres regards v.962 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Qu'il attachait sur moi !... Me serais-je trompée ? v.963 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Les miens plus d'une fois ont fait baisser les siens : v.964 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- J'en ai souvent été frappée. v.965 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- J'ai surpris des soupirs tout semblables aux miens. v.966 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Tant mieux. v.967 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- J'ai crû lui voir du trouble, des alarmes, v.967 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Et quelquefois les yeux prêts à verser des larmes v.968 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et tout_à_l_heure ; encore. v.969 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il peut-être enflammé. v.969 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Mais sa bouche jamais ne m'a rien confirmé. v.970 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Eh ! Ne gardez-vous pas avec lui le silence ? v.971 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Le sien peut-il se colorer ? v.972 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Nadine, ah, quelle différence ! v.973 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Supposé qu'Azor m'aime, il ne peut l'ignorer... v.974 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il me vient une idée. Oserais-je la croire ? v.975 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Est-il honteux d'aimer ? Faut-il garder son coeur ? v.976 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et serait-ce blesser son honneur et fa gloire v.977 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Que de reconnaître un vainqueur ? v.978 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ah ! S'il faut que l'amour ne soit qu'une faiblesse, v.979 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Voilà ce que j'ignore. v.980 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il n'est pas naturel... v.980 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Cette idée en effet me révolté et me blesse, v.981 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Elle n'a donc rien de réel. v.982 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Vous vous fabriquez-là des terreurs insensées v.983 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Qu'il faut combattre, au lieu de s'en laisser saisir ? v.984 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Dans la confusion de vos tristes pensées v.985 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Votre esprit se travaille, et se perd à plaisir. v.986 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- J'en pourrais comme vous avoir en affluence. v.987 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Par bonheur je n'ai plus l'esprit de m'attrister. v.988 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Qu'entends-je ? v.989 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Quelle douce et paisible influence v.989 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Vient assoupir mes sens ? Je n'y puis résister. v.990 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Sur mes yeux accablés le sommeil va descendre : v.991 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- C'en est fait ; il triomphe, et me force à me rendre. v.992 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ce n'est rien. Je croyais que l'on venait ici. v.993 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Mais, Zémire, espérez. Zaleg qui m'aime aussi, v.994 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- M'en avait, jusqu'ici, toujours fait un mystère. v.995 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Ce n'est que d'aujourd'hui que, lassé de se taire, v.996 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Il m'a fait savoir son amour. v.997 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Me diriez-vous pourquoi l'ingénieux détour v.998 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Dont Zaleg s'est servi, ne m'a pas moins charmée, v.999 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Que le plaisir d'en être aimée ? v.1000 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Je vais vous le conter.... Mais je parle aux échos ! v.1001 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Ah, ah ! Je vous endors ? Hé bien, à la pareille. v.1002 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Mais, ne nous fâchons pas de ce qu'elle sommeille ; v.1003 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- La pauvre infortunée a besoin de repos. v.1004 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Le charme a réussi, Zémire est endormie. v.1005 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Sommeil je t'ai livré ma mortelle ennemie : v.1006 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Daigne m'aider, redouble tes pavots. v.1007 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Tandis qu'elle jouit des douceurs du repos, v.1008 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Employons les moyens qui rendent tout possible ; v.1009 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Déployons à ses yeux, prodiguons, répandons v.1010 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Les biens les plus parfaits, les plus précieux dons : v.1011 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Zémire comme une autre y doit être sensible. v.1012 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Qu'elle en trouve, en se réveillant, v.1013 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- L'assemblage le plus brillant : v.1014 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Cette richesse imaginaire v.1015 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Ne peut manquer d'avoir son succès ordinaire. v.1016 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Mais, si le piège que je tends v.1017 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Ne produit pas l'effet que j'en attends ; v.1018 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Quelle sera ma honte et ma douleur extrême ! v.1019 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Dans un songe enchanteur faisons que mon ingrat v.1020 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Apparaisse à Zémire avec tout son éclat. v.1021 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Opposons Azor à lui-même. v.1022 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Puisse-t-elle, à mon gré, lui plaire, l'enflammer, v.1023 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Et perdre son bonheur en se faisant aimer... v.1024 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Je dois tout espérer de ce double artifice.... v.1025 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Que m'importe, pourvu qu'un des deux réussisse 3 v.1026 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Azor n'en aura pas un destin moins fatal. v.1027 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Amour conduis mes pas... Quoi, toujours mou rival : v.1028 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Il semble qu'en tous lieux son ombre m'accompagne ! v.1029 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- C'est ici que Nadine a laissé fa compagne : v.1030 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Elle y doit reposer loin du jour et du bruit. v.1031 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Avançons, et cherchons cette aimable mortelle. v.1032 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Je ne vais qu'en tremblant où mon coeur me conduit; v.1033 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- La voici.... Mais, ô Ciel ! Que vois-je à côté d'elle ! v.1034 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Les dons de mon rival ont prévenu les miens. v.1035 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Quelle profusion ! Je l'avais bien prévue. v.1036 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Zémire, en s'éveillant, y portera la vue. v.1037 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Mes yeux font éblouis ! Que deviendront les siens ? v.1038 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Et moi, pour soutenir un combat si funeste, v.1039 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Voilà ce que j'oppose, et quel est mon pouvoir. v.1040 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Cette faible ressource est tout ce qui nie reste. v.1041 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Si le plus tendre amour ne la fait pas valoir, v.1042 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Que vais-je devenir ?... Zémire, On vous outrage. v.1043 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Ce tribut offensant doit blesser votre honneur ; v.1044 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Et vous devez sentir que cet indigne hommage v.1045 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Vient moins d'un tendre Amant que d'un vil suborneur, v.1046 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Déposons à ses pieds une offrande plus pure. v.1047 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Puisse-t-elle.trouver quelque grâce à ses yeux ! v.1048 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Ah ! Du moins je la tiens des mains de la nature. v.1049 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Ce que j'offre à Zémire, est ce qu'on offre aux Dieux. v.1050 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Qui suis-je ? Est-il bien sûr que ce ne soit qu'un songe, v.1051 (Acte 2, scène 6, ZÉMIRE)
- N'ai-je point en effet disposé de ma foi ? v.1052 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Rassurons-nous ; ce n'est heureusement pour moi v.1053 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Qu'une de ces erreurs où le sommeil nous plonge. v.1054 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Tâchons d'en effacer la triste impression... v.1055 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Serait-ce une autre illusion ? v.1056 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Suis-je encore endormie ? Ah Ciel ! Est-il possible ? v.1057 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Est-ce à moi qu'on en veut ! La frayeur me saisit, v.1058 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Tandis que je dormais, quelle main invisible v.1059 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Amis auprès de moi ?... Mais lisons cet écrit. v.1060 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Zémire... c'est ainsi qu'Assan prouve qu'il aime. v.1061 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Mon coeur ne se sent point flatter v.1062 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- De ces preuves d'amour, qu'Assan fait éclater. v.1063 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Quand j'y pense, j'éprouve un sentiment contraire. v.1064 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Il croit que l'intérêt pourrait me maîtriser. v.1065 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Quoi ! Se peut-il qu'Assan soit assez téméraire. v.1066 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Je ne sais point haïr ; mais je sais mépriser. v.1067 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Ah, que! don plus flatteur se présente à ma vue ? v.1068 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Mon âme, à cet aspect, est tendrement émue : v.1069 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Il vient d'une autre main... Ah, s'il venait d'Azor, v.1070 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Et quel autre que lui m'offrirait ce trésor ? v.1071 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- De sa tendre amitié c'est un aimable gage. v.1072 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Elle prend le bouquet et l'admire. v.1073 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Rien n'est pour moi plus précieux. v.1074 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Qu'il m'est cher ! Je l'accepte. Oui, j'en vais faire usage. v.1075 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Que je l'admire encore ! Il enchante mes yeux. v.1076 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Il semble que ce soient autant de fleurs nouvelles v.1077 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Qu'auparavant je ne connaissais pas. v.1078 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Je ne leur avais point découvert tant d'appas : v.1079 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Jamais je ne les vis si fraîches et si belles. v.1080 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- On n'en pouvait pas mieux assortir les couleurs. v.1081 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- On ne peut respirer de plus douces odeurs. v.1082 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Que je vais être ornée, et peut-être embellie ! v.1083 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Il sera beaucoup mieux... Non, rien n'est plus parant. v.1084 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Je n'aurai point été si belle de ma vie. v.1085 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Le plaisir que je sens m'en est un sûr garant. v.1086 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- C'en est fait, mon secret n'est plus en ma puissance. v.1087 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Tombons à ses genoux... Je perdrais mon bonheur. v.1088 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Voyez votre bienfait et ma reconnaissance. v.1089 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je vois qu'on ne peut pas lui faire plus d'honneur. v.1090 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Azor, il faudrait lire au fond de ma pensée : v.1091 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- L'expression ne peut en rendre la moitié. v.1092 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Il est vrai que jamais la plus tendre amitié v.1093 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Ne fut mieux reconnue et mieux récompensée. v.1094 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Quoi, toujours l'amitié ! v.1095 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je sens à tous moments v.1095 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Qu'elle augmente pour vous mes tendres sentiments. v.1096 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Lui dirai-je mon rêve ? Oui. v.1097 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Qui peut la distraire ? v.1097 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Sur mes doutes secrets il faut que je m'éclaire. v.1098 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Que vais-je faire ? Ô Ciel ! v.1099 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Vous semblez soupirer ? v.1099 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Je soupire, il est vrai. v.1100 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Quel chagrin vous attriste ? v.1100 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Aurais-je le malheur de vous en inspirer ? v.1101 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Vous ? v.1102 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ah ! Permettez que j'insiste. v.1102 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Hélas ! v.1103 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Dissipez mon effroi. v.1103 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Sur des moments d'abord si remplis d'allégresse, v.1104 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Et que j'ai crû, pour vous, aussi chers que pour moi, v.1105 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Pourquoi répandez-vous la plus sombre tristesse ? v.1106 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Elle vient malgré moi d'un songe que j'ai fait. v.1107 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Un songe, dites-vous ? v.1108 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- L'impression m'en reste ; v.1108 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Il semble m'annoncer un avenir funeste ; v.1109 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Et je crains qu'il n'ait son effet. v.1110 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Quoi ? Vous donnez dans une erreur pareille, v.1111 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Une chimère, une vapeur, v.1112 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Qui ne durent qu'autant que la raison sommeille, v.1113 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Troublent votre repos ! Un rêve vous fait peur ? v.1114 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Ah, Zémire, est-il vrai ? v.1115 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Je l'avoue à ma honte. v.1115 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Mais il faut cependant que je vous le raconte. v.1116 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Peut-être me calmerez-vous. v.1117 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Voyons ; j'y ferai mon possible. v.1118 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Vous m'avez tant parlé d'un Génie insensible, v.1119 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Dont la punition est d'errer parmi nous.... v.1120 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Je sais que je vous ai raconté son histoire, v.1121 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Et que même vous l'avez plaint. v.1122 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Azor, vous ne pourrez me croire v.1123 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Mais, tel que vous l'avez dépeint, v.1124 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Sous la même figure, avec les mêmes charmes, v.1125 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Qui forcèrent la fée à lui rendre les armes, v.1126 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Aujourd'hui ce Génie... v.1127 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Hé bien ! v.1127 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- M'est apparu. v.1127 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je vous suis ; il vous est apparu ? v.1128 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- C'est lui-même. v.1128 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ah ! Faut-il lui cacher que c'est moi qu'elle a vu ? v.1129 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Je ne puis revenir de ma surprise extrême. v.1130 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je l'ai vu de mes yeux, et j'ignore comment v.1131 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Je l'ai trouvé charmant... Mais c'était en dormant. v.1132 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Sa beauté m'a frappée ; il faut que je le dise. v.1133 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Ne cherchez point, Zémire, à vous en excuser. v.1134 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Et mais pardonnez-moi ; je dois m'en accuser. v.1135 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je n'ai pas même été surprise v.1136 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Qu'une fée ait voulu lui plaire, et le charmer : v.1137 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- En effet, elle a pu s'en laisser enflammer. v.1138 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Il a dû vous trouver plus adorable qu'elle. v.1139 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Du moins, il me l'a dit. v.1140 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je le crois aisément. v.1140 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Elle doit m'en punir, puisqu'elle est si cruelle, v.1141 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je devine facilement v.1142 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Qu'il vous aura rendu l'hommage le plus tendre. v.1143 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Le plus tendre, il est vrai. v.1144 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Que ne m'est-il permis !... v.1144 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Sans doute il vous aura promis v.1145 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- De vous aimer toujours ? v.1146 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Il me l'a fait entendre. v.1146 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Et vous, Zémire ? v.1147 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Et moi ? v.1147 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Qu'avez-vous répondu ? v.1147 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Votre coeur a-t-il pu demeurer inflexible 3 v.1148 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Non... Mais ce n'est qu'un songe, au moins. v.1149 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Bien entendu. v.1149 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Le traître, malgré moi, l'a rendu trop sensible. v.1150 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Fort bien. v.1151 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Comment, vous l'approuvez ? v.1151 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Est-ce ainsi que je l'intéresse ? v.1152 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Je vous en applaudis. De grâce, poursuivez. v.1153 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- J'ai promis de répondre un jour à sa tendresse. v.1154 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Tant mieux. v.1155 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Vous n'êtes pas étonné, confondu ? v.1155 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Non : je ne vois rien là qui ne soit très possible. v.1156 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Ensuite ! v.1157 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Je ne sais ; mais un charme invincible. v.1157 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Sur lui, comme sur moi, s'est fort répandu, v.1158 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Qu'alors vers un autel j'ai suivi ce Génie ; v.1159 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Il m'a dit qu'il fallait que je lui fusse unie. v.1160 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Tous mes voeux se trouvant d'accord avec les siens, v.1161 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- J'ai reçu ses serments, il a reçu les miens. v.1162 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Aussitôt le sommeil, le Génie, et le songe, v.1163 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Tout a fui. Quel plaisir n'ai-je pas eu de voir v.1164 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Que ce n'était-là qu'un mensonge ! v.1165 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Peut-être. v.1166 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Comment donc ? v.1166 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ce songe peut avoir v.1166 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Un effet plus constant que vous ne pouvez croire. v.1167 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- J'aurais à redouter qu'il ne devint réel ? v.1168 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Vous pouvez l'espérer. v.1169 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Que vous êtes cruel ! v.1169 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Au lieu de le chasser de ma triste mémoire, v.1170 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Vous augmentez l'effroi qu'il me laisse après lui. v.1171 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Mais pourquoi pensez-vous autrement aujourd'hui ? v.1172 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- D'où vient que vous changez à présent de langage v.1173 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Ne m'avez-vous pas dit qu'un songe est une erreur ? v.1174 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Qu'en bien ainsi qu'en mal, il n'est d'aucun présage ; v.1175 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Qu'il ne doit inspirer ni crainte, ni terreur ; v.1176 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Conciliez-vous donc. Que faut-il que je croie ? v.1177 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- D'un Génie inconnu je deviendrais la proie ! v.1178 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Je l'aimerais par force, ou par enchantement ! v.1179 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Non ; je n'aurai jamais un destin si contraire : v.1180 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- C'est en vain qu'il viendrait réclamer mes serments. v.1181 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Eh quoi ? N'a-t-il pas eu le bonheur de vous plaire ? v.1182 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Ai-je agi librement en cette occasion ? v.1183 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je n'ai point eu de part à cette illusion. v.1184 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Ne répondez de rien. v.1185 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Je crois en être sûre. v.1185 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Non, vous ne l'êtes pas ; c'est moi qui vous l'assure, v.1186 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Vous pourriez vous dédire avant la fin du jour. v.1187 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Et moi, je jure, je proteste v.1188 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Que jamais ce Génie avec tout son amour.... v.1189 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Ah ! Zémire, arrêtez. N'achevez pas le reste. v.1190 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Tout ce qui vous est cher, vous presse par ma voix... v.1191 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Azor, c'en est assez ; j'aurais tort, je le vois. v.1192 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- À vos sages avis, Zémire doit se rendre. v.1193 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Il faut nous épargner des débats superflus. v.1194 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Quel que soit l'avenir, Azor, je vais l'attendre. v.1195 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Ce sera loin de vous.... Ne nous rencontrons plus ; v.1196 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Évitons-nous tous deux ; moi, par obéissance ; v.1197 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Et vous, Azor, par complaisance. v.1198 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Au surplus, reprenez ce que je tiens de vous : v.1199 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Assan en serait trop jaloux. v.1200 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Que son dépit la rend touchante ! v.1201 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Non, jamais il ne fut un objet plus charmant. v.1202 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Ah Dieux, que la beauté s'embellit en aimant ! v.1203 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Que son courroux est cher à mon coeur ! Qu'il m'enchante ! v.1204 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Mais ce n'est pas assez, s'il ne peut l'engager v.1205 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- À prononcer l'aveu de sa tendresse extrême. v.1206 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Ne dira-t-elle point que c'est Azor qu'elle aime ? v.1207 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Fée injuste, à jamais voulez-vous vous venger ? v.1208 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Ne me reprochez plus ma tristesse profonde. v.1209 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- J'ai crû que votre coeur devait être content ; v.1210 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Zaleg, que je quitte à l'instant, v.1211 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- M'a dit qu'Azor était le plus content du monde. v.1212 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Sa joie est un outrage ; et l'éclat qu'il en fait. v.1213 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Est d'une cruauté.... v.1214 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Vous pleurez. v.1214 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Oui, je pleure. v.1214 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- De tout ce qu'il m'a fait entendre tout à l'heure, v.1215 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Il devrait être satisfait. v.1216 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Mais-le dépit qui vous anime, v.1217 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Est-il bien raisonnable ? v.1218 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Ah ! J'ose t'en prier, v.1218 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Ne parlions plus d'Azor ; épargne sa victime. v.1219 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Allons, n'y pensons plus. v.1220 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Je le veux oublier. v.1220 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Ah ! Fallait-il qu'il vînt, exprès dans ces retraites:,' v.1221 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- M'apprêter le sujet d'un si long repentir ? v.1222 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Sais-tu ce qu'il m'a dit, ce que j'ai du sentir v.1223 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Dans les réponses qu'il m'a faites ? v.1224 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Il me cède sans peine à qui voudra m'aimer ; v.1225 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Je lui suis devenue une charge importune ; v.1226 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Il se lasse des soins qui semblaient le charmer ; v.1227 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Il veut, dans d'autres mains, remettre ma fortune ; v.1228 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- En termes assez clairs il vient de m'annoncer v.1229 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Qu'à l'espoir d'être à lui, mon coeur doit renoncer. v.1230 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- C'est trop offenser votre gloire. v.1231 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- D'Azor et de ses soins on pourra se passer. v.1232 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- De votre souvenir il le faut effacer. v.1233 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Hé, peut-on disposer ainsi de sa mémoire ! v.1234 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Pour des sujets moins importants, v.1235 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Je vois que, parmi nous, tous les jours on oublie v.1236 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Sa plus chère compagne, et sa meilleure amie :. v.1237 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Bien ou mal-à-propos, pour la plupart du teins,. v.1238 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- On se brouille avec elle ; on la quitté; on en changes v.1239 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- On la punit, et l'on se venge. v.1240 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Zémire, ce doit être, à plus forte raison, v.1241 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Tout de même en amour. v.1242 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Quelle comparaison ! v.1242 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Vous pouvez, en changeant, vous venger à votre aise. v.1243 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Assan... v.1244 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Hé, que veux-tu que j'en fasse ? v.1244 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Un vengeur. v.1244 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Assan n'a qu'à vous plaire... Est-ce un si grand malheur ? v.1245 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Mais comment veux-tu qu'il me plaise ? v.1246 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Sais-je comme on inspire, et comme on prend du goût ? v.1247 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Je crois que tout cela se fait à l'aventure. v.1248 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- On cède à son étoile, et l'on fuit la nature. v.1249 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Assan vous aime. Hé bien, le dépit mène à tout ; v.1250 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Il tient lieu de raison dans un coeur qu'on outrage. v.1251 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Je veux prendre un guide plus sage. v.1252 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- L'oubli sera plus sûr, j'en ferai mon bonheur. v.1253 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- L'oubli me paraîtrait plus sûr que tout le reste ; v.1254 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Mais il traîne en longueur. La vengeance est plus prête, v.1255 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Et d'ailleurs, fait bien plus d'honneur. v.1256 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Ainsi donc, contre Azor, Nadine se déclare ! v.1257 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Elle veut m'engager à le sacrifier, v.1258 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Au lieu de m'obliger à le justifier ! v.1259 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Ah, ah, l'amour rend donc l'esprit un peu bizarre ? v.1260 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Je vois que, sur ses maux, on a tort d'éclater, v.1261 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Que dans le fonds de l'âme il faut qu'on les dévore, v.1262 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Je consulte une amie, elle m'accable encore ; v.1263 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Elle a la cruauté de ne me point flatter. v.1264 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- J'admire jusqu'où va votre injustice extrême. v.1265 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Laisse-moi, j'aurai soin de m'abuser moi-même. v.1266 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Le pourrai-je en effet ! Ah, trop funeste jour, v.1267 (Acte 3, scène 2, ZÉMIRE)
- Où l'on m'a fait savoir ce que c'est que l'amour ! v.1268 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- J'étais bien moins à plaindre avant que d'être instruite ; v.1269 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- Mon ignorance était paisiblement séduite. v.1270 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- Mon malheur, ce me semble, avait moins de rigueur. v.1271 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- Ah, qu'il m'est douloureux de connaître mon coeur ! v.1272 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- Pourquoi faut-il qu'Assan m'ait découvert la cause ?... v.1273 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- Zémire, connaissez quel est votre pouvoir. v.1274 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je n'ai d'autre plaisir que celui de vous voir ; v.1275 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- En vous, est le seul bien que mon coeur se propose. v.1276 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je n'envisage plus d'autre félicité, v.1277 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Que de brûler pour vous de la plus vive flamme ; v.1278 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et d'exciter pour moi dans lé fond de votre âme v.1279 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Un peu de sensibilité. v.1280 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- J'y pourrais aspirer sans être téméraire. v.1281 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Mais quel droit avez-vous pour prétendre à me plaire ? v.1282 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Je puis vous procurer un sort digne de vous. v.1283 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- C'est là mon titre le plus doux, v.1284 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Tâchons de l'éblouir. v.1285 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Cherchons à m'en défaire. v.1285 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Vous n'avez pas soumis un amant ordinaire. v.1286 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je ne pourrai jamais en connaître le prix. v.1287 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Vous n'avez vu tantôt que de faibles prémices : v.1288 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ces garants de l'amour dont mon coeur est épris, v.1289 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ont dû vous annoncer de plus grands sacrifices. v.1290 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Vous vous abaissez trop ; placez mieux votre choix. v.1291 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Je ne mérite point cette grâce importune. v.1292 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Mon destin a fixé ma vie et ma fortune v.1293 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Dans ce hameau prochain, et dans l'ombre des bois. v.1294 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Ne faites point au sort cet injuste reproche. v.1295 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- C'est la beauté qui fait les rangs : v.1296 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et je n'en connais point que l'amour ne rapproche. v.1297 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ils me sont tous indifférents. v.1298 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Tant de beautés ne sont point faites v.1299 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Pour languir tristement dans ces sombres retraites ; v.1300 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- C'est dans un plus grand jour qu'elles doivent briller. v.1301 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Adorable Zémire, apprenez ma puissance. v.1302 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Épargnez-vous le soin de me la détailler. v.1303 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Je me sens attachée aux lieux de ma naissances. v.1304 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Laissez-moi profiter des bontés du hasard ; v.1305 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Qui m'a fait naître au fond de cette solitude.. v.1306 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Soit préjugé, soit habitude, v.1307 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Je l'aime. Je serais étrangère autre part. v.1308 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Et qu'irais-je y chercher ? Ailleurs, rien ne m'appelle v.1309 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- L'innocence rassemble ici les vrais plaisirs. v.1310 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- La nature avec soin remplit tous nos désirs : v.1311 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Elle règne sur nous ; et nous régnons sur elle. v.1312 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Votre empire est partout. Daignez suivre mes pas, v.1313 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et devenez sensible au plaisir d'être aimée. v.1314 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Au milieu d'une Cour attentive et charmée, v.1315 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Un Trône vous attend. v.1316 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je ne m'y plairais pas. v.1316 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Zémire, y pensez-vous ? Quel est donc ce langage ? v.1317 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ah ! Je n'ai pas besoin d'y penser davantage. v.1318 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Un Trône vous déplairait ! v.1319 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Oui. v.1319 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Quoi, je ne pourrais pas vous le rendre agréable ? v.1320 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Non. v.1321 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Ce refus est inouï. v.1321 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il n'en est pas moins véritable. v.1322 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Je vois ce qui vous rend si contraire à mes voeux. v.1323 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Eh ! Que croyez-vous voir, quoi ? v.1324 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- L'erreur où vous êtes. v.1324 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il est un inconnu, qu'un destin malheureux v.1325 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- A relégué dans ces retraites. v.1326 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Est-ce Azor ? v.1327 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Oui. Peut-être espérez-vous qu'un jour v.1327 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Son amitié pourra se changer en amour. v.1328 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- S'il eût été sensible, il vous aurait aimée ; v.1329 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Son âme, dès longtemps, se serait enflammée. v.1330 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Depuis qu'il vous connaît il serait votre amant. v.1331 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- D'ailleurs, un tendre engagement. v.1332 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Est rarement le fruit d'une longue habitude. v.1333 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- La foudre est, dans les airs, moins lente à s'allumer v.1334 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Que l'amour dans nos coeurs n'est prompt à se former ; v.1335 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Avec autant de promptitude. v.1336 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il nous porte le coup qu'il nous a destiné ; v.1337 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- On ne l'évite point ; l'atteinte est imprévue. v.1338 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Un regard, un coup d'oeil, dès la première vue, v.1339 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Le font éclore ; aussitôt il est né. v.1340 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- On a beau le cacher, il devient si sensible? v.1341 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Que l'on ne tarde guère à le rendre visible : v.1342 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Oh le déclare : heureux si l'aveu qu'on en fait v.1343 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Pouvait toujours produire un bon effet ? v.1344 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il n'a jamais rien eu que de triste à m'apprendre. v.1345 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Ne me trompez-vous pas ? v.1346 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Voudrais-je vous surprendre ? v.1346 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Mais pourtant vous m'aimez. v.1347 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Beaucoup. v.1347 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Hé bien, quelle est votre espérance ? v.1348 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- De vous rendre sensible à ma persévérance. v.1349 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- L'amour ne vient jamais, s'il ne vient tout d'un coup : v.1350 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Dès le premier abord j'aurais eu l'âme éprise : v.1351 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Ainsi, vous voyez bien, sans que je vous le dise, v.1352 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Que je n'aurai jamais aucun amour pour vous. v.1353 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Mais vous vous appliquez ce qui n'est que pour nous. v.1354 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- C'est à nous, les premiers, à vous rendre les armes. v.1355 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Nous devons commencer d'abord par vous aimer. v.1356 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il faut qu'auparavant esclaves de vos charmes, v.1357 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Nous cherchions à vous enflammer, v.1358 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Pour arriver enfin à ce bonheur suprême. v.1359 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ainsi Zémire, en vous aimant, v.1360 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je pouvais me flatter que mon amour extrême v.1361 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Obtiendrait un retour charmant. v.1362 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ces distinctions-là ne vous avancent guère. v.1363 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais il s'agit d'Azor ; Zémire, en bonne foi, v.1364 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ce rival est-il fait pour obtenir sur moi v.1365 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- La préférence la plus chère ? v.1366 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Par où mérite-t-il un don si précieux ? v.1367 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ce n'est qu'un mortel ordinaire : v.1368 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je ne vois rien en lui qui puisse tant vous plaire. v.1369 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je ne saurais le voir qu'avec mes propres yeux. v.1370 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Tout diffère entre nous, nos rangs, nos biens, nos âges, v.1371 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je crois avoir sur lui d'assez grands avantages. v.1372 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ils peuvent être vrais ; mais je ne les sens pas. v.1373 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais, Zémire, songez qu'à vos divins appas v.1374 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Son coeur ne s'est jamais offert en sacrifice : v.1375 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il ne l'en croit pas digne ; il s'est rendu justice : v.1376 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- S'il eût été pour vous, épris du moindre feu, v.1377 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je vous l'ai déjà dit, je le répète encore, v.1378 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Croyez que dès longtemps, il en eût fait l'aveu. v.1379 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il vous aurait cent fois juré qu'il vous adore. v.1380 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il ne met l'a pas dis. Mais l'amour par hasard, v.1381 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- N'a-t-il point quelqu'autre langage v.1382 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Où la bouche n'a point de part. v.1383 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Celui des yeux est quelquefois d'usage : v.1384 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Mais c'est lorsqu'on ne peut se parler autrement. v.1385 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et les soupirs ? v.1386 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Sont le partage v.1386 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- D'un tendre et malheureux amant. v.1387 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Mais, au sujet d'Azor, sans chercher davantage v.1388 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- À vérifier un soupçon ; v.1389 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Qui blesse votre gloire autant que ma tendresse ; v.1390 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- À l'objet de votre faiblesse, v.1391 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Zémire, gardez-vous, en aucune façons ; v.1392 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- D'en laisser échapper les moindres témoignages. v.1393 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Pourquoi ? v.1394 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- D'un insensible ils seraient mal reçus. v.1394 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Vous ne devez jamais prévenir nos hommages. v.1395 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ce serait mendier l'opprobre d'un refus. v.1396 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Qu'un mystère si déplorable v.1397 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ne se découvre point. Forcez-le de rester v.1398 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Dans l'ombre et le secret d'un coeur impénétrable, v.1399 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et ne vous l'avouez que pour le détester. v.1400 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Que n'ai-je mieux suivi les conseils que je donne ? v.1401 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je n'espère jamais aucune guérison : v.1402 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais vous persuadez ma gloire et ma raison. v.1403 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- À vos sages avis mon amour s'abandonne : v.1404 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Je jure, entre vos mains, qu'ils auront leur effet, v.1405 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Hélas ! Quoi qu'il en coûte à ma tendresse extrême, v.1406 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Azor ne saura point que c'est lui seul que j'aime : v.1407 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Oui, c'est Azor que j'aime. v.1408 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Arrêtez. c'en est fait, v.1408 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Les mots sont prononcés. C'est moi qui suis punie. v.1409 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Tu vois devant tes yeux cette fée ennemie v.1410 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Qui poursuivait un coeur qui n'est fait que pour toi. v.1411 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Azor n'eût pas été moins heureux avec moi. v.1412 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Jouis de ton bonheur ; ma vengeance est finie. v.1413 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Azor, quoi, c'était vous ?... v.1414 (Acte 3, scène 4, ZÉMIRE)
- Oui, je suis ce Génie, v.1414 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Heureux dans son exil, heureux dans son amour v.1415 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Puisque vous le payez du plus tendre retour. v.1416 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Il fallait cet aveu que vous venez de faire. v.1417 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Que n'ai-je su plutôt qu'il était nécessaire ? v.1418 (Acte 3, scène 4, ZÉMIRE)
- S'il me rend plus digne de vous, v.1419 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Zémire, ce sera son effet le plus doux. v.1420 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Peut-on savoir où vous en êtes ? v.1421 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Vos explications sont-elles bientôt faites ? v.1422 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Azor m'aimait ; il m'aime ; il me l'a dit, v.1423 (Acte 3, scène 5, ZÉMIRE)
- Ne vous avais-je pas prédit v.1424 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Qu'Azor brûlait pour vous d'une flamme secrète ? v.1425 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Votre félicité rend la nôtre complète. v.1426 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Hé bien, partons-nous pour les cieux ? v.1427 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Ah ! demeurons plutôt en ces aimables lieux, v.1428 (Acte 3, scène 5, ZÉMIRE)
- Où notre amour a pris naissance. v.1429 (Acte 3, scène 5, Z?MIRE)
- Qu'ils vont, de plus en plus, être chers à mes yeux v.1430 (Acte 3, scène 5, Z?MIRE)
- Établissons ici notre heureuse puissance, v.1431 (Acte 3, scène 5, AZOR)
- Habitants, jouissez d'un sort délicieux. v.1432 (Acte 3, scène 5, AZOR)
- Allons, régnons où l'on nous aime. v.1433 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Qu'en dit Zaleg ? v.1434 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Je pense assez de même ; v.1434 (Acte 3, scène 5, ZALEG)
- Où peut-on être mieux que dans l'heureux séjour .i v.1435 (Acte 3, scène 5, ZALEG)
- Ou l'on trouve Amour pour Amour. v.1436 (Acte 3, scène 5, ZALEG)
- Venez tous, venez tous v.1437 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- [...] éclater vos transports les plus doux. v.1438 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Four éterniser notre hommage, v.1439 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Nous vous consacrons ce bocage. v.1440 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Régnez ; et qu'il serve à jamais v.1441 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- De Temple à vos attraits. v.1442 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- La félicité même v.1443 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Couronne mes désirs : v.1444 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Régner sur ce qu'on aime, v.1445 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- C'est régner sur tous les plaisirs. v.1446 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Le coeur dans cet heureux séjour, v.1447 (Acte 3, scène 7, ZÉMIRE)
- Prend autant d'amour qu'il en donne. v.1448 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- La plus belle couronne v.1449 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Ne vaut pas amour pour amour. v.1450 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Aimer et trouver du retour, v.1451 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Est sur quoi mon bonheur se fonde ; v.1452 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- De tous les biens du monde, v.1453 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Je ne veux qu'amour pour amour. v.1454 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- J'ai fait l'épreuve, tour à tour, v.1455 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- D'aimer à la Cour, à la ville ; v.1456 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Il est trop difficile v.1457 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- D'y trouver amour pour amour. v.1458 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Le temps d'aimer fuit sans retour, v.1459 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Sachez en faire un bon usage : v.1460 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Au-delà du bel âge, v.1461 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Il n'est plus d'amour pour amour. v.1462 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Les biens et les sangs, tour à tour, v.1463 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Engagent la main d'une belle ; v.1464 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Mais le coeur en appelle, v.1465 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Il ne veut qu'amour pour amour. v.1466 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- On dit que les amants de Cour. v.1467 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Sans aimer veulent qu'on les aime ; v.1468 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Quel étrange système v.1469 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- De vouloir amour sans amour ; v.1470 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- À tous les échos d'alentour, v.1471 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Adonis même eût fait redire ; v.1472 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Ah, que n'est-ce Zémire v.1473 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Qui me rend amour pour amour. v.1474 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Coquette et légère, à mon tour, v.1475 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Je sais me venger d'un volage : v.1476 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Mais je change d'usage v.1477 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Quand je trouve amour pour amour. v.1478 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Le vieux Philémon, l'autre jour, v.1479 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Me disait qu'il voudrait me plaire ; v.1480 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Hé ! Qu'en pourrait-il faire, v.1481 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- S'il trouvait amour pour amour ? v.1482 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Mon Amant trouve, chaque jour, v.1483 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Mille beautés qu'on me préfère, v.1484 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Mais je lui suis plus chère, v.1485 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Il ne veut qu'amour pour amour. v.1486 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
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LE PRÉJUGÉ À LA MODE (1735)
- Ah ! Constance, est-ce à vous à prendre ma défense, v.1 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Et celle de l'hymen, vous ?... v.2 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Ce doute m'offense ; v.2 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Vous me connaissez peu, si vous me soupçonnez v.3 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- De penser autrement. v.4 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Madame, pardonnez... v.4 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Épouse vertueuse autant qu'infortunée ! v.5 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Si je fais quelques voeux, c'est pour votre hyménée : v.6 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Damon, soyez-en sûr ; croyez qu'il m'est bien doux v.7 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- De servir un ami si cher à mon époux. v.8 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- C'est l'étroite amitié dont votre époux m'honore, v.9 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Qui me perd dans l'esprit de celle que j'adore. v.10 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Quoi ! Votre liaison ?... v.11 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- M'expose à son courroux. v.11 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Tout le monde n'est pas aussi juste que vous. v.12 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Je ne reconnais point Sophie à ce caprice ; v.13 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Vous m'étonnez. D'où vient cette extrême injustice ? v.14 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Elle ne vous hait point. v.15 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Inutile bonheur ! v.15 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Peut-être elle me rend justice au fond du coeur, v.16 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Mais j'y vois encor plus de frayeurs et d'alarmes. v.17 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle outrage à la fois mon amour et ses charmes. v.18 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- On se trompe, en jugeant trop généralement. v.19 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle croit que l'hymen est un engagement, v.20 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Dont son sexe est toujours l'innocente victime : v.21 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Tel est son sentiment, qu'elle croit légitime. v.22 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Je ne sais quel exemple, ou plutôt quelle erreur, v.23 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Autorise encor plus son injuste terreur. v.24 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Vous ferai-je un aveu, peut-être inexcusable ? v.25 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle vous trouve à plaindre, et m'en rend responsable. v.26 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Enfin, elle me croit complice d'un époux... v.27 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Monsieur, elle se trompe, et nous offense tous. v.28 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Aux chagrins les plus grands elle vous croit en proie. v.29 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Damon, il n'en est rien. v.30 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Vous voulez qu'on vous croie. v.30 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Brisons là, je vous prie. Avant notre départ, v.31 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Sophie à mes conseils aura peut-être égard ; v.32 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Fiez-vous-en à moi. v.33 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- C'est en vous que j'espère ; v.33 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Vous savez que son sort dépend de votre père. v.34 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- J'attends Argant ; je vais hâter votre bonheur. v.35 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Je suis confus... v.36 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Allez, je me fais un honneur v.36 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- De la faire changer d'idée et de langage. v.37 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Surtout, que mon époux ignore cet outrage. v.38 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Quelle épouse peut rendre un époux plus heureux ? v.39 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Que Durval devrait bien y borner tous ses voeux ! v.40 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Faut-il que mon époux ne fasse aucun usage v.41 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Des conseils d'un ami si fidèle et si sage ? v.42 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Me verrai-je toujours dans l'embarras cruel v.43 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- D'affecter un bonheur qui n'a rien de réel ?... v.44 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Oui, je dois m'imposer cette loi rigoureuse ; v.45 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Le devoir d'une épouse est de paraître heureuse. v.46 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- L'éclat ne servirait encor qu'à me trahir ; v.47 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- D'un ingrat qui m'est cher, je me ferais haïr : v.48 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Du moins, n'ajoutons pas ce supplice à ma peine ; v.49 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Son inconstance est moins affreuse que sa haine. v.50 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Vous m'avez ordonné de vous attendre ici, v.51 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Sans quoi je vous aurais prévenu. v.52 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Me voici. v.53 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Vous paraissez ému ! v.53 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Je suis même en colère. v.53 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Je sors de chez Sophie ; elle tient de sa mère. v.54 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- L'entretien que je viens d'avoir à soutenir, v.55 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Me fait prévoir celui que vous m'allez tenir ; v.56 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Je vais de point en point y répondre d'avance. v.57 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Quoi ! Vous savez ?... v.58 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Ma fille, un peu de complaisance ; v.58 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Que je parle d'abord à mon tour. v.59 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- J'obéis. v.59 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Durval est à peu près ce que je fus jadis ; v.60 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Ce temps n'est pas si loin, que je ne m'en souvienne : v.61 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Ma jeunesse fut vive encor plus que la sienne. v.62 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- On me maria donc, et me voilà rangé, v.63 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Si bien qu'on me trouva totalement changé : v.64 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et véritablement une union si belle, v.65 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Si ma femme eût voulu, devait être éternelle. v.66 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Bien du temps se passa, mais beaucoup, presque un an, v.67 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Sans que rien de ma part troublât notre roman ; v.68 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mais auprès d'une femme on a beau se contraindre : v.69 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Bon ! Naturellement le sexe aime à se plaindre. v.70 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Or, comme enfin l'amour se change en amitié... v.71 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- C'est justement de quoi se fâcha ma moitié. v.72 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle ne savait pas, ni vous non plus, madame, v.73 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Que sans amour on peut très bien aimer sa femme v.74 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle crut perdre au change ; elle dissimula, v.75 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Peut-être près d'un mois, après cet effort-là, v.76 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Il survint entre nous un terrible grabuge ; v.77 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Madame se plaignit, et mon père en fut juge. v.78 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Le bonhomme autrefois fut dans le même cas. v.79 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mon fils a tort, dit-il, je ne l'excuse pas. v.80 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Puisqu'il ne veut pas prendre un autre train de vie, v.81 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Je vois bien qu'il faudra que je me remarie... v.82 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Je répondrais de même, et j'irais en avant. v.83 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Quand on croit deviner, on se trompe souvent. v.84 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- La contradiction me ravit et m'enchante... v.85 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Eh ! Bien, madame, soit ; vous êtes très contente... v.86 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Oui... très heureuse... très... v.87 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Monsieur, en doutez-vous ? v.87 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et vous dites par-tout du bien de votre époux... v.88 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Puis-je faire autrement ? v.89 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et que le mariage v.89 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- N'est pas toujours un triste et cruel esclavage... v.90 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Je l'imagine. v.91 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et que... J'enrage de bon coeur... v.91 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mais, de grâce, achevez de me tirer d'erreur ; v.92 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Ma nièce est votre amie, et je lui sers de père. v.93 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle mérite bien de nous être aussi chère. v.94 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Oui ; mais on a pris soin de lui gâter l'esprit. v.95 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Damon et votre époux en sont dans un dépit... v.96 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Qui peut donc avoir mis dans son coeur trop crédule v.97 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Cet effroi mal fondé, ce dégoût ridicule, v.98 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Cette aversion folle, et ces airs de mépris v.99 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Qu'elle a pour l'hyménée ? Où les a-t-elle pris ? v.100 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- À son âge on n'a point de chimères pareilles v.101 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- À celles dont elle a fatigué mes oreilles. v.102 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Au contraire, une Agnès se fait illusion, v.103 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et savoure à longs traits la douce impression v.104 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Que son coeur enchanté reçoit de la nature ; v.105 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle ne voit l'hymen que sous une figure, v.106 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Qui, loin de l'effrayer, irrite ses désirs ; v.107 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et ce portrait est fait par la main des plaisirs. v.108 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mais toutefois Sophie en est intimidée. v.109 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Madame, si ma nièce en prend une autre idée, v.110 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- C'est l'effet des sujets de chagrin et d'ennui v.111 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Que vous lui débitez contre votre mari. v.112 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mon malheur ne m'épargne aucune circonstance. v.113 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Apprenez donc, monsieur, la façon dont je pense, v.114 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et vous persisterez après, si vous l'osez, v.115 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Dans l'accusation que vous me supposez. v.116 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Je n'ai qu'à me louer d'un heureux hyménée ; v.117 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Je ne méritais pas d'être si fortunée : v.118 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Mais enfin, si mon sort cessait d'être aussi doux, v.119 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Si j'avais à pleurer le coeur de mon époux, v.120 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Je cacherais ma honte, en me rendant justice, v.121 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et je me garderais d'augmenter mon supplice. v.122 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Un éclat indiscret ne fait qu'aliéner v.123 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Un coeur que la douceur aurait pu ramener. v.124 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Si quelque occasion peut mieux faire connaître, v.125 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et sentir de quel prix une épouse peut être, v.126 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Si quelque épreuve sert à le mieux découvrir, v.127 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- C'est lorsqu'elle est à plaindre, et qu'elle sait souffrir. v.128 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Voilà mes sentiments, tirez la conséquence. v.129 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- On n'agit pas toujours aussi bien que l'on pense : v.130 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Un beau raisonnement ne détruit pas un fait. v.131 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Enfin, si vous voulez me convaincre en effet, v.132 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Concourez avec moi pour marier ma nièce ; v.133 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Ôtez-lui de l'esprit ce travers qui me blesse ; v.134 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et que bientôt Damon... v.135 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- C'est justement de quoi v.135 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- J'avais à vous parler. v.136 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Il me convient, à moi. v.136 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Je n'imagine pas qu'il déplaise à Sophie. v.137 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Ma nièce l'aimerait ? v.138 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Du moins je m'en défie. v.138 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Oui, je crois qu'en secret elle y prend intérêt. v.139 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Pourquoi refuse-t-elle un homme qui lui plaît ? v.140 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Ce n'est point un refus ; c'est de l'incertitude. v.141 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- On ne s'engage point sans quelque inquiétude. v.142 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- En cela j'aurais tort de la désapprouver : v.143 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Peut-être auparavant elle veut s'éprouver ; v.144 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Peut-être qu'elle cherche, autant qu'il est possible, v.145 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- À s'assurer du coeur qu'elle a rendu sensible. v.146 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Voilà bien des façons qui ne servent à rien. v.147 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Bon. La voici, je vais commencer l'entretien. v.148 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Ma nièce, comment donc entendez-vous la chose ? v.149 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Vous a-t-on dit vrai ? v.150 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Mais, ma foi, je le suppose. v.150 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Après ce que madame a dû vous confier, v.151 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Votre dessein n'est plus de me sacrifier. v.152 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Moi, te sacrifier ! Quand je veux au contraire v.153 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Te donner pour époux quelqu'un qui t'a su plaire ; v.154 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Damon ? v.155 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Qui vous a fait ces confidences-là ? v.155 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Hé ! C'est apparemment madame que voilà, v.156 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Qui t'approuve, et qui croit qu'une fille à ton âge v.157 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Doit commencer d'abord par un bon mariage. v.158 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Oui, s'il en était un. v.159 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Parbleu, c'est pour ton bien, v.159 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Pour te faire jouir d'un sort pareil au sien. v.160 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Quoi ! Vous me souhaitez un semblable partage ! v.161 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Madame est donc heureuse ? v.162 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- On ne peut davantage. v.162 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Est-ce elle qui le dit ? v.163 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Je dois en convenir. v.163 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Voilà des nouveautés qu'on ne peut prévenir. v.164 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Ma crainte cependant n'est pas moins légitime. v.165 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Je veux bien pour Damon avoir un peu d'estime, v.166 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Plus que je n'en avoue, et que je ne m'en crois : v.167 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Peut-être, si mon sexe abusé tant de fois, v.168 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Pouvait espérer d'être heureux en mariage, v.169 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Je choisirais Damon... l'exemple me rend sage : v.170 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Madame, j'ai des yeux, et je vois assez clair. v.171 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Je remarque aujourd'hui qu'il n'est plus du bon air v.172 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- D'aimer une compagne à qui l'on s'associe. v.173 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Cet usage n'est plus que chez la bourgeoisie : v.174 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Mais ailleurs on a fait de l'amour conjugal v.175 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Un parfait ridicule, un travers sans égal. v.176 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Un époux à présent n'ose plus le paraître ; v.177 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- On lui reprocherait tout ce qu'il voudrait être. v.178 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Il faut qu'il sacrifie au préjugé cruel v.179 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Les plaisirs d'un amour permis et mutuel. v.180 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- En vain il est épris d'une épouse qui l'aime ; v.181 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- La mode le subjugue en dépit de lui-même ; v.182 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Et le réduit bientôt à la nécessité v.183 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- De passer de la honte à l'infidélité. v.184 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Où peut-elle avoir pris une idée aussi creuse ? v.185 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Sur tout ce que je vois. v.186 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Elle se dit heureuse. v.186 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Constance ! Heureuse, elle. v.187 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Oui, Madame, je le suis. v.187 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Non, vous ne l'êtes pas. v.188 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Madame, je vous dis... v.188 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Avec tant de douceur, de charmes et de grâces, v.189 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Deviez-vous éprouver de pareilles disgrâces ? v.190 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Elle a dit mon secret ; je vais dire le sien. v.191 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Qui croire des deux ? v.192 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Moi. v.192 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Je n'y connais plus rien. v.192 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Me suis-je jamais plainte ? v.193 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- En rien, et je vous blâme. v.193 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- M'avez-vous jamais vue ?... v.194 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Oui, malgré vous, Madame, v.194 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- J'ai vu... j'ai reconnu les traces de vos pleurs ; v.195 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Au fond de votre coeur j'ai surpris vos douleurs. v.196 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Mais que dis-je ? J'y vois, malgré sa violence, v.197 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Le désespoir réduit à garder le silence. v.198 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- L'une se dit heureuse, et l'autre la dément : v.199 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Celle-ci ne veut pas épouser son amant. v.200 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Constance... mais qui diable y pourrait rien comprendre ? v.201 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- En attendant, je sais le parti qu'il faut prendre. v.202 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Vous m'avez entendu, madame, heureuse ou non. v.203 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Quant à vous, je m'en vais remercier Damon... v.204 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Mesdames, à votre aise ; il ne faut point se rendre : v.205 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Ferme, continuez à ne vous pas entendre. v.206 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Qu'avez-vous fait ? v.207 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Damon n'osera s'en aller. v.207 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Ah ! Sophie, on croira que je vous fais parler. v.208 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Une épouse plaintive est encor moins aimable ; v.209 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Je le disais. v.210 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- En quoi suis-je donc si coupable ? v.210 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Oui, ma chère Constance, il est vrai, je n'ai pu v.211 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Me contraindre. Quel tort fais-je à votre vertu ? v.212 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Vous êtes à vous-même un peu trop rigoureuse ; v.213 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Tant de délicatesse est fausse ou dangereuse. v.214 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Quoi ! Parce qu'un perfide aura le nom d'époux, v.215 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Il pourra me porter les plus sensibles coups, v.216 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Violer tous les jours le serment qui nous lie, v.217 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- M'ôter impunément le bonheur de ma vie, v.218 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Sans qu'il me soit permis de réclamer des droits v.219 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Qui devraient être égaux !... mais ils ont fait les lois. v.220 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Il faut que je ménage un cruel qui me brave ! v.221 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Sa femme est sa compagne, et non pas son esclave. v.222 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Je vais dire encor plus : tant de tranquillité v.223 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Peut vous faire accuser d'insensibilité. v.224 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- M'en soupçonneriez-vous ? v.225 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Non, je vous rends justice ; v.225 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Je sais que vous souffrez le plus cruel supplice ; v.226 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Mais vous autorisez un injuste soupçon. v.227 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- On peut interpréter d'une étrange façon, v.228 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Tous vos soins de paraître heureuse en apparence ; v.229 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- On les peut imputer à votre indifférence, v.230 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Au dépit, au mépris, à la haine, au dégoût, v.231 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Que nous donne un ingrat, quand il nous pousse à bout. v.232 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Ah ! Sophie, épargnez du moins votre victime. v.233 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- On peut aller plus loin. v.234 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Non, mon époux m'estime. v.234 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Vous vous contentez là d'un bien faible retour ; v.235 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- L'estime d'un époux doit être de l'amour : v.236 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Oui, ce sentiment-là renferme tous les autres. v.237 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Quoi ! Les hommes ont-ils d'autres droits que les nôtres ? v.238 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Se contenteraient-ils de n'être qu'estimés ? v.239 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Tout perfides qu'ils sont, ils veulent être aimés. v.240 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Quant à moi, je suis née et trop tendre, et trop vive, v.241 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Pour oser m'exposer à ce qui vous arrive : v.242 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- J'aimerais trop Damon ; j'en ferais un ingrat, v.243 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Et j'en mourrais, après le plus terrible éclat. v.244 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Sur le coeur de Damon prenez plus d'assurance. v.245 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Non, la fidélité n'est pas en leur puissance. v.246 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Comptez sur son amour et sur sa probité. v.247 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Sur les mêmes garants n'aviez-vous pas compté ? v.248 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Que sont-ils devenus ? Qu'est-ce qui vous en reste ? v.249 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Ce n'était qu'une embûche et qu'un piège funeste, v.250 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Couverts de quelques fleurs qui ne durent qu'un jour. v.251 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- L'hymen n'acquitte plus les dettes de l'amour. v.252 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Madame, je vous cherche. On vient... v.253 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Que me veut-elle ? v.253 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Souffrez que je respire. v.254 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Eh ! Bien, quelle nouvelle ? v.254 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Tenez, j'en suis encor dans un enchantement !... v.255 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Venez, vous trouverez dans votre appartement. v.256 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Mon époux ? v.257 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Votre époux !... Lui !... La demande est bonne ! v.257 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Est-ce jamais par-là que son chemin s'adonne ? v.258 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Il est vrai que ceci serait assez nouveau, v.259 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Vous logez l'un et l'autre aux deux bouts du château. v.260 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Florine, sachez mieux respecter votre maître. v.261 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Je me tais... mais... v.262 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Sachons ce que ce pourrait être. v.262 (Acte 1, scène 6, SOPHIE)
- Vous ne devinez pas ?... C'est votre habit. v.263 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Comment ? v.263 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Que l'on vient d'apporter, Madame ; il est charmant. v.264 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Cette fille extravague. v.265 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Écoutez-moi, de grâce ; v.265 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Ou plutôt, venez voir : c'est un habit de chasse ; v.266 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Mais d'un air, mais d'un goût : venez vous habiller. v.267 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Sous cet ajustement que vous allez briller ! v.268 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Vous allez ajouter conquête sur conquête. v.269 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Mais quelle vision lui passe par la tête ? v.270 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- D'où me vient cet habit ? v.271 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Je ne sais point cela. v.271 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Je n'ai point commandé cet habillement-là. v.272 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Ah ! Ah ! Mais ceci passe un peu la raillerie. v.273 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Quoi ! Madame, serait-ce une galanterie ? v.274 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Une galanterie, et qui s'adresse à moi ! v.275 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- À qui voulez-vous donc qu'on ait fait cet envoi ? v.276 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Mais n'est-ce point à vous que ce présent s'adresse ? v.277 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Damon, de qui votre oncle approuve la tendresse... v.278 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Oui, j'aimerais assez qu'il prît ces libertés. v.279 (Acte 1, scène 6, SOPHIE)
- Dois-je être plus en bute à des témérités ?... v.280 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Mais voici mon époux : dans cette conjoncture, v.281 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Dois-je lui confier cette étrange aventure ? v.282 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Voyons un peu l'effet qu'ont produit mes présents. v.283 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Madame éclate enfin en regrets offensants. v.284 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Durval, vous m'étonnez. v.285 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- On vient de me l'apprendre ; v.285 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Cet éclat, je l'avoue, a lieu de me surprendre : v.286 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Je ne l'aurais pas cru, malgré tous mes soupçons ; v.287 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Vous m'avez procuré d'assez belles leçons, v.288 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Qui ne sortiront pas si-tôt de ma mémoire. v.289 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Je l'avais bien prévu... Monsieur, pouvez-vous croire... v.290 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Hélas ! C'est un excès où je n'ai point de part... v.291 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Mais à mon désaveu vous n'avez point d'égard. v.292 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Vous allez me haïr... ah ! Cruelle Sophie ! v.293 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- J'en suis la cause ; il faut que je la justifie. v.294 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Je n'imaginais pas qu'on eût la cruauté v.295 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- De joindre l'injustice à l'infidélité. v.296 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Ce temps n'est plus. v.297 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Ingrat. v.297 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Épargnez... v.297 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Point de grâce. v.297 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Ah ! Si pour un moment j'étais en votre place. v.298 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Sur quel droit pouvez-vous ici vous retrancher ? v.299 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Vous voulez empêcher un coeur de s'épancher ; v.300 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Quand vous le remplissez de fiel et d'amertume, v.301 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Au plus grand des malheurs il faut qu'il s'accoutume, v.302 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Et qu'il expire enfin sans pousser un soupir. v.303 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Vous me perdez, madame. v.304 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Il faut lui découvrir... v.304 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Prenez-vous-en à moi, c'est moi qui me suis plainte. v.305 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Vous ? v.306 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Oui, je souffrais trop de la voir si contrainte ; v.306 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Je n'ai pu la laisser dans un si triste état, v.307 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Sans faire, en dépit d'elle, un nécessaire éclat : v.308 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- J'ai vengé sa vertu. v.309 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Madame est bonne amie. v.309 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- De grâce, épargnez-nous cette froide ironie. v.310 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Quand même vous seriez encor mieux son époux, v.311 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- C'est que vous devriez filer un peu plus doux, v.312 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Et baiser tous les pas par où madame passe ; v.313 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Mais vous n'en ferez rien. v.314 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Florine, je vous chasse ; v.314 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Sortez. v.315 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Moi ? v.315 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Révoquez un arrêt si cruel ; v.315 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Cette fille vous aime, il est bien naturel. v.316 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Viens, cet avis mérite une autre récompense ; v.317 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Tiens, prends... v.318 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Je n'ai pas cru vous induire en dépense. v.318 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Madame, faites grâce à ses vivacités. v.319 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Ah ! Puisque vous payez si bien vos vérités, v.320 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Une autre fois j'aurai le reste de la bourse. v.321 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- La plaisanterie est d'une grande ressource. v.322 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- C'est assez... Savez-vous l'étiquette du jour ? v.323 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Car il faut amuser ceux qui vous font leur cour. v.324 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Oui ! C'est bien là de quoi madame s'embarrasse ! v.325 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Vous avez aujourd'hui le plaisir de la chasse, v.326 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Grande musique ensuite, et bal toute la nuit. v.327 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Ne déconcertez point le plaisir qui vous suit, v.328 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Madame, on partira lorsque vous serez prête... v.329 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Vous avez un habit convenable à la fête... v.330 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Monsieur... v.331 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Le rendez-vous est au milieu du bois ; v.331 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- De-là vous pourrez être au lancer, aux abois, v.332 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Avec cette calèche et ce double attelage, v.333 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Dont vous avez refait enfin votre équipage. v.334 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Votre écuyer laissait dépérir votre train ; v.335 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Même il vous manque encor quelques chevaux de main... v.336 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Madame, ce discours semble vous interdire ! v.337 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- À ces dépenses-là je ne vois rien à dire : v.338 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Dépensez hardiment, et vous aurez raison. v.339 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Cet époux a pourtant quelque chose de bon. v.340 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Ce que vous m'apprenez a lieu de me surprendre... v.341 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Il m'est bien douloureux d'avoir à vous apprendre v.342 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Le trop juste sujet de ma confusion. v.343 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Que je suis malheureuse ! v.344 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- À quelle occasion ? v.344 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Ah ! Je n'aurais jamais prévu, lorsque j'y pense, v.345 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Que l'on pût avec moi prendre tant de licence. v.346 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Vous parlez de licence ! En quoi donc, s'il vous plaît ? v.347 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- J'ignore absolument... je ne sais ce que c'est... v.348 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- En un mot... v.349 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Achevez... mais qui vous en empêche ? v.349 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Cet habit... ces chevaux, avec cette calèche... v.350 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Eh ! Bien ? v.351 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- S'ils sont chez moi... v.351 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- C'est une vérité. v.351 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Quelqu'un aura sans doute eu la témérité... v.352 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Mais c'est assez, je crois que vous devez m'entendre. v.353 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Oui, madame, il n'est pas difficile à comprendre v.354 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Que ce sont des présents qui vous ont été faits. v.355 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- J'ignore à qui je dois ces indignes bienfaits. v.356 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Et vous ne daignez pas chercher à le connaître ?... v.357 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- J'aurais déjà tout fait sauter par la fenêtre. v.358 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Mais sur qui vos soupçons pourraient-ils s'arrêter ? v.359 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Je laisse dans l'oubli ce qui doit y rester. v.360 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Se peut-il que je sois si loin de sa pensée ? v.361 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Je voudrais ignorer que je suis offensée. v.362 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- N'importe, donnons-lui de violents soupçons. v.363 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Madame, cependant j'ai de fortes raisons v.364 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Pour oser vous presser, et même avec instance, v.365 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- D'éclaircir ce mystère... il nous est d'importance, v.366 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Plus que je n'ose dire... et que vous ne croyez ; v.367 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Je vous en saurai gré, si vous me l'octroyez. v.368 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Voyez, examinez... découvrez... je vous prie, v.369 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Qui peut avoir risqué cette galanterie... v.370 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- De plus... présents ou non... madame... vous pouvez... v.371 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Oui, vous m'obligerez, si vous vous en servez. v.372 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Eh ! Bien, que dites-vous de cette complaisance ? v.373 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Cet époux dans la vie apporte assez d'aisance. v.374 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- N'est-ce point mon époux qui m'a fait ces présents ? v.375 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Des époux ne font pas des tours aussi plaisants ; v.376 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Pour qui les prenez-vous ? Ne croyez point, madame, v.377 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Qu'un mari soit jamais prodigue envers sa femme ; v.378 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Il lui donne à regret, toujours moins qu'il ne faut, v.379 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Et lui fait tout valoir cent fois plus qu'il ne vaut. v.380 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Mais nous avons ici Damis avec Clitandre, v.381 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Galants déterminés, prêts à tout entreprendre ; v.382 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Je crois qu'on en pourrait accuser ces messieurs. v.383 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- As-tu quelque soupçon ? v.384 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- J'en ai même plusieurs. v.384 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Je ne puis rien comprendre à cette indifférence. v.385 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Se peut-il qu'un époux ait tant de tolérance ? v.386 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Eh ! N'empoisonnez pas encore mes douleurs. v.387 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Hélas ! Je sens assez le poids de mes malheurs : v.388 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Daignez au moins cacher ma nouvelle disgrâce. v.389 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Je vais me renfermer... Allez, suivez la chasse. v.390 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Je ne vous quitte point. v.391 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Vous prenez trop de part v.391 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- À l'état où je suis... laissez-moi, par égard. v.392 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Profitez du plaisir que l'on offre à vos charmes, v.393 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Je n'ai plus que celui de répandre des larmes. v.394 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Quel état ! Et l'on veut que je prenne un époux ? v.395 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Qu'on ne m'en parle plus ; ils se ressemblent tous. v.396 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Notre cerf n'a pas fait assez de résistance. v.397 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Il est vrai : mais entrons un moment chez Constance. v.398 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mon équipage est bon : j'imagine qu'ailleurs v.399 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Il serait malaisé d'en trouver de meilleurs. v.400 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Constance en devait être ; elle n'est point venue. v.401 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Je devine à peu près ce qui l'a retenue. v.402 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Entrons chez elle... allons ; c'est une attention v.403 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Dont elle vous aura de l'obligation. v.404 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Oui ; mais je ne vais guère en visite chez elle. v.405 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On y peut envoyer. v.406 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quelle excuse cruelle ! v.406 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Du sort de ton épouse adoucis la rigueur ; v.407 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- L'esprit doit réparer les caprices du coeur. v.408 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- C'est trop d'y joindre encore un mépris manifeste ; v.409 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Souvent les procédés font excuser le reste. v.410 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Je crois tous nos chasseurs dans son appartement... v.411 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour nous entretenir, choisissons ce moment. v.412 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Cher ami, qu'envers toi je me trouve coupable ! v.413 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je t'ai fait un secret dont la charge m'accable ; v.414 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je t'ai craint ; j'ai prévu tes conseils, des discours, v.415 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que ma faible raison me rappelle toujours. v.416 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quand j'ai voulu parler, la honte m'a fait taire ; v.417 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et je crains qu'entre nous l'amitié ne s'altère. v.418 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Durval, j'ai des défauts, et même des plus grands ; v.419 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais je n'ai pas celui d'être de ces tyrans v.420 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Qui font de leurs amis de malheureux esclaves ; v.421 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Leur pénible amitié n'est que fers et qu'entraves ; v.422 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Toujours jaloux, et prêts à se formaliser, v.423 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Il leur faut des sujets qu'ils puissent maîtriser. v.424 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais la vraie amitié n'est point impérieuse ; v.425 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- C'est une liaison libre et délicieuse, v.426 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Dont le coeur et l'esprit, la raison et le temps, v.427 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ont ensemble formé les noeuds toujours charmants ; v.428 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Et sa chaîne, au besoin, plus souple et plus liante, v.429 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Doit prêter de concert, sans qu'on la violente. v.430 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Voilà ce qu'avec vous jusqu'ici j'ai trouvé, v.431 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Et qu'avec moi, je crois, vous avez éprouvé. v.432 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Eh ! Bien, sois donc enfin le seul dépositaire v.433 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- D'un secret dont je vais t'avouer le mystère ; v.434 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que du fond de mon coeur, il passe au fond du tien ; v.435 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qu'il y reste caché, comme il l'est dans le mien. v.436 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mes inclinations, ami, sont bien changées ; v.437 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mes infidélités vont être bien vengées... v.438 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- J'aime... hélas ! Que ce terme exprime faiblement v.439 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Un feu... qui n'est pourtant qu'un renouvellement, v.440 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qu'un retour de tendresse imprévue, inouïe, v.441 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mais qui va décider du reste de ma vie ! v.442 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quoi ! Ton volage coeur se livrera toujours v.443 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- À des feux étrangers, à de folles amours ! v.444 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ces ardeurs autrefois si pures et si tendres, v.445 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne pourront-elles plus renaître de leurs cendres ? v.446 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Tu perds tous les plaisirs que tu cherches ailleurs ; v.447 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- L'inconstance est souvent un des plus grands malheurs. v.448 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Apprends quel est l'objet qui cause mon supplice. v.449 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Non ; je suis ton ami, mais non pas ton complice. v.450 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne m'abandonne pas dans mes plus grands besoins ; v.451 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Permets-moi d'achever : je compte sur tes soins. v.452 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je ne veux point entrer dans cette confidence. v.453 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Je puis t'en informer sans aucune imprudence. v.454 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Cet objet si charmant dont je reprends les lois, v.455 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mais que je crois aimer pour la première fois ; v.456 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Cette femme adorable à qui je rends les armes, v.457 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qui du moins à mes yeux a repris tant de charmes... v.458 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- C'est la mienne. v.459 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Constance ! v.459 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Elle-même. v.459 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ah ! Durval, v.459 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- À mon ravissement rien ne peut être égal... v.460 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- N'est-ce point un dépit, un goût faible et volage, v.461 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Un accès peu durable, un retour de passage ? v.462 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Tu le crains, et Constance en pourra craindre autant. v.463 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qu'il est triste d'avoir été trop inconstant !... v.464 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Le véritable amour se prouve de lui-même. v.465 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Déjà, pour l'assurer de ma tendresse extrême, v.466 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- J'ai, par mille moyens qu'invente mon amour, v.467 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Rassemblé les plaisirs dans cet heureux séjour. v.468 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Apprends donc que je suis cet amant qu'on ignore, v.469 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qui procure sans cesse à l'objet que j'adore v.470 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Tous ces amusements imprévus et nouveaux, v.471 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- dont tout le monde ici soupçonne des rivaux, v.472 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- assez vains pour nourrir une erreur si grossière. v.473 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je lui fais des présents de la même manière... v.474 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On s'attache encor plus par ses propres bienfaits ; v.475 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je le sens, je l'en veux accabler désormais. v.476 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On s'enrichit du bien qu'on fait à ce qu'on aime. v.477 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mais tu dois lui causer un embarras extrême. v.478 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Que peut-elle penser ?... Durval, y songes-tu ? v.479 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Oui, je viens de jouir de toute sa vertu. v.480 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- J'ai vu le trouble affreux dont son âme est atteinte ; v.481 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Cependant je feignais, en écoutant sa plainte ; v.482 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- J'affectais un air libre, et vingt fois j'ai pensé v.483 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Me déclarer... tu vas me traiter d'insensé. v.484 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Malgré tout cet amour dont je t'ai rendu compte, v.485 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je me sens retenu par une fausse honte. v.486 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Un préjugé fatal au bonheur des époux, v.487 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Me force à lui cacher un triomphe si doux. v.488 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je sens le ridicule où cet amour m'expose. v.489 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Comment ! Du ridicule !... et quelle en est la cause ? v.490 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Quoi ! D'aimer sa femme ? v.491 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Oui, le point est délicat : v.491 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour plus d'une raison, je ne veux point d'éclat ; v.492 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je n'ai déjà donné sur moi que trop de prise... v.493 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ce raccommodement devient une entreprise... v.494 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- J'avais imaginé d'obtenir de la cour v.495 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Un congé pour passer deux mois dans ce séjour, v.496 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Sous prétexte de faire ici ton mariage. v.497 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Damon, voilà pourquoi Constance est du voyage : v.498 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- J'y croyais être libre et seul avec les miens, v.499 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je comptais y trouver en secret des moyens v.500 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour pouvoir sans éclat renouer notre chaîne ; v.501 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mais pour les malheureux la prévoyance est vaine. v.502 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ma maison est ouverte à tous les survenants, v.503 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mon rang m'attire ici mille respects gênants... v.504 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Clitandre avec Damis, sans que je les en prie, v.505 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ne se sont-ils pas mis aussi de la partie ? v.506 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Tu les connais, ce sont d'assez mauvais railleurs ; v.507 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Alors contre moi seuls ils deviendront meilleurs. v.508 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ainsi des autres ; c'est à quoi je dois m'attendre... v.509 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je ne pourrai jamais soutenir cette esclandre ; v.510 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Il faudra tout quitter : j'irai me séquestrer, v.511 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ou, pour mieux dire, ici je viendrai m'enterrer v.512 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Avec des campagnards dont tu connais l'espèce, v.513 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Sans que dans mon désert un seul ami paroisse. v.514 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et véritablement, quelle société v.515 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que celle d'un mari de sa femme entêté, v.516 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qui n'a des yeux, des soins, des égards que pour elle, v.517 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et que, pour ainsi dire, elle tient en tutelle ? v.518 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Tout bien examiné, vous verrez qu'un mari v.519 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne doit jamais aimer que la femme d'autrui. v.520 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Tu ris. Suis-je venu pour mettre la réforme ? v.521 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Le serment de s'aimer n'est donc que pour la forme ? v.522 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- L'intérêt le fait taire ; il ne tient qu'un moment... v.523 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Dis-moi, trahirais-tu tout autre engagement ? v.524 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Oserais-tu produire une excuse aussi folle ? v.525 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Au dernier des humains tu tiendrais ta parole ; v.526 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Il saurait t'y forcer, aussi-bien que les lois. v.527 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais une femme n'a pour soutenir ses droits, v.528 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Que sa fidélité, sa faiblesse et ses larmes ; v.529 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Un époux ne craint point de si fragiles armes. v.530 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ah ! Peut-on faire ainsi, sans le moindre remord, v.531 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Un abus si cruel de la loi du plus fort ? v.532 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Je suis désespéré ; mais je cède à l'usage. v.533 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Suis-je le seul ?... Tu sais que l'homme le plus sage v.534 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Doit s'en rendre l'esclave. v.535 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Oui, lorsqu'il ne s'agit v.535 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Que d'un goût passager, d'un meuble ou d'un habit : v.536 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais la vertu n'est point sujette à ses caprices ; v.537 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- La mode n'a point droit de nous donner des vices, v.538 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ou de légitimer le crime au fond des coeurs. v.539 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Il suffit qu'un usage intéresse les moeurs, v.540 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Pour qu'on ne doive plus en être la victime ; v.541 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- L'exemple ne peut pas autoriser un crime. v.542 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Faisons ce qu'on doit faire, et non pas ce qu'on fait. v.543 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais enfin je me sens assez fort en effet, v.544 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour sacrifier tout, sans que je le regrette, v.545 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour aller vivre ensemble au fond d'une retraite. v.546 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mais voilà le parti d'un vrai désespéré. v.547 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Et c'est pourtant le seul que j'aurais préféré. v.548 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Un inconvénient, sans doute inévitable, v.549 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- M'imprime une terreur encor plus véritable. v.550 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Si j'apprends à Constance un triomphe si doux, v.551 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Si ma femme me voit tomber à ses genoux, v.552 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Comment daignera-t-elle user de sa victoire ? v.553 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je crains de lui donner moins d'amour que de gloire ; v.554 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je crains que sa fierté ne surcharge mes fers. v.555 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On en voit tous les jours mille exemples divers. v.556 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On en trouve toujours de toutes les espèces, v.557 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Surtout lorsque l'on cherche à flatter ses faiblesses. v.558 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ce soupçon pour Constance est trop injurieux. v.559 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Tu ne le connais pas, ce sexe impérieux : v.560 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Dans notre abaissement il met son bien suprême ; v.561 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Il veut régner, il veut maîtriser ce qu'il aime, v.562 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et ne croit point jouir du plaisir d'être aimé, v.563 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- S'il n'est pas le tyran du coeur qu'il a charmé. v.564 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ce reproche convient à l'un tout comme à l'autre. v.565 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Eh ! Pourquoi voulons-nous qu'il soit soumis au nôtre ? v.566 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais le traitons-nous mieux, quand nous l'avons séduit ? v.567 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Notre empire commence où le sien est détruit. v.568 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Nous plaindrons-nous toujours, injustes que nous sommes, v.569 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- De ce sexe qui n'a que le défaut des hommes ? v.570 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Quel ridicule orgueil nous fait mésestimer v.571 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ce que nous ne pouvons nous empêcher d'aimer ? v.572 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Constance aura de plus à punir mes parjures, v.573 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- À redouter encor de nouvelles injures, v.574 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- À craindre une rechute, un nouvel abandon ; v.575 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Constance doit me faire acheter mon pardon. v.576 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que de soins, de soupirs, de regrets et de larmes, v.577 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Faudra-t-il que j'oppose à ses justes alarmes ! v.578 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Plus je vais employer de faiblesse et d'amour, v.579 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et plus son ascendant croîtra de jour en jour. v.580 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ah ! C'en est trop, il faut suivre ma destinée, v.581 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- La résolution en est déterminée... v.582 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ah ! Cher ami, reçois le prix de ta vertu. v.583 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Que ce retour heureux va causer !... v.584 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Que dis-tu ? v.584 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quelle méprise ! v.585 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Aux pieds d'une épouse adorable, v.585 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne vas-tu pas reprendre une chaîne durable ? v.586 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Au contraire. v.587 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quoi donc ? v.587 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Je vais me dérober v.587 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Au danger évident où j'allais succomber. v.588 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je renonce aux projets dont je viens de t'instruire. v.589 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Laisse-moi, tes conseils ont pensé me séduire. v.590 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mais songe donc aux biens où tu vas renoncer. v.591 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Sais-tu bien quel arrêt tu viens de prononcer ? v.592 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Il faut donc que Constance expire dans les larmes, v.593 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Lorsqu'elle eût pu te faire un sort si plein de charmes ? v.594 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Que d'attraits, que d'amour, que de plaisirs perdus ! v.595 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Si tu la haïssais, que ferais-tu de plus ? v.596 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Hélas ! Il faut se rendre, et lui sauver la vie. v.597 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- C'en est fait, pour jamais ma honte est asservie... v.598 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Sois content, mon coeur cède, et se rend à l'amour. v.599 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Viens être le témoin du plus tendre retour. v.600 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quelle rencontre, ô ciel ! C'est elle qui s'avance... v.601 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ne ferai-je pas mieux d'éviter sa présence ? v.602 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je retenais Damon qui voulait s'en aller : v.603 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Je crois que devant lui nous pouvons nous parler ? v.604 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Il n'est jamais de trop. v.605 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- On vous a demandée. v.605 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- L'on a dit que madame était incommodée. v.606 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Je l'ai feint, et je viens vous en rendre raison. v.607 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Vous ne m'en devez rendre en aucune façon. v.608 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Hélas ! J'avais besoin d'un peu de solitude. v.609 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Vous savez le sujet de mon inquiétude ; v.610 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Elle augmente sans cesse, et je crains tous les yeux. v.611 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Depuis que l'on m'a fait ces dons injurieux, v.612 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Je n'en puis sans douleur envisager la suite ; v.613 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Je crains d'autoriser une indigne poursuite... v.614 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Est-ce pour ces présents ? On saura vos refus. v.615 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Ah ! J'étais respectée, et je ne le suis plus. v.616 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Rassurez-vous, c'est moi... qui... me charge du blâme. v.617 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- J'en mourrai de douleur. v.618 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Cela suffit, Madame... v.618 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Je ne sais où j'en suis. v.619 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Il faut t'aider un peu. v.619 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Cher ami, n'en fais rien, ou crains mon désaveu. v.620 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qu'avez-vous ? v.621 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Ce n'est rien. J'ai peine à le réduire... v.621 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- C'est à votre sujet... il faut vous en instruire... v.622 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Sachez donc un secret... vous ne le croirez pas... v.623 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Vous voyez devant vous... v.624 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Eh ! Bien ? v.624 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Notre embarras... v.624 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Oui, vous voyez... quelqu'un qui n'ose plus attendre... v.625 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qui craint de compromettre un amour aussi tendre... v.626 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Mais... que ne pouvez-vous lire au fond de son coeur... v.627 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Vous parlez de Damon ? v.628 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Justement. v.628 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Quelle erreur ! v.628 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- En vérité, madame, il parle de lui-même. v.629 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Non, il me fait parler... voyez son trouble extrême... v.630 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Il est timide, il craint de vous trop rabaisser... v.631 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Il n'ose vous prier de vous intéresser v.632 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- À son bonheur. v.633 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Bourreau ! v.633 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Sa crainte est indiscrète. v.633 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Je le disais. v.634 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Il sait combien je le souhaite. v.634 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Ah ! Vous me ravissez : prêtez-lui votre appui. v.635 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Damon y peut compter. v.636 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Moi, je réponds pour lui ; v.636 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Je me rends le garant d'une flamme si belle. v.637 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Morbleu, parlez pour vous. v.638 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Quel garant infidèle ! v.638 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Ôtez donc à Sophie un préjugé fatal v.639 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qu'elle a contre l'hymen. Ah ! Qu'elle en juge mal ! v.640 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qu'au contraire leur sort sera digne d'envie ! v.641 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Non, il n'est point d'état plus heureux dans la vie, v.642 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Pour ceux que la raison et l'amour ont unis. v.643 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- L'hymen seul peut donner des plaisirs infinis ; v.644 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- On en jouit sans peine et sans inquiétude : v.645 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- On se fait l'un pour l'autre une heureuse habitude v.646 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- D'égards, de complaisance, et de soins les plus doux. v.647 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- S'il est un sort heureux, c'est celui d'un époux, v.648 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qui rencontre à la fois dans l'objet qui l'enchante, v.649 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Une épouse chérie, une amie, une amante. v.650 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Quel moyen de n'y pas fixer tous ses désirs ! v.651 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Il trouve son devoir dans le sein des plaisirs. v.652 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Je sens que ce portrait devrait être fidèle. v.653 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Madame, on en pourrait trouver plus d'un modèle. v.654 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Voilà ce que jamais on n'aurait attendu. v.655 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- C'est Clitandre et Damis ; m'auraient-ils entendu ? v.656 (Acte 2, scène 3, DURVAL)
- Venez, rassemblons-nous, la scène est impayable... v.657 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Si risible, en un mot, qu'elle en est incroyable. v.658 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Laisse-m'en rire encore. v.659 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Allons, rions. De quoi ? v.659 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- On m'écrit... tu riras. v.660 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Peut-être. v.660 (Acte 2, scène 3, DURVAL)
- Oh ! Par ma foi, v.660 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Nous ne le craindrons plus, cet aimable volage, v.661 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Ce célèbre coquet, ce galant de notre âge, v.662 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Qui fut le plus heureux de tous les inconstants ; v.663 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Nous le connaissons tous, et même à nos dépens : v.664 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Sainfar. v.665 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Je le connais : son père fut de même ; v.665 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Il était en amour d'une fortune extrême. v.666 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Il faut qu'à son sujet je vous... non, poursuivez ; v.667 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Voyons quels contretemps lui sont donc arrivés. v.668 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Peut-être quelque époux d'humeur moins pacifique, v.669 (Acte 2, scène 3, DAMON)
- En a fait le héros d'une histoire tragique ? v.670 (Acte 2, scène 3, DAMON)
- Est-ce que pour si peu l'on traite ainsi les gens ? v.671 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Non, il n'en a jamais trouvé que d'indulgents. v.672 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Aurait-il fait au jeu quelque dette importune ? v.673 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Non, le jeu n'a jamais dérangé sa fortune. v.674 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Se serait-il battu ? v.675 (Acte 2, scène 3, DURVAL)
- Ce n'est pas son défaut. v.675 (Acte 2, scène 3, DAMIS)
- Est-il disgracié ? v.676 (Acte 2, scène 3, DAMON)
- Bien pis. v.676 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Mort ? v.676 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Autant vaut ; v.676 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Il est amoureux fou. v.677 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- De qui ? v.677 (Acte 2, scène 3, DURVAL_ARGANT_DAMON)
- C'est lettres closes. v.677 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Devine si tu peux, et choisis si tu l'oses : v.678 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Je vous le donne en cent. Qui l'aurait jamais cru ? v.679 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Il est audacieux. v.680 (Acte 2, scène 3, DURVAL)
- Il en a rabattu. v.680 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Une franche coquette a-t-elle su lui plaire ? v.681 (Acte 2, scène 3, DAMON)
- Eh ! Mais, une coquette est un choix ordinaire. v.682 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Est-ce cette marquise assez bien en appas, v.683 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Mais qui ne plaît qu'alors qu'elle n'y pense pas ? v.684 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Non. v.685 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- A-t-il entrepris le coeur de quelque prude ? v.685 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- En tout cas, je le plains ; l'esclavage en est rude ; v.686 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Il faut trop les aimer, et trop correctement. v.687 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Non. v.688 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- C'est donc cette actrice ? v.688 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Eh ! Non, aucunement. v.688 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Mais ne serait-ce point son épouse qu'il aime ? v.689 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Sa femme ! v.690 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Et vraiment oui, c'est sa femme, elle-même... v.690 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Ce sont contes en l'air qu'il vient vous faire ici. v.691 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Pardonnez-moi. v.692 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Sainfar aime sa femme aussi. v.692 (Acte 2, scène 3, DURVAL)
- On vous en avait dit quelque mot à l'oreille ; v.693 (Acte 2, scène 3, DAMIS)
- On ne devine pas une énigme pareille. v.694 (Acte 2, scène 3, DAMIS)
- Pour peu qu'on soit sensé, l'on devine le bien... v.695 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Mais vous vous étonnez fort à propos de rien : v.696 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- C'est un coeur égaré que le devoir ramène, v.697 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Que l'amour fait rentrer dans sa première chaîne, v.698 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Qui n'a jamais trouvé de vrais plaisirs ailleurs, v.699 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Et qui veut être heureux en dépit des railleurs. v.700 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Je crains que ma présence ici ne vous déplaise, v.701 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Je vous laisse railler et médire à votre aise. v.702 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Constance prend la chose affirmativement. v.703 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Bon ! Bon ! C'est pour la forme. v.704 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Elle a grand tort, vraiment. v.704 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Je suis sûr qu'elle en rit dans le fond de son âme... v.705 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Eh ! Bien, notre galant aime jusqu'à sa femme ? v.706 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- C'est avoir pour le sexe un furieux penchant. v.707 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Et que dit-on par-tout d'un retour si touchant ? v.708 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- À ton avis, Durval ? L'enquête me fait rire. v.709 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Parbleu, cette sottise en a fait beaucoup dire. v.710 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- À la cour, à la ville, on l'a tant blasonné, v.711 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Hué, sifflé, berné, brocardé, chansonné, v.712 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Qu'enfin, ne pouvant plus tenir tête à l'orage, v.713 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Avec sa Pénélope il a plié bagage : v.714 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- En fin fond de province, il l'a contrainte à fuir ; v.715 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Ils sont allés s'aimer, et bientôt se haïr. v.716 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- C'est un enlèvement. v.717 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Qui n'est pas fort d'usage. v.717 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Ce n'est point là le but que le sexe envisage ; v.718 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Lorsqu'au nôtre il veut bien se laisser assortir, v.719 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- C'est d'entrer dans le monde, et non pas d'en sortir. v.720 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Ils jouissent, sans doute, au fond de leur retraite, v.721 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- D'une félicité qui doit être parfaite. v.722 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- Sainfar n'a de ses jours été si malheureux ; v.723 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Il adore en esclave un tyran dédaigneux, v.724 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Un maître dont il est le premier domestique, v.725 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Qui trop sûr à présent d'un pouvoir despotique, v.726 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Le punit du passé, se venge de l'ennui v.727 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- De se voir enterré de la sorte avec lui. v.728 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Sa femme l'a remis à son apprentissage. v.729 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- C'est à recommencer. v.730 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Sans doute, c'est l'usage... v.730 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Cet homme est possédé du démon conjugal. v.731 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Possédé de sa femme... Eh ! Ris-en donc, Durval. v.732 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Oui... Rien n'est plus plaisant... Quelle épreuve !... J'enrage. v.733 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- C'est un homme perdu, noyé dans son ménage. v.734 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Abîmé. v.735 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Confisqué. v.735 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Nul. v.735 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Ami, quels propos ! v.735 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- Depuis quand n'oses-tu rire aux dépens des sots ? v.736 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Moi ? Point du tout ; j'en ris autant qu'il m'est possible. v.737 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- Pour qui donc cette histoire est-elle si risible ? v.738 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Pour des évaporés, des gens avantageux, v.739 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Qui croiraient composer tout le public entre eux, v.740 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Et qui ne sont pour lui qu'un sujet de scandale. v.741 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Mais je vous crois, messieurs, un peu plus de morale : v.742 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Non, vous ne pensez pas ce que vous avancez. v.743 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- À tous autres qu'à vous, à des gens moins sensés, v.744 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Je dirais, indigné de tout ce badinage, v.745 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Si l'amour du devoir n'est pas à votre usage, v.746 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Laissez-le pratiquer, sans y prendre intérêt ; v.747 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Oui, laissez la vertu du moins pour ce qu'elle est. v.748 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Je n'ai jamais douté de ta philosophie ; v.749 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Nous en ferons ta cour à l'aimable Sophie. v.750 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Que ceux à qui je parle en fassent leur profit ; v.751 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Du reste, je vous suis obligé. v.752 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- C'est bien dit. v.752 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Moi, je crois qu'on peut rire, et même sans scrupule, v.753 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- D'un amour que le monde a jugé ridicule. v.754 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Sainfar est dans le cas ; on en est convenu. v.755 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Il a pris un travers assez bien reconnu, v.756 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Puisque son aventure est mise en comédie. v.757 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Tout de bon ? v.758 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- J'ai la pièce ; on l'a fort applaudie : v.758 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Nous sommes dans le goût d'en jouer entre nous ; v.759 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Nous jouerons celle-ci... messieurs, qu'en dites-vous ? v.760 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Volontiers. v.761 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Si l'on veut. v.761 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- C'est une farce infâme. v.761 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- On la nomme l'époux amoureux de sa femme. v.762 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Bon ! C'est un des travers qu'on doit moins épargner : v.763 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Il n'est pas fort commun : mais il pourrait gagner ; v.764 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Et la société n'y ferait pas son compte. v.765 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Combien il est d'époux retenus par la honte ! v.766 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Tant mieux... aurai-je un rôle ? v.767 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Oui, sans doute. v.767 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Fort bien. v.768 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Les dames y joueront : Constance aura le sien, v.768 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Elle sera l'épouse aimée à toute outrance : v.769 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Durval contrefera l'amoureux de Constance : v.770 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Damon aura tout juste un rôle de Caton ; v.771 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Toi, celui d'étourdi. v.772 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- L'arrangement est bon. v.772 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Il nous faut un valet : qui pourrait bien le faire ?... v.773 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Ah ! Ton valet-de-chambre, Henri ; c'est notre affaire. v.774 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Ainsi du reste. v.775 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Oui ; mais ne comptez pas sur moi. v.775 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Durval, tu te fais fort apparemment ? v.776 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- De quoi ? v.776 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- C'est d'engager Constance à jouer dans la pièce. v.777 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Je vais la prévenir, aussi-bien que ma nièce. v.778 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Détermine Damon : quant à toi, tu sais bien v.779 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Que l'on doit se prêter ; tu ne risqueras rien. v.780 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- En est-ce assez ? Dis-moi, que pourras-tu répondre ? v.781 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Il fallait cet exemple, afin de te confondre. v.782 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Où m'allais-je embarquer ?... ne me presse donc plus ; v.783 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Tes conseils désormais deviendraient superflus. v.784 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Vous permettez qu'on joue une farce indiscrète, v.785 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Et vous y prenez même un rôle. v.786 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Oui, je m'y prête. v.786 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- À ma femme du moins je parlerai d'amour ; v.787 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Je verrai ses beaux yeux y répondre à leur tour ; v.788 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- J'en jouirai sans risque, et sans me compromettre. v.789 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Hélas ! C'est un plaisir qu'on doit bien me permettre... v.790 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- J'aurais dû refuser... oui, je me trahirai : v.791 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- On verra que je sens tout ce que je dirai. v.792 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Je mettrai, malgré moi, trop d'amour dans mon rôle ; v.793 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Je me perdrais : je vais retirer ma parole. v.794 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Est-il temps ? Il fallait ne pas tant s'avancer. v.795 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Constance est prévenue, elle pourra penser v.796 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Que tu n'as refusé que par mépris pour elle. v.797 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Il le faut embarquer. v.798 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Ta remarque est cruelle... v.798 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Je ferai beaucoup mieux de tout abandonner ; v.799 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- De prétexter un ordre, et de m'en retourner ; v.800 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Je le vais annoncer, et partir tout de suite. v.801 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Quelle faiblesse ! v.802 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Écoute : avant que je les quitte, v.802 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- J'ai fait peindre Constance en secret, et je crois v.803 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Que son portrait est fait ; car c'est depuis un mois v.804 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Qu'on est après. Le peintre est dans le voisinage, v.805 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Vois si par aventure il a fini l'ouvrage : v.806 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- C'est un soulagement dont mes yeux ont besoin, v.807 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Je voudrais l'emporter. v.808 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Va, je prendrai ce soin. v.808 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Mais tu ne partiras peut-être pas si vite ? v.809 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Dès ce soir même. v.810 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Il faut que j'empêche sa fuite. v.810 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Si la mode empoisonne un naturel heureux, v.811 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- À quoi sert le bonheur d'être né vertueux ? v.812 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Enfin Durval nous reste, et j'en ai sa parole ; v.813 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- Je crois avoir détruit son préjugé frivole. v.814 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- C'est un retour heureux qui n'est dû qu'à mes soins ; v.815 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- Sophie a contre moi ce prétexte de moins. v.816 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- Sachons s'il est le seul qui me reste à détruire... v.817 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- Mais devrais-je chercher à vouloir m'en instruire ?... v.818 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- Ah ! Vous voici, monsieur ! Entrez-vous au concert ? v.819 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je vous suis. v.820 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- À propos, est-il vrai qu'on vous perd ? v.820 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Ce terme est trop flatteur ; mais je sais le réduire v.821 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- À sa juste valeur. v.822 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Eh ! Tâchez de m'instruire. v.822 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Durval devait partir, un contre-ordre est venu ; v.823 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- C'est par ce contre-temps que je suis retenu. v.824 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Un contre-temps, Monsieur ! v.825 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Qui fait que j'offre encore v.825 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Un objet qui déplaît à celui que j'adore. v.826 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Mais, par votre ordre enfin, j'ai reçu mon arrêt ; v.827 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je l'exécuterai, tout injuste qu'il est... v.828 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Pardonnez ce murmure, il est bien légitime v.829 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Au malheureux à qui l'on va chercher un crime v.830 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Au fond d'un avenir qui n'est pas fait pour lui : v.831 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- On me punit de ceux dont on soupçonne autrui. v.832 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je vois qu'on vous a fait un rapport trop fidèle ; v.833 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- On pouvait l'adoucir. v.834 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Il est donc vrai, cruelle ? v.834 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Un autre plus heureux, plus digne apparemment... v.835 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Me ferait encor moins changer de sentiment. v.836 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Ai-je pu m'attirer un refus légitime ? v.837 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- J'aurais eu votre coeur, si j'avais votre estime. v.838 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Puisque vous en tirez cette conclusion, v.839 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je n'ai rien à répondre en cette occasion. v.840 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Quoi ! Faut-il vous aimer pour vous rendre justice ? v.841 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- C'est exiger de vous un trop grand sacrifice. v.842 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Vous aimez votre erreur. v.843 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Non... j'en voudrais guérir. v.843 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mais enfin, si celui qui sert à la nourrir, v.844 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Si Durval... v.845 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je connais jusqu'où va votre zèle ; v.845 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Que vous justifiez cet époux infidèle. v.846 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Madame, supposons qu'il soit... v.847 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Oui, tel qu'il est. v.847 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Eh ! Bien, en convenant de tout ce qui vous plaît... v.848 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Vous aurez tort ; et moi, j'ai de justes alarmes... v.849 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Vous m'allez opposer des discours pleins de charmes, v.850 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Me jurer un amour qui durera toujours. v.851 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Constance fut séduite avec ces beaux discours. v.852 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Qu'elle en a fait depuis une épreuve cruelle ! v.853 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Vous la voyez : elle est étrangère chez elle ; v.854 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Une personne à charge, et sans autorité ; v.855 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Exposée au mépris, à la témérité ; v.856 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Réduite, pour tout bien, au nom qu'elle partage v.857 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Avec un infidèle : inutile avantage ! v.858 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Sans l'amour d'un époux, nous sommes sans éclat : v.859 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Son coeur fait notre titre, et nous donne un état. v.860 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mais cet homme, en un mot, que vous jugez coupable, v.861 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- D'un généreux retour est-il donc incapable ? v.862 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Il est accoutumé ; cela ne se peut pas. v.863 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Quand on s'égare, on peut revenir sur ses pas. v.864 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Il ne reviendra point, j'en suis trop assurée : v.865 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Son humeur inconstante est trop bien avérée : v.866 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Son exemple, en un mot... Eh ! Croyez-vous ?... Mais non. v.867 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Quoi !... v.868 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Ce que je voulais dire est hors de saison. v.868 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je suis trop malheureux pour avoir rien à craindre. v.869 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Parlez, de grâce. v.870 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Il est inutile de feindre. v.870 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Écoutez : je suis franche, et vous l'allez bien voir. v.871 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Oui, je sens tout le prix que vous pouvez valoir ; v.872 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je crois connaître à fond votre heureux caractère ; v.873 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Autant que votre amour, votre vertu m'est chère : v.874 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Peut-être l'on pourrait vivre heureuse avec vous, v.875 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Si la constance était au pouvoir d'un époux : v.876 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mais la fatalité que l'hyménée entraîne... v.877 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Durval vous ressemblait. v.878 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mais s'il reprend sa chaîne... v.878 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Lorsque l'on craint pour vous, vous répondez d'autrui. v.879 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Damon, vous me perdrez, si vous comptez sur lui. v.880 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mais du moins laissez-moi cette unique espérance : v.881 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Promettez de vous rendre à ma persévérance, v.882 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Si Durval... v.883 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- En ce cas... v.883 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Achevez, prononcez... v.883 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Eh ! Quoi, vous hésitez ? v.884 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Mais vous m'embarrassez. v.884 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Quel risque courez-vous, si vous êtes si sûre v.885 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Que Durval, dites-vous, sera toujours parjure ? v.886 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- À quoi servira-t-il de nourrir votre amour ?... v.887 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Le croyez-vous bien sûr, ce prétendu retour ? v.888 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- On pourrait l'espérer. v.889 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Eh ! Bien, il faut l'attendre. v.889 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Comment ? v.890 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Jusqu'à ce temps je ne veux rien entendre v.890 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Qui puisse m'exposer en aucune façon. v.891 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Vous exposer ! v.892 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Suffit. v.892 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- En quoi ? v.892 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- J'ai mes raisons. v.892 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- En un mot, je prétends... v.893 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Imposez sans réserve, v.893 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- il n'est point de traité qu'avec vous je n'observe. v.894 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je ne m'engage à rien. v.895 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Moi, je m'engage à tout. v.895 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Peut-être. v.896 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- En doutez-vous ? v.896 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Écoutez jusqu'au bout. v.896 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- J'exige... Vous m'aimez ? v.897 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Ah ! Si je vous adore ? v.897 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Eh ! Bien, je vous défends de m'en parler encore. v.898 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Supprimez désormais ces discours séducteurs, v.899 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Ces soupirs, ces regards, et ces soins enchanteurs, v.900 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Dont toute autre que moi se laisserait surprendre. v.901 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Enfin, je ne veux plus avoir à me défendre. v.902 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- De quel soulagement voulez-vous me priver ? v.903 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Ce bienheureux retour peut ne pas arriver. v.904 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je vous adorerais sans pouvoir vous le dire ! v.905 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Vous n'avez que trop pris le soin de m'en instruire. v.906 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Vous voulez l'oublier ; dois-je vous obéir ? v.907 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Damon, vous voulez donc me contraindre à vous fuir ? v.908 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mon malheureux amour se fera violence ; v.909 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je vais le condamner au plus cruel silence. v.910 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- De plus, je vous défends jusques au mot d'amour. v.911 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Il faut s'y conformer jusques à ce retour. v.912 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Oui, cruelle, malgré tout l'amour qui me presse, v.913 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Comptez sur un respect égal à ma tendresse... v.914 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je vous promets bien plus que je ne puis tenir. v.915 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Oui, ma bouche et mes yeux sauront se contenir. v.916 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- J'en jure à vos genoux : si jamais je m'oublie... v.917 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Damon, est-ce donc là le serment qui vous lie ? v.918 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Me serais-je échappé ? v.919 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je le crois... au surplus... v.919 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Encore... une autre fois ne nous oublions plus. v.920 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je serai donc heureux, et je le suis d'avance : v.921 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Je jouis des plaisirs que donne l'espérance. v.922 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Durval m'a tout promis, allons le retrouver ; v.923 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Dans le bosquet prochain il s'occupe à rêver. v.924 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Damon, voilà ton rôle. v.925 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- Oh ! Faites-moi la grâce v.925 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- De ne pas m'en charger ; que quelqu'autre le fasse. v.926 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- On le lui fera prendre... ah ! Je te cherche aussi. v.927 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- C'était pour te donner ton rôle ; le voici. v.928 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Tu sors de chez Constance ? v.929 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Oui, j'étais chez les dames, v.929 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Où je viens d'obliger au moins cinq ou six femmes. v.930 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Peut-on savoir comment ? v.931 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- J'ai joué, j'ai perdu. v.931 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- C'est bien faire ta cour. v.932 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- N'est-ce pas ? Qu'en dis-tu ? v.932 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Voilà le vrai moyen d'être un homme adorable. v.933 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Je n'ai pas, comme toi, ce secret admirable. v.934 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Marquis, tu n'es pas moins un homme merveilleux. v.935 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Ah ! Merveilleux toi-même. v.936 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Ami, j'ai de bons yeux : v.936 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Et celle à qui l'on donne ici toutes ces fêtes, v.937 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Sera-t-elle bientôt au rang de tes conquêtes ? v.938 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- C'est de toi qu'il faudrait avoir pris des leçons. v.939 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Quoi ! Tu voudrais sur moi détourner les soupçons ! v.940 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Tant de discrétion m'alarme et m'épouvante. v.941 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Jamais je ne me vante. v.942 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Eh ! Qui diable se vante ? v.942 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Des sots. v.943 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Sans contredit. v.943 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Des têtes à l'évent. v.943 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Quand j'en trouve, (cela m'arrive assez souvent) v.944 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Mon plus grand plaisir est de leur rompre en visière. v.945 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Je les traite à peu près de la même manière... v.946 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- À propos, sais-tu bien ?... v.947 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Non. v.947 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Que sans y songer... v.947 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Quoi ? v.948 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Nous pourrions nous nuire : il faudrait s'arranger, v.948 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Et nous concilier dans certaine occurrence, v.949 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Pour ne nous pas trouver tous deux en concurrence. v.950 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Je t'entends. v.951 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- C'est un fat que je veux dérouter. v.951 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Nous sommes l'un pour l'autre assez à redouter. v.952 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Oui, c'est le mot. Ainsi, dans nos galanteries, v.953 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Entendons-nous ; sur-tout point de supercheries : v.954 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Entre nous seulement soyons honnêtes gens : v.955 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous sommes en amour assez intelligents ; v.956 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous avons sous la main vingt conquêtes pour une. v.957 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Il est vrai. v.958 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Partageons entre nous la fortune : v.958 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Établis ton quartier. v.959 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Le mien sera partout. v.959 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Tu ris. Ne cherchons point à nous pousser à bout : v.960 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Il faut rouler, il faut avancer : le temps passe ; v.961 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous en perdrions trop devant la même place... v.962 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- D'ailleurs, certain égard nous convient à tous deux. v.963 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Si la même maîtresse est l'objet de nos voeux, v.964 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- L'embarras de choisir la rendra trop perplexe. v.965 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Ma foi, marquis, il faut avoir pitié du sexe, v.966 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Et lui faciliter sa gloire et ses plaisirs ; v.967 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- C'est pourquoi convenons. v.968 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Je cède à tes désirs. v.968 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Eh ! Bien, quel est le coeur où tu veux t'introduire ? v.969 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Et toi, quel est celui que tu voudrais séduire ? v.970 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Quant à moi, c'en est un de difficile accès. v.971 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Mon choix n'annonçait pas un facile succès. v.972 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Es-tu bien avancé ? v.973 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- J'espère. v.973 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Et moi, de même... v.973 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Nous espérons tous deux, ma joie en est extrême ; v.974 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous ne nous croisons pas. v.975 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Je t'en fais compliment. v.975 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Ma concurrence eût pu te nuire également. v.976 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Je vais pousser ma chance, et toi songe à la tienne. v.977 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Dans peu je te rendrai bon compte de la mienne. v.978 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Va, c'est où je t'attends. Je rabattrai les airs v.979 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Du fat le plus parfait qui soit dans l'univers. v.980 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Oh ! Parbleu, nous verrons qui s'en fait plus accroire : v.981 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Je ne puis être aimé ; mais j'en aurai la gloire. v.982 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Il en veut à Constance indubitablement ; v.983 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- C'est, aussi bien que moi, fort inutilement. v.984 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Nous nous sommes joués, il trouvera son maître : v.985 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- On n'est heureux qu'autant qu'on se donne pour l'être. v.986 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Je sais me fabriquer des preuves de bonheur : v.987 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- J'ai là certain portrait qui doit me faire honneur... v.988 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Durval, voilà ton rôle et celui de Constance. v.989 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- Pour Damon, je n'ai pu vaincre sa résistance : v.990 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- Je te laisse ce soin. v.991 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- Donne, il le voudra bien. v.991 (Acte 3, scène 7, DURVAL)
- Je vais chercher Argant, et lui donner le sien. v.992 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- À quoi t'amuses-tu ? Vas-tu lire ces rôles ? v.993 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Eh ! Morbleu ! Laisse-là des choses aussi folles. v.994 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Je regardais sans voir : mon esprit occupé v.995 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Du pas que je vais faire, est encore frappé. v.996 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- De toutes mes terreurs, il m'en reste encore une, v.997 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Qui malheureusement est la plus importune. v.998 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Me garantiras-tu ?... mais tu ne le peux pas... v.999 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- En renouant des noeuds pour moi si pleins d'appas, v.1000 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Retrouverai-je encor sa première tendresse, v.1001 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Cette conformité, cette même faiblesse, v.1002 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Ce penchant naturel, ce rapport enchanteur, v.1003 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Que le ciel pour moi seul avait mis dans son coeur, v.1004 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Et que je trouve encor dans le fond de mon âme ? v.1005 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- J'ai cessé trop longtemps d'entretenir sa flamme. v.1006 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Eh ! De quoi son amour se serait-il nourri ? v.1007 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Dans le fond de son coeur il doit avoir péri. v.1008 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Ce soupçon est fondé sur trop de circonstances. v.1009 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Vois comme elle a souffert toutes mes instances. v.1010 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Non, de si grands chagrins ne sont point si secrets ; v.1011 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Ils s'exhalent en pleurs, en soupirs, en regrets. v.1012 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- M'a-t-elle seulement honoré de ses larmes ? v.1013 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- En a-t-elle perdu le moindre de ses charmes ? v.1014 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Ah ! Ne t'y trompe pas ; c'est un calme apparent, v.1015 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Et d'un coeur vertueux c'est l'effort le plus grand. v.1016 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- On ménage un ingrat qu'on trouve encore aimable. v.1017 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Peut-être que d'ailleurs cette épouse estimable, v.1018 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Ne sait pas à quel point ses malheurs ont été : v.1019 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Tous tes égarements n'ont point trop éclaté. v.1020 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Une femme sensée est fort peu curieuse v.1021 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- De ce qui peut la rendre encor plus malheureuse. v.1022 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- En tout cas, sa vertu te répond... v.1023 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Quel espoir ! v.1023 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Quel amour, que celui qu'on ne doit qu'au devoir ! v.1024 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- N'importe. Va trouver ton aimable Sophie ; v.1025 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Annonce-lui qu'enfin je me réconcilie ; v.1026 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Vante-lui mon amour, pour avancer le tien... v.1027 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Mais non ; attends encore, ami ; ne lui dis rien. v.1028 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Je crois qu'il vaudrait mieux que Constance lui dise... v.1029 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Va, je vais achever cette grande entreprise. v.1030 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Pour la dernière fois je puis donc y compter ? v.1031 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Cher ami, tu me fais injure d'en douter. v.1032 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Ai-je là quelqu'un ?... Hé !... Va-t-en et reviens vite. v.1033 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Lequel des deux ? De quoi faut-il que je m'acquitte ? v.1034 (Acte 3, scène 9, HENRI)
- Va voir si quelqu'un est dans son appartement : v.1035 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Va, cours, vole, et reviens le dire promptement. v.1036 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Que fais-tu là, planté contre cette muraille ? v.1037 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- À quel appartement, monsieur, faut-il que j'aille ? v.1038 (Acte 3, scène 9, HENRI)
- Plaît-il ? Une autre fois tâchez de m'écouter. v.1039 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Ce que l'on n'a point dit, peut bien se répéter. v.1040 (Acte 3, scène 9, HENRI)
- Qu'on sache si madame a du monde chez elle. v.1041 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Chez madame ! Ma foi, l'ambassade est nouvelle. v.1042 (Acte 3, scène 9, HENRI)
- Pourvu qu'elle soit seule... aurai-je ce bonheur ? v.1043 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Pourrai-je, sans témoins, débarrasser mon coeur v.1044 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- D'un secret, dont le poids sans cesse se redouble ?... v.1045 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Mais il ne revient point... le voici... je me trouble... v.1046 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Que va-t-il m'annoncer ? v.1047 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Monsieur, présentement v.1047 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Clitandre et Damis. v.1048 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Sont chez elle apparemment. v.1048 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Que je suis malheureux ! Remettons la partie. v.1049 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Oui ; mais la compagnie à l'instant est sortie ; v.1050 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- En sorte que madame est seule en ce moment. v.1051 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Comment ! Madame est seule ? v.1052 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Oui, seule, absolument. v.1052 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Est-il sûr ? L'as-tu vu ? v.1053 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Le rapport est fidèle. v.1053 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Oui, Monsieur, elle n'a que Florine avec elle. v.1054 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Florine, me dis-tu ? Mais... c'est toujours quelqu'un... v.1055 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je pourrai renvoyer ce témoin importun... v.1056 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Allons... il faut aller... puisque tout me seconde. v.1057 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Mais je ne songe pas qu'il peut entrer du monde. v.1058 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je suis trop obsédé... ne pourrai-je jamais v.1059 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Disposer d'un moment au gré de mes souhaits ?... v.1060 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Quel contretemps s'oppose à ce que je désire !... v.1061 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Oui ; car pour expliquer ce qui me reste à dire, v.1062 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Il me faut... je n'aurai qu'un entretien en l'air... v.1063 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Irai-je commencer, et fuir comme un éclair ? v.1064 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je ne puis m'enfermer sans que l'on en raisonne... v.1065 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Que faire... aussi, d'où vient que Damon m'abandonne ?... v.1066 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je ne puis le risquer... il faut y renoncer... v.1067 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Il me vient dans l'esprit... oui, c'est bien mieux penser. v.1068 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Assurément... sans doute... aussi-bien sa présence... v.1069 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Ses charmes... ses regards, dont je sais la puissance... v.1070 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Mes remords... mon amour, dans ce terrible instant, v.1071 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Causeraient dans mes sens un désordre trop grand. v.1072 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Ah ! Qu'il est malaisé, quand l'amour est extrême, v.1073 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- De parler aussi-bien qu'on pense à ce qu'on aime !... v.1074 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Approche cette table... un fauteuil... est-ce fait ?... v.1075 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Ai-je là ce qu'il faut ?... une lettre, en effet, v.1076 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Préparera bien mieux ma première visite. v.1077 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Le plus fort sera fait ; le reste ira de suite. v.1078 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- C'est affaire de coeur. Parbleu, depuis longtemps, v.1079 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Le patron reprenait haleine à mes dépens... v.1080 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Tant mieux : plus un maître aime, et plus un valet gagne. v.1081 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Allons, apprêtons-nous à battre la campagne. v.1082 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- J'ai bien l'air de coucher hors d'ici. v.1083 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Sûrement, v.1083 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je n'aurai de ma vie écrit si tendrement. v.1084 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je prépare à Constance une aimable surprise. v.1085 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- J'ai là certains papiers, il faut que je les lise. v.1086 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Voyons, tandis qu'il fait éclore son poulet, v.1087 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Quel est mon rôle. à moi, le rôle de valet ! v.1088 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Mais cela ne va point avec mon ministère : v.1089 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Je suis homme de chambre, et presque secrétaire : v.1090 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- À quelqu'un de nos gens il pourrait convenir... v.1091 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Sachons donc à qui j'ai l'honneur d'appartenir... v.1092 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Je veux être pendu, si j'entends cette gamme... v.1093 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Ah ! Je sers un époux amoureux de sa femme. v.1094 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Ventrebleu, le sot maître à qui l'on m'a donné ! v.1095 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Oui-dà, le personnage est bien imaginé. v.1096 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Ce maraud me distrait. C'est son rôle, je gage. v.1097 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Monsieur, je m'entretiens avec mon personnage... v.1098 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Peste ! En voici bien long tout d'un article écrit ! v.1099 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Voyons : c'est moi qui parle ; aurai-je de l'esprit ? v.1100 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Oui, Nérine, je suis à l'imbécile maître, v.1101 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Qui s'est acoquiné, dans ce taudis champêtre, v.1102 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- À la triste moitié, dont il s'est empêtré ; v.1103 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Son ridicule amour ici l'a séquestré : v.1104 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- C'est un oison bridé, tapi dans sa retraite, v.1105 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Qui n'a plus que l'instinct que sa femme lui prête. v.1106 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Le bel équivalent, au lieu du sens commun ! v.1107 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Faquin... Contenons-nous... Chassons cet importun. v.1108 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Vous plairait-il d'aller un peu plus loin attendre ? v.1109 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Aurais-je dû le dire ? Ayez soin de m'entendre, v.1110 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Lorsque j'appellerai ; que l'on se tienne prêt. v.1111 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Allons ; hé ! Qu'on me selle un coureur vif et frais. v.1112 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Le parti que je prends est donc bien ridicule, v.1113 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Si jusqu'à des valets... étouffons ce scrupule... v.1114 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Ce coquin sortira... je ne sais où j'en suis... v.1115 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Continuons pourtant... achevons, si je puis. v.1116 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Puissé-je en voir l'effet que j'ose m'en promettre ! v.1117 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Hola... Henri... voyons, relisons cette lettre. v.1118 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- C'est trop entretenir vos mortelles douleurs ; v.1119 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- L'ingrat que vous pleurez, ne fait plus vos malheurs... v.1120 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Je la puis envoyer... mettons ma signature... v.1121 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Je voudrais me pouvoir trouver à la lecture. v.1122 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Ah ! J'oubliais d'y joindre aussi ces diamants. v.1123 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Constance est peu sensible à ces vains ornements ; v.1124 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Mais je me satisfais, j'embellis ce que j'aime. v.1125 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Henri !... Les valets sont d'une lenteur extrême. v.1126 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Monsieur, me voilà prêt ; vous n'avez qu'à parler. v.1127 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Quel est cet équipage ? Où crois-tu donc aller ? v.1128 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- À Paris... c'est, je crois, vers certaine duchesse... v.1129 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Vous vous reprenez donc pour elle de tendresse ? v.1130 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Tu n'iras pas si loin. v.1131 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- Ma foi, monsieur, tant pis. v.1131 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Elle se vengera, je vous en avertis. v.1132 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- La duchesse se plaint que, pour rompre avec elle, v.1133 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Et lui mieux déguiser une intrigue nouvelle, v.1134 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Avec madame vous... feignez de renouer. v.1135 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Je ne sais pas quel tour elle veut vous jouer ; v.1136 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Mais... tout franc, convenez que votre amour la traite v.1137 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Comme je traiterais une simple soubrette. v.1138 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Va chercher la réponse, et donne cet écrin. v.1139 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- Et des bijoux aussi ! L'affaire ira grand train. v.1140 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Finissons ces discours ; va-t-en où je t'envoie : v.1141 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- Je t'attends ; que sur-tout personne ne te voie. v.1142 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- D'un terrible fardeau me voilà soulagé... v.1143 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- ne me serai-je pas un peu trop engagé ? v.1144 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- Je le crains : cependant l'affaire est embarquée. v.1145 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- Oui, mon impatience est un peu trop marquée... v.1146 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- Il est bien dangereux de montrer tant d'amour. v.1147 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- Mais qu'y faire à présent... te voilà de retour ? v.1148 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- Eh ! Bien, quelle réponse ? v.1149 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Elle est encore à faire. v.1149 (Acte 3, scène 15, HENRI)
- Un petit mot d'adresse eût été nécessaire. v.1150 (Acte 3, scène 15, HENRI)
- Étourdi. v.1151 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Regardez... parmi tant de beautés v.1151 (Acte 3, scène 15, HENRI)
- Que le bal nous attire ici de tous côtés, v.1152 (Acte 3, scène 15, HENRI)
- Je n'ai pu démêler quelle est la favorite. v.1153 (Acte 3, scène 15, HENRI)
- N'ai-je pas dit l'adresse ? v.1154 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Ah ! Si vous l'aviez dite. v.1154 (Acte 3, scène 15, HENRI)
- Non ? Tant mieux ; ce coquin ignore mon secret. v.1155 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Cette lettre est de trop ; j'en avais du regret. v.1156 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Cet écrin peut suffire ; il faut que je le mette v.1157 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Moi-même adroitement tantôt sur sa toilette. v.1158 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Constance, avec raison, viendra me confier v.1159 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Cette insulte nouvelle, et s'en justifier : v.1160 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Notre explication sera plus naturelle, v.1161 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Et je serai bien moins compromis avec elle. v.1162 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- C'est bien dit ; je m'en tiens à ce dernier moyen : v.1163 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Damon l'approuverait. Je n'ai besoin de rien. v.1164 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Je suis perdu, s'il fait lui-même ses affaires. v.1165 (Acte 3, scène 16, HENRI)
- Diable ! Ceci m'aurait donné des honoraires... v.1166 (Acte 3, scène 16, HENRI)
- Dans le premier mémoire il faudra les compter. v.1167 (Acte 3, scène 16, HENRI)
- Item, pour un présent que j'aurais dû porter, v.1168 (Acte 3, scène 16, HENRI)
- Qui m'aurait dû valoir en espèce courante, v.1169 (Acte 3, scène 16, HENRI)
- Combien ? Dix, vingt louis ; ma foi, mettons-en trente. v.1170 (Acte 3, scène 16, HENRI)
- Durval n'est point ici : va, ne perds point de temps ; v.1171 (Acte 4, scène 1, CONSTANCE)
- Tâche de le trouver, dis-lui que je l'attends ; v.1172 (Acte 4, scène 1, CONSTANCE)
- Mais ne lui parle point du sujet qui m'agite ; v.1173 (Acte 4, scène 1, CONSTANCE)
- Il ne daignerait pas me rendre une visite. v.1174 (Acte 4, scène 1, CONSTANCE)
- Fais en sorte, en un mot, que je puisse le voir. v.1175 (Acte 4, scène 1, CONSTANCE)
- J'y cours ; mais je ne sais si j'aurai ce pouvoir. v.1176 (Acte 4, scène 1, FLORINE)
- Eh ! Quoi ! De tous côtés la fortune ennemie v.1177 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- S'obstine à traverser ma déplorable vie ! v.1178 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Au moment que je prends un trop crédule espoir, v.1179 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- On vient me l'arracher par le trait le plus noir. v.1180 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Un inconnu m'apporte une preuve trop sûre v.1181 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Des mépris d'un ingrat, et d'un nouveau parjure. v.1182 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Une rivale indigne, et barbare à la fois, v.1183 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- M'avertit que Durval, qui vivait sous ses lois, v.1184 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- La quitte, la trahit pour prendre d'autres chaînes... v.1185 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Est-ce elle qu'il trahit ? Et pour surcroît de peines, v.1186 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Il semble qu'on se plaise encore à redoubler v.1187 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Ces indignes présents, dont on veut m'accabler. v.1188 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- As-tu trouvé Durval ? v.1189 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Non, ma recherche est vaine. v.1189 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Quel fâcheux contretemps ! v.1190 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- On dit qu'il se promène. v.1190 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Je l'attendrai. Je veux m'expliquer avec lui : v.1191 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je ne puis plus souffrir l'excès de mon ennui. v.1192 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Oui, madame, éclatez, cessez de vous contraindre : v.1193 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Quand on n'est plus aimée, il faut se faire craindre. v.1194 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Quand on n'est plus aimée ! v.1195 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- On peut le mener loin. v.1195 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Moi, je déposerais, s'il en était besoin. v.1196 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Je ne veux employer que mes uniques armes. v.1197 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Eh ! Qui sont-elles donc ? v.1198 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Les soupirs et les larmes. v.1198 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Bon ! Il Vous laissera gémir et soupirer. v.1199 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- On croit nous faire grâce, en nous faisant pleurer : v.1200 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- On ne convient jamais des chagrins qu'on nous donne : v.1201 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- On croit que dans nos coeurs le plaisir s'empoisonne ; v.1202 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Que le sexe se fait lui-même son tourment, v.1203 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Et qu'il n'a pas l'esprit d'être jamais content. v.1204 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Servez-vous contre lui de ces lettres fatales, v.1205 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Que vous a fait remettre une de vos rivales. v.1206 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Que j'aurais de plaisir à confondre un ingrat ! v.1207 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Je me garderai bien de faire cet éclat. v.1208 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Il ne saura jamais, si j'en suis la maîtresse, v.1209 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Que je sais à quel point il trahit ma tendresse. v.1210 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je ne veux point aigrir son coeur et son esprit, v.1211 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Ni détruire un espoir que mon amour nourrit. v.1212 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- En feignant d'ignorer, et de vivre tranquille, v.1213 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- J'assure à mon volage un retour plus facile : v.1214 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je lui donne un moyen de me mieux abuser, v.1215 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Et, quand il le voudra, de se mieux excuser. v.1216 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je veux lui demander ce qu'il faut que je fasse v.1217 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Des présents qu'on m'a faits, et qu'il m'en débarrasse : v.1218 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je veux entre ses mains remettre cet écrin. v.1219 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Vous en aurez, madame, encore du chagrin ; v.1220 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Ce ne sera, pour lui, que des galanteries : v.1221 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Il vous éconduira par des plaisanteries, v.1222 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Comme il a déjà fait : vous aurez la douleur v.1223 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- De ne le pas trouver sensible à son honneur. v.1224 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Tu le crois ?... Il est vrai... J'y serais trop sensible ; v.1225 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Mon coeur, que je contiens dans un calme pénible, v.1226 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Pour la première fois ne m'obéirait plus, v.1227 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Et j'en aurais après des regrets superflus. v.1228 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Fuyons l'occasion, peut-être inévitable, v.1229 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- De trouver mon époux encore plus coupable. v.1230 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je ne le verrai point... je m'en prive à regret... v.1231 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Et toi, prends cet écrin ; tu connais l'indiscret... v.1232 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Que je le hais ! v.1233 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Lequel ? v.1233 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Ah ! Tu me désespères ! v.1233 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je vous l'ai dit, madame, ils sont deux téméraires. v.1234 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Que ce soit l'un ou l'autre, il n'importe. Au surplus v.1235 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Fais comme tu voudras ; mais ne m'en parle plus. v.1236 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Que cette indignité ne blesse plus ma vue. v.1237 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Allons, madame, quitte à faire une bévue. v.1238 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Voyons pourtant. à qui remettrai-je l'écrin ? v.1239 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Entre nos deux marquis le choix est incertain ; v.1240 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Gens de même acabit, personnages frivoles, v.1241 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Fiers d'avoir peut-être eu le coeur de quelques folles, v.1242 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Étourdis par instinct et par réflexion, v.1243 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Effrontés sans succès et sans confusion, v.1244 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Impudents, toujours pleins d'un espoir téméraire, v.1245 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Qu'on éconduit toujours, sans pouvoir s'en défaire, v.1246 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Satisfaits sans sujet, indiscrets sans faveurs, v.1247 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Jaloux de nos vertus, ravis de nos malheurs, v.1248 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Scélérats en amour, dont les langues traîtresses v.1249 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Nous font bien plus de tort que toutes nos faiblesses : v.1250 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Voilà les compagnons, dont le couple indiscret v.1251 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- M'a vingt fois confié leur risible secret. v.1252 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Quel est celui des deux qui s'est mis en dépense ?... v.1253 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Comment le démêler ?... c'est en vain que j'y pense. v.1254 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- C'est l'un ou l'autre ; mais de quel côté pencher ?... v.1255 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Il faut pourtant résoudre... attendez : pour trancher, v.1256 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Si j'empochais l'écrin... j'en aurais pour ma vie... v.1257 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Ce n'est pas l'intérêt qui m'en donne l'envie : v.1258 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Oh ! Non ; c'est seulement pour finir ce tracas, v.1259 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Et tirer ma maîtresse avec moi d'embarras... v.1260 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Ne nous y jouons point : l'intention est pure ; v.1261 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- On y pourrait donner toute une autre tournure. v.1262 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Mais la fortune ici les amène tous deux v.1263 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Fort à propos. Partez, bijoux trop dangereux. v.1264 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Reprenez votre enjeu, la boëte est complète ; v.1265 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Ma maîtresse, à ce prix, ne veut point faire emplette. v.1266 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Consolez-vous, une autre en fera plus d'état : v.1267 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Vous savez ce que c'est : entre vous le débat. v.1268 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Eh ! C'est à toi, marquis, que tes présents reviennent ? v.1269 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- À moi ! C'est bien à toi, parbleu, qu'ils appartiennent. v.1270 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Tu veux par vanité me les abandonner. v.1271 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Le change me paraît difficile à donner. v.1272 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- La gloire... v.1273 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Le dépit... v.1273 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Prends toujours, à bon compte ; v.1273 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Je m'engage au secret. v.1274 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Je cacherai ta honte. v.1274 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Que ne me disais-tu ?... v.1275 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Tu devais m'avouer... v.1275 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Je t'aurais, à coup sûr, empêché d'échouer. v.1276 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Voyons donc à quel prix tu mettais ta conquête. v.1277 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Comment, diable ! Ah ! Marquis... le présent est honnête. v.1278 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Une cruelle est rare ; on en trouve si peu, v.1279 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Qu'elle n'a point de prix. Retire ton enjeu. v.1280 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- C'est le tien. L'art de plaire épargne bien la bourse. v.1281 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Auprès du sexe aussi c'est toute ma ressource. v.1282 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Te voilà bien piqué. v.1283 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Te voilà bien confus v.1283 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- De ce qu'en ma présence on te les a rendus. v.1284 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- On avait ses raisons. v.1285 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Finis ce badinage. v.1285 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Va, je te trouve encor bien plus heureux que sage. v.1286 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Voici Durval. v.1287 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Qu'importe ? Il peut être présent, v.1287 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- En ne nommant personne. v.1288 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Oui. Le tour est plaisant ! v.1288 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Que vois-je ! Mon écrin ! v.1289 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Nous disputons ensemble. v.1289 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- En voici le sujet. v.1290 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Oui, c'est ce qu'il me semble. v.1290 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Constance aura pensé qu'il venait de l'un d'eux. v.1291 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Clitandre est mon rival. v.1292 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- C'est être courageux. v.1292 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- À peu près comme lui. v.1293 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Passons, je te l'accorde. v.1293 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Durval, je te remets la pomme de discorde. v.1294 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Vous ne pouviez la mettre en de plus sûres mains. v.1295 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Mais ce n'est qu'un dépôt. v.1296 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Soyez-en bien certains. v.1296 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Ce n'est que pour le rendre à son propriétaire. v.1297 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- C'est comme s'il l'avait. v.1298 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Apprends donc ce mystère. v.1298 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Nous ne nommerons pas. v.1299 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Il n'en est pas besoin. v.1299 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Certaine dame, à qui nous rendons quelque soin, v.1300 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Nous a fait, de sa part, sans désigner personne, v.1301 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Renvoyer cet écrin. v.1302 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- C'est ce que je soupçonne. v.1302 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Un de nous l'a donné. v.1303 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Oui, rien n'est plus constant. v.1303 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Mais aucun n'en convient. v.1304 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- J'en ferais bien autant. v.1304 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Damis, par vanité, n'ose le reconnaître. v.1305 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Il aime mieux le perdre. v.1306 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Eh ! Mais vous pourriez être v.1306 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Bien plus honnêtes gens que vous ne vous croyez. v.1307 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Durval, à qui crois-tu qu'on les ait renvoyés ? v.1308 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Messieurs, en supposant, mais sans que je le croie, v.1309 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Que, pour plaire, un de vous ait tenté cette voie, v.1310 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Qu'il ait donné l'écrin, de grâce, dites-moi, v.1311 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Quelle conclusion tirez-vous du renvoi ? v.1312 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- On ne refuse rien de quelqu'un qui sait plaire. v.1313 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Ce n'est donc point de moi ? La conséquence est claire. v.1314 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Si je l'avais donné, crois qu'on l'aurait gardé. v.1315 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Tiens, marquis, cet espoir lui paraît hasardé. v.1316 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Son désaveu peut être aussi vrai que le vôtre ; v.1317 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Vous pourriez n'être pas plus heureux l'un que l'autre. v.1318 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Qui sait si quelque tiers, qu'on n'imagine pas, v.1319 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- n'a point secrètement causé cet embarras ? v.1320 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Quelqu'autre pourrait être épris des mêmes charmes. v.1321 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Bornez-vous sur vous seuls la force de leurs armes ? v.1322 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Oh ! Qu'il paroisse donc, ce rival ténébreux. v.1323 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- En tout cas, que celui qui fait le généreux v.1324 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Cherche quelqu'autre objet ailleurs qui le console. v.1325 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Quand je le dis, on peut m'en croire à ma parole. v.1326 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Clitandre veut encore une autre caution. v.1327 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Oui. v.1328 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Ne me fais point faire une indiscrétion. v.1328 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- De grâce, fais-en une ; il y va de ta gloire ; v.1329 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Sans quoi, Durval et moi, nous n'osons pas te croire. v.1330 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Il faut vous satisfaire. v.1331 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- En puis-je être témoin ? v.1331 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- En t'éloignant un peu ; car il n'est pas besoin v.1332 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Que tu sois plus avant dans cette confidence. v.1333 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Te voilà bien... et toi, surtout, point d'imprudence. v.1334 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Tiens, considère un peu... Vois sa confusion. v.1335 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Est-ce là le portrait de celle... en question... v.1336 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- De la dame à l'écrin... eh ! Bien ? v.1337 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Ah ! L'infidèle ! v.1337 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Infidèle !... Est-ce ainsi qu'on nomme une cruelle ? v.1338 (Acte 4, scène 8, DAMIS)
- Mais c'est encore un trait de vanité. Pour toi, v.1339 (Acte 4, scène 8, DAMIS)
- Durval, une autre fois, pense un peu mieux de moi. v.1340 (Acte 4, scène 8, DAMIS)
- Est-ce une illusion ?... Est-ce un songe funeste ?... v.1341 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Quel rapport !... Ah ! Cruels, achevez donc le reste. v.1342 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- La vie, après les biens que vous m'avez ôtés... v.1343 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Je ne saurais forcer mes esprits révoltés... v.1344 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Le doute... La fureur... Ô ciel !... Ah ! Malheureuse... v.1345 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Est-ce à moi qu'ils ont fait leur confidence affreuse ?... v.1346 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Constance, est-il possible ?... ai-je bien entendu ? v.1347 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Ton faible coeur s'est-il lassé de sa vertu ? v.1348 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Que dis-je ? Elle n'en eut jamais que l'apparence. v.1349 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Était-ce à moi d'y prendre une folle assurance ? v.1350 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Mais ma crédulité se laisse empoisonner v.1351 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Par des convictions que je dois soupçonner. v.1352 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Rejetons loin de nous... le puis-je ? Quand j'y songe ! v.1353 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Quoi !... D'une vérité puis-je faire un mensonge ?... v.1354 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Douce sécurité, préjugé si flatteur, v.1355 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Que sa fausse vertu nourrissait dans mon coeur ! v.1356 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Ah ! Pourquoi n'ai-je plus ton voile salutaire ? v.1357 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- L'affreuse vérité découvre ce mystère... v.1358 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Voilà donc le sujet de sa tranquillité, v.1359 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- De ce calme trop vrai, que je crus affecté. v.1360 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Elle ne se faisait aucune violence. v.1361 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Tout ce que je croyais le fruit de sa prudence, v.1362 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- L'effet de son amour, l'effort de sa raison, v.1363 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Ne l'a jamais été que de sa trahison. v.1364 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Sans doute que l'écrin aura fait des merveilles ? v.1365 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- De ce récit charmant enchante mes oreilles. v.1366 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Il a bien réussi. v.1367 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Je m'en étais douté : v.1367 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Tu ne te repens plus de m'avoir écouté ? v.1368 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Constance a surpassé ton attente et la mienne. v.1369 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Tant mieux. v.1370 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Hola... Quelqu'un... Ma femme, qu'elle vienne. v.1370 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Tu ne l'as donc pas vue ? v.1371 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Ami, je vais la voir. v.1371 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Je ne sais que penser, je ne sais que prévoir v.1372 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Du trouble où je te vois. v.1373 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Sa cause est imprévue. v.1373 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Tu vas être témoin d'une étrange entrevue. v.1374 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Quel aveu différent de celui !... v.1375 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Quel courroux ! v.1375 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Je suis désespéré. v.1376 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Quoi ! Serais-tu jaloux ? v.1376 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Je ne le fus jamais ; j'estimais trop Constance : v.1377 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Je serais trop heureux dans cette circonstance... v.1378 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Estime, amour, il faut tout changer en fureur. v.1379 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Ah ! Quel supplice entraîne après lui plus d'horreur, v.1380 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Que de se voir forcé de haïr ce qu'on aime ? v.1381 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- On soupçonne aisément, on accuse de même. v.1382 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- J'ai des rivaux heureux... l'un d'eux a son portrait, v.1383 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Et l'autre avait son coeur : c'est l'aveu qu'on m'a fait... v.1384 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- C'est un mystère affreux. v.1385 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Que je ne saurais croire. v.1385 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Constance absolument n'a point trahi sa gloire. v.1386 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Ne prends plus sa défense ; il n'est aucun moyen. v.1387 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Que fera l'amitié, quand l'amour ne peut rien ? v.1388 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Modérez-vous du moins ; la voilà qui s'approche. v.1389 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Madame, épargnons-nous la plainte et le reproche : v.1390 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Il faut nous séparer pour ne nous voir jamais. v.1391 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Voyez où vous voulez vous fixer désormais, v.1392 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Jusqu'à ce que le ciel, au gré de votre envie, v.1393 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Termine, mais trop tard, ma déplorable vie. v.1394 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Vivez, et reprenez ce que je tiens de vous : v.1395 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Je n'excepte qu'un bien, que je préfère à tous, v.1396 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Ce fruit de mon amour, si cher à ma tendresse, v.1397 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- C'est, de tous vos bienfaits, le seul qui m'intéresse. v.1398 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Disposez de mon sort au gré de vos souhaits ; v.1399 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Je n'examine rien, puisque je vous déplais. v.1400 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Daignez déterminer ma dernière demeure : v.1401 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Où faut-il que je vive, ou plutôt que je meure ? v.1402 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Eh ! Madame, vivez. v.1403 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Vous ne le voulez plus ; v.1403 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Mais vous serez bientôt satisfait. Au surplus, v.1404 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Jouissez de ces biens que vous voulez me rendre ; v.1405 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- De vos seules bontés je veux toujours dépendre. v.1406 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- À l'égard de ma fille... il m'eût été bien doux v.1407 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- De garder le seul bien qui me reste de vous. v.1408 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Puisse-t-elle éviter les malheurs de sa mère, v.1409 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- N'être pas moins fidèle, et vous être plus chère ! v.1410 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Je ne puis supporter cette témérité ; v.1411 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Perfide ! Il vous sied bien, ce langage affecté ! v.1412 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Ah ! Quel titre odieux ! Est-ce à moi qu'il s'adresse ? v.1413 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Oui, madame. v.1414 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Est-ce là le prix de ma tendresse ? v.1414 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Eh ! Quoi ! De quels transports êtes-vous enflammé ? v.1415 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Doit-on déshonorer ce qu'on a tant aimé ? v.1416 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Il fallait savoir mieux conserver mon estime. v.1417 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Pourquoi ne l'ai-je plus ? Apprenez-moi mon crime. v.1418 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Qu'ai-je fait ? v.1419 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Vous osez encor me défier ; v.1419 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Hélas ! Dois-je mourir sans me justifier ! v.1420 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Que je sache du moins ce qui m'ôte la vie... v.1421 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- J'y succombe... je meurs... v.1422 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Elle est évanouie. v.1422 (Acte 4, scène 11, DAMON)
- Donne, donne. à quoi sert tant de discrétion ? v.1423 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Sans doute ce sera quelque conviction v.1424 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Des affronts que m'a faits une épouse infidèle. v.1425 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Il faut la secourir ; permettez que j'appelle. v.1426 (Acte 4, scène 11, DAMON)
- Que m'importe le soin de ses jours et des miens ? v.1427 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Je vais donc la convaincre ; en voici les moyens. v.1428 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Ah ! Ciel ! Quelle ressource accablante et funeste ! v.1429 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- L'espoir de la confondre est tout ce qui me reste. v.1430 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Ah ! Que tenez-vous là ? Je voulais les brûler. v.1431 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- S'ils ne vous chargent point, pourquoi tant vous troubler ? v.1432 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Ils s'adressent à vous. v.1433 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Hélas ! Qu'allez-vous faire ? v.1433 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- Plus vous craignez, et plus je veux me satisfaire. v.1434 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Sur ces tristes écrits ne portez point vos yeux ; v.1435 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- Durval... ce n'est qu'à moi qu'ils sont injurieux. v.1436 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- De grâce... écoutez-moi. v.1437 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- Je ne veux rien entendre. v.1437 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Puisque nous sommes seuls, je vais... v.1438 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- Il faut attendre. v.1438 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- À des discours sans preuve on aurait répondu ; v.1439 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Mais je prétends qu'ici chacun soit confondu. v.1440 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Je me jette à vos pieds ; souffrez que je vous presse. v.1441 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- Vous vous justifierez. v.1442 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Ah ! Ma chère maîtresse, v.1442 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Dans quel abaissement... v.1443 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Constance à vos genoux ? v.1443 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Reconnaissez l'erreur qui vous prévenait tous v.1444 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- En faveur d'une femme instruite en l'art de feindre : v.1445 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Jugez qui de nous deux était le plus à plaindre. v.1446 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Damon vous aura dit ce qui se passe ici ? v.1447 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- C'est un fait important qui doit être éclairci. v.1448 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Il va l'être à l'instant ; je vous en fais arbitre. v.1449 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Outre ce qu'on m'a dit, vous avez quelque titre ? v.1450 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- En voici ; lisez donc ces coupables écrits. v.1451 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Que je me trouve heureux de les avoir surpris ! v.1452 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Moi, je les soutiens faux. v.1453 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Je vois ce qu'elles craignent : v.1453 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Je la veux accabler devant ceux qui la plaignent. v.1454 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Je vous conjure encore en cette occasion... v.1455 (Acte 4, scène 13, CONSTANCE)
- Monsieur, épargnez-vous cette confusion. v.1456 (Acte 4, scène 13, CONSTANCE)
- Diable ! Allons doucement ; ceci change la thèse. v.1457 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Ce billet-là... v.1458 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Quoi donc ? v.1458 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Eh ! Mais, par parenthèse ; v.1458 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Il est de votre main. v.1459 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Le mien en est aussi. v.1459 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- De mon écriture ? v.1460 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Oui. v.1460 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Que veut dire ceci ? v.1460 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Mais voyez. v.1461 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Juste ciel ! v.1461 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Parbleu, c'est de vous-même. v.1461 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Et celui-ci, monsieur ? v.1462 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Ma joie en est extrême. v.1462 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- N'allons pas plus avant ; le reste est superflu. v.1463 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Nous lirons, s'il vous plaît ; c'est lui qui l'a voulu. v.1464 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- « Que je suis offensé de toutes vos alarmes ! v.1465 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- S'il est vrai qu'à mes yeux Constance ait eu des charmes, v.1466 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Ils ont fait, dans leur temps, leur effet sur mon coeur. v.1467 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Vous allumez des feux qui ne peuvent s'éteindre : v.1468 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Une épouse n'est point une rivale à craindre. v.1469 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Puis-je vous préférer un semblable vainqueur ? v.1470 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Madame, en vérité, c'est trop d'être incrédule, v.1471 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Et de me soupçonner d'un si grand ridicule.» v.1472 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Le style est obligeant. v.1473 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Ne nous épargnez pas : v.1473 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Nos fautes ont pour vous de furieux appas. v.1474 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Vous nous ressemblez peu, vous triomphez des nôtres, v.1475 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Et nous ne demandons qu'à partager les vôtres. v.1476 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Fort bien. v.1477 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Autre lecture... Enfin... Oh ! Par ma foi, v.1477 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Celui-ci me paraît un peu trop fort pour moi. v.1478 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Monsieur, en vérité, l'on ne peut mieux écrire ; v.1479 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- C'est dommage pourtant qu'on ne puisse vous lire. v.1480 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Mais enfin le portrait... v.1481 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Quoi ! Vous récriminez ? v.1481 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- C'est une trahison que vous imaginez. v.1482 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Vous voulez joindre encor l'insulte à la blessure ? v.1483 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- C'est être trop cruel. v.1484 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- C'est un traître, un parjure, v.1484 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Qu'une autre traiterait de la bonne façon. v.1485 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Venez ; pour vous venger, laissez-lui son soupçon. v.1486 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Je ne puis... Permettez... Quoi ! Ne pourrai-je apprendre... v.1487 (Acte 4, scène 13, CONSTANCE)
- Non. Ce n'est plus à vous, madame, à vous défendre. v.1488 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Il ne mérite pas ce que vous demandez. v.1489 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Voilà ce beau retour... Damon, vous m'entendez. v.1490 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Ô ciel ! v.1491 (Acte 4, scène 13, DAMON)
- Vous avez fait une rude entreprise ; v.1491 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Vous n'y reviendrez plus, votre bisque est mal prise. v.1492 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Pour convaincre une femme, il faut bien du bonheur ; v.1493 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Rarement un époux en vient à son honneur. v.1494 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Quand on veut s'embarquer dans ces sortes d'affaires, v.1495 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- On ne saurait avoir des preuves assez claires ; v.1496 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Et par malheur pour vous, vous ne les avez point. v.1497 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Les femmes sont d'ailleurs terribles sur ce point : v.1498 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Elles ne s'aiment pas ; mais accusez-en une, v.1499 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- L'émeute est générale, et la cause est commune. v.1500 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Vous verrez aussi-tôt le peuple féminin v.1501 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- S'élever à grands cris, et sonner le tocsin ; v.1502 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Protéger l'accusée, et s'enflammer pour elle ; v.1503 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Se prendre aveuglément de tendresse et de zèle ; v.1504 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Passer de la pitié jusques à la fureur, v.1505 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Et traiter un époux de calomniateur... v.1506 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Tenez, voilà pourquoi, sans accuser la vôtre, v.1507 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- J'ai toujours crû ma femme aussi sage qu'une autre. v.1508 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Je vous plains ; mais que faire ? Elle a barre sur vous : v.1509 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Il faut, en attendant, se taire et filer doux. v.1510 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Tu me vois pénétré de douleur et de rage. v.1511 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Je ne m'attendais pas à ce nouvel orage... v.1512 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Quelle vengeance affreuse exerce contre moi v.1513 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Cet objet étranger dont j'ai quitté la loi !... v.1514 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Que m'importe, après tout, qu'une épouse volage v.1515 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Sache de sa rivale à quel point je l'outrage ?... v.1516 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Cependant je l'accuse, et je suis confondu. v.1517 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- N'es-tu pas plus heureux, que d'être convaincu ? v.1518 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- En suis-je moins certain ? L'injure est manifeste. v.1519 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Va, je ne cherchais plus que le plaisir funeste v.1520 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- De la rendre odieuse autant que je la hais ; v.1521 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Mais sa fausse vertu couvre tous ses forfaits. v.1522 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- J'ignore les détails de cette perfidie ; v.1523 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Mais je connais Constance, et je mettrais ma vie... v.1524 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Tu la perdrais... Constance... ô regret superflu ! v.1525 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- J'ai creusé cet abîme où son coeur s'est perdu ; v.1526 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Mon exemple a causé la chute qui m'accable. v.1527 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Est-ce une autorité qu'un exemple coupable ? v.1528 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Ne le suivez donc plus, comme vous avez fait, v.1529 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Puisque vous convenez d'un si funeste effet. v.1530 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Si tu voulais pourtant m'instruire davantage, v.1531 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Ton repos deviendrait peut-être mon ouvrage : v.1532 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Tu n'as que trop suivi ton premier mouvement. v.1533 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Je le paye assez cher, hélas ! En ce moment. v.1534 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- J'avais beau m'enflammer et m'irriter contre elle, v.1535 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- J'ai frémi du danger où j'ai mis l'infidèle ; v.1536 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Et je mourais du coup que j'allais lui porter. v.1537 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- J'ai des pressentiments que je ne puis m'ôter. v.1538 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Ils sont faux ; mais enfin je cède à ta prière : v.1539 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Suis-moi, je t'en ferai la confidence entière. v.1540 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Mais ce n'est point l'espoir d'être désabusé v.1541 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Qui m'arrache un récit que j'aurais refusé. v.1542 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Je te veux inspirer la fureur qui m'anime : v.1543 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Tu sens que j'ai besoin de plus d'une victime ; v.1544 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Puisque j'ai des rivaux, je dois compter sur toi, v.1545 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Et tu vas t'engager à te perdre avec moi. v.1546 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Viens ; tandis que le bal, dans cette galerie, v.1547 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Occupe tout le monde, achève, je te prie. v.1548 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Que veut dire ce peintre ? v.1549 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- À l'égard du portrait, v.1549 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- C'est un vol ; et voici comme on te l'a soustrait. v.1550 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Damis a chez ce peintre été par aventure ; v.1551 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Il l'a vu travaillant à cette miniature ; v.1552 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Alors notre marquis a formé le dessein v.1553 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- De se l'approprier, et d'en faire un larcin. v.1554 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Un de ses gens, qu'il a couvert de ta livrée, v.1555 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- L'est allé demander : le peintre l'a livrée, v.1556 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Croyant que ce portrait devait t'être remis. v.1557 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- C'est ce que j'en ai su, sans t'avoir compromis ; v.1558 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Car je viens de trouver ce peintre chez Constance : v.1559 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- J'ignore à quel sujet, je n'ai point fait d'instance. v.1560 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Quelle scélératesse !... ah ! Permets, cher ami... v.1561 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Attends ; je ne sais pas les choses à demi. v.1562 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Dans un endroit du parc j'ai détourné mes traîtres ; v.1563 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- D'abord ils ont voulu faire les petits-maîtres ; v.1564 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Mais je leur ai serré de si près le bouton, v.1565 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Qu'il a fallu, morbleu, qu'ils changeassent de ton. v.1566 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- J'en ai tiré l'aveu de leurs forfanteries : v.1567 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Ils s'étaient fait tous deux autant de menteries. v.1568 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Le renvoi de l'écrin leur a fait inventer v.1569 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- le bonheur dont ces fats ont osé se vanter. v.1570 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Après leur avoir fait la leçon assez forte, v.1571 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- J'ai repris le portrait, et je te le rapporte. v.1572 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je n'imagine pas qu'ils en osent parler ; v.1573 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Et même tous les deux viennent de s'en aller. v.1574 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Dans quel excès m'a fait tomber leur imprudence ! v.1575 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Et d'un autre côté, quelle affreuse vengeance ! v.1576 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Mais tu me parais peu sensible à ce succès. v.1577 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Hélas ! Reproche-moi plutôt un autre excès. v.1578 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Je me trouve au milieu de mon bonheur extrême, v.1579 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Un traître, un malheureux en horreur à lui-même, v.1580 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Indigne désormais de ma félicité ; v.1581 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Et l'on m'accuse encor d'insensibilité, v.1582 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Lorsque je vais périr accablé sous la honte v.1583 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Où m'a plongé l'accès d'une fureur trop prompte. v.1584 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Je vois à tes regrets... v.1585 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Dis à mon désespoir. v.1585 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Mais au sort de Constance il est temps de pourvoir. v.1586 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Que fait-elle à présent... que faut-il que j'espère ? v.1587 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Dis-moi... qu'est devenue une épouse si chère ?... v.1588 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ah ! Je suis son bourreau plutôt que son époux. v.1589 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Pourra-t-elle survivre à de si rudes coups ? v.1590 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Sa blessure est mortelle, et j'en mourrai moi-même. v.1591 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Rien n'est désespéré dans ce malheur extrême. v.1592 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Constance t'a sauvé la honte de l'éclat : v.1593 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Elle en impose à tous, et cache son état ; v.1594 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Son courage surpasse encor son infortune ; v.1595 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Elle fait les honneurs d'une fête importune, v.1596 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Dont elle ne croit pas être l'objet secret. v.1597 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Il est vrai qu'en passant, mais sans être indiscret, v.1598 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je l'ai calmée un peu ; j'ai caché tout le reste. v.1599 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Viens, un plus long délai lui deviendrait funeste. v.1600 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Son courage est peut-être à son dernier effort. v.1601 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Cher ami, je te rends le maître de mon sort. v.1602 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Sois mon unique appui, ma ressource auprès d'elle ; v.1603 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Peins-lui mon désespoir. Ah ! Quel que soit ton zèle, v.1604 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Tu ne pourras jamais en peindre la moitié : v.1605 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ne me ménage plus, implore sa pitié. v.1606 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Tu sauras mieux que moi persuader Constance : v.1607 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je lui serais suspect dans cette circonstance. v.1608 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Pourquoi te refuser ce plaisir si flatteur, v.1609 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- D'aller à ses genoux lui reporter ton coeur ? v.1610 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Me refuserais-tu d'achever ton ouvrage ? v.1611 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Tu n'es impétueux que pour faire un outrage. v.1612 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Tu veux qu'un furieux qui sort de son accès, v.1613 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Qui vient de se porter au plus coupable excès, v.1614 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Qui vient d'accumuler blessure sur blessure, v.1615 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Opprobre sur opprobre, injure sur injure, v.1616 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Aille aussi-tôt braver l'objet de sa fureur ; v.1617 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Et s'offrir à des yeux qu'il a remplis d'horreur : v.1618 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- La honte me retient... v.1619 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Durval, elle t'abuse : v.1619 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- La honte est dans l'offense, et non pas dans l'excuse ! v.1620 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Puis-je désavouer ces malheureux écrits, v.1621 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Où je jure à Constance un éternel mépris ? v.1622 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Peut-elle désormais prendre aucune assurance, v.1623 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Compter sur des serments que j'ai détruits d'avance ? v.1624 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- L'amour pardonne tout : mais je t'ouvre un moyen ; v.1625 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je dois avec Constance avoir un entretien ; v.1626 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- C'est sans doute au sujet de tout ce qui se passe : v.1627 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- C'est elle qui m'a fait demander cette grâce ; v.1628 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Pendant le bal, j'espère en trouver le moment. v.1629 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Nous sommes convenus de ce déguisement ; v.1630 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je dois rester masqué. v.1631 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Si je prenais ta place ? v.1631 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Durval, tu me préviens. v.1632 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- En parlant à voix basse, v.1632 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Je pourrai la tromper ; j'éclaircirai mon sort, v.1633 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Je lirai dans son coeur. v.1634 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Je parlerai d'abord, v.1634 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Afin de lui donner une pleine assurance ; v.1635 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Tu nous observeras alors avec prudence, v.1636 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Et tu pourras bientôt trouver l'heureux moment v.1637 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- De te substituer près d'elle adroitement. v.1638 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Ma curiosité me fait trop entreprendre. v.1639 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- J'aurai tout préparé, tu n'auras qu'à l'entendre. v.1640 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- J'aurais trop à souffrir... en croyant te parler, v.1641 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Constance contre moi peut et doit exhaler v.1642 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ces reproches qu'elle a condamnés au silence : v.1643 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ce serait essuyer toute leur violence ; v.1644 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ce serait m'exposer à ses premiers transports ; v.1645 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Et j'ai, pour en mourir, assez de mes remords. v.1646 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ce qui vient d'arriver te prouve le contraire ; v.1647 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- La douceur de Constance a dû te satisfaire. v.1648 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Quel autre aurait ainsi ménagé son époux ? v.1649 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je suis sûr que vos coeurs s'entendent mieux que vous. v.1650 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Trop de timidité me punit et la venge. v.1651 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- C'est une cruauté... v.1652 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Ma faiblesse est étrange : v.1652 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Mais enfin... quelqu'un vient. C'est Florine, je crois ? v.1653 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Je te laisse ; sers-moi pour la dernière fois. v.1654 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Que l'amour-propre abonde en mauvaises défaites, v.1655 (Acte 5, scène 2, DAMON)
- Quand il faut réparer les fautes qu'on a faites !... v.1656 (Acte 5, scène 2, DAMON)
- S'il me désavouait ?... Ah ! Trop cruel ami !... v.1657 (Acte 5, scène 2, DAMON)
- N'importe, il faut encor faire un effort pour lui. v.1658 (Acte 5, scène 2, DAMON)
- Madame vous attend, lui tiendrez-vous parole ? v.1659 (Acte 5, scène 2, FLORINE)
- Elle est impatiente. v.1660 (Acte 5, scène 2, FLORINE)
- Oui, Florine, j'y vole. v.1660 (Acte 5, scène 2, DAMON)
- Quelle sera la fin de cet événement ? v.1661 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Gare le cloître, il fait un triste dénouement. v.1662 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- S'aller claquemurer, c'est ce qui m'inquiète ; v.1663 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Car enfin je n'ai pas le goût de la retraite : v.1664 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Prendre congé du siècle à l'âge de vingt ans ; v.1665 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Il nous quitte assez tôt, sans prévenir ce temps. v.1666 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Passe, quand jusqu'au bout on a joué son rôle ; v.1667 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Du moins le souvenir du passé vous console ; v.1668 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On l'emporte avec soi, cela sert de soutien : v.1669 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Mais pour moi, dieu merci, je suis réduite à rien ; v.1670 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Car ce que j'ai vécu ne s'appelle pas vivre. v.1671 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Que faire dans l'exil où je m'en vais la suivre ? v.1672 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Me plaindre que le temps coule trop lentement ; v.1673 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- N'avoir que mon ennui pour tout amusement. v.1674 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Le monde a ses chagrins : eh ! Bien, on les essuie ; v.1675 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On s'accoutume, on roule, et l'on pousse la vie ; v.1676 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On va, l'on vient, on voit, on babille, on se plaint, v.1677 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On s'agite, on se flatte, on espère, et l'on craint ; v.1678 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Il vient un bon moment, car il faut qu'il en vienne, v.1679 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On en fait son profit, afin qu'on s'en souvienne. v.1680 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Damon suivait mes pas... et je ne le vois plus ; v.1681 (Acte 5, scène 4, CONSTANCE)
- Mais il ne peut tarder. Nous sommes convenus v.1682 (Acte 5, scène 4, CONSTANCE)
- De nous réfugier dans ce lieu plus tranquille ; v.1683 (Acte 5, scène 4, CONSTANCE)
- Notre entretien sera plus sûr et plus facile. v.1684 (Acte 5, scène 4, CONSTANCE)
- Vous voici... reprenons le fil de ce discours, v.1685 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Dont on nous empêchait de poursuivre le cours. v.1686 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Damon, permettez-moi de répandre des larmes v.1687 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Dans le sein d'un ami sensible à mes alarmes ; v.1688 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Aux yeux de tout le monde elles m'allaient trahir : v.1689 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- C'est encor un motif qui m'a contrainte à fuir. v.1690 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je rappelais un temps bien cher à ma mémoire : v.1691 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Quand Durval commença mon bonheur et ma gloire, v.1692 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mon coeur sembla pour lui prévenir sa saison. v.1693 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Aurais-je mieux choisi dans l'âge de raison ? v.1694 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Notre hymen se conclut. Aurais-je dû m'attendre, v.1695 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Pouvais-je imaginer qu'un coeur déjà si tendre, v.1696 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Le serait encor plus ? Je vis, de jour en jour, v.1697 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'on ne saurait donner de bornes à l'amour. v.1698 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Quel que fût le progrès de ma tendresse extrême, v.1699 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mon bonheur fut plus grand, puisqu'on m'aima de même. v.1700 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'est devenu ce temps ? Vous ne croirez jamais v.1701 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- D'où vint le changement d'un sort si pleins d'attraits. v.1702 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Un revers imprévu détruisit ma fortune ; v.1703 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ma tendresse bientôt lui devint importune ; v.1704 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- L'excès de mon amour lui parut indiscret : v.1705 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je le vis ; il fallut le rendre plus secret. v.1706 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Le refroidissement, bien plus terrible encore, v.1707 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vint éteindre l'amour d'un époux que j'adore, v.1708 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Et bientôt loin de moi l'entraîna tour à tour. v.1709 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je crus perdre la vie en perdant son amour. v.1710 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- J'eusse été trop heureuse ! En ce malheur extrême, v.1711 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je sentis qu'on ne vit que par l'objet qu'on aime ; v.1712 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'on perd tout en perdant ces transports mutuels, v.1713 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ces égards si flatteurs, ces soins continuels, v.1714 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Cet ascendant si cher, et cette complaisance, v.1715 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Cet intérêt si tendre, et cette confiance, v.1716 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'on trouve dans un coeur que l'on tient sous ses lois. v.1717 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Cependant je vécus pour mourir mille fois. v.1718 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je joignis à mes maux celui de me contraindre. v.1719 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je me suis toujours fait un crime de me plaindre. v.1720 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- C'est la première fois, dans l'état où je suis, v.1721 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne vous aurais pas parlé de mes ennuis ; v.1722 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je m'épanche avec vous, je ne dois rien vous taire, v.1723 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Puisque je vous demande un conseil salutaire. v.1724 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne prétends point faire un détail superflu, v.1725 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ni rappeler ici ce que vous avez vu. v.1726 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous êtes le témoin de ce dernier orage... v.1727 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous vous attendrissez... est-ce un heureux présage ? v.1728 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Enfin, est-il bien vrai que Durval ait rendu v.1729 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Justice à son épouse ? Ai-je bien entendu ? v.1730 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- C'est beaucoup. N'avait-il rien de plus à me rendre ? v.1731 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous-même n'avez-vous rien de plus à m'apprendre ? v.1732 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais comment puis-je avoir révolté mon époux ? v.1733 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Un coeur indifférent peut-il être jaloux ?... v.1734 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je m'y perds... cependant je lis dans sa pensée. v.1735 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Se pardonnera-t-il de m'avoir offensée ? v.1736 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je souffre, plus que lui, du juste repentir v.1737 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que sans doute à présent il en doit ressentir. v.1738 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je crains (s'il ne m'estime autant que je l'adore) v.1739 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que sa confusion ne l'aliène encore ; v.1740 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que sa honte offensante et cruelle pour moi, v.1741 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ne l'empêche à jamais de me rendre sa foi. v.1742 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Peut-être j'étais dans cette conjoncture ; v.1743 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ce qui m'est revenu flattait ma conjecture. v.1744 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je le désire trop pour ne pas l'espérer... v.1745 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous ne me dites mot ?... que dois-je en augurer ? v.1746 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais si je n'ai point pris une fausse espérance, v.1747 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Si son heureux retour avait quelque apparence, v.1748 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qui peut le retarder ?... si mes jours lui sont chers, v.1749 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- qu'il vienne en sûreté... mes bras lui sont ouverts... v.1750 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- S'il voyait les transports que mon coeur vous déploie... v.1751 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Qu'il ne craigne rien, que l'excès de ma joie... v.1752 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que dis-je ! S'il le faut, j'irai le prévenir : v.1753 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- C'est sur quoi je cherchais à vous entretenir. v.1754 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne puis à présent être trop circonspecte ; v.1755 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Un pardon trop aisé doit me rendre suspecte. v.1756 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que pourra-t-il penser de ma facilité ?... v.1757 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais n'importe, malgré cette fatalité, v.1758 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Autant que mon amour, mon devoir m'y convie ; v.1759 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Il faut que j'aille perdre ou reprendre la vie... v.1760 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Daignez par pitié... vous soupirez tout bas... v.1761 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne puis donc m'aller jeter entre ses bras ?... v.1762 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- J'entends ce que veut dire un si cruel silence ; v.1763 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous n'osez... v.1764 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! C'est trop me faire violence ! v.1764 (Acte 5, scène 5, LE MASQUE)
- Qu'avez-vous dit ?... parlez... quel funeste regret ?... v.1765 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais... qu'ai-je vu? Comment ?... D'où vous vient mon portrait ? v.1766 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous n'en êtes chargé que pour me le remettre. v.1767 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Il faut... v.1768 (Acte 5, scène 5, LE MASQUE)
- Que m'offrez-vous ?... v.1768 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Voyez... v.1768 (Acte 5, scène 5, LE MASQUE)
- C'est une lettre. v.1768 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous tremblez... je frémis... on ne veut plus me voir. v.1769 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- C'est le coup de la mort que je vais recevoir... v.1770 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- De la main de Durval ces lignes sont tracées. v.1771 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais que vois-je ? Des pleurs les ont presque effacées. v.1772 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- « C'est trop entretenir vos mortelles douleurs ; v.1773 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- L'ingrat que vous pleurez, ne fait plus vos malheurs. v.1774 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Chère épouse, il n'est rien que votre époux ne fasse, v.1775 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Pour tarir à jamais la source de vos pleurs. v.1776 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous avez rallumé ses premières ardeurs ; v.1777 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Trop heureux s'il expire en obtenant sa grâce !... » v.1778 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Pourquoi n'ai-je pas prévenu mon époux ? v.1779 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Conduisez-moi, courons... v.1780 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Il est à vos genoux... v.1780 (Acte 5, scène 5, DURVAL)
- C'est où je dois mourir... laissez-moi dans les larmes, v.1781 (Acte 5, scène 5, DURVAL)
- Expier mes excès et venger tous vos charmes. v.1782 (Acte 5, scène 5, DURVAL)
- Cher époux, lève-toi. Va, je reçois ton coeur : v.1783 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je reprends avec lui ma vie et mon bonheur. v.1784 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Quoi ! Vous me pardonnez l'outrage et le parjure ? v.1785 (Acte 5, scène 5, DURVA5L)
- Oui ; laisse-moi goûter une joie aussi pure. v.1786 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vengez-vous. v.1787 (Acte 5, scène 5, DURVAL)
- Eh ! De qui ? C'est un songe passé ; v.1787 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ton retour me suffit. v.1788 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Il n'a rien effacé. v.1788 (Acte 5, scène 5, DURVAL)
- Si tu veux me prouver combien je te suis chère, v.1789 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Oublions qu'autrefois j'ai cessé de te plaire. v.1790 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je veux m'en souvenir pour le mieux réparer. v.1791 (Acte 5, scène 5, DURVAL)
- Devant tout l'univers je vais me déclarer... v.1792 (Acte 5, scène 5, DURVAL)
- Comment, diable ! La scène a bien changé de face. v.1793 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Ah ! Ah ! Mon gendre en conte à sa femme... il l'embrasse ! v.1794 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Mais, est-ce tout de bon ? v.1795 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Certes, l'effort est grand. v.1795 (Acte 5, scène 6, FLORINE)
- Monsieur a du bonheur dans ce qu'il entreprend. v.1796 (Acte 5, scène 6, SOPHIE)
- Oui, je ne prétends plus que personne l'ignore ; v.1797 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- C'est ma femme, en un mot, c'est elle que j'adore. v.1798 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Que l'on m'approuve ou non, mon bonheur me suffit. v.1799 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Peut-être mon exemple aura plus de crédit : v.1800 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- On pourra m'imiter. Non, il n'est pas possible v.1801 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Qu'un préjugé si faux soit toujours invincible. v.1802 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Ce n'est pas que je trouve à redire à cela ; v.1803 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Mais c'est qu'on n'est pas fait à ces incidents-là. v.1804 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Lorsqu'une femme plaît, quoiqu'elle soit la nôtre, v.1805 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Je crois qu'on peut l'aimer, même encor mieux qu'une autre. v.1806 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Oserais-je à mon tour, sans indiscrétion, v.1807 (Acte 5, scène 6, DAMON)
- Vous faire souvenir d'une convention ? v.1808 (Acte 5, scène 6, DAMON)
- Damon, je m'en souviens. Ah ! Ma chère Constance... v.1809 (Acte 5, scène 6, SOPHIE)
- Mais conseillez-moi donc dans cette circonstance... v.1810 (Acte 5, scène 6, SOPHIE)
- Oui, conseillez un coeur déjà déterminé... v.1811 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Le conseil en est pris, quand l'amour l'a donné. v.1812 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
L'ÉCOLE DES MÈRES (1745)
- Mon père, en vérité, j'ai peine à vous comprendre. v.1 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Pourquoi ? v.2 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Madame Argant tient sa fille en couvent ; v.2 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Et son dessein n'est pas de se donner un gendre. v.3 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Projets de femme. Autant en emporte le vent. v.4 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Son mari m'a promis de t'accorder sa fille ; v.5 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Il va la ramener au sein de sa famille : v.6 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Tiens ton coeur et ta main tout prêts à se donner. v.7 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Cet ordre rigoureux a de quoi m'étonner. v.8 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Permettez que je vous remontre... v.9 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Doligni, laissons-là des débats importuns. v.10 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Tu vas me débiter les mêmes lieux communs v.11 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Qu'autrefois nous avons, en pareille rencontre, v.12 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Chacun, de père en fils, employés comme toi. v.13 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Va, j'ai passé par-là ; tu feras comme moi. v.14 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Et si j'aimais ailleurs ? v.15 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Ma foi, tant pis pour elle. v.15 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Il faudrait, en ce cas, devenir infidèle. v.16 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Ce n'est donc pas pour moi que vous me mariez ? v.17 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Pour qui donc ? v.18 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Je le croirais presque. v.18 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- J'ai compté faire un choix que vous approuveriez. v.19 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- L'amour dans un jeune homme est toujours romanesque. v.20 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- J'aurais été moi-même assez extravagant v.21 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Pour épouser aussi ma première amourette, v.22 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Si l'on n'eût retenu ma jeunesse indiscrète. v.23 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Mais je ne connais point Mademoiselle Argant. v.24 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Ni moi : mais elle aura vingt mille écus de rente. v.25 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Eh ! Quand elle en aurait quarante ! v.26 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Ce serait encor mieux. v.27 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- N'avez-vous pas du bien ? v.27 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Il le faut augmenter ; sinon, il vient à rien. v.28 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- J'ignore comme elle est d'esprit et de figure. v.29 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Elle est riche. à l'égard de l'esprit, je t'assure v.30 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Qu'une femme à la longue en a toujours assez. v.31 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Elle est jeune, au surplus ; et tout ce que j'en sçais, v.32 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- C'est qu'à quinze ou seize ans on est du moins jolie. v.33 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Qui sait si le rapport d'humeurs... v.34 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Autre folie ! v.34 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- En tout cas, tu feras comme les autres font. v.35 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Qui s'embarque, est-il sûr de faire un bon voyage ? v.36 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- À quoi sert l'examen avant le mariage ? v.37 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- À rien. Ce n'est qu'après qu'on se connaît à fond. v.38 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Las de se composer avec un soin extrême, v.39 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Le naturel caché prend alors le dessus ; v.40 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Le masque tombe de lui-même, v.41 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Et malheureusement on ne le reprend plus. v.42 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Mais enfin le bien reste ; et cet ami fidèle, v.43 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Sans compter quelquefois la raison qui s'en mêle, v.44 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Entre époux qui pourraient se brouiller sans retour, v.45 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Sert de médiateur, au défaut de l'amour. v.46 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Il cessera d'être inflexible. v.47 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- C'est Rosette ! v.48 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- Monsieur, ma maîtresse est visible. v.48 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- Bon. Et Monsieur Argant n'arrive donc jamais ? v.49 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- L'oeil du maître est pourtant chez lui fort nécessaire. v.50 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI P?RE)
- On l'attend tous les jours. v.51 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- Voilà bien des délais. v.51 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- C'est qu'un mari, pour l'ordinaire, v.52 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- N'est jamais si pressé de retourner chez lui. v.53 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- Quoi qu'il en soit, on dit qu'il revient aujourd'hui. v.54 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- Tant mieux, j'en ai l'âme ravie. v.55 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- C'est le meilleur ami que j'aie eu de ma vie. v.56 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI P?RE)
- Mais allons voir sa femme, et lui faire ma cour. v.57 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI P?RE)
- Doligni, tout est dit. Adieu, jusqu'au retour. v.58 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI P?RE)
- Il m'aime, je le sais ; c'est sur quoi je me fonde. v.59 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Qu'est-ce ? Vous n'êtes pas le plus content du monde ? v.60 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- C'est que je viens d'avoir un entretien fâcheux. v.61 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Ceux d'un père et d'un fils sont toujours orageux. v.62 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- J'aime ; et mon père veut que j'en épouse une autre. v.63 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Il a tort ; et son goût devrait suivre le vôtre. v.64 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Ce n'est pas ce qui doit m'embarrasser le plus. v.65 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Il s'agit de mes feux. Comment sont-ils reçus ? v.66 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Marianne ayant mis en toi sa confiance... v.67 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Que concluez-vous de cela ? v.68 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Si j'ai plu, tu le sais. v.69 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Mauvaise conséquence. v.69 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Nous ne nous faisons point ces confidences-là. v.70 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Voyez donc ! v.71 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Eh ! Que diantre avez-vous à vous dire, v.71 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Si l'amour et les coeurs soumis à votre empire v.72 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- De tous vos entretiens ne font pas le sujet ? v.73 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Oh ! Ce n'est pas comme vous autres. v.74 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Vous avez vos propos, et nous avons les nôtres. v.75 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sur quoi roulent-ils donc, et quel en est l'objet ? v.76 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Une mode, une étoffe, une robe nouvelle, v.77 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Des gazes, des pompons, des fleurs, une dentelle, v.78 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sont d'abord des sujets qui ne tarissent point. v.79 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Quand on est en gaieté, quelquefois on y joint v.80 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Des historiettes de fille, v.81 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Des contes de couvent. Enfin, que sais-je, moi ? v.82 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- On parle, on cause, on jase, on caquette, on babille, v.83 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Et l'on rit bien souvent, sans trop savoir pourquoi. v.84 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Non, jamais on n'a vu de fille si discrète. v.85 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Je sers d'exception. v.86 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sois un peu moins secrète. v.86 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Le Marquis, par hasard, n'est-il point mon rival ? v.87 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Qui ? Lui ! v.88 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sa cousine est si belle ! ... v.88 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Il fait profession d'être un galant banal. v.89 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Il peut s'être avisé d'employer auprès d'elle v.90 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Ses talents séducteurs. v.91 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Ils ne produiraient rien. v.91 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Ses succès ont cent fois couronné son adresse. v.92 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Il ne possède que trop bien v.93 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- L'art de rendre sensible à sa fausse tendresse ; v.94 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Et tant de coeurs conquis, bien ou mal-à-propos, v.95 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Troublent le peu d'espoir qui pouvait me séduire. v.96 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Comment ! Vous érigez ce marquis en héros ! v.97 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Comment puis-je en effet balancer ou détruire v.98 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Tant d'avantages vrais ou faux ? v.99 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Mon malheureux amour m'éclaire. v.100 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Il ne faut que chercher à plaire, v.101 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Pour connaître tous ses défauts. v.102 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Peut-être à tort je la soupçonne ; v.103 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Mais pour une jeune personne v.104 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- L'hommage du marquis est bien éblouissant. v.105 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Plaise à l'amour que je m'abuse. v.106 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Il est vrai que l'on nous accuse v.107 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- D'apporter toutes en naissant v.108 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Ce malheureux levain de la coquetterie, v.109 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Et ce goût effréné pour la galanterie. v.110 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Nous pourrions à bon titre en dire autant de vous. v.111 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Mais, sans récriminer, croyez que parmi nous v.112 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Il est encor des coeurs dignes d'un honnête homme. v.113 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- D'ailleurs, en vains soupçons votre esprit se consomme ; v.114 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Le Marquis choisit mieux. v.115 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Eh ! Peut-il mieux choisir ? v.115 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Marianne est sans doute extrêmement aimable : v.116 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- La bonté de son coeur la rend inestimable. v.117 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- C'est un trésor. Heureux qui pourra s'en saisir ! v.118 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Mais enfin, par vous seul, en silence adorée, v.119 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Marianne est presque ignorée. v.120 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- On ne la connaît point à la ville, à la cour : v.121 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Et les gens du bel air ne rendent point les armes, v.122 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Si la célébrité n'est jointe avec les charmes. v.123 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Chez eux, la gloire a pris la place de l'amour. v.124 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Tel est ce cher marquis d'impression nouvelle. v.125 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Un des plus grands travers qui troublent sa cervelle, v.126 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- C'est qu'aucune beauté ne saurait le tenter, v.127 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Qu'autant qu'elle est de mode, et qu'il voit autour d'elle v.128 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- La cour la plus brillante. Il aime à supplanter. v.129 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Plus le concours est grand, plus il la trouve belle. v.130 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Aussi, pour parvenir jusqu'au suprême honneur v.131 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- De l'avoir sur son compte, il n'est rien qu'il n'emploie. v.132 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- En un mot, ce qui fait sa gloire et son bonheur, v.133 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- C'est l'opprobre éclatant dont il couvre sa proie, v.134 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Et la rage qu'il porte au sein de ses rivaux. v.135 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Voilà le seul exploit digne de ses travaux. v.136 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Quels travers ! Car il a de l'esprit, ce me semble. v.137 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- L'esprit et le bon-sens vont rarement ensemble. v.138 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Tout ce que tu me dis, ne me rassure pas. v.139 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Parlez-lui donc vous-même ; il tourne ici ses pas. v.140 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Eh ! Bonjour, Doligni... Parbleu, que je t'embrasse. v.141 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Ces embrassades-là sont aussi du bel air. v.142 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Qu'est-ce donc ? Mon abord te trouble ! Il t'embarrasse ! v.143 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- J'en vois la cause. Allons, rassure-toi, mon cher ; v.144 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Je fais profession d'être un rival commode : v.145 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Avant qu'il soit peu, dans Paris, v.146 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Je veux en amener la mode, v.147 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Et mettre les amants sur le pied des maris. v.148 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Elle n'est pas si mal, au moins ! v.149 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Cesse de rire. v.149 (Acte 1, scène 4, DOLIGNI-fils)
- Je parlais à Rosette. v.150 (Acte 1, scène 4, DOLIGNI fils)
- Un honnête homme aura v.150 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Toujours quelque chose à lui dire. v.151 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Il faut te l'avouer. v.152 (Acte 1, scène 4, DOLIGNI-fils)
- Tout comme il te plaira. v.152 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Tiens, Rosette rougit ; elle te fait un signe. v.153 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Notre entretien roulait sur un sujet plus digne. v.154 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- C'était sur Marianne. v.155 (Acte 1, scène 4, DOLIGNI-fils)
- Ah ! Tu fais le discret ! v.155 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Quand on est tête-à-tête avec elle en secret, v.156 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Il est bien mal-aisé de lui parler d'une autre ; v.157 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Il n'est personne alors qu'on ne doive oublier. v.158 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Point de panégyrique, où je ferai le vôtre. v.159 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Ne cherchons point tous deux à nous humilier. v.160 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Trêve entre nous de gentillesse. v.161 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Si madame vous croit un être si parfait, v.162 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Eh ! Bien, à la bonne heure ; elle est fort la maîtresse. v.163 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Elle peut vous gâter, comme elle a toujours fait. v.164 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Mais comme je n'ai pas la même ivresse qu'elle, v.165 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Je pourrais m'égayer aux dépens des railleurs : v.166 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Ainsi, monsieur, cherchez vos passe-temps ailleurs. v.167 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Quand Rosette se fâche, elle est encor plus belle. v.168 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Finissez mon éloge, et me laissez en paix. v.169 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Puisque tu fais semblant de le trouver mauvais, v.170 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Je ne pousserai pas à bout ta modestie. v.171 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- La petite cousine était donc, entre vous, v.172 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Le sujet prétendu d'un entretien si doux ? v.173 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Et vous aussi. v.174 (Acte 1, scène 4, DOLIGNI-fils)
- Qui ? Moi ! J'étais de la partie ? v.174 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Vraiment oui ; monsieur en est fort amoureux. v.175 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Ah ! Ah ! v.176 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Comme il vous croit un rival dangereux, v.176 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- (Car, pour peu que l'on aime, on a peur de son ombre,) v.177 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Il me communiquait sa crainte et son erreur. v.178 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Il ne pouvait voir sans terreur v.179 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Que vous fussiez aussi du nombre v.180 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- De ceux que Marianne a soumis à ses lois. v.181 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Est-il vrai, Doligni ? v.182 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais, si j'avais le choix, v.182 (Acte 1, scène 4, DOLIGNI-fils)
- J'aimerais mieux ailleurs te voir rendre les armes. v.183 (Acte 1, scène 4, DOLIGNI fils)
- C'est être en ma faveur un peu trop prévenu. v.184 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Que lui disais-tu pour calmer ses alarmes ? v.185 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais nous en étions là, quand vous êtes venu ; v.186 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Et j'allais à peu près lui dire, ce me semble, v.187 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Qu'il ne peut se fonder aucune liaison v.188 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Entre deux coeurs qui n'ont ensemble v.189 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Aucun de ces rapports qu'exige la raison. v.190 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Il faut savoir nous vaincre avec nos propres armes. v.191 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- S'il se forme entre amants de ces noeuds pleins de charmes, v.192 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Que l'amour et le temps ne font que redoubler, v.193 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- L'étoile n'y fait rien : voilà tout le mystère ; v.194 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- C'est qu'au moins par le coeur et par le caractère v.195 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Il faut un peu se ressembler. v.196 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Venons à Marianne. v.197 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Elle est d'une figure v.197 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- À faire dans le monde un jour bien du fracas. v.198 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Sans doute ; et cependant elle n'en fera pas. v.199 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Pourquoi ce malheureux augure ? v.200 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Et d'où diable le tires-tu ? v.201 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Le bon-sens fut toujours ami de la vertu. v.202 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Malgré le train qui règne en ce siècle commode, v.203 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Marianne suivra celui du bon vieux temps, v.204 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Et ne prendra jamais ces travers éclatants v.205 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Qu'il faut avoir pour être une femme à la mode. v.206 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- J'ai dit. Vous entendez cet avis indirect. v.207 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Pardonnez, au surplus, si dans cette occurrence v.208 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Je n'ai pas eu pour vous le plus profond respect ? v.209 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- J'y rentre, et je vous fais mon humble révérence. v.210 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Elle a le caquet amusant ; v.211 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais elle a l'esprit faux. v.212 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Pas tant. Mais à présent, v.212 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Parlons de Marianne. v.213 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Elle est plus que jolie. v.213 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle a, comme tu sais, tout ce qui peut charmer. v.214 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Marquis, l'aimerais-tu ? v.215 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Qu'entends-tu par aimer ? v.215 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Plaît-il ? v.216 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Expliquons-nous. v.216 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Quelle est cette folie ? v.216 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Ce mot est plus clair que le jour. v.217 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Parbleu ! C'est ce qu'on sent pour l'objet qu'on adore. v.218 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Aimer... C'est avoir de l'amour. v.219 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- C'est... v.220 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Est-ce que l'on aime encore ? v.220 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Est-ce qu'on n'aime plus ? v.221 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- De quel pays viens-tu ? v.221 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Du pays où l'on aime. v.222 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Où diantre as-tu vécu ? v.222 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Quelle extravagance est la vôtre ? v.223 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Vous croiriez qu'il n'est point de véritable amour ? v.224 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- De véritable amour ? À l'autre ! v.225 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Non, je n'en vis jamais à la ville, à la cour ; v.226 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Et si j'ai beaucoup vu, mais beaucoup. v.227 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Quelle tête ! v.227 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Quant à moi, je soutiens, sans me faire de fête, v.228 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Qu'on aime, et que sans doute on aimera toujours. v.229 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Le monde est plein d'amants ; il s'en fait tous les jours... v.230 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Que le goût des plaisirs, la fortune, la gloire, v.231 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- L'intérêt, l'amour-propre, et semblables raisons v.232 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Engagent à former entre eux des liaisons v.233 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qui n'ont rien de l'amour que le nom. v.234 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- J'ose croire v.234 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Qu'il en est dont le coeur est vraiment enflammé. v.235 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Dis que l'on feint d'aimer, et de se croire aimé. v.236 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais Marianne a-t-elle attiré votre hommage ? v.237 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Mais, tout comme d'une autre, on peut s'en amuser. v.238 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Ah ! Feindre de l'aimer, c'est lui faire un outrage. v.239 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Et si son coeur allait se laisser abuser ? v.240 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Eh ! Bien, le pis aller, est-ce un si grand dommage ? v.241 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Comment, vous ne feriez semblant de l'adorer v.242 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Que pour le seul plaisir de la déshonorer, v.243 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Et d'en rire après son naufrage ? v.244 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Ah ! Marquis, quel projet ! Quelle malignité ! v.245 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Si vous réussissez dans cette indignité, v.246 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- À vos remords, un jour, craignez de rendre compte. v.247 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Croyez que, tôt ou tard, ils ne pardonnent rien. v.248 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Renoncez à la gloire, ou plutôt à la honte v.249 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- D'établir votre honneur sur les débris du sien. v.250 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Le monde a cependant des maximes contraires. v.251 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Oui, l'on s'y fait un jeu d'un crime accrédité. v.252 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Eh ! Que devient la probité ? v.253 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Elle n'est point requise en ces sortes d'affaires. v.254 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- L'usage et la nature, en faveur des plaisirs, v.255 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- En ont toujours banni jusqu'au moindre scrupule. v.256 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il s'agit d'arriver au but de ses désirs : v.257 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La morale y jouerait un rôle ridicule. v.258 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Par ma foi, ce système est plein d'absurdités. v.259 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- C'est un assassinat que vous préméditez. v.260 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Tu seras, en amour, une excellente dupe. v.261 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais, pour me réjouir, je t'alarmais exprès. v.262 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Marianne, aujourd'hui, n'est point ce qui m'occupe. v.263 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Laissons-la marier ; et nous verrons après. v.264 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La confidence est fort honnête. v.265 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Quant à présent, j'aspire à certaine conquête, v.266 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Dont je fais un peu plus d'état. v.267 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mon choix va t'étonner ; mais prête-moi l'oreille. v.268 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Doligni, tu connais cette jeune merveille v.269 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qui remplit tout Paris de son nouvel éclat. v.270 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La célèbre Arthénice ? v.271 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Oui ; ce n'est qu'elle-même. v.271 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien ? ... v.272 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Eh ! Bien ? v.272 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- J'entends. Ma surprise est extrême, v.272 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- D'autant plus qu'elle est fine, et que jusques ici, v.273 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- De mille et mille amants, pas un n'a réussi. v.274 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Parbleu, je le crois bien... dispense-moi du reste. v.275 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Fort bien. v.276 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Il faut être modeste. v.276 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Comment fais-tu pour plaire ? Est-ce un don ? Est-ce un art ? v.277 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Mais enseigne-moi donc. v.278 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- On peut t'en faire part. v.278 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Si tu veux recevoir quelque avis salutaire, v.279 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu t'en trouveras mieux de toutes les façons. v.280 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Je sens tout le besoin que j'ai de tes leçons. v.281 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Il ne faut que refondre un peu ton caractère. v.282 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais vraiment j'y consens. v.283 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Ton défaut capital v.283 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Est l'embarras subit, le trouble machinal, v.284 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qui, sans nulle raison, te saisit et te glace, v.285 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Sitôt qu'on te regarde ou qu'on te parle en face. v.286 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Crois-moi, tombe plutôt dans l'autre extrémité v.287 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Rien ne fait plus de tort que la timidité. v.288 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Avec elle, par-tout, on est hors de sa place ; v.289 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle suspend, arrête, et fixe les ressorts v.290 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- De la langue, des yeux, de l'esprit et du corps : v.291 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle en ôte l'usage ; elle en ôte la grâce ; v.292 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Sur tout ce que l'on dit, sur tout ce que l'on fait, v.293 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle répand un air gauche, épais, et stupide. v.294 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tel qu'on prend pour un sot, parce qu'il est timide, v.295 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Aurait de quoi passer pour un homme parfait. v.296 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais ce n'est pas là tout ; et si tu te proposes v.297 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- D'avoir des succès éclatants, v.298 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il te faut bien encor d'autres métamorphoses. v.299 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il te manque le ton, l'air et les moeurs du temps : v.300 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Le monde où tu vas vivre exige, entre autres choses, v.301 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qu'on soit plus amusant que solide et sensé. v.302 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu ne saurais parler qu'après avoir pensé. v.303 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu raisonnes toujours, et jamais tu ne causes. v.304 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Déraisonne, morbleu, plutôt que d'ennuyer : v.305 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Un peu moins de bon-sens, et plus de badinage. v.306 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Un homme qui disserte est un homme à noyer. v.307 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La raison, que tu crois un si bel apanage, v.308 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Fut toujours le fléau de la société : v.309 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle en chasse les ris, les jeux et la gaieté ; v.310 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Elle y met, à leur place, une langueur mortelle. v.311 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- On la vante mal-à-propos ; v.312 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Quand on a de l'esprit, on peut se passer d'elle ; v.313 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La raison, tout au plus, ne convient qu'à des sots. v.314 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu traites la raison d'une manière étrange. v.315 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- J'en suis bien revenu ; je ne prends plus le change. v.316 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il y paraît. v.317 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Pour toi, tâche de profiter. v.317 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Je ne me cite pas ; mais on peut m'imiter. v.318 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Quelqu'un vient. v.319 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- C'est La Fleur. v.319 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Adieu, je me retire. v.319 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Sur ce que je t'ai dit, fais tes réflexions. v.320 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Ouf ! v.321 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Eh ! Bien, mes commissions ? v.321 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oh ! Palsembleu, Monsieur, souffrez que je respire. v.322 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Si vous continuez ainsi, vous me tuerez. v.323 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Il est vrai qu'avec moi la fatigue est extrême. v.324 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Vous autres, que Dieu fit pour être voiturés, v.325 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Vous allez à votre aise, et vous parlez de même. v.326 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Il n'en est pas ainsi des malheureux piétons. v.327 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Reste en place ; respire ; et point de ces dictons. v.328 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Morbleu, je suis bien las de ces courses maudites. v.329 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Quels papiers tiens-tu là ? v.330 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- La liste des visites. v.330 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- J'ai vu celle d'hier. v.331 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Elle est de ce matin. v.331 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Bon ! v.332 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Demandez au suisse ; oui, rien n'est plus certain. v.332 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Eh ! Mais, la matinée est un temps solitaire. v.333 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il est certaines gens, pour certaine raison, v.334 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qui vont dès le matin. v.335 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Lis. v.335 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Le propriétaire v.335 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- De votre petite maison. v.336 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Fort bien. v.337 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Le tapissier. v.337 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Oui-da ! v.337 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Le traiteur. v.337 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Peste ! v.337 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Le loueur de carrosse. v.338 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Après. v.338 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ainsi du reste. v.338 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ces messieurs sont venus ? v.339 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Non pas eux, mais leurs gens. v.339 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ces gens ont-ils des gens !... v.340 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Leurs gens sont des sergents ; v.340 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Et voici, monsieur, de leur prose, v.341 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Et de leurs billets doux. v.342 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Tant mieux. v.342 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je n'en ai jamais vu. Contentez-vous, mes yeux... v.343 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Chantez ; c'est bien prendre la chose. v.344 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Tiens, fais-en ton profit. v.345 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Beau diable de profit ! v.345 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- D'ailleurs, chez Arthénice as-tu su t'introduire ? v.346 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Plus invisiblement que n'eût fait un esprit. v.347 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Comment se porte-t-on ? v.348 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Bien. v.348 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Daigne un peu m'instruire. v.348 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Comment a-t-on reçu les bijoux ? v.349 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mal. v.349 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Pourquoi ? v.349 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est qu'il n'était pas jour chez elle ; v.350 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Et qu'ainsi je n'ai pu voir que sa demoiselle. v.351 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ce n'est pas là mon compte, à moi. v.352 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- J'entends, et je t'enjoins de ne jamais rien prendre. v.353 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quoi ! Pas même, monsieur, ce qu'on me donnera ? v.354 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Non ; ou bien tu verras ce qui t'arrivera. v.355 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ah ! Ce ne sera pas de rendre. v.356 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- On va la marier. v.357 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Tout de bon ? v.357 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tout-à-fait ; v.357 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- À ce baron qui la pourchasse : v.358 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Il prétend, dès demain, que la noce se fasse. v.359 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Bon ! v.360 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Un petit billet vous mettra mieux au fait. v.360 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Il faut que tout cela finisse. v.361 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- De quoi ris-tu ? Dis donc. v.362 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- D'un tour assez falot, v.362 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Dont la suivante d'Arthénice v.363 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Vient, à votre sujet, de régaler un sot. v.364 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- J'étais dans l'antichambre à causer avec elle, v.365 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- En tout bien, tout honneur. v.366 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Eh ! Tâche d'abréger. v.366 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Nous parlions d'amitié, quand la fausse femelle v.367 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- A pensé me dévisager. v.368 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- "Va-t-en, m'a-t-elle dit, au diable, avec ton maître. v.369 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Depuis assez longtemps, il a dû reconnaître v.370 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qu'il prend un inutile soin. v.371 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ma maîtresse n'en veut, ni de près, ni de loin." v.372 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Alors, tout ébaubi, j'ai détourné la tête : v.373 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- C'est que le vieux baron lui-même, à pas de loup, v.374 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Venait d'arriver tout-à-coup, v.375 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qui mordant à la grappe, et d'un air tout honnête, v.376 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Accompagné pourtant d'un geste cavalier, v.377 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- M'a flatté, si jamais le hasard me ramène, v.378 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qu'il aurait la bonté de m'épargner la peine v.379 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- De descendre par l'escalier. v.380 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Je voudrais qu'il osât te faire cette grâce. v.381 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Eh ! Non pas, s'il vous plaît ; souffrez que je m'en passe. v.382 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- J'ai volé chez Michel, et de-là chez Passeau. v.383 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- J'ai vu vos deux habits ; ma foi, rien n'est si beau ; v.384 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Je ne crois pas qu'on puisse en avoir de plus lestes. v.385 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Après, j'ai, sans aucun délai, v.386 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Été chez la Duchapt ; et puis, chez la Bourrai ; v.387 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Leurs filles sont après à garnir vos deux vestes ; v.388 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- L'une est en petit jaune, et l'autre en petit bleu. v.389 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Les aurai-je bientôt ? v.390 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Vous les aurez dans peu ; v.390 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Mais l'argent à la main. v.391 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ou Monsieur La Fleur est ivre, v.391 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ou ces gens sont devenus fous. v.392 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Parbleu, je ferais bien, pour leur apprendre à vivre, v.393 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- De ne m'en plus servir. v.394 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est ce qu'ils disent tous. v.394 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Par l'homme en question j'ai fini mes messages ; v.395 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Seriez-vous assez fou pour en tâter encore ? v.396 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Aurai-je de l'argent ? v.397 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oui, mais au poids de l'or. v.397 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Il demande un billet du triple, et de bons gages. v.398 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Mais il en a déjà pour plus que je ne dois. v.399 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Faute de les avoir retirés dans le mois, v.400 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ils lui sont dévolus. Ignorez-vous l'usage ? v.401 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- N'importe. J'ai besoin, en un mot comme en cent, v.402 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- De deux mille louis. v.403 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quel besoin si pressant v.403 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- En pouvez-vous avoir ? v.404 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Est-ce donc qu'à mon âge v.404 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il n'est pas naturel de chercher à jouir ? v.405 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans être libertin, on peut se réjouir. v.406 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Comment donc libertin ? Le suis-je ? v.407 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ah ! Mon cher maître, v.407 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Vous l'êtes beaucoup plus, en croyant ne pas l'être. v.408 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Mais encore en quoi donc ? Dis-le-moi ; j'y consens. v.409 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Eh ! Parbleu, tout vous duit à la fois ; somme toute, v.410 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Rien n'y manque, le vin, le jeu, l'amour. v.411 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Sans doute. v.411 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Eh ! Ne sont-ce pas là des plaisirs innocens ? v.412 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Vous les menez un train de chasse ; v.413 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Et vous indisposez le public contre vous. v.414 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ah ! S'il a de l'humeur, que veux-tu que j'y fasse ? v.415 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Peut-on empêcher les jaloux ? v.416 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Crois-moi, va, je connais le monde ; v.417 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- On n'y blâme que ceux qu'on voudrait imiter. v.418 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- En faux raisonnements votre morale abonde. v.419 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Mais, encore une fois, sachez vous limiter. v.420 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Si vous ne changez pas tout-à-fait de conduite, v.421 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Empêchez que du moins on n'en parle en tous lieux. v.422 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Madame votre mère en pourrait être instruite. v.423 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Elle a beau vous aimer, elle ouvrira les yeux. v.424 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Vous avez une soeur, qu'elle vous sacrifie : v.425 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Songez-y ; je vous signifie v.426 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qu'elle pourrait fort bien la tirer du couvent, v.427 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Pour lui faire, avec vous, partager l'héritage, v.428 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Et peut-être encor davantage. v.429 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Vous savez que monsieur l'en presse assez souvent. v.430 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Eh ! Ventrebleu ! Va-t-en faire un tour à l'office, v.431 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et rêver, en buvant, aux moyens les plus prompts v.432 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- De refaire ma bourse et de me mettre en fonds. v.433 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Le vin te fournira quelque heureux artifice. v.434 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour boire, je boirai. v.435 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Va donc, sois diligent. v.435 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je l'entends un peu mieux que tout autre négoce. v.436 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- À tel prix que ce soit, il me faut de l'argent. v.437 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- S'il venait en buvant, je roulerais carrosse. v.438 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Le Marquis viendra-t-il ? v.439 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Un peu de patience. v.439 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Je l'ai fait avertir ; il ne tardera pas. v.440 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- À quelques importuns qui retardent ses pas, v.441 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il achève à présent de donner audience. v.442 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Ah ! Rosette ! v.443 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Comment ! Qui vous fait soupirer ? v.443 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Mon fils. v.444 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- En quoi, madame, y peut-il conspirer ? v.444 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- N'êtes-vous pas toujours la plus heureuse mère ? v.445 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Je crains que ce bonheur ne soit qu'une chimère. v.446 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- De la part du marquis, que s'est-il donc passé ? v.447 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Vous serait-il moins cher ? v.448 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Je rougis de le dire ; v.448 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Mon amour va pour lui toujours jusqu'au délire. v.449 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- L'excès en est permis, quand il est bien placé. v.450 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Eh ! Qui me répondra que mon fils le mérite ? v.451 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Ma foi, ce n'est pas moi. N'allons pas à l'appui v.452 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- D'un accès de raison qui passera bien vite. v.453 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'avez-vous découvert qui vous déplaise en lui ? v.454 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il me semble pourtant qu'il est toujours de même. v.455 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- C'est de quoi je me plains. v.456 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Ma surprise est extrême. v.456 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Eh ! Peut-il être mieux, sans y perdre ? Il est bien. v.457 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- S'il cessait d'être un fat, il ne serait plus rien. v.458 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Madame, dépouillons les préjugés vulgaires. v.459 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il a bien des défauts, ou je me trompe fort. v.460 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- S'il a quelques défauts, ils lui sont nécessaires. v.461 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Comment ? v.462 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Je le soutiens, et nous serons d'accord. v.462 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Quoi ! Trouvez-vous mauvais qu'il soit l'homme de France v.463 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qui sçait le mieux choisir une étoffe de goût ; v.464 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qui s'habille et se met avec une élégance v.465 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'on cherche à copier, sans en venir à bout ? v.466 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Lui reprocheriez-vous, dans l'humeur où vous êtes, v.467 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il aime un peu le luxe et la frivolité ? v.468 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il cherche à ressembler aux gens de qualité ? v.469 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il aime le plaisir, et contracte des dettes ? v.470 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Eh ! N'en voulez-vous pas faire un homme de cour ? v.471 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- C'est le projet flatteur qu'a formé mon amour. v.472 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Ne vous plaignez donc point. v.473 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Mais es-tu bien certaine... v.473 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Il ira loin. Pour moi, je n'en suis point en peine. v.474 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- J'en accepte l'augure... à propos de cela, v.475 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Conçois-tu mon mari ? v.476 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- La demande est nouvelle ! v.476 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Est-ce qu'on peut jamais concevoir ces gens-là ? v.477 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Son obstination me paraît bien cruelle. v.478 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Oui, sa prévention contre un fils si bien né... v.479 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Est le premier chagrin qu'il m'ait jamais donné. v.480 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Ce n'est que depuis peu que son humeur varie, v.481 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il a des volontés, et qu'il vous contrarie. v.482 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il lui sied bien, en vérité ! v.483 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il faudrait arrêter cette témérité... v.484 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Mais vous auriez la paix, si, pour le satisfaire, v.485 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- (Aux dépens du marquis, s'entend,) v.486 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Vous vouliez retirer, ainsi qu'il le prétend, v.487 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Votre fille du cloître. v.488 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il est vrai. v.488 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Pourquoi faire ? v.488 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Pour priver Le Marquis de la moitié du bien ? v.489 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Et m'empêcher par-là de faire un mariage v.490 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Où je vois, pour mon fils, le plus grand avantage. v.491 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Affaire de ménage, où l'homme n'entend rien. v.492 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Votre dessein n'est pas de l'en laisser le maître ? v.493 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Non vraiment ; si cela peut être, v.494 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Je prétends que mon fils ait un brillant état. v.495 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Je veux, par les grands biens qui sont en ma puissance, v.496 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Suppléer au défaut d'une illustre naissance, v.497 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Et que dans le grand monde il vive avec éclat. v.498 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Rien n'est plus naturel qu'un si grand sacrifice. v.499 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Ce projet vous est cher ; vous l'avez résolu. v.500 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il faut bien, à son tour, que monsieur obéisse. v.501 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Vous n'avez que trop fait tout ce qu'il a voulu. v.502 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il en contracterait l'habitude importune. v.503 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- C'est bien assez d'avoir reçu, dans la maison, v.504 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Cette nièce orpheline, et presque sans fortune, v.505 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il vous fit accueillir, par la seule raison v.506 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'elle porte son nom. v.507 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Notez, par apostille, v.507 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'elle reçoit sa nièce et refuse sa fille. v.508 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Que dis-tu ? v.509 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Que c'est vous montrer v.509 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- La tante la meilleure et la plus généreuse v.510 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'on puisse jamais rencontrer. v.511 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Voilà mon fils. v.512 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Déjà ! L'aventure est heureuse ! v.512 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il est mis agréablement ! v.513 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Je me jette à vos pieds. Je suis réellement v.514 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Outré, désespéré de m'être fait attendre. v.515 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Je devais tout quitter, et ne point m'amuser. v.516 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Me pardonnerez-vous ? v.517 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Ah ! Comme il sait la prendre ! v.517 (Acte 2, scène 2, ROSETTE)
- Rosette a su vous excuser. v.518 (Acte 2, scène 2, MADAME ARGANT)
- Rosette ! v.519 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Moi ! Madame ! v.519 (Acte 2, scène 2, ROSETTE)
- Oui : soyez content d'elle. v.519 (Acte 2, scène 2, MADAME ARGANT)
- Cette fille vous aime. v.520 (Acte 2, scène 2, MADAME ARGANT)
- Elle me connaît bien. v.520 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Va, compte qu'il saura récompenser ton zèle. v.521 (Acte 2, scène 2, MADAME ARGANT)
- Oui-da ! v.522 (Acte 2, scène 2, ROSETTE)
- Mais laisse-nous un moment d'entretien. v.522 (Acte 2, scène 2, MADAME ARGANT)
- J'aurais à vous parler. v.523 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous serez mieux assise. v.523 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il n'en est pas besoin ; restez. v.524 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- J'exigerais de vous une entière franchise. v.525 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mon coeur vous est ouvert. v.526 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Vous me la promettez ? v.526 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Dans la sincérité mon âme est affermie ; v.527 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- J'en fais profession, et surtout avec vous. v.528 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Votre mère ne veut être que votre amie. v.529 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- C'est unir à la fois les titres les plus doux. v.530 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- À votre âge, mon fils, et fait comme vous êtes, v.531 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Recevant dans le monde un accueil enchanteur, v.532 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- On a dû vous dresser mille embûches secrètes, v.533 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Pour obtenir de vous un hommage flatteur. v.534 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Quand vous auriez cédé, par goût ou par faiblesse, v.535 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- J'excuserais votre jeunesse ; v.536 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Je fermerais les yeux. Parlez-moi franchement. v.537 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous passez pour avoir un tendre attachement : v.538 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- C'est une beauté rare, et qu'on m'a fort vantée, v.539 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais à quoi votre sort ne peut pas être joint... v.540 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous rougissez, mon fils, et ne répondez point. v.541 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Si votre âme, à présent, un peu trop enchantée, v.542 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ne peut abandonner ce dangereux vainqueur, v.543 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- J'attendrai que le temps vous rende votre coeur, v.544 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Et vous mette en état d'entrer sans répugnance v.545 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Dans des projets, pour vous, formés dès votre enfance, v.546 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Et que, jusqu'à ce jour, je n'ai point négligés. v.547 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ah ! Vous méritez tout ce que vous exigez. v.548 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Oui, l'on vous a dit vrai : mais soyez plus tranquille. v.549 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- C'est un amusement frivole et passager, v.550 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Que mon coeur, sans vouloir autrement s'engager, v.551 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- S'est fait depuis peu par la ville, v.552 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Seulement pour remplir un loisir inutile. v.553 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Pareil attachement, (si pourtant c'en est un,) v.554 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ne tient qu'autant qu'on veut ; la rupture est facile : v.555 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Rien n'est plus simple et plus commun. v.556 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- De semblables romans n'ont pas pour héroïnes v.557 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Des personnes assez divines v.558 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Pour fixer, sans retour, ceux qui leur font l'honneur v.559 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- D'offrir quelque encens à leurs charmes. v.560 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- C'est l'espoir assuré d'un facile bonheur v.561 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Qui fait que l'on s'abaisse à leur rendre les armes. v.562 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Elles n'allument point de véritables feux ; v.563 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Et l'on est leur amant, sans en être amoureux. v.564 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Que le mépris que vous en faites v.565 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Augmente mon estime, et mon amour pour vous ! v.566 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ah ! Mon fils, pardonnez mes frayeurs indiscrètes. v.567 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Votre établissement est l'objet le plus doux v.568 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que ma tendresse se propose ; v.569 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Et j'y travaille utilement. v.570 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Et c'est sur vous aussi que mon coeur s'en repose. v.571 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- J'ai de l'ambition ; mais pour vous seulement. v.572 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que ne vous dois-je pas ! v.573 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Écoutez, je vous prie. v.573 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous aurez tout mon bien, je vous l'ai destiné. v.574 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais ce n'est pas assez ; et vous n'êtes pas né v.575 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Pour vivre et pour passer simplement votre vie v.576 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Dans l'indolente oisiveté v.577 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- D'une opulente obscurité. v.578 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ce n'est pas là mon plan. v.579 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Je ne fais aucun doute v.579 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que vous n'ayez dessein de paraître au grand jour ; v.580 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que votre but ne soit de percer à la cour : v.581 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Un bien considérable en aplanit la route. v.582 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais, pour vous abréger un chemin toujours long, v.583 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il serait un moyen plus facile et plus prompt. v.584 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Et ce moyen qui s'offre à votre prévoyance, seroit ? v.585 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Un mariage ; une fille, en un mot, v.586 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Qui vous apporterait en dot v.587 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Le crédit et l'appui d'une grande alliance. v.588 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- On ne peut mieux penser. Vous ne m'étonnez point : v.589 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais l'hymen, à mon âge, est un état bien grave. v.590 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Quoi ! Voulez-vous sitôt que je devienne esclave ? v.591 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Un mari ne l'est pas. Auriez-vous sur ce point v.592 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Un peu d'aversion ? v.593 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Moi ! Madame ? Eh ! Qu'importe ? v.593 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Quand mon aversion serait cent fois plus forte, v.594 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Croyez que de ma part, en cela, comme en tout, v.595 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Le sacrifice est prêt : ce n'est pas une affaire. v.596 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Le désir de vous satisfaire v.597 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Me tiendra toujours lieu de penchant et de goût. v.598 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais mon père ? ... v.599 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ah ! Je sais comment il faut s'y prendre. v.599 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Je prévois ses refus ; mais ils ne tiendront pas. v.600 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Nous disputons beaucoup. Après bien des débats, v.601 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Votre père s'apaise, et finit par se rendre. v.602 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Par exemple, il avait fortement décidé v.603 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que vous seriez de robe. v.604 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ah ! Ciel ! v.604 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il a cédé. v.604 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- N'en a-t-il pas été de même v.605 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Pour le déterminer à vous faire un état. v.606 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Au sujet de ce marquisat v.607 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Sa répugnance était extrême ; v.608 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il ne voulait pas s'y prêter : v.609 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais vous le désiriez ; c'est sur quoi je me fonde : v.610 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Aussi l'ai-je forcé de l'aller acheter. v.611 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ne faut-il pas avoir un titre dans le monde ? v.612 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais celui de marquis me flatte infiniment ; v.613 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Je vous l'avoue ingénument. v.614 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Si vous n'aviez pas eu la bonté de contraindre v.615 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Mon père à cet achat, j'eusse été très à plaindre. v.616 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Cette acquisition l'a longtemps retenu. v.617 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il est vrai ; c'est ce qui m'étonne. v.618 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il arrive aujourd'hui ; l'avis m'en est venu. v.619 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Je crois qu'à son retour la scène sera bonne. v.620 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il ne sera pas mal surpris v.621 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- De l'état que nous avons pris v.622 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Pendant le cours de son absence. v.623 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il ne pourra pas voir, sans jeter les hauts cris, v.624 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ces embellissements et ces meubles de prix. v.625 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il n'a jamais donné dans la magnificence. v.626 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ce nombre de valets, et ce suisse sur-tout, v.627 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ne seront pas trop de son goût. v.628 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Voyez cet animal qui m'arrête à la porte ! v.629 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Que voulez-vous ? v.630 (Acte 2, scène 4, LE-SUISSE)
- Eh ! Que t'importe ? v.630 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Mais est-ce ici chez moi ? v.631 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- çà, Monsieur, votre nom ? v.631 (Acte 2, scène 4, LE-SUISSE)
- Mon nom ?... v.632 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Afin qu'on vous annonce. v.632 (Acte 2, scène 4, LE-SUISSE)
- Je n'en connais pas un. v.633 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- J'attends votre réponse. v.633 (Acte 2, scène 4, LE-SUISSE)
- Connais-tu ça ? v.634 (Acte 2, scène 4, 1er-LAQUAIS)
- Moi ! Ma foi, non. v.634 (Acte 2, scène 4, 2eme-LAQUAIS)
- Ah ! Monsieur, pardonnez... madame, c'est mon père. v.635 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Excusez des valets... v.636 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Quel est donc ce mystère ? v.636 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- C'est vous, Monsieur Argant ? v.637 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANT)
- Moi-même, Dieu merci, v.637 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'une espèce de singe, avec sa barbe torse, v.638 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ne voulait point du tout laisser entrer ici : v.639 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Il a presque fallu que j'usasse de force. v.640 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Un suisse, comme un sot, fait toujours son métier. v.641 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Vous avez pris un suisse ? v.642 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, Monsieur. v.642 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Pour quoi faire ? v.642 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Un suisse est à la porte un meuble nécessaire. v.643 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Il ne nous faut qu'un vieux portier. v.644 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Et ce tas de valets dont l'antichambre est pleine, v.645 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Est-il d'ici ? v.646 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Sans doute. Il faut être servi. v.646 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais en faut-il une douzaine ? v.647 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Chacun a son emploi. v.648 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Fort bien, j'en suis ravi. v.648 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Parbleu, pendant deux mois qu'a duré mon voyage, v.649 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- L'extravagance a fait ici bien du ravage ! v.650 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Mais en quoi donc, Monsieur ? v.651 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Déjà deux ou trois fois v.651 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ce titre de monsieur a choqué mon oreille. v.652 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Vous ne vous serviez pas d'épithète pareille. v.653 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Le nom de père est-il devenu trop bourgeois, v.654 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Pour pouvoir à présent sortir de votre bouche ? v.655 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Il faut que cela soit. v.656 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ce reproche me touche. v.656 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Je croyais vous traiter avec plus de respect ; v.657 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Et j'ignore pourquoi monsieur s'en formalise. v.658 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Ma foi, s'il faut que je le dise, v.659 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ce cérémonial me paraît fort suspect ; v.660 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Et c'est la vanité qui l'a mis en usage. v.661 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Je sais que chez les grands il est autorisé ; v.662 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Que chez les gens d'un moindre étage v.663 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ce ridicule abus s'est impatronisé ; v.664 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Il s'est même glissé jusques dans la roture : v.665 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Mais il n'est pas moins vrai qu'il blesse la nature. v.666 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Pour chez moi, s'il vous plaît, il n'aura point de cours. v.667 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Sachez, en m'appelant par mon nom véritable, v.668 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Que le titre de père est le plus respectable v.669 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'un fils puisse donner à l'auteur de ses jours. v.670 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Il est vrai ; mais enfin je sais qu'au fond de l'âme v.671 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANT)
- Il ne m'aime pas moins pour m'appeler madame. v.672 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ma femme, quant à vous, je ne m'en mêle pas ; v.673 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- C'est une affaire à part ; je n'en veux point connaître. v.674 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Quelle est cette autre espèce ? Où s'adressent tes pas ? v.675 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Ici. v.676 (Acte 2, scène 5, LE-COUREUR)
- Qu'es-tu ? v.676 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Coureur. v.676 (Acte 2, scène 5, LE-COUREUR)
- Qui cherches-tu ? v.676 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mon maître ? v.676 (Acte 2, scène 5, LE-COUREUR)
- Quel est-il ? v.677 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Parbleu, c'est monsieur Le Marquis. v.677 (Acte 2, scène 5, LE-COUREUR)
- Quel marquis ? v.678 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Le voilà. v.678 (Acte 2, scène 5, LE-COUREUR)
- Qui donc ? v.678 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! C'est mon fils. v.678 (Acte 2, scène 5, MADAME ARGANT)
- Lui ? v.679 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Sans doute. v.679 (Acte 2, scène 5, MADAME ARGANT)
- Va-t-en. v.679 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
- C'est ainsi qu'on vous nomme ? v.679 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, Monsieur. v.680 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- De quel droit ? Mais vous m'étonnez fort. v.680 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Je crois en avoir deux. v.681 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Qui sont-ils donc ? v.681 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- D'abord, v.681 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- N'avez-vous pas l'honneur d'être né gentilhomme ? v.682 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Un peu. Mais est-ce assez pour s'appeler Marquis ? v.683 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Argant, vous êtes fou. v.684 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- N'avez-vous pas acquis ? ... v.684 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Et quoi ? v.685 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Ce marquisat que nous avions en vue ? v.685 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Est-ce que ce n'est pas une affaire conclue ? v.686 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Un marquisat ? v.687 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Est-il acheté ? v.687 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Ma foi, non. v.687 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Madame... v.688 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Ah ! Monsieur... v.688 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Il est trop cher. v.688 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'entends-je ? v.688 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais vous ne perdrez rien au change. v.689 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Mais mon fils en a pris le nom. v.690 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Palsembleu, qu'il le quitte. v.691 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Ciel ! Est-il possible ! v.691 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Autant qu'à vous, mon fils, cet affront m'est sensible. v.692 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Entre nous, pourquoi l'a-t-il pris ? v.693 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Faut-il, pour satisfaire à ses étourderies, v.694 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Être aussi fou que lui ? J'ai, mais à fort bon prix, v.695 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Acquis trois bonnes métairies, v.696 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Pays gras, terre à bled. v.697 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Mais quelles gueuseries ! v.697 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Mon père est bien désespérant ! v.698 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Ces acquisitions, je vous en suis garant, v.699 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Valent mieux que dix seigneuries. v.700 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- J'enrage de bon coeur. v.701 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Sachez vous contenir ; v.701 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Ou plutôt, laissez-nous ; je vais l'entretenir. v.702 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Vous êtes bien cruel ! v.703 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Moi ! La plainte est nouvelle ! v.703 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai cru que vous m'aimiez ; mais vous ne m'aimez point. v.704 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Fort bien. Mécontentez une femme en un point, v.705 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Tout le passé s'oublie, et n'est plus rien pour elle. v.706 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, je suis une ingrate ; allons, accablez-moi ; v.707 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ne ménagez plus rien. Ah ! Que je suis outrée ! v.708 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ma femme, sans courroux, parlons de bonne foi. v.709 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Nous convient-il d'avoir une terre titrée ? v.710 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Que diable ! Un marquisat n'a pas le sens commun. v.711 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Pourquoi donc mon fils n'en aurait-il pas un ? v.712 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Il n'est pas assez noble, et la terre est trop chère : v.713 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Sont-ce là des raisons d'un homme de bon sens ? v.714 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Non, monsieur ; vous voulez, je le vois, je le sens, v.715 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Mortifier le fils, désespérer la mère. v.716 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Vous vous lassez de moi. v.717 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Parlez-vous tout de bon ? v.717 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Que je suis malheureuse ! v.718 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ah ! C'est une autre affaire. v.718 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Ayons ce marquisat. Il faut vous satisfaire. v.719 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Quand mon fils en a pris le titre avec le nom, v.720 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Est-il temps d'écouter un frivole scrupule ? v.721 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Argant sera marquis. v.722 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Sans doute. Autrement v.722 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ce serait le couvrir du plus grand ridicule. v.723 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Je vais écrire. v.724 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Promptement... v.724 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Oui. v.725 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Je vous attendais avec impatience, v.725 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- D'autant plus qu'il s'agit d'une grande alliance v.726 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Pour mon fils. v.727 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Je m'en doutais bien. v.727 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- On propose une fille aimable et de naissance, v.728 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Et qui même appartient à plus d'une puissance. v.729 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- C'est-à-dire qu'elle n'a rien. v.730 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Mon fils est assez riche. Un si grand mariage v.731 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Lui procure, entre autre avantage, v.732 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Une entrée à la cour, avec un régiment. v.733 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Il ne trouverait plus d'occasion si belle. v.734 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Qu'exige-t-on de vous ? v.735 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Mais apparemment v.735 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Que j'assure mon bien. v.736 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- C'est une bagatelle... v.736 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Et ma fille ? ... v.737 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Allez-vous encore, à ce sujet, v.737 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Réveiller le procès que nous avions ensemble, v.738 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Au lieu d'embrasser mon projet ? v.739 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Mais, ma femme... v.740 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Mais quoi ! Tout est dit, ce me semble. v.740 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Dans cet asile heureux, et par elle chéri, v.741 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Où le ciel doit avoir accoutumé sa vie, v.742 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- J'aurai soin de lui faire un sort digne d'envie. v.743 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Où peut-elle être mieux ? v.744 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Avec un bon mari. v.744 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Rien n'est plus incertain. Mais qui vient nous surprendre ? v.745 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- C'est Monsieur Doligni. Je vous laisse avec lui. v.746 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Songez que l'on attend ma réponse aujourd'hui. v.747 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Vous voilà de retour. On vient de me l'apprendre : v.748 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Aussi-tôt l'amitié vers vous m'a fait voler. v.749 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Vous avez du chagrin, je pense ? v.750 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Ma femme... v.751 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Bien, quoi donc ? v.751 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Vient de me désoler. v.751 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Si tôt ? v.752 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- J'arrive à peine, après deux mois d'absence... v.752 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- C'est pour se remettre au courant. v.753 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Puis-je vous consoler ? v.754 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Non. v.754 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Pourquoi, je vous prie ? v.754 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Vous me revoyez donc d'un oeil bien différent ? v.755 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Mon amitié pour vous ne s'est point affaiblie. v.756 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Puis-je me consoler, quand moi-même je crains v.757 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- De vous plonger bientôt dans les plus grands chagrins. v.758 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'en prends jamais pour mon compte ; v.759 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Je n'ai que ceux de mes amis. v.760 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Ma femme, et j'en rougis de honte, v.761 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Me veut faire manquer à ce que j'ai promis. v.762 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Éprise, pour son fils, d'une amitié trop tendre, v.763 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Elle pense à lui seul, et ne veut point de gendre. v.764 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Je le savais déjà. Je vous dirai de plus, v.765 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Que je vous rends votre promesse. v.766 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Vous croyez que ma femme en sera la maîtresse ? v.767 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- N'ayez point, là-dessus, de débats superflus. v.768 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Par une autre raison qui n'est pas moins contraire, v.769 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Ce mariage-là n'aurait pas pu se faire. v.770 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Mon fils, à ce sujet, implore ma pitié. v.771 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Il aime éperdument une jeune personne v.772 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Digne de sa tendresse et de mon amitié. v.773 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Il a donc votre aveu ? v.774 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Mais oui, je le lui donne. v.774 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Hélas ! v.775 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Son choix fera mon bonheur et le sien. v.775 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- J'espérais pour ma fille une chaîne si belle, v.776 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Et qu'un jour votre fils serait aussi le mien. v.777 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- D'ailleurs, cette beauté qu'il aime, quelle est-elle ? v.778 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Marianne. v.779 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Ma nièce ? v.779 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, depuis quatre mois, v.779 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Il n'a pas pu la voir sans y fixer son choix. v.780 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Marianne est l'objet dont son âme est charmée ? v.781 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- La présence décide ; on se prend par les yeux : v.782 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- S'il eût vu votre fille, il l'eût sans doute aimée. v.783 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Son choix revient au même : il n'en sera pas mieux. v.784 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Voyez en même temps ma douleur et ma joie. v.785 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ouvrez-moi votre sein ; que mon coeur s'y déploie : v.786 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Comme un dépôt sacré, recevez un secret v.787 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Que ma tendre amitié vous taisait à regret. v.788 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Cette jeune orpheline, où tant de beauté brille, v.789 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Que votre fils adore, et que vous chérissez... v.790 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Bien... vous vous attendrissez. v.791 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Cette nièce... v.792 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Achevez. v.792 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Marianne est ma fille. v.792 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Que m'apprenez-vous là ? v.793 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Mon amour paternel v.793 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- A trouvé le moyen, à l'insu de sa mère, v.794 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- De retirer ici cette fille si chère, v.795 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'elle voulait laisser dans un cloître éternel. v.796 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Marianne se croit la fille de mon frère, v.797 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et n'imagine pas qu'elle soit chez son père. v.798 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Bon ! v.799 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Elle est dans la bonne foi. v.799 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Comment a-t-elle pu vous croire ? v.800 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Je n'ai pas eu de peine à forger une histoire. v.801 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Feu mon frère eut toujours le même nom que moi. v.802 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- C'est ce qui m'a servi ; d'autant plus que ma fille, v.803 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Qui fut mise au couvent dès l'âge de deux ans, v.804 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- N'a pas trop entendu parler de sa famille, v.805 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et n'a vû de sa vie aucun de ses parents. v.806 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ne pouvant engager mon épouse obstinée v.807 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- D'aller, jusqu'à Poitiers, voir cette infortunée, v.808 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et n'étant que trop sûr qu'elle veut, malgré moi, v.809 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Immoler à son fils cette triste victime, v.810 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Le détour que j'ai pris m'a paru légitime. v.811 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- C'est la nécessité qui m'en a fait la loi ; v.812 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et c'est, pour m'excuser, sur quoi je me retranche. v.813 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Le scrupule est plaisant ! Vous me faites pitié. v.814 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Eh ! Trompez sans regret votre chère moitié. v.815 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Attraper une femme, est prendre sa revanche. v.816 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- En un mot, j'ai pris ce détour. v.817 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Il est assez bon, ce me semble. v.818 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Et je n'ai si longtemps retardé mon retour, v.819 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Que pour les mieux laisser s'accoutumer ensemble. v.820 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Marianne a de quoi charmer ; v.821 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et je m'en vais savoir si, pendant mon absence, v.822 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ses charmes et son innocence, v.823 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- De son aveugle mère ont pu la faire aimer... v.824 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- La voici qui paraît. Laissez-nous, je vous prie. v.825 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Sur-tout ne dites point ce que je vous confie ; v.826 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Pas même à votre fils. v.827 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Comment vont nos projets ? v.827 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Apprends-moi quel succès a couronné ton zèle. v.828 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Sur le coeur de ta tante as-tu fait des progrès ? v.829 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Dis-moi, ma chère nièce, es-tu bien avec elle ? v.830 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Tu sais ce qu'en partant d'ici, v.831 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je t'ai recommandé comme un point nécessaire. v.832 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai fait ce que j'ai pu. v.833 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Tout a donc réussi, v.833 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Car tu plairas toujours à qui tu voudras plaire. v.834 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Présumez un peu moins de mon faible talent. v.835 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Il est vrai qu'en cherchant à remplir votre attente, v.836 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Qu'en tâchant de gagner l'amitié de ma tante, v.837 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je ne me faisais point un effort violent. v.838 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Que dis-je ? Un sentiment que je ne puis comprendre, v.839 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- À mon obéissance a servi de soutien ; v.840 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Et mon coeur, étonné de se trouver si tendre, v.841 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- N'a, je crois, rien omis pour mériter le sien ; v.842 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Mais... v.843 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- L'heureuse nouvelle ! Achève ton ouvrage. v.843 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne te dis qu'un mot ; qu'il serve à t'animer. v.844 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Mariage, fortune, espérance, héritage, v.845 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Tout dépend de ma femme, et de s'en faire aimer. v.846 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne puis rien pour toi. v.847 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Quelle erreur est la vôtre ! v.847 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Par des arrangements que la fortune a faits, v.848 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ma femme est ta ressource ; et tu n'en as point d'autre. v.849 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Il faut donc renoncer à ses moindres bienfaits. v.850 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Comment donc ? v.851 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Étouffez une douce espérance, v.851 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Qui n'a servi qu'à vous tromper. v.852 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- De tout ce que j'ai fait, rien n'a pu dissiper, v.853 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Ni vaincre son indifférence. v.854 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- C'est un projet flatteur qui ne peut s'accomplir. v.855 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je connais trop son coeur ; il m'est inaccessible : v.856 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Ce n'est que pour son fils qu'il peut être sensible : v.857 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Il l'occupe, et n'y laisse aucun vide à remplir. v.858 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Loin d'entrer avec lui dans le moindre partage, v.859 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je ne sais si mes soins ne m'ont pas fait haïr. v.860 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Ne me forcez donc pas d'insister davantage. v.861 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Eh ! Que veux-tu de moi ? v.862 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Que vous me laissiez fuir, v.862 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Et rentrer au couvent d'où vous m'avez tirée. v.863 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je ne puis. v.864 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Accordez cette grâce à mes pleurs. v.864 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- En vous la demandant mon âme est déchirée. v.865 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Vous m'aimez : je prévois avec quelles douleurs v.866 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Vous supporterez ma retraite. v.867 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Ne t'imagine pas non plus que je m'y prête. v.868 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai de fortes raisons pour ne pas consentir v.869 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- À te laisser aller suivre une folle envie. v.870 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! N'appréhendez pas qu'un jour le repentir v.871 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Vienne dans mon désert empoisonner ma vie. v.872 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je trouverai de quoi fixer tous mes désirs v.873 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Dans sa tranquillité profonde. v.874 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- C'est lorsqu'on a du moins un peu connu le monde v.875 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Qu'on peut, dans la retraite, avoir de vrais plaisirs. v.876 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Que je m'en vais l'aimer ! Qu'elle me sera chère ! v.877 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je n'y sentirai plus le poids de ma misère. v.878 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Hélas ! Je l'ignorais dans mon obscurité : v.879 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- J'y vivais sans me voir sans cesse humiliée v.880 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Par le défaut de bien, de rang, de qualité : v.881 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Permettez qu'à jamais j'y puisse être oubliée. v.882 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Non ; c'est un dessein pris, où je suis affermi : v.883 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je te veux marier ; et je t'ai destinée v.884 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Au fils de mon meilleur ami. v.885 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Nous avons tous les deux conclu cet hyménée. v.886 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- S'il est à ton gré, comme au mien, v.887 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Si Doligni te plaît... tu rougis ! Ah ! Fort bien. v.888 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- La pudeur fut toujours la première des grâces. v.889 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- J'en tire un bon augure. Il sera ton époux... v.890 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Quel est cet inconnu qui marche sur nos traces ? v.891 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Mademoiselle, un mot. v.892 (Acte 2, scène 10, MAITRE-D-HOTEL)
- Que vous plaît-il ? v.892 (Acte 2, scène 10, MARIANNE)
- Tout doux. v.892 (Acte 2, scène 10, MAITRE-D-HOTEL)
- Ce vieux monsieur-là, sauf son respect et le vôtre, v.893 (Acte 2, scène 10, MAITRE D HOTEL)
- Eh ! Bien... Est-ce monsieur ? v.894 (Acte 2, scène 10, MAITRE D HOTEL)
- Oui. v.894 (Acte 2, scène 10, MARIANNE)
- Lui ? J'en suis ravi. v.894 (Acte 2, scène 10, MAITRE-D-HOTEL)
- Quel est cet importun ? v.895 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Autant vaut-il qu'un autre. v.895 (Acte 2, scène 10, MAITRE-D-HOTEL)
- C'est le maître d'hôtel. v.896 (Acte 2, scène 10, MARIANNE)
- Monsieur, on a servi. v.896 (Acte 2, scène 10, MAITRE-D-HOTEL)
- Présente-moi... Je crains de faire des bévues. v.897 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Que diable ! À chaque pas je tombe ici des nues. v.898 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Vous rêvez ? v.899 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- J'ai de quoi. Depuis trente ans au plus, v.899 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Que dépourvu de biens, (car jamais je n'en eus,) v.900 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je m'en fus à la Martinique, v.901 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Où j'épousai Madame Argant, v.902 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Il faut que mon esprit soit devenu gothique, v.903 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ou Paris bien extravagant. v.904 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ami, c'est l'un et l'autre. Après trente ans d'absence, v.905 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- À peine revenu depuis six mois en France, v.906 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Dont vous avez passé le tiers hors de Paris, v.907 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Tout vous y paraît neuf. Ne soyez pas surpris, v.908 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Si vous n'en savez plus les êtres. v.909 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Mais rendons-nous justice, et n'ayons plus d'humeurs. v.910 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Nous sommes vieux, les temps amènent d'autres moeurs. v.911 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Avions-nous conservé celles de nos ancêtres ? v.912 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Nos enfants, à leur tour, occupent le tapis. v.913 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Tout roule, et roulera toujours de mal en pis. v.914 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Par une extravagance, une autre est abolie. v.915 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- D'âge en âge on ne fait que changer de folie. v.916 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Je le vois bien. Il faut qu'au sujet du dîner, v.917 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je vous fasse un aveu naïf et véritable. v.918 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Excepté le rôti, je n'ai pu deviner v.919 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Le nom d'aucun des plats qu'on a servis à table. v.920 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'en ai pas, non plus, reconnu la moitié. v.921 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Tout change de nature, à force de mélange. v.922 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Il faut être sorcier pour savoir ce qu'on mange. v.923 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- C'est encore au dessert où j'ai ri de pitié, v.924 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- De nous voir assommés d'un fatras de verrailles, v.925 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Garni de marmousets et d'arbustes confus, v.926 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Qui font un bois-taillis, où l'on ne se voit plus v.927 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'au travers de mille broussailles. v.928 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et tout cet attirail, pièce à pièce apporté v.929 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Par un maître valet, par d'autres escorté, v.930 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Est une heure à ranger sur le lieu de la scène ; v.931 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et tient, en attendant, tout le monde à la gêne. v.932 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Quels convives d'ailleurs ! Je veux être pendu, v.933 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, si j'ai rien compris, si j'ai rien entendu v.934 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- À l'étrange jargon qu'ils parlaient tous ensemble. v.935 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Tous les fous de Paris étaient de ce repas. v.936 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Doucement. Vous n'y pensez pas. v.937 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Ce sont de beaux esprits que Le Marquis rassemble, v.938 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Et qui dans votre hôtel ont ouvert leur bureau. v.939 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Miséricorde ! Quel fléau ! v.940 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Quel déluge maudit d'insectes incommodes ! v.941 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Rien n'y manque. J'en dois remercier mon fils. v.942 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne m'attendais pas de trouver mon logis v.943 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Plein de chevaux, de chiens, d'auteurs et de pagodes. v.944 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Mais enfin laissons-là ces propos superflus ; v.945 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Revenons au sujet qui me touche le plus. v.946 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- C'est Marianne. Eh ! Bien, m'avez-vous fait la grâce v.947 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- De parler à ma femme ? v.948 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Oui ; mais je ne tiens rien. v.948 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Elle veut au marquis assurer tout son bien ; v.949 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Et je ne compte pas que ce dessein lui passe, v.950 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- À moins que votre fille... v.951 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Il n'est donc plus d'espoir. v.951 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- J'espérais que ses soins, sa tendresse et ses charmes, v.952 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Sur le coeur de ma femme auraient plus de pouvoir : v.953 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Elle n'a recueilli que des sujets de larmes. v.954 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Mais peut-on s'empêcher de s'en laisser charmer ? v.955 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Elle aurait dû s'en faire aimer. v.956 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Hélas ! Je rapportais cette douce espérance. v.957 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Quel retour ! Je ne puis y penser sans effroi. v.958 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Loin de répondre à l'apparence, v.959 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Le projet et le piège ont tourné contre moi. v.960 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Votre position est fâcheuse. v.961 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Sans doute. v.961 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Votre embarras est des plus grands ; v.962 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Et pour vous en tirer, il faut qu'il vous en coûte. v.963 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Aimez-vous votre femme ? v.964 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Autant que mes enfants. v.964 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne puis ni ne veux me brouiller avec elle. v.965 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Depuis notre hymen, l'union la plus belle v.966 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- A resserré des noeuds que l'amour a formés. v.967 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- D'ailleurs, je lui dois tout. Je n'avais rien au monde. v.968 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Malgré ma misère profonde, v.969 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et nombre de rivaux plus dignes d'être aimés, v.970 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je lui plus. Il fallut vaincre la résistance v.971 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- De parents qui pouvaient s'opposer à son choix. v.972 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Elle n'avait pas l'âge indiqué par les lois. v.973 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Cependant mon bonheur, ou plutôt sa constance, v.974 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Après bien des refus et de mortels ennuis, v.975 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Me rendit possesseur d'une épouse adorable, v.976 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Qui jouissait déjà d'un bien considérable, v.977 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Que des successions ont augmenté depuis. v.978 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je m'en souviens sans cesse avec reconnaissance. v.979 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je prévois qu'à la fin il faudra, malgré vous, v.980 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Renvoyer votre fille au couvent. v.981 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Entre nous, v.981 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ce sacrifice-là n'est pas en ma puissance. v.982 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ma fille... non, monsieur, je ne puis m'en priver. v.983 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Pour la sacrifier, la victime est trop chère. v.984 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Bien, quoi qu'il puisse arriver, v.985 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Votre fille est chez vous, déclarez-vous son père. v.986 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Si vous prétendez la garder, v.987 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Il faut bien, tôt ou tard, découvrir ce mystère. v.988 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Si vous n'osez le hasarder, v.989 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Je vous offre mon ministère. v.990 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Une femme en courroux m'embarrasse fort peu. v.991 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Entre la mienne et moi la paix était si rare, v.992 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Que je ne suis pas neuf en pareille bagarre. v.993 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Moi, j'oppose à leur premier feu v.994 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Un flegme des plus salutaires. v.995 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Il en est, sans comparaison, v.996 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Tout comme des enfants mutins et volontaires : v.997 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Quand la force leur manque, ils entendent raison. v.998 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Au surplus, vous touchez au moment de la crise. v.999 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Songez que votre femme, au gré de son espoir, v.1000 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Va remplir le projet dont elle est trop éprise ; v.1001 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Que, sans doute, on fera les accords dès ce soir ; v.1002 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Qu'il est temps de parler en père de famille, v.1003 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- En maître, s'il le faut, et si vous le pouvez. v.1004 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Que j'appréhende !... v.1005 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Quoi ! Qu'est-ce que vous avez ? v.1005 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Et si ma femme allait faire enlever sa fille, v.1006 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et se rendre en secret maîtresse de son sort ! v.1007 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Voilà ce que je crains, si je romps le silence. v.1008 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Supposé que l'accès d'un aveugle transport v.1009 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ne la contraigne point à cette violence, v.1010 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Les persécutions feront le même effet ; v.1011 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et sa mauvaise humeur ne cessant de s'accroître, v.1012 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Obligera ma fille à préférer le cloître. v.1013 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Il faudra tenir bon : peut-être... v.1014 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- C'est un fait. v.1014 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je voudrais conserver la paix dans ma famille... v.1015 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Il me vient un moyen. S'il est de votre goût, v.1016 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Il pourrait concilier tout, v.1017 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et faire marier ma fille. v.1018 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Sa légitime peut monter v.1019 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- À douze mille écus de rente ; v.1020 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Bien, seriez-vous homme à vous en contenter ? v.1021 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ceci change la thèse ; elle est bien différente. v.1022 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Je le sais, je n'osais presque vous en parler. v.1023 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Allons, je le veux bien, pour vous tirer de peine. v.1024 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Ah ! Mon cher... v.1025 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ce n'est pas l'intérêt qui me mène. v.1025 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Je n'accepte pourtant que comme un pis-aller. v.1026 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Mais Marianne vient... v.1027 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Madame Argant m'envoie... v.1027 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Tant mieux ; j'en ai bien de la joie. v.1028 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Mon oncle, le diriez-vous ? v.1029 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Pour la première fois, elle m'a caressée, v.1030 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- M'a donné les noms les plus doux. v.1031 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Elle est donc bien intéressée v.1032 (Acte 3, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- Au succès du message. v.1033 (Acte 3, scène 2, DOLIGNI P?RE)
- Elle en espère tout. v.1033 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Vous me portez, dit-elle, une amitié si tendre v.1034 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Qu'il n'est rien, près de vous, dont je ne vienne à bout ; v.1035 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Et si je réussis, elle m'a fait entendre v.1036 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Qu'elle aurait soin de mon destin. v.1037 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- C'est au sujet de mon cousin... v.1038 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Justement. v.1039 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Et pour sa fortune, v.1039 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Que je viens, au hasard de vous être importune... v.1040 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Ah ! Si c'est pour Argant, le sort en est jeté. v.1041 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Que veut-elle ? Quelle est cette grâce si grande ? v.1042 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- C'est l'hymen de son fils, tel qu'il est projeté. v.1043 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Marianne, est-ce à toi d'appuyer sa demande ? v.1044 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- À qui donc ? Pour tous deux, j'implore vos bontés. v.1045 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- C'est l'établissement le plus considérable... v.1046 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Vous la désespérez, si vous n'y consentez ; v.1047 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- C'est faire à votre fils un tort irréparable. v.1048 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Prétendre que son fils soit le seul possesseur v.1049 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Et l'unique héritier de toute sa fortune ! v.1050 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Et ma fille ? v.1051 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Est-il vrai que vous en ayez une ? v.1051 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Oui. Si le frère a tout, que deviendra la soeur ? v.1052 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Loin de prendre parti pour elle, v.1053 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Je te vois la première à la persécuter. v.1054 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Moi, je ne lui veux point de mal ; et si mon zele... v.1055 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Mais, tiens : pour me résoudre, et pour m'exécuter, v.1056 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Je m'en rapporte à toi. Tu sais ce qu'on propose ; v.1057 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Supposé que tu sois cet enfant malheureux v.1058 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- À qui sa mère apprête un sort si rigoureux, v.1059 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Prends sa place un moment, fais-en ta propre cause, v.1060 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Et ne consulte ici que ton propre intérêt. v.1061 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Je me serais déjà prononcé mon arrêt. v.1062 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Quoi ! Malgré les soupirs et les larmes d'un père... v.1063 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Pourrais-je assurer mieux le repos de ses jours, v.1064 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Qu'en cédant au malheur de déplaire à ma mère ? v.1065 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- À quoi me servirait de m'obstiner toujours v.1066 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- À braver mon destin ? Quelle en serait l'issue ? v.1067 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- D'aliéner vos coeurs, d'en écarter l'amour, v.1068 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- De déchirer toujours le sein qui m'a conçue, v.1069 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- De me faire encor plus haïr de jour en jour. v.1070 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Pourquoi me consulter dans cette conjoncture ? v.1071 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Toute autre, et votre fille aussi, v.1072 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Vous en dirait autant ; et je ne sers ici v.1073 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Que d'interprète à la nature. v.1074 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Tu me perces le coeur. v.1075 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Jugez donc si j'ai lieu v.1075 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- De déclarer son sort. v.1076 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- C'est votre femme ; adieu. v.1076 (Acte 3, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- Ne vous éloignez pas. v.1077 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Bien, votre entremise v.1077 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- A-t-elle eu la faveur que je m'en suis promise ? v.1078 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ce que j'en attendais était des plus aisés. v.1079 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ah ! Vous pouvez compter sur elle en toute chose. v.1080 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- On ne peut mieux plaider une méchante cause. v.1081 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! L'a-t-elle gagnée ?... Eh ! Quoi ! Vous vous taisez ? v.1082 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Qu'exigez-vous de moi ? v.1083 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Quel est donc ce langage ? v.1083 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ne vous souvient-il plus qu'un fils trop fortuné v.1084 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- N'a pas été l'unique gage v.1085 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Dont notre heureux hymen ait été couronné ? v.1086 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Permettez que je vous rappelle v.1087 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'il en fut encor un conçu dans votre sein. v.1088 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Voyez quel est votre dessein, v.1089 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Si vous en conservez un souvenir fidèle ? v.1090 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Je pourrais avoir quelque tort : v.1091 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais cette fille enfin dont vous plaignez le sort, v.1092 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Quand nous l'envoyâmes en France, v.1093 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Pour être élevée en couvent, v.1094 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Était dans sa plus tendre enfance. v.1095 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Hélas ! Je me le suis reproché bien souvent. v.1096 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Depuis, je ne l'ai point revue. v.1097 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Dans mon coeur, il est vrai, l'absence a triomphé. v.1098 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- L'éloignement, l'oubli, le temps, ont étouffé v.1099 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- La tendresse que j'aurais eue, v.1100 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Si vous aviez laissé cet enfant sous mes yeux ; v.1101 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Vous n'auriez jamais eu de reproche à me faire. v.1102 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Je ne demandais pas mieux. v.1103 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Vous ne voulûtes pas ; il a fallu vous plaire ; v.1104 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Et mon fils en a profité. v.1105 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Mais ma tante a raison ; elle se justifie. v.1106 (Acte 3, scène 3, MARIANNE)
- C'est votre faute à vous. v.1107 (Acte 3, scène 3, MARIANNE)
- Laisse-moi, je te prie. v.1107 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Vous verrez que c'est moi qui manque d'équité ! v.1108 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Tout se peut réparer. Daignez voir votre fille ; v.1109 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que je vous la présente ; accordez-moi ce bien. v.1110 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que faire d'un enfant qui n'est au fait de rien, v.1111 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Qui n'a jamais vécu qu'à l'ombre d'une grille, v.1112 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Qui, sans doute, en a pris l'air, l'esprit et le goût ? v.1113 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Monsieur, il n'est plus temps. Et j'ose vous répondre v.1114 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que, de la tête aux pieds, il faudrait la refondre, v.1115 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Et qu'on n'en viendrait pas à bout. v.1116 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Qui vient tard dans le monde, y joue un triste rôle. v.1117 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Pour apprendre à s'y comporter, v.1118 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Un parloir de province est une pauvre école. v.1119 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Sans doute. v.1120 (Acte 3, scène 3, MARIANNE)
- À Marianne on peut s'en rapporter. v.1120 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Elle sort du couvent. Voyez un peu ma nièce ; v.1121 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, voyez comme elle est : vous connaissez aussi v.1122 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Son esprit et sa gentillesse ; v.1123 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Elle a tout-à-fait réussi. v.1124 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- On ne compare point une personne unique. v.1125 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous pouviez épargner cet éloge ironique. v.1126 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Il vous plaît au surplus de me faire un procès v.1127 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Bien gratuit, au sujet de cette préférence v.1128 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que j'accorde à mon fils. v.1129 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais oui, c'est un excès. v.1129 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Est-ce une nouveauté ? Suis-je la seule en France ? v.1130 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Nous avons deux enfants : mais l'usage m'absout, v.1131 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Si j'en laisse un des deux au fond d'une clôture. v.1132 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- L'égalité, Madame, est la loi de nature. v.1133 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Il n'en faut avoir qu'un, quand on veut qu'il ait tout. v.1134 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Pouvez-vous mieux placer mon espoir et le vôtre ? v.1135 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il est bien naturel, quand on a le bonheur v.1136 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- D'avoir reçu du ciel un fils comme le nôtre, v.1137 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- De chercher à s'en faire honneur. v.1138 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- La nature sans doute en a fait un prodige ! v.1139 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Elle a versé sur lui ses plus précieux dons. v.1140 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il peut aller à tout, si nous le secondons. v.1141 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Peut-on donner dans ce prestige ? v.1142 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Il est homme d'esprit. v.1143 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Qui diable ne l'est pas ? v.1143 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Homme d'esprit ! v.1144 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais oui ; rien n'est plus ordinaire. v.1144 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- C'est un titre banal. On ne peut faire un pas v.1145 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'on ne voit accorder ce nom imaginaire v.1146 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- À tout venant, à gens qui ne sont bien souvent v.1147 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que des cerveaux brûlés, des têtes à l'évent, v.1148 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que les plus fats de tous les hommes. v.1149 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Ce qu'on prend pour esprit, dans le siècle où nous sommes, v.1150 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- N'est, ou je me trompe fort, v.1151 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'une frivole effervescence, v.1152 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'un accès, une fièvre, un délire, un transport, v.1153 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que l'on nomme autrement, faute de connaissance. v.1154 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Proverbes, quolibets, folles allusions, v.1155 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Pointes, frivolités plaisamment habillées, v.1156 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Quelque superficie, et des expressions v.1157 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Artistement entortillées ; v.1158 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Joignez-y le ton suffisant : v.1159 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Voilà les qualités de l'esprit d'à-présent. v.1160 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Pour moi, mon avis est, dût-il paraître étrange, v.1161 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que ces petits messieurs, qui sont si florissants, v.1162 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Feraient un marché d'or, s'ils donnaient, en échange, v.1163 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Tout ce qu'ils ont d'esprit pour un peu de bon-sens. v.1164 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Mais, Madame, à propos, suivant toute apparence, v.1165 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Mon mariage projeté v.1166 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Pourrait ce soir être arrêté. v.1167 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- J'en ai du moins quelque espérance. v.1168 (Acte 3, scène 4, MADAME ARGANT)
- J'en ai reçu vingt compliments ; v.1169 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Et nous ne songeons pas aux présents qu'il faut faire. v.1170 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Ne trouveriez-vous pas qu'il serait nécessaire v.1171 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- D'aller, chez l'empereur, choisir des diamants ? v.1172 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Il convient d'envoyer demain les pierreries : v.1173 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- C'est l'ordre ; et l'on ne peut, quand on est régulier, v.1174 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Manquer à ces galanteries. v.1175 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Il est vrai ; j'allais l'oublier. v.1176 (Acte 3, scène 4, MADAME ARGANT)
- Vous avez bien raison ; c'est penser à merveille. v.1177 (Acte 3, scène 4, MADAME ARGANT)
- Il mérite toujours des éloges nouveaux. v.1178 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Je vais donc commander qu'on mette vos chevaux. v.1179 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Doucement ; j'ai deux mots à vous dire à l'oreille. v.1180 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Argant, vous avez une soeur. v.1181 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Est-ce là son affaire ? v.1182 (Acte 3, scène 4, MADAME ARGANT)
- Allez, je vais vous suivre. v.1182 (Acte 3, scène 4, MADAME ARGANT)
- Avec elle, avec vous, je me flattais de vivre ; v.1183 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Je comptais de passer des jours pleins de douceur, v.1184 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Et mourir satisfait de son sort et du vôtre. v.1185 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Elle a part, comme vous, à ma tendre amitié. v.1186 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne sais point aimer l'un aux dépens de l'autre. v.1187 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Vous partagez tous deux mon coeur par la moitié. v.1188 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- L'égalité devrait régner dans tout le reste. v.1189 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Souffrirez-vous qu'elle ait un destin si funeste ? v.1190 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Parlez. Mes sentiments vous sont assez connus. v.1191 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Parlez donc ; qu'entre nous votre bouche prononce. v.1192 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Au fond de votre coeur cherchez votre réponse, v.1193 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Et non pas dans des yeux un peu trop prévenus. v.1194 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- C'est à vous l'un et l'autre à régler sa fortune. v.1195 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Je ne sais point blâmer la générosité. v.1196 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- La générosité ! Mais ce n'en est point une ; v.1197 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ce que j'exige ici n'est que de l'équité. v.1198 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- De ces distinctions je vous laisse le maître. v.1199 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Quant à moi, j'ai, monsieur, un trop profond respect v.1200 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Pour donner des avis à ceux qui m'ont fait naître. v.1201 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Tant de ménagement vous rend un peu suspect. v.1202 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ce n'est pas qu'une soeur, que je n'ai jamais vûe, v.1203 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Ne m'intéresse aussi. Vous n'avez pas besoin v.1204 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- De me piquer d'honneur. Le sang parle de loin : v.1205 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais... v.1206 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien, quelle est donc cette crainte imprévue ? v.1206 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Daigneriez-vous m'en éclaircir ? v.1207 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Quand vous me demandez à moi mon entremise... v.1208 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Et... si j'ai le malheur de ne pas réussir, v.1209 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- D'échouer dans cette entreprise, v.1210 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien, vous m'en accuserez. v.1211 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Qu'en arrivera-t-il ? Que vous me haïrez. v.1212 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Cette affaire est trop délicate. v.1213 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Et madame, d'ailleurs, paraît tacitement v.1214 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- M'ordonner assez nettement v.1215 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- De ne m'en pas mêler. v.1216 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Votre prudence éclate ! v.1216 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Mon silence pourtant n'empêche pas mes voeux. v.1217 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Je serai de l'avis que vous prendrez tous deux. v.1218 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Ainsi, vous n'avez point de reproche à lui faire. v.1219 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Il faut d'un autre sens retourner cette affaire. v.1220 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Nous avons, ou plutôt vous avez en bon bien, v.1221 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Cinquante mille écus de rente v.1222 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Francs et quittes de tout ; du moins je ne dois rien. v.1223 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je crois que, pour Argant, la chose est différente. v.1224 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- N'importe. De sa soeur diminuez la part. v.1225 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Faites à votre fils le plus gros avantage. v.1226 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je me restreins pour elle au tiers, et même au quart. v.1227 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Avec sa légitime on voudra bien la prendre ; v.1228 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Et même l'on aura des grâces à vous rendre. v.1229 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Que me dites-vous là ? v.1230 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- N'en doutez nullement. v.1230 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Qui voudrait s'en charger ? v.1231 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Acceptez seulement. v.1231 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- C'est encore un prétexte, une ruse nouvelle, v.1232 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Pour m'engager toujours, sur ce trompeur espoir, v.1233 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- À retirer ma fille. v.1234 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Eh ! Bien ? v.1234 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Il faudra voir. v.1234 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Auriez-vous par hasard quelque parti pour elle ? v.1235 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Oui. v.1236 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai bien de la peine à me l'imaginer. v.1236 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Est-ce une affaire sûre et prompte à terminer ? v.1237 (Acte 3, scène 5, MADAME ARGANT)
- Dès aujourd'hui. Va dire à Doligni qu'il vienne. v.1238 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mais est-ce un sujet qui convienne ? v.1239 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- À merveille. v.1240 (Acte 3, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Tant pis. v.1240 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Je suis sa caution. v.1240 (Acte 3, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Je crains bien de m'être un peu trop avancée. v.1241 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Il faut frapper le coup. v.1242 (Acte 3, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Quelle est donc sa pensée ? v.1242 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Cette fille, en un mot, que la prévention v.1243 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- La plus injuste et la plus dure v.1244 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- A peinte à votre idée avec tous les défauts v.1245 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Qu'on peut puiser au fond d'une clôture... v.1246 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Eh ! Bien ? v.1247 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Quels qu'ils soient, vrais ou faux, v.1247 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Telle qu'elle est enfin, on offre de la prendre ; v.1248 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Et le fils de monsieur, si vous le permettez... v.1249 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Ciel ! v.1250 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Avec plaisir deviendra votre gendre. v.1250 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Quoi ! Le fils de monsieur... vous me compromettez. v.1251 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Oui, lui-même, à ce prix. v.1252 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Dieux ! Que viens-je d'entendre ! v.1252 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Ah ! Quelle trahison ! v.1253 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Monsieur nous fait honneur. v.1253 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ce sera pour mon fils le comble du bonheur. v.1254 (Acte 3, scène 7, DOLIGNI PÈRE)
- Je sais qu'il aime ailleurs ; v.1255 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Feignons. Il faut se rendre. v.1255 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Mon fils ne peut jamais être mieux assorti. v.1256 (Acte 3, scène 7, DOLIGNI PÈRE)
- Qu'on le fasse venir. v.1257 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Madame, il est sorti. v.1257 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Tout-à-l'heure il était là-dedans ; qu'on y voit. v.1258 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Il doit avoir pris son parti. v.1259 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Allez, vous dis-je, allez ; faites qu'on me l'envoie. v.1260 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Bon ; le voici qui vient. v.1261 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Il n'est pas averti. v.1261 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Messieurs, il vous plaira de garder le silence : v.1262 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Faites-vous cette violence. v.1263 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Qu'ici l'autorité se taise absolument ; v.1264 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Qu'il soit libre. Je veux qu'il parle en assurance ; v.1265 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Autrement, marché nul : je vous le dis d'avance, v.1266 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je reprends ma parole et mon consentement. v.1267 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Le Marquis vous attend avec impatience. v.1268 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Monsieur, j'aurais besoin d'un éclaircissement. v.1269 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- On daigne rechercher pour vous notre alliance. v.1270 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Vous voyez mon saisissement. v.1271 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- La désireriez-vous ? v.1272 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ah ! Si je la désire ! v.1272 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Si je soupire après ce précieux instant ! v.1273 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- C'est avec plus d'ardeur que je ne puis le dire. v.1274 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Qui n'eût cru qu'il m'aimait ? v.1275 (Acte 3, scène 8, MARIANNE)
- Eh ! Bien, soyez content. v.1275 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- L'amitié qui nous lie avec votre famille, v.1276 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- M'engage à remplir votre espoir. v.1277 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Hélas ! C'en est donc fait. v.1278 (Acte 3, scène 8, MARIANNE)
- Il m'est bien doux de voir v.1278 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Qu'à tout autre parti vous préfériez ma fille. v.1279 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Votre fille ! v.1280 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Eh ! Qui donc ? v.1280 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- La foudre m'a frappé. v.1280 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Ah ! Ciel ! Quelle erreur m'a trompé ! v.1281 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Dans quel trouble vous vois-je ? v.1282 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Il est inexprimable. v.1282 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- On ne peut être plus confus. v.1283 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Vous m'accordez sans doute un bien inestimable. v.1284 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Mon père, épargnez-vous ces signes superflus : v.1285 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Je ne puis, mon désordre a trop su me confondre. v.1286 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- De grâce, laissez donc... v.1287 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ne pourrai-je savoir ?... v.1287 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- L'excès de vos bontés ne pouvait se prévoir : v.1288 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Je suis désespéré de n'y pouvoir répondre. v.1289 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Tu ne sais pas le bien que tu vas refuser. v.1290 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Je n'en veux point. v.1291 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- L'amour dans mon coeur trop sensible v.1291 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- A mis à votre choix un obstacle invincible. v.1292 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Ce n'est qu'en me perdant que je puis m'excuser. v.1293 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- J'ai cru qu'il s'agissait de l'objet que j'adore. v.1294 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Ah ! Je fais à ses yeux un éclat indiscret : v.1295 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Mais la nécessité m'arrache mon secret. v.1296 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- En est-ce un pour l'objet de vos feux ? v.1297 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Il l'ignore. v.1297 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Eh ! Monsieur, quel est-il ? v.1298 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Il est devant vos yeux. v.1298 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Ah ! Monsieur, vous devez préférer ma cousine. v.1299 (Acte 3, scène 8, MARIANNE)
- Tâchez une autre fois de vous arranger mieux. v.1300 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- La méprise n'est pas telle qu'on l'imagine. v.1301 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Sachez, à votre tour... v.1302 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Ne m'arrêtez plus. v.1302 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Allez, vous auriez dû m'épargner ce refus. v.1303 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ah ! Monsieur, pardonnez... v.1304 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI-fils)
- Il faut que je l'embrasse. v.1304 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Comment donc ? v.1305 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI-fils)
- Ses refus ont montré son amour. v.1305 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Il vient d'en donner sans détour v.1306 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- La preuve la plus sûre et la plus efficace. v.1307 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- S'il avait accepté, j'en serais moins content. v.1308 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Vous me permettez donc de demeurer constant ? v.1309 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI-fils)
- Sans doute. Allons rêver au parti qu'il faut prendre. v.1310 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ton bonheur n'est que suspendu. v.1311 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ne t'embarrasse pas, va, tu seras mon gendre. v.1312 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, tranquillise-toi. v.1313 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- J'aurai mal entendu. v.1313 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI-fils)
- Il s'en mêle encor à son âge ! v.1314 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Eh ! Que ferons-nous donc, nous autres jeunes gens, v.1315 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Si la vieillesse n'est pas sage ? v.1316 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Jugeons un peu moins vite, ou soyons indulgents. v.1317 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Supposé que l'amour ait part à ce mystère, v.1318 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Il me semble qu'un fils devrait, avec raison, v.1319 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Ignorer ou cacher les faiblesses d'un père. v.1320 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Est-ce ma faute, à moi, si toute la maison v.1321 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- En parle ? Mais cela ne m'embarrasse guère. v.1322 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- N'est-il venu personne apporter un billet ? v.1323 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Il doit en venir un ; j'en suis fort inquiet. v.1324 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Je n'ai rien vu. v.1325 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Tant pis. v.1325 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Mais à propos, j'espère... v.1325 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Eh ! Bien, voyons, qu'espères-tu ? v.1326 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Qu'enfin nous allons prendre un autre train de vie. v.1327 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Et par quelle raison ? v.1328 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Parce qu'on vous marie. v.1328 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Qu'y fait le mariage ? v.1329 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Il a cette vertu v.1329 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- D'amender les gens de votre âge. v.1330 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- La raison les attend au fond de leur ménage. v.1331 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- L'hymen est ordinairement v.1332 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Le tombeau du libertinage, v.1333 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- À moins qu'on n'ait le diable au corps. v.1334 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Assurément ; v.1334 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Oui, l'exemple me rendra sage. v.1335 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Vous vivrez comme auparavant ? v.1336 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Au contraire. Je vais m'enterrer tout vivant, v.1337 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Renoncer au plaisir qui convient à mon âge, v.1338 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Consacrer à l'ennui le cours de mes beaux ans, v.1339 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Commencer mon hiver au fort de mon printemps, v.1340 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- M'enfoncer, m'abîmer au fond de mon ménage, v.1341 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Pour y végéter comme un sot. v.1342 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Ah ! Pauvre malheureuse ! v.1343 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Hem ! v.1343 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Moi, je ne dis mot. v.1343 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Va donc voir ce qu'on veut. L'attente est un supplice. v.1344 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Ah ! Si ce pouvait être un billet d'Arthénice ! v.1345 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Tenez, c'est un billet joliment tortillé. v.1346 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- "Mes résolutions sont prises. v.1347 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Venez où vous savez à huit heures précises. v.1348 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Comme il a l'air émoustillé ! v.1349 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- "Malgré tous mes parents... la maudite cohorte ! ... v.1350 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Pour vous suivre ce soir, je les tromperai tous. v.1351 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Je sens que mon devoir en murmure... qu'importe ? v.1352 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Mais l'on n'est plus à soi, lorsque l'on est à vous. " v.1353 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Ah ! Pour moi quel bonheur, ou plutôt quelle gloire ! v.1354 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Ne perdons point de temps. v.1355 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Quelle est donc cette histoire ? v.1355 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Avec ces diamants va faire de l'argent ; v.1356 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Cours emprunter dessus à l'un de nos corsaires v.1357 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Les deux mille louis qui me sont nécessaires. v.1358 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Viens me les apporter : sur-tout, sois diligent. v.1359 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- J'ai des ordres encore à te donner ensuite. v.1360 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Voici Madame Argant, sauve-toi, prends la fuite. v.1361 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Où va-t-il porter ces écrins ? v.1362 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Chez un metteur en oeuvre. v.1363 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Eh ! Pourquoi donc ? v.1363 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je crains v.1363 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Pour quelques diamants, qui, du moins à ma vue, v.1364 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Paraissent en danger. Pour ne rien hasarder, v.1365 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- J'envoie en faire la revue. v.1366 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Il s'en perd bien souvent, faute d'y regarder. v.1367 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- C'est bien fait. Ce présent n'est il pas fort honnête ? v.1368 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Honnête ! Ah ! Pour le moins ; et j'en suis très content. v.1369 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Je brûle de le voir orner votre conquête. v.1370 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Votre père obstiné m'embarrasse pourtant ; v.1371 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il paraît opposer la même résistance. v.1372 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- En vain j'ai de sa nièce employé l'assistance. v.1373 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Ce refus me paraît d'autant plus surprenant v.1374 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Qu'elle a sur mon époux un empire étonnant ; v.1375 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Et que, pour ainsi dire, elle en est adorée. v.1376 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Vous souriez ? v.1377 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Qui ? Moi ! v.1377 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Peut-on savoir pourquoi ? v.1377 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Ce n'est rien. v.1378 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Une mère aussi tendre que moi, v.1378 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- De votre confiance a droit d'être honorée. v.1379 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- De grâce, dites-moi... v.1380 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Daignez me dispenser... v.1380 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Non ; vous m'inquiétez. Plus vous voulez vous taire, v.1381 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Plus vous me donnez à penser ; v.1382 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je veux absolument entrer dans ce mystère. v.1383 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il ne fallait pas moins que cet ordre absolu v.1384 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Pour vous sacrifier toute ma répugnance. v.1385 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Si je me détermine à rompre le silence, v.1386 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Daignez vous souvenir que vous l'avez voulu. v.1387 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Mais cependant, Madame, il faudrait me promettre... v.1388 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Eh ! Quoi ? v.1389 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- De ne me point commettre. v.1389 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Je m'en garderai bien. v.1390 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- J'ose vous en prier. v.1390 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- D'ailleurs, quoi qu'il en soit de cette confidence, v.1391 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Croyez que je n'en tire aucune conséquence. v.1392 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Le fait en question est assez singulier. v.1393 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Marianne, entre nous, vous est-elle connue ? v.1394 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui, lorsqu'avec mon père elle est ici venue, v.1395 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Saviez-vous, comme un fait bien sûr et bien constant, v.1396 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Qu'il existait encore en France v.1397 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Une autre Demoiselle Argant ? v.1398 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Sans doute. v.1399 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- En aviez-vous une entière assurance ? v.1399 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Mon mari le disait. v.1400 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- J'entends. v.1400 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui, je crois, dans mon jeune temps, v.1401 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Avoir ouï parler du père et de la fille. v.1402 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- D'ailleurs, nous habitions des lieux trop différents v.1403 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Pour être bien au fait du sort de vos parents. v.1404 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je n'ai pas autrement connu votre famille. v.1405 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il y paraît. v.1406 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- En quoi ? v.1406 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Surtout point de courroux. v.1406 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Je n'entends rien à ce mystère. v.1407 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Ni moi non plus. Mais, entre nous, v.1408 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Marianne n'est point la nièce de mon père. v.1409 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Elle ne serait point sa nièce ? v.1410 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Eh ! Vraiment non ; v.1410 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Et j'ignore à quel titre elle en a pris le nom. v.1411 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Ah ! Quelle découverte ! v.1412 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il l'entend à merveille ! v.1412 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Mais avant que d'aller plus loin, v.1413 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Qui peut vous avoir fait une histoire pareille ? v.1414 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- D'où la sait-on ? Comment ? Quel en est le témoin ? v.1415 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Un ancien valet de feu votre beau-frère, v.1416 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- En buvant chez le suisse, a fort innocemment v.1417 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Révélé tout ce beau mystère. v.1418 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Il convient qu'effectivement v.1419 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Son maître eut une fille unique, v.1420 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Qu'on nommait Marianne. v.1421 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Après ? v.1421 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Mais il prétend v.1421 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Qu'elle est morte avant lui, que rien n'est plus constant ; v.1422 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Que c'est une histoire publique ; v.1423 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Et qu'enfin cette nièce aurait plus de vingt ans. v.1424 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Mais vraiment je me le rappelle. v.1425 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Tous deux sont morts depuis longtemps. v.1426 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Il est sûr de son fait. Ce ne peut pas être elle. v.1427 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Mais je vous jure encor que je pense trop bien v.1428 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Pour oser en conclure rien. v.1429 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Quoi ! Chez moi ! Sous mes yeux ! Feignons de n'en rien croire, v.1430 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Et ne dégradons point le père aux yeux du fils. v.1431 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Non ; plus je pense à cette histoire, v.1432 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Plus je vois que ce sont autant de faux avis. v.1433 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je connais mon mari. Vingt ans d'expérience v.1434 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Doivent, sur cet article, assurer mon repos. v.1435 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Pouvez-vous honorer de la moindre croyance v.1436 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Des rapports de valets, toujours ivres ou sots ? v.1437 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Qu'ils n'aillent pas plus loin. Imposez-leur silence ; v.1438 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Et du premier d'entre eux qui ne se taira pas, v.1439 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- En le chassant d'ici, punissez l'insolence. v.1440 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Madame... v.1441 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- N'ayons point là-dessus de débats : v.1441 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il le faut ; je le veux : la chose est expliquée. v.1442 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Vous serez obéie. v.1443 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Ah ! Que je suis piquée ! v.1443 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Mon mari comblera mes voeux. v.1444 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- L'honneur de s'allier à des gens d'importance, v.1445 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Quand il se verra devant eux, v.1446 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Indubitablement vaincra sa résistance. v.1447 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je saurai l'y forcer. v.1448 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je viens de recevoir v.1448 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Un billet d'assez bon augure. v.1449 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Chez le Comte_d'Ausbourg on nous attend ce soir. v.1450 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il est oncle de la future. v.1451 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- C'est chez lui qu'on s'assemble ; et l'on y soupera. v.1452 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Fort bien. v.1453 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Vous savez sa demeure. v.1453 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Mes gens la chercheront. v.1454 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Arrivez de bonne heure. v.1454 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Mais... au sortir de l'opéra. v.1455 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Si vous veniez plutôt ? v.1456 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Ah ! Ce n'est pas l'usage ; v.1456 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Et partout où l'on soupe, il faut arriver tard. v.1457 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui ; mais l'occasion mérite quelque égard, v.1458 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Quand il s'agit d'un mariage. v.1459 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je m'acheminerai, quand il en sera temps. v.1460 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Faites donc pour le mieux. v.1461 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Vous serez tous contents. v.1461 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Rien n'est plus ravissant que cette conjoncture. v.1462 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
- Deux rendez-vous ensemble ! Un d'hymen, un d'amour. v.1463 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
- Ceci veut de l'ordre... Oui... Chacun aura son tour ; v.1464 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
- Et j'aurai mis à fin ma première aventure, v.1465 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
- Quand... C'est La Fleur. v.1466 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
- Où sont mes deux mille louis ? v.1466 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Dans votre cabinet. v.1467 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Bon ! Je m'en réjouis. v.1467 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Allons, preste, à cheval. v.1468 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Quelle affaire nous presse ? v.1468 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Va-t-en faire arranger la petite maison ; v.1469 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Commande un souper propre, et suivant la saison ; v.1470 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Fais-y porter d'ici du vin de chaque espèce ; v.1471 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Que tout soit à la glace, et qu'on fasse grand feu v.1472 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Qu'on éclaire partout. v.1473 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- La fête sera belle ! v.1473 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Et la future y sera-t-elle ? v.1474 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Point de sotte demande. v.1475 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Allons. v.1475 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Attends un peu. v.1475 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Que voulais-je dire ?... Ah !... v.1476 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Ma surprise est extrême. v.1476 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Que ma chaise de poste y soit, et des relais. v.1477 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Fais-y porter aussi... v.1478 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Voilà bien des apprêts ! v.1478 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Combien ? Deux habits d'homme et du linge de même. v.1479 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Des habits et du linge ? v.1480 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Oui. Fais ce qu'on te dit. v.1480 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Est-ce que vous voulez y faire une retraite ? v.1481 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Tout comme il me plaira. Que rien ne t'inquiète. v.1482 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- La curiosité te travaille l'esprit. v.1483 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais, monsieur, tout ceci... franchement, à vrai dire, v.1484 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Un jour comme aujourd'hui, me donne du tintoin. v.1485 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- C'est bien à toi d'en prendre ! Ah ! Parbleu, je t'admire ! v.1486 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Fait-il tout-à-fait nuit ? v.1487 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Bon ! Le jour est bien loin. v.1487 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Qu'on mette les chevaux à la voiture grise. v.1488 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien, va donc. v.1489 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Allons. Il a de l'argent frais ; v.1489 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Je n'en serai jamais payé que par surprise. v.1490 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Tu ne pars pas ? v.1491 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Je m'en y vais. v.1491 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Oui, risquons le paquet. v.1492 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Qui diable te retarde ? v.1492 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Vous allez me gronder. v.1493 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Tu peux le mériter. v.1493 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- C'est qu'avec votre argent... v.1494 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Quoi ? v.1494 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Je viens d'acquitter v.1494 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Pour vous, en votre nom, une dette criarde. v.1495 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Eh ! Qui t'en a prié ? v.1496 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- La pitié, le besoin. v.1496 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Je te trouve plaisant de prendre tant de soin ! v.1497 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Vous avez de l'argent. v.1498 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Qu'importe ? v.1498 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Emprunter pour payer, parbleu, rien n'est plus fou. v.1499 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- C'était un pauvre erre ; il n'avait pas le sou : v.1500 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Et puis six cens écus, la somme n'est pas forte. v.1501 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Me le pardonnez-vous ? v.1502 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Il faut bien. v.1502 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais d'honneur ? v.1502 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Oui. Quel est ce coquin de créancier ? v.1503 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- La Fleur. v.1503 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Toi ? v.1504 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Moi. v.1504 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Mons de La Fleur, vous n'aurez plus la bourse. v.1504 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Va. v.1505 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Droit au cabinet dirigeons notre course. v.1505 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Et vite et vite, allons nous payer par nos mains. v.1506 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- D'où viennent tout-à-coup de si cruels dédains ? v.1507 (Acte 4, scène 5, MARIANNE)
- D'abord, en me voyant, comme elle s'est aigrie ! v.1508 (Acte 4, scène 5, MARIANNE)
- Il faut absolument quitter cette maison. v.1509 (Acte 4, scène 5, MARIANNE)
- Vous rêvez ? v.1510 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Il est vrai. v.1510 (Acte 4, scène 5, MARIANNE)
- Ce n'est pas sans raison. v.1510 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais il faut vous laisser dans votre rêverie. v.1511 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Vous avez besoin d'y penser. v.1512 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Pourriez-vous m'éclaircir ? ... v.1513 (Acte 4, scène 5, MARIANNE)
- Daignez m'en dispenser. v.1513 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Ma chère petite cousine, v.1514 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Tout ne réussit pas toujours selon nos voeux. v.1515 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Il arrive par fois des contre-temps fâcheux ; v.1516 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Pour y remédier, il faut être bien fine ; v.1517 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais comme vous avez un esprit infini, v.1518 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Vous vous en tirerez. C'est ce que je désire. v.1519 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Quoi ! Tout le monde ici se trouve réuni v.1520 (Acte 4, scène 6, MARIANNE)
- Pour me désespérer ! Mais qu'a-t-il voulu dire ? v.1521 (Acte 4, scène 6, MARIANNE)
- Quelqu'un adresse ici ses pas. v.1522 (Acte 4, scène 6, MARIANNE)
- Rosette, si tu peux, tire-moi d'embarras. v.1523 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- Ma tante est contre moi d'une colère extrême. v.1524 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- Qu'ai-je dit ? Qu'ai-je fait ? Que m'est-il arrivé ? v.1525 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- J'ai beau m'examiner moi-même ; v.1526 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- Dans le fond de mon coeur, hélas ! Je n'ai trouvé v.1527 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- Que zèle, que respect, que tendresse pour elle. v.1528 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- J'ignore à quel sujet cet accès de rigueur v.1529 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- La prend d'une façon si brusque et si cruelle ; v.1530 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- D'autant plus qu'une fois, d'abondance de coeur, v.1531 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Elle disait, j'oublie en quelle conjoncture : v.1532 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- "Il faudra s'en laisser charmer ; v.1533 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Cette petite créature v.1534 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Finira par se faire aimer. " v.1535 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Il faut bien que le diable ait ici fait des siennes : v.1536 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Je ne connais que lui pour jouer de ces tours. v.1537 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Mais vos recherches et les miennes v.1538 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Ne nous avancent pas ; il faut d'autres secours : v.1539 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Vous ne savez pas tout. Je me suis évadée v.1540 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Pour vous dire à quel point madame est en courroux ; v.1541 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- En un mot, elle est dans l'idée v.1542 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- De vous faire enlever, de s'assurer de vous. v.1543 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Qu'on me ramène où l'on m'a prise. v.1544 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- Monsieur adresse ici ses pas. v.1545 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Voyez si vous pourrez parer cette entreprise ; v.1546 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Et surtout ne me nommez pas. v.1547 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Marianne ! Et pourquoi te trouvé-je éplorée ? v.1548 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Hélas ! Mon oncle, au nom de la tendre amitié v.1549 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Dont par vous seul ici je me trouve honorée, v.1550 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- De grâce, dites-moi, par bonté, par pitié, v.1551 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Qu'est-ce donc qui se passe à mon désavantage ? v.1552 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Il doit m'être, en ce jour, arrivé des malheurs ; v.1553 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Tout inconnus qu'ils sont, ils m'arrachent des pleurs. v.1554 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Ne me les laissez pas ignorer davantage ; v.1555 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Innocente, ou coupable, instruisez-moi de tout. v.1556 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- De quoi ? v.1557 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Cette infortune est réelle et publique. v.1557 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- C'est une énigme obscure, ou plutôt chimérique, v.1558 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Dont je ne puis venir à bout. v.1559 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne te connais point de nouvelle infortune. v.1560 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Vous dissimulez. v.1561 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Non, je n'en sache aucune. v.1561 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Pourquoi donc, à présent, attiré-je les yeux v.1562 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- De tout ce qui nous environne ? v.1563 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- D'où viennent ces regards furtifs et curieux v.1564 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Qu'on attache en secret sur toute ma personne ? v.1565 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Eh ! Mais, tout cela vient du plaisir de te voir ; v.1566 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- C'est qu'ici tout le monde t'aime. v.1567 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Quoi donc ! Ai-je changé ? Ne suis-je plus la même ? v.1568 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Ils ont d'autres motifs que je ne puis savoir. v.1569 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Et par quelle aventure, à nulle autre pareille, v.1570 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- N'est-ce que d'aujourd'hui qu'on m'examine ainsi ; v.1571 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Et qu'en me regardant tout le monde d'ici v.1572 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Sourit avec malice, et se parle à l'oreille ? v.1573 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Et ma tante elle-même, avec la dureté v.1574 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- La plus grande et la plus cruelle, v.1575 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Vient de me chasser de chez elle. v.1576 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Elle a poussé la cruauté v.1577 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Jusques à me défendre à jamais sa présence. v.1578 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- D'où pourrait lui venir un courroux si soudain ? v.1579 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et moi, toute éperdue, examinant en vain v.1580 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Ma triste et timide innocence, v.1581 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Je suis venue ici ; j'ai trouvé votre fils, v.1582 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Qui m'a dit quelques mots, où je n'ai rien compris. v.1583 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- À peine il m'a laissée incertaine et flottante, v.1584 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Au milieu de mon trouble et du plus grand effroi, v.1585 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Qu'alors on est venu m'avertir que ma tante, v.1586 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Toujours de plus en plus en courroux contre moi, v.1587 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Veut se débarrasser de ma vue importune, v.1588 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Et me faire enlever. v.1589 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Ah ! Tout est découvert ; v.1589 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Un indiscret ami nous perd : v.1590 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Elle sait tout. v.1591 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Quoi donc ? v.1591 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Grand dieu ! Quelle infortune ! v.1591 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Mon secret est trahi. v.1592 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Quel est donc ce regret ? v.1592 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Je vois que j'ai commis une imprudence extrême. v.1593 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Daignez m'en éclaircir... Vous parlez de secret ! v.1594 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Il faut que je le cherche... Ah ! Le voici lui-même. v.1595 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Cruel ! Qu'avez-vous fait ? v.1596 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Qui ? Moi ! Qu'est-ce que c'est ? v.1596 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Eh ! Morbleu, l'on sait tout. v.1597 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Doucement, s'il vous plaît. v.1597 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Je suis désespéré. v.1598 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Quel courroux est le vôtre ! v.1598 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Votre indiscrétion... v.1599 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Quoi ? v.1599 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Nous perd l'un et l'autre. v.1599 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Vous aviez mon secret ! v.1600 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Il est encor entier. v.1600 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Ma femme est furieuse. v.1601 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Elle fait son métier. v.1601 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Que la plaisanterie est ici mal placée ! v.1602 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je vous dis que ma femme est si fort courroucée v.1603 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Contre elle et contre moi, qu'elle est dans le dessein, v.1604 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Comme je l'ai prévu, d'user de violence, v.1605 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- De me l'arracher de mon sein, v.1606 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- De la mettre en lieu sûr. v.1607 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Quelle turbulence ! v.1607 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Parbleu, c'est qu'elle sait, à n'en pouvoir douter, v.1608 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI P?RE)
- Que ce n'est point là votre nièce. v.1609 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI P?RE)
- Votre femme croit vous ôter v.1610 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI P?RE)
- Une jeune et tendre maîtresse. v.1611 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI P?RE)
- Qu'entends-je ? Que m'apprenez-vous ? v.1612 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Ce n'est pas sur la foi du lien le plus doux v.1613 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Que je suis chez vous et chez elle ? v.1614 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Eh ! Pourquoi donc ici m'avez-vous fait venir ? ... v.1615 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Ciel ! Je frémis de tout ce que je me rappelle. v.1616 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Ah ! Cessez de me retenir. v.1617 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- De toutes les horreurs j'éprouve la plus noire. v.1618 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Ah ! Dieu ! Peut-on former un si cruel projet ? v.1619 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Du plus affreux roman je me vois le sujet. v.1620 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Elle ne sait donc pas sa véritable histoire ? v.1621 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Eh ! Non. Vous me jetez dans un autre embarras. v.1622 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je veux savoir de qui j'ai reçu la naissance. v.1623 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Remettez-moi sous leur puissance ; v.1624 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Quels que soient mes parents... v.1625 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Dans peu tu le sauras. v.1625 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Parlez ; je ne veux plus languir dans cette attente. v.1626 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Je vais m'aller jeter aux genoux de ma tante... v.1627 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Quel nom m'échappe encor ! v.1628 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Elle vient de partir. v.1628 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Attends. v.1629 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- De cette horreur faites-moi donc sortir ; v.1629 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- La fin n'en peut être trop prompte. v.1630 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Crains d'apprendre ton sort. v.1631 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne crains que la honte v.1631 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- De nourrir plus longtemps l'opprobre où je me vois. v.1632 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Modère donc un peu les accents de ta voix. v.1633 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Non ; c'est au désespoir à rétablir ma gloire ; v.1634 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Je ne puis faire trop d'éclat. v.1635 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Je suis moins criminel que tu ne l'oses croire. v.1636 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Sois instruite de ton état. v.1637 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Cette vive amitié qui t'outrage et te blesse, v.1638 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Trouvera dans ton âme un retour éternel ; v.1639 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Apprends que toute ma tendresse v.1640 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- N'est que de l'amour paternel. v.1641 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! ... ma fille... v.1642 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Qui ! Vous... Mon père ? v.1642 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Eh ! Pourquoi si longtemps me cacher mon bonheur ? v.1643 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Peut-être ne vas-tu que changer de malheur. v.1644 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- J'entrevois à présent le fond de ce mystère. v.1645 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Puisque j'ai le bonheur de vous appartenir, v.1646 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Le sort peut, à son gré, régler mon avenir. v.1647 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Il m'a plus fait de bien qu'il n'en saurait détruire. v.1648 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Non ; j'ai pris mon parti, puisqu'on me pousse à bout v.1649 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Mais pour toi, laisse-moi le soin de te conduire. v.1650 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Argant n'envahira point tout. v.1651 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je m'en vais déclarer qu'il n'est point fils unique ; v.1652 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Que nous avons encor une fille à pourvoir. v.1653 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne souffrirai point qu'un abus tyrannique, v.1654 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'un usage cruel, au gré de son pouvoir, v.1655 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Me réduise à pleurer ma fille infortunée : v.1656 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- J'empêcherai plutôt cet injuste hyménée ; v.1657 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je comptais obtenir ce qu'il faut arracher. v.1658 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Pour la première fois je vais parler en maître. v.1659 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Quel malheur est le mien ! v.1660 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- On te viendra chercher. v.1660 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Quand il en sera temps, je te ferai paraître. v.1661 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Pourquoi voulez-vous que je sois à jamais v.1662 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Le fléau de ceux que j'adore ? v.1663 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Joignez à vos bontés la grâce que j'implore ; v.1664 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Et souffrez qu'en partant je vous rende la paix. v.1665 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- On m'attend ; obéis. Et vous, ami fidèle, v.1666 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ne m'abandonnez pas ; daignez prendre soin d'elle. v.1667 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Restez ; je vous remets en main v.1668 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ce que j'ai de plus cher. v.1669 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Partez ; mais en chemin... v.1669 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Eh ! Bien, quoi ? v.1670 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- N'allez pas user votre courage. v.1670 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Oh ! J'en aurai de reste. v.1671 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- On est brave de loin... v.1671 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Le ciel lui soit en aide ! Il en a bien besoin. v.1672 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI P?RE)
- La bonne femme est folle, ou le diable s'en mêle. v.1673 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Comment donc ! Eh ! Pour qui madame me prend-elle ? v.1674 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Pour un benêt de précepteur ? v.1675 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- J'eusse été bien venu, quand j'en serais capable. v.1676 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Mais a-t-on jamais fait payer au serviteur v.1677 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Les sottises du maître ? Il est assez probable v.1678 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Que je ne perdais pas dessus, grâce à mes soins ; v.1679 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Et j'allais m'arranger pour y perdre encor moins. v.1680 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Serviteur ; on me chasse : où diantre faire voile ? v.1681 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- La Fleur, que fais-tu là ? v.1682 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Je maudis mon étoile. v.1682 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Ton étoile ! Comment ? Est ce qu'en bonne foi v.1683 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Tu crois en avoir une à toi ? v.1684 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Qu'as-tu ? Qu'arrive-t-il dans tes affaires ? v.1685 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- J'ai v.1685 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Que madame m'a fait agréer mon congé. v.1686 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Ton congé, mon enfant ? v.1687 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Oui, pour présent de noce. v.1687 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Qu'as-tu fait ? v.1688 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Moi ? v.1688 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Tu mens. v.1688 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Mon crime est d'être un sot. v.1688 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Eh ! Bien, tu mens encor. v.1689 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- On m'impute un négoce v.1689 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Que mon maître a baclé, sans m'en dire un seul mot ; v.1690 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Et la prévention demeurant la plus forte, v.1691 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- L'innocence est mise à la porte ; v.1692 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- On m'oblige, avec elle, à prendre mon parti : v.1693 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Je vais lui chercher un refuge. v.1694 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Regrette moins ton maître ; il t'aurait perverti. v.1695 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- D'ailleurs, peut-on savoir d'où vient tout ce grabuge ? v.1696 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Comment, ce misérable est encore en ces lieux ! v.1697 (Acte 5, scène 3, MADAME ARGANT)
- Fidèle confident d'un trop coupable maître... v.1698 (Acte 5, scène 3, MADAME ARGANT)
- En vérité, madame, il est à naître... v.1699 (Acte 5, scène 3, LA FLEUR)
- Tais-toi ; sors ; et jamais ne parois à mes yeux. v.1700 (Acte 5, scène 3, MADAME ARGANT)
- M'est-il permis d'entrer dans vos douleurs secrètes ? v.1701 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- D'où viennent donc ces pleurs qui coulent malgré vous ? v.1702 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- Je ne vous vis jamais dans l'état où vous êtes. v.1703 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- On ne reçut jamais de plus sensibles coups. v.1704 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- On vient d'empoisonner le bonheur de ma vie... v.1705 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Mon coeur est suffoqué... je ne puis respirer. v.1706 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Avec indignité ma tendresse est trahie. v.1707 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ai-je assez de sujets de me désespérer ? v.1708 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- L'objet dont je n'étais que trop préoccupée, v.1709 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Que j'aimais du plus tendre, ou du plus fol amour, v.1710 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Mon fils... ce n'est qu'un fourbe. Il m'a toujours trompée. v.1711 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Sa perfidie enfin éclate au plus grand jour. v.1712 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ce qui vient d'arriver ne m'en laisse aucun doute. v.1713 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Je faisais tout pour lui : Rosette, tu le sais ; v.1714 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Et je craignais toujours de n'en pas faire assez. v.1715 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- J'aurais donné mon sang jusqu'à la moindre goutte v.1716 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Pour assurer le sort, la fortune et l'état v.1717 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Du cruel qui m'a fait l'offense la plus noire. v.1718 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Une famille illustre ouvrait à cet ingrat v.1719 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Le chemin le plus sûr qui conduit à la gloire ; v.1720 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Dans leur sein, dans leurs bras il allait être admis ; v.1721 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Il allait devenir leur plus chère espérance, v.1722 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- L'objet de tous leurs soins. Ah ! Quelle différence ! v.1723 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ils vont être à jamais ses plus grands ennemis. v.1724 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Aurait-il refusé cette grande alliance ? v.1725 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- Apprends comment il s'est perdu. v.1726 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Nous étions assemblés ; il était attendu. v.1727 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Moi-même j'aspirais, avec impatience, v.1728 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Au plaisir de le voir, de jouir des effets v.1729 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Que devait produire sa vue. v.1730 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Je comptais les moments... attente superflue ! v.1731 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Au mépris des serments que le traître m'a faits v.1732 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- D'étouffer un amour qu'il condamnait lui-même ; v.1733 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- De l'erreur de ses sens loin d'être détrompé, v.1734 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Il y sacrifiait ; et n'était occupé v.1735 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Que du soin d'enlever cette fille qu'il aime. v.1736 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ne sachant que penser d'un retard indiscret, v.1737 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Pour l'excuser encor je faisais mon possible ; v.1738 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Enfin, l'on est venu m'en instruire en secret. v.1739 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Non, un coup de poignard m'eût été moins sensible. v.1740 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Alors, pleurant de rage, il a fallu sortir. v.1741 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Juge de mon état, de la douleur amère, v.1742 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- De la confusion que j'ai dû ressentir. v.1743 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Je suis désespérée... Ô déplorable mère ! v.1744 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- C'en est fait, je n'ai plus de fils. v.1745 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- On pourra le sauver. v.1746 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- Ah ! La raison m'éclaire, v.1746 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Je pénètre plus loin que jamais je ne fis. v.1747 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Supposé que l'on puisse apaiser cette affaire, v.1748 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Et dérober sa tête aux rigueurs de la loi, v.1749 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- En est-il moins perdu pour moi, v.1750 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Sitôt qu'il ne peut plus mériter ma tendresse ? v.1751 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Sous les dehors trompeurs d'un caractère heureux, v.1752 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Je vois qu'il a toujours abusé ma faiblesse. v.1753 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ce trait de lumière est affreux. v.1754 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ah ! Grand dieu ! Que j'étais cruellement séduite ! v.1755 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- J'en mourrai de douleur. v.1756 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Mais il pourrait un jour... v.1756 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- Non, quand la confiance est une fois détruite, v.1757 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- C'en est fait pour jamais ; il n'est plus de retour. v.1758 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Rosette, laisse-nous. v.1759 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Eh ! Bien, quelle nouvelle ? v.1759 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- En a-t-on ? L'aventure est-elle aussi cruelle v.1760 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Qu'on le dit ? v.1761 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Je vous en réponds. v.1761 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Avec son bel esprit qui vous avait séduite, v.1762 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Votre fils, comme un sot, a donné tout de suite v.1763 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Dans un piège grossier tendu par des fripons ; v.1764 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Et le premier exploit de ses premières armes v.1765 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Est un enlèvement bien conditionné. v.1766 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Dans un asile détourné v.1767 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Il croyait emmener, sans trouble et sans alarmes, v.1768 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Son illustre conquête ; il n'avait rien prévu ; v.1769 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Lorsque trahi par elle et pris au dépourvu, v.1770 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- On est venu troubler sa joie. v.1771 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- L'indiscret, qui pouvait échapper sans éclat, v.1772 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Au lieu d'abandonner sa proie, v.1773 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- À tous les assaillants a livré le combat : v.1774 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mais, étant le plus faible, il a fallu se rendre. v.1775 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Il est entre leurs mains, pris, et même blessé. v.1776 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Blessé ! Le malheureux ! Quel parti faut-il prendre ? v.1777 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Mais Doligni, que j'ai laissé, v.1778 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Croit avoir quelque espoir d'empêcher les poursuites ; v.1779 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Et, comme il est intelligent, v.1780 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Peut-être avec beaucoup d'argent v.1781 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Cette aventure-là n'aura pas d'autres suites. v.1782 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Les suites n'en seront funestes que pour moi. v.1783 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Idole de mon coeur ! Malheureuse chimère ! v.1784 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Fils indigne ! Ah ! Le ciel te devait une mère v.1785 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Incapable d'avoir le moindre amour pour toi. v.1786 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Est-ce au fond de mon sein qu'il a puisé ces vices ? v.1787 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Pour lui seul j'ai laissé ma fille dans l'oubli ; v.1788 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- La moitié de mon sang y reste enseveli ; v.1789 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Je faisais à l'ingrat les plus grands sacrifices : v.1790 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Et voilà tout le fruit que je vais retirer ! v.1791 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Ma honte est mon salaire ! Hélas ! Qui l'eût pu croire ? v.1792 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Pour détacher mon coeur, il faut le déchirer : v.1793 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Mais je remporterai cette affreuse victoire. v.1794 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Va, ma haine commence où mon erreur finit. v.1795 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Triomphez... le ciel me punit. v.1796 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Eh ! Ne séparez point mon intérêt du vôtre. v.1797 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Sans nous rien reprocher, gémissons l'un et l'autre v.1798 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Sur les égarements de ce fils trop ingrat. v.1799 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Si je l'ai toujours vu d'un oeil un peu sévère, v.1800 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'en avais pas moins des entrailles de père ; v.1801 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je l'aimais comme vous ; mais avec moins d'éclat. v.1802 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je tenais ma tendresse un peu plus renfermée ; v.1803 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Et je ne demandais à votre âme charmée, v.1804 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Que de cacher l'excès de son enchantement. v.1805 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Hélas ! Si quelquefois je vous en ai blâmée, v.1806 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Excusez le motif ; trop sûre d'être aimée, v.1807 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- La jeunesse abuse aisément v.1808 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Du faible qu'on a pour ses charmes. v.1809 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Plus les enfants sont chers, plus il est dangereux v.1810 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- De leur trop laisser voir tout ce qu'on sent pour eux. v.1811 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je gémis du sujet qui fait couler vos larmes : v.1812 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Votre courroux est juste ; Argant l'a mérité. v.1813 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mais si vous le voyez, comme je l'envisage, v.1814 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Au milieu des transports et des fougues d'un âge v.1815 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Où la raison n'est pas à sa maturité, v.1816 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Vous devez conserver un rayon d'espérance. v.1817 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je l'ai laissé confus, honteux, mortifié. v.1818 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je vois que son état est digne de pitié. v.1819 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Un malheur instruit mieux qu'aucune remontrance. v.1820 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Il peut se corriger. Il est encore à temps. v.1821 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Ce qu'il vient d'essuyer finira son ivresse. v.1822 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Croyez qu'il n'est point de plus sûre sagesse v.1823 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Que celle qu'on acquiert à ses propres dépens. v.1824 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Discourez un peu moins, et montrez-vous plus sage. v.1825 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Moi ? v.1826 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Sans doute. v.1826 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Eh ! Mais, s'il vous plaît, v.1826 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Qui peut me procurer cet avis à mon âge ? v.1827 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Vous ne l'ignorez pas. v.1828 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Je ne sais ce que c'est ; v.1828 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'en ai, je vous jure, aucune connaissance. v.1829 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- À quoi sert d'affecter cette fausse innocence ? v.1830 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Eh ! Comment voulez-vous que je ne sache pas, v.1831 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Ce qu'ici personne n'ignore ? v.1832 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Voyons, que savez-vous encore ? v.1833 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Que votre fils n'a fait que marcher sur vos pas. v.1834 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Monsieur, vous lui traciez une route assez belle ! v.1835 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Sans doute il vous sied bien de prendre son parti, v.1836 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Puisqu'en effet c'est vous qui l'avez perverti ! v.1837 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- J'entends ; voilà l'effet d'un rapport infidèle ! v.1838 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Quel moyen, hélas ! De n'être pas séduit v.1839 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Par l'exemple effréné des faiblesses d'un père ? v.1840 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Quel caractère heureux n'en serait pas détruit ? v.1841 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Ah ! C'est, de plus en plus, ce qui me désespère. v.1842 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Qui recevra mes pleurs ? Qui fermera mes yeux ? v.1843 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Vous vous abandonnez à de fausses alarmes. v.1844 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Calmez-vous sur mon compte ; et jugez un peu mieux... v.1845 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mais on vient ; suspendez vos larmes. v.1846 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Quoi ! Déjà de retour ! v.1847 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, vraiment, me voilà. v.1847 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI PÈRE)
- Vous n'aurez pu conclure avec ces coquins-là ; v.1848 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Leurs propositions sans doute vous effrayent ? v.1849 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai trouvé, par bonheur, de ces gens qui se payent v.1850 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI PÈRE)
- De raison et d'argent comptant. v.1851 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- À l'honneur de leur fille il n'en faut plus qu'autant. v.1852 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- J'ai réglé, moyennant une somme assez forte, v.1853 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Dont ces honnêtes gens sont contents. v.1854 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Eh ! Qu'importe ? v.1854 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Si vous le trouvez bon, sans perdre un seul moment, v.1855 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI PÈRE)
- Il faut aller signer et consommer l'affaire. v.1856 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Ce n'est pas loin d'ici ; c'est chez votre notaire, v.1857 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Où l'acte est tout dressé. v.1858 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Courons-y promptement ; v.1858 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Supposé, cependant, que cela vous convienne. v.1859 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Allez, messieurs. v.1860 (Acte 5, scène 6, MADAME ARGANT)
- Partons. v.1860 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Et nous, réglons aussi v.1860 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- L'affaire qui me reste à terminer ici. v.1861 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Rosette ? Holà, quelqu'un ? Que Marianne vienne. v.1862 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Voyons donc ce que c'est ; perçons l'obscurité, v.1863 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Dont le mystère ici couvre la vérité. v.1864 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Quoi ! Tout ce qui m'est cher s'unit et se rassemble v.1865 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Pour me faire essuyer tous les malheurs ensemble ! v.1866 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Mon époux et mon fils !... J'adorais deux ingrats ! ... v.1867 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ma rivale paraît... Ne la ménageons pas. v.1868 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Je te rendrai du moins outrage pour outrage. v.1869 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Sachons qui de nous deux doit imposer la loi. v.1870 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Que s'est-il donc passé ? Je vois, sur son visage, v.1871 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Tous les traits du courroux qui va tomber sur moi. v.1872 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Approchez... N'êtes-vous point lasse v.1873 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Du plaisir de semer le divorce en ces lieux ? v.1874 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- N'en pouvez-vous jouir, si ce n'est sous mes yeux ? v.1875 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Voulez-vous me réduire à vous demander grâce ? v.1876 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ou faut-il vous céder ? Prononcez entre nous. v.1877 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Sans doute que j'ai fait rompre ce mariage. v.1878 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Répondez donc ? v.1879 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Hélas ! Je tombe à vos genoux. v.1879 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Portez ailleurs ce faux hommage. v.1880 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Levez-vous. Les soupirs, les pleurs sont superflus. v.1881 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ce ne sont pas toujours des preuves d'innocence. v.1882 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Disposez de mon sort. Que voulez-vous de plus ? v.1883 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- N'est-il pas en votre puissance ? v.1884 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Ordonnez ; et comptez sur une obéissance v.1885 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Qui servira du moins à me justifier. v.1886 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Délivrez-vous de ma présence. v.1887 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Je ne demande, hélas ! Qu'à me sacrifier. v.1888 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Qu'à vous sacrifier ! Est-ce ici votre place ? v.1889 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je n'ai que du malheur ; vous pouvez m'en punir. v.1890 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Mais le malheur, ici, vous a-t-il fait venir ? v.1891 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Accusez mon erreur et non pas mon audace. v.1892 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Madame, on m'a trompée en m'amenant ici : v.1893 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- C'est une vérité qui peut être attestée. v.1894 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Si j'avais été libre, y serais-je restée ? v.1895 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- D'aujourd'hui seulement mon sort est éclairci. v.1896 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Et dès que je l'ai su, j'ai tout mis en usage v.1897 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Pour qu'on me laissât fuir. Je n'ai pu l'obtenir. v.1898 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Ai-je rien de plus cher que de vous réunir ? v.1899 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Ô ciel ! D'une rivale est-ce là le langage ? v.1900 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- J'ai peine à résister à son air ingénu. v.1901 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Cette énigme est assez difficile à comprendre. v.1902 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Votre sort, dites-vous, vous était inconnu ? v.1903 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Quel est donc ce roman ? v.1904 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- On a dû vous l'apprendre. v.1904 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Vous savez qui je suis. v.1905 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- C'est un secret pour moi. v.1905 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- On ne vous a point dit qui j'étais ? v.1906 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Je l'ignore. v.1906 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- D'où vous vient ce nouvel effroi ? v.1907 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je frémis d'une erreur où je vous vois encore. v.1908 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Cherchez donc à la dissiper. v.1909 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Hélas ! Je ne vois point mon père. v.1910 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Mais ne vous flattez pas de pouvoir me tromper. v.1911 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Cet abandon me désespère. v.1912 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Que cherchent vos regards ? épargnez-vous ces soins. v.1913 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Parlez en liberté, nous sommes sans témoins. v.1914 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Quand vous me connaîtrez... v.1915 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Quelle est votre fortune ? v.1915 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Qui ? Moi ! Je n'en possède et n'en prétends aucune. v.1916 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Que faisiez-vous auparavant ? v.1917 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je menais hors du monde une vie inconnue. v.1918 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Continuez. v.1919 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Dans un couvent, v.1919 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Depuis que je suis née, on m'a toujours tenue. v.1920 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Fixez-y mon destin. Je suis prête à partir. v.1921 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- J'offre d'y retourner, pour n'en jamais sortir. v.1922 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Je n'en avais jamais été si bien frappée. v.1923 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Comptez sur mes secours... v.1924 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- On peut l'avoir trompée... v.1924 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je vous les offre volontiers. v.1925 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Quel fut votre couvent ? Parlez avec franchise. v.1926 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Vous pouvez le connaître. v.1927 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Où vous avait-on mise ? v.1927 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Mais c'était auprès de Poitiers. v.1928 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- De Poitiers, dites-vous ? v.1929 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Useraient-ils d'adresse ? v.1929 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- C'est un fait qui peut être aisément éclairci. v.1930 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je le sais. v.1931 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- En effet, serait-elle ma nièce ? v.1931 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- C'est le même couvent où ma fille est aussi. v.1932 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Que je suis coupable envers elle. v.1933 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Vous l'avez donc vue ? v.1934 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Oui. v.1934 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Si vous la connaissez, v.1934 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je suis mère, excusez des désirs empressés ; ) v.1935 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Vous pouvez m'en tracer une image fidèle. v.1936 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Faites-moi son portrait... Quoi ! Vous ne l'osez pas ? v.1937 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je ne me flatte point qu'elle ait autant d'appas v.1938 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Que vous en avez en partage. v.1939 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ne me pressez pas davantage v.1940 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- De vous entretenir de ses faibles attraits. v.1941 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- En serait-elle dépourvue ?... v.1942 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Vous rougissez toujours, et vous baissez la vûe. v.1943 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Connaissez-la par d'autres traits v.1944 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Plus précieux, plus chers et pour vous et pour elle : v.1945 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- C'est sa soumission et son profond respect. v.1946 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Cet éloge n'est point suspect. v.1947 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Quels que soient vos desseins, elle y sera fidèle. v.1948 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Votre fille, à jamais, saura s'y conformer. v.1949 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Vos projets lui sont tous aussi chers qu'à vous-même. v.1950 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Il me reste à vous informer... v.1951 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- De quoi donc ? Achevez. v.1952 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- De sa tendresse extrême. v.1952 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Eh ! Pour qui ? v.1953 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Le demandez-vous ! v.1953 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Pour une mère qu'elle adore. v.1954 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Moi ! Puis-je mériter des sentiments si doux ? v.1955 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Elle ne m'a point vue encore. v.1956 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Hélas ! Pardonnez-moi. v.1957 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Que dites-vous ? Comment ? v.1957 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Éclaircissez en ce moment v.1958 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Le mystère que vous me faites. v.1959 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Seriez-vous !... Plût au ciel !... Dites-moi qui vous êtes. v.1960 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Ma nièce... Si j'en crois des transports pleins d'appas, v.1961 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Vous devez m'être bien plus chère. v.1962 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Votre coeur ne vous trompe pas. v.1963 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Embrassez votre fille. v.1964 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ô trop heureuse mère ! v.1964 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Qu'il m'est doux de me voir entre des bras si chers ! v.1965 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Pardonnez-moi tous deux, et partagez ma joie. v.1966 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Dans la félicité que le ciel me renvoie, v.1967 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Je retrouve au-delà de tout ce que je perds. v.1968 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Vous me pardonnez donc cette ruse innocente ! v.1969 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Si je vous la pardonne ! Elle fait mon bonheur. v.1970 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Nous en voilà pourtant venus à notre honneur ! v.1971 (Acte 5, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Ma femme, il faut aussi que mon fils s'en ressente. v.1972 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Sous le poids de sa faute il paraît abattu. v.1973 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je crois, pour l'avenir, qu'on peut tout s'en promettre. v.1974 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Il n'oserait paraître. Ah ! Daignez lui permettre v.1975 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- De venir à vos pieds reprendre sa vertu. v.1976 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne puis. v.1977 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Oserais-je, en faveur de mon frère, v.1977 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Unir ma faible voix à celle de mon père ? v.1978 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Pour qui réservez-vous un généreux pardon ? v.1979 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Me refuserez-vous une première grâce ? v.1980 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- L'ingratitude la plus basse v.1981 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Mérite un entier abandon. v.1982 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Appelez votre fils ; qu'il vienne en diligence. v.1983 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Je croirais que c'est trop écouter la vengeance, v.1984 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Et que le châtiment d'un si cher criminel v.1985 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Doit être passager et non pas éternel. v.1986 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Monsieur, voici ma fille et ma seule héritière. v.1987 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Je déshérite Argant ; j'en prononce l'arrêt : v.1988 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Ma fille occupera sa place toute entière. v.1989 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Je sais que votre fils l'adore, et qu'il lui plaît. v.1990 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Ne vous en cachez point. Leur amour m'intéresse. v.1991 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Qu'ils recueillent tous deux le fruit de leur tendresse. v.1992 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Eh ! Madame, croyez le serment que j'en fais, v.1993 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- S'il en coûte si cher à mon malheureux frère, v.1994 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- J'aime mieux, avec lui, pleurer votre colère, v.1995 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Que d'en accepter les bienfaits. v.1996 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Eh ! Que veux-tu ? v.1997 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Sa grâce. Elle sera la mienne. v.1997 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Si vous l'abandonnez, que faut-il qu'il devienne ? v.1998 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Il n'aurait pas parlé de même en ta faveur. v.1999 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Il m'aimera... craignez l'effet de sa douleur, v.2000 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Et de son désespoir extrême. v.2001 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Qui me garantira ce retour sur lui-même ? v.2002 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Sa faute et ses remords. v.2003 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Tu m'imposes la loi. v.2003 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Puisse ce malheureux te prendre pour exemple ! v.2004 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Mais avant qu'un pardon plus ample v.2005 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Lui fasse partager ma tendresse avec toi, v.2006 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Je veux d'un oeil sévère observer sa conduite. v.2007 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- L'ingrat, jusqu'à ce jour, ne m'a que trop séduite. v.2008 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Vous, recevez ma fille et vivez avec nous : v.2009 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Je ne puis me résoudre à me séparer d'elle ; v.2010 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- C'est la condition que j'exige de vous. v.2011 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- C'est rendre encor plus chère une union si belle. v.2012 (Acte 5, scène 10, DOLIGNI-fils)
- Enfin, vous me voyez au comble de mes voeux. v.2013 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- En aimant ses enfants, c'est soi-même qu'on aime ; v.2014 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Mais, pour jouir d'un sort parfaitement heureux, v.2015 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Il faut s'en faire aimer de même. v.2016 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Comptez qu'on ne parvient à ce bonheur suprême, v.2017 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'en partageant son âme également entre eux. v.2018 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
ÉCOLE DES AMIS (1749)
- Quoi, vous voulez sortir ? v.1 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Laisse-moi, je te prie. v.1 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Je ne puis différer ma première sortie, v.2 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Ni demeurer ici davantage en suspens : v.3 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Ma blessure m'a fait assez perdre de temps. v.4 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Oui : mais, Monsieur, à peine est-elle refermée. v.5 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Eh ! depuis que je suis revenu de l'armée, v.6 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Blessé dans ce combat où mon oncle a péri, v.7 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Deux mois se sont passez : je dois être guéri. v.8 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Quelle raison ! v.9 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Après la perte que j'ai faite, v.9 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Je veux savoir comment la fortune me traite. v.10 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- D'ailleurs, un intérêt plus pressant, et plus fort v.11 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Que celui qui me touche, exige cet effort. v.12 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Mon oncle était chargé des biens de ta Maîtresse ; v.13 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Et je lui dois un compte... il le faut... le temps presse... v.14 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- D'autant plus qu'elle va retourner au couvent. v.15 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Monsieur, vous vous verrez, sans doute, auparavant ? v.16 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Qui, moi, Clorine ? Hélas ! je ne l'ai que trop vue. v.17 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Ah ! cette répugnance est assez imprévue. v.18 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Vous craignez de revoir l'objet de votre ardeur ? v.19 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- La révolution... v.20 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- A changé votre coeur. v.20 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Plut au Ciel !... quand j'étais un peu plus digne d'elle, v.21 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Je l'ai vue insensible à l'ardeur la plus belle. v.22 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Que serait-ce à présent que je puis n'être rien ? v.23 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Est-on si prévoyant lorsque l'on aime bien ? v.24 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Monsieur, est-ce donc-là cette âme si charmée v.25 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Est-ce vous, qui depuis le départ pour l'armée v.26 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Avez écrit vingt fois pour avoir son portrait, v.27 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Qu'on vous eut envoyé, s'il avait été fait ? v.28 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Hortense eut obéi. v.29 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Cesse de m'entreprendre. v.29 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Si j'avais son portrait, il faudrait le lui rendre ; v.30 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Il faudrait la revoir encore, et me plonger... v.31 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Du moins, la bienséance... v.32 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Il n'y faut plus songer. v.32 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Fort bien, il va se perdre, en fuyant ma maîtresse. v.33 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Je veux les rapprocher tous deux avec adresse. v.34 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Eh ! le portrait d'Hortense est propre à cet effet. v.35 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Il faut lui procurer en secret ce bienfait, v.36 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Et lui faire trouver par quelque stratagème v.37 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Cette heureuse ressource, en dépit de lui-même. v.38 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Je veux que ce portrait serve à vous réunir : v.39 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Oui, Monsieur, je saurai vous forcer à venir v.40 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Le remettre vous-même entre les mains d'Hortense. v.41 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Alors ils se verront. L'amour d'intelligence v.42 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Les mènera plus loin qu'ils ne veulent tous deux. v.43 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Au reste, puisse-t-il avoir un sort heureux ! v.44 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Espérons que la Cour lui sera moins contraire. v.45 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Il va lui-même agir. C'est le point nécessaire ; v.46 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Car... ses amis ont beau le servir de leur mieux ; v.47 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- L'un d'eux n'est qu'un bon homme, ardent, officieux, v.48 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Qui tracasse, et qui veut toujours être de fête : v.49 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- L'autre n'a que du faste et du vent dans la tête. v.50 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Eh bien ! où sont-ils donc fourrez ? Hola, quelqu'un ? v.51 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Bon ! voici justement notre vieil importun ! v.52 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Qu'il va bien signaler son zèle impitoyable ! v.53 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Quand le Maître est dehors, les Valets sont au diable. v.54 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- C'est Clorine ! Eh ! parbleu, je la trouve à propos. v.55 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- J'avais à vous parler. J'aurai fait en deux mots. v.56 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Hortense s'en va donc ? v.57 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Oui, Monsieur, sans remise. v.57 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Elle rentre au Couvent où le défunt l'a prise. v.58 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Il l'avait fait venir pour la former un peu, v.59 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Avant que de lui faire épouser son neveu. v.60 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Elle y serait déjà retournée au plus vite, v.61 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Si l'éternelle tant attachée à sa suite, v.62 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- N'avait été malade : elle se porte mieux. v.63 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Tant-pis. v.64 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et nous faisons aujourd'hui nos adieux. v.64 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Cette vieille radote ; et ta maîtresse rêve. v.65 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- En quoi ? v.66 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- C'est aujourd'hui que le scellé se lève. v.66 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Hortense a tous ses biens. v.67 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Quelqu'un en prendra soin. v.67 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- À quoi servirait-elle ? On n'en a pas besoin. v.68 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Elle est riche, et très riche. v.69 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Oui, Monsieur, je l'espère. v.69 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ah ! je vous en réponds. D'autant plus que son père v.70 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- N'avait point d'intendant. C'était un vieux marin, v.71 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Qui, pour être partout Maître de son destin, v.72 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ne posséda jamais, pour toutes Seigneuries, v.73 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Qu'un riche porte-feuille, et force pierreries. v.74 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Chacun, suivant son goût, prend ses arrangements. v.75 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ainsi donc ta Maîtresse, outre ses diamants, v.76 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Est un des grands partis qui soient peut-être en France : v.77 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- à moins que le défunt, contre toute apparence, v.78 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- N'ait altéré des biens confiez à ses soins ; v.79 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Mais c'est ce que l'on doit appréhender le moins, v.80 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Or cela supposé, comme aussi que Clorine v.81 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Soit une fille aimable, intelligente, et fine... v.82 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ah ! point du tout, Monsieur... Oui... j'entends... excusez ; v.83 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On vient de m'appeler. v.84 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Non ; vous vous abusez : v.84 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et quand cela serait, qu'importe ? On peut attendre. v.85 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- En faveur de Monrose, il faudrait nous entendre. v.86 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Tu vois comme au moment de faire son bonheur, v.87 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Son oncle un peu trop-tôt est mort au lit d'honneur : v.88 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Tu sais, pour son neveu, quelle était sa tendresse ; v.89 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et qu'en le mariant à ta belle Maîtresse, v.90 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il lui cédait sa Charge et son Gouvernement : v.91 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il croyait être sûr d'en avoir l'agrément. v.92 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Un coup de foudre a mis l'édifice par terre. v.93 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Thésauriser n'est pas le fait des gens de guerre ; v.94 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et l'on doit peu compter sur leurs successions. v.95 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Le défunt ne roulait que sur des pensions, v.96 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- De forts appointements, qu'il mangeait à mesure, v.97 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ainsi de ce côté la fortune est peu sûre. v.98 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- A l'égard de la Cour, je doute, et je ne sais v.99 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Si l'on achèvera des projets commencés : v.100 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et franchement j'ai peur qu'en cet état funeste v.101 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ta Maîtresse ne soit le seul bien qui nous reste. v.102 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Voila ce qu'il faudrait tous deux négocier. v.103 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- A quoi servirait-il de nous associer ? v.104 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Hortense va passer sous une autre puissance. v.105 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On exigera d'elle une autre obéissance. v.106 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On exigera d'elle une infidélité : v.107 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Vous n'y voyez aucune impossibilité. v.108 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Si Monrose a son coeur... v.109 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Mais il fuit ma maîtresse ! v.109 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Elle n'en est pas moins l'objet de sa tendresse ; v.110 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Mais il compte si peu sur un heureux destin, v.111 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ou du moins l'avenir est si fort incertain, v.112 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Qu'il n'ose plus tenter d'achever sa conquête. v.113 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il est intimidé : voilà ce qui l'arrête. v.114 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Tant de discrétion lui ferait trop de tort. v.115 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il faut les rapprocher, et les mettre d'accord. v.116 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- J'entends. v.117 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Il faudrait donc autoriser mon zèle. v.117 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il n'est qu'un mot qui serve. Hortense l'aime-t-elle ? v.118 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Vous me le demandez, à moi ? v.119 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Sans contredit. v.119 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Mais vous n'y pensez pas. Eh ! Qui me l'aurait dit ? v.120 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Elle-même, parbleu : Du moins je le suppose. v.121 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Suivante et confidente est bien la même chose. v.122 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Non pas auprès d'Hortense. v.123 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ah ! ah ! mais en tout cas. v.123 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On peut bien deviner. v.124 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Je ne m'en méle pas. v.124 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On surprend un secret qu'on ne veut pas nous dire ; v.125 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On le lit dans les yeux, dans... v.126 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Je n'y sais pas lire. v.126 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Les filles d'à présent ne savent jamais rien v.127 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- De tout ce que l'on sait qu'elles savent très bien. v.128 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On ne saurait penser plus à notre avantage. v.129 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Monsieur, vous souvient-il d'un certain mariage v.130 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Que vous avez fait faire ? v.131 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Oui, j'aime à m'en mêler. v.131 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- C'est le dernier sur-tout que je veux rappeler. v.132 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Oh !... la suite en est belle, et le chef-d'oeuvre est rare. v.133 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ces gens sont en procès afin qu'on les sépare ; v.134 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Et vous sollicitez leur séparation. v.135 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Je ne dispose pas de l'inclination. v.136 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Bon ! Et ces deux rivaux, Monsieur, que vous en semble ? v.137 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Vous les aviez si bien raccommodez ensemble ! v.138 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- D'où vient sont-ils partis aussi-tôt de la main v.139 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Pour s'aller battre ? v.140 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ils ont pris querelle en chemin. v.140 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Vous souvient-il encore ?... v.141 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ah ! Trêve de mémoire. v.141 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il n'est pas question de faire mon histoire. v.142 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- C'est-à-dire qu'Hortense aura jusqu'à ce jour v.143 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Fait perdre à notre ami son temps et son amour ? v.144 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et ne voulez-vous pas que je l'en dédommage ? v.145 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Eh ! ventrebleu, pourquoi se laisser rendre hommage, v.146 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Lorsque l'on ne veut pas se laisser enflammer ? v.147 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Hortense obéissait en se laissant aimer. v.148 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- La complaisance est grande. v.149 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Assez v.149 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Se peut-il faire !... v.149 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Eh mais, combien de temps faut-il donc pour lui plaire, v.150 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Si depuis une année et plus qu'elle est ici, v.151 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- L'amour de son amant n'a pas mieux réussi ? v.152 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Hortense s'amusait du plaisir d'être aimée. v.153 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- L'hymen se devait faire au retour de l'armée. v.154 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il est vrai. v.155 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Cette époque est bonne à remarquer. v.155 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- À quoi pensait Hortense ? Elle allait s'embarquer ; v.156 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et toutefois l'amour n'était pas du voyage. v.157 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- C'est bien assez qu'il vienne après le mariage : v.158 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- L'amour qui le prévient n'est pas le plus certain. v.159 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Il vaut mieux ne donner son coeur qu'après sa main. v.160 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Quand on est sa maîtresse, alors c'est autre chose. v.161 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Hortense était soumise à l'oncle de Monrose ; v.162 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Il lui servait de père ; il en avait les droits, v.163 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Que le sien, en mourant, lui remit autrefois. v.164 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ils avaient toujours eu cette alliance en vue. v.165 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Hortense eut obéi : mais l'affaire est rompue. v.166 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Aurait-elle bien fait d'aimer auparavant ? v.167 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Allez, morbleu, partez ; retournez au couvent. v.168 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ainsi Monrose est libre ; et s'il est raisonnable, v.169 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On pourra lui trouver un parti convenable. v.170 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Quelqu'autre aura des yeux, du bien, de la beauté ; v.171 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Oui, l'on pourra tourner de tel autre côté, v.172 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Que... v.173 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Eh ! qui menacez-vous ? Je suis votre servante. v.173 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Du moins, cette menace a fâché la suivante. v.174 (Acte 1, scène 4, ARAMONT)
- Qu'elle aille à sa Maîtresse apprendre ce discours. v.175 (Acte 1, scène 4, ARAMONT)
- Tant mieux. La jalousie est d'un puissant secours ; v.176 (Acte 1, scène 4, ARAMONT)
- Et jamais la fierté ne doit être épargnée. v.177 (Acte 1, scène 4, ARAMONT)
- Une femme piquée est à moitié gagnée. v.178 (Acte 1, scène 4, ARAMONT)
- Serviteur au Baron. J'aime à te rencontrer. v.179 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Qu'as-tu fait de Monrose ? v.180 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Il va bientôt rentrer. v.180 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Tu ne le quittes plus ! Je te trouve adorable. v.181 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Ah ! si l'événement lui devient favorable, v.182 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Que d'amis fugitifs se verront confondus ! v.183 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Ils ne sont qu'égarez ; ils ne sont pas perdus. v.184 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Cette espèce d'amis n'est pas la moins commune. v.185 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Habiles à prévoir de loin une infortune, v.186 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Ils ne paraissent plus dans le temps orageux. v.187 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Le calme revient-il ? On peut compter sur eux. v.188 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Il ramène avec lui leur troupe mercenaire. v.189 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Dans le monde, en un mot, c'est l'usage ordinaire, v.190 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Qui fut, et qui sera toujours comme aujourd'hui ; v.191 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- On n'aime à partager que le bonheur d'autrui. v.192 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Monrose n'aura point ce reproche à me faire : v.193 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Et que la Cour lui soit favorable, ou contraire, v.194 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Il n'en sera ni plus ni moins cher à mes yeux. v.195 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Sans doute. Le malheur est-il contagieux ? v.196 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- On cesse d'être ami sitôt que l'on varie. v.197 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- D'abord que l'amitié balance, elle est trahie : v.198 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- La moindre alternative y porte un coup mortel ; v.199 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Et ce n'est plus qu'un nom qui n'a rien de réel. v.200 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Sais-tu que tu dis vrai ? v.201 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Voilà comme je pense. v.201 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Mais ce n'est point assez ; j'agis en conséquence. v.202 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Depuis qu'il est malade, on n'imagine pas v.203 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Ce que j'ai vu de gens, combien j'ai fait de pas. v.204 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- J'ai mis en action toutes nos connaissances. v.205 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- N'ai-je pas fait ma cour à toutes les puissances ? v.206 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Car il faut bien les voir, quand on en a besoin. v.207 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Quelle fatuité ! v.208 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- J'aurais été plus loin v.208 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Si je l'avais trouvé possible et nécessaire : v.209 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Mais Dieu sait de quel air j'ai mené cette affaire ! v.210 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- De quel air, s'il vous plaît ? v.211 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Je crois qu'il est permis v.211 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- De parler un peu haut quand c'est pour ses amis : v.212 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Tout est perdu. v.213 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- J'agis avec cette assurance v.213 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Qui subjugue, ou détruit toute autre concurrence. v.214 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Quoi qu'il en soit, j'ai mis l'épouvante et l'effroi v.215 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Parmi les prétendants ; ils sont en désarroi. v.216 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Je leur ai fait un tour qui nous sert à merveille... v.217 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- J'ai publié partout... en secret... à l'oreille... v.218 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Que Monrose avait tout obtenu de la Cour : v.219 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Et c'est, grâce à mes soins, la nouvelle du jour. v.220 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Par-là j'ai dérouté la brigue et la cabale. v.221 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Je crains que cela n'ait une suite fatale. v.222 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Tu t'y connais ! v.223 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Pour moi, je me borne à des soins v.223 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Qui sont à ma portée ; et je risque un peu moins. v.224 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Sans moi, des créanciers bloqueraient cette porte : v.225 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- J'ai du moins, pour un temps, écarté leur cohorte, v.226 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Comment donc ? v.227 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- En disant partout avec éclat v.227 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Que la succession est en très bon état v.228 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Ainsi j'ai suspendu leurs cris et leurs poursuites. v.229 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- C'est une minutie. v.230 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- On verra dans les suites. v.230 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Mais au surplus, Marquis, n'es-tu pas étonné v.231 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Que Monrose aujourd'hui se trouve abandonné v.232 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Par l'homme, sur lequel il comptait d'avantage, Ariste ? v.233 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- L'amitié n'est point un héritage. v.234 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Quoi ! l'ami le plus cher que le défunt ait eu, v.235 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Laisse ainsi son neveu, tandis qu'il aurait pu v.236 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Agir, et lui prêter son heureuse assistance ? v.237 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Son appui nous serait d'une grande importance ; v.238 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Car enfin son crédit est plus grand qu'on ne croit v.239 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Il le garde pour lui. Ce n'est qu'un homme adroit, v.240 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Un Courtisan masqué par la misanthropie, v.241 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Recouvert du manteau de la Philosophie ; v.242 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Un Politique sombre, équivoque et caché, v.243 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Qui se donne à la Cour pour être détaché v.244 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Des postes, des emplois, des grandeurs, et des grâces ; v.245 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Mais qui secrètement vise aux premières places ; v.246 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Et dont l'ambition, quand il en sera temps, v.247 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Se manifestera peut-être à nos dépens. v.248 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Cet Ariste pourtant... il avait paru prendre v.249 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Au destin de Monrose un intérêt si tendre : v.250 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Je l'ai cru son ami. v.251 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Lui ? Sur quel fondement ? v.251 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Quand on est tel, crois-moi, l'on s'annonce autrement. v.252 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- En effet, l'amitié donne un air moins austère. v.253 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Un véritable ami n'a d'autre caractère v.254 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Que celui qui nous plaît. Il se règle sur nous, v.255 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Il adopte nos moeurs ; il se fait à nos goûts ; v.256 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Il se métamorphose au gré de nos caprices ; v.257 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Il prend nos Passions, nos vertus, et nos vices : v.258 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- C'est un caméléon qui reçoit tour-à-tour... v.259 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Ce portrait-là, Monsieur, est celui de l'amour. v.260 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- C'est Ariste ! Ah, morbleu ! v.261 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Mon abord vous étonne ! v.261 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Ah ! Monsieur, qui pouvait vous croire-là ? v.262 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Personne. Si j'ai bien entendu votre entretien... v.263 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Tant-pis. v.263 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Les amis de Monrose étaient sur le tapis. v.264 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Vous paraissez avoir épuisé la matière ; v.265 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Et Monrose vous doit sa confiance entière. v.266 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Oui, par provision vous nous excluez tous. v.267 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Il ne doit plus compter sur d'autres que sur vous. v.268 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Vous suffirez à tout ; du moins, je le souhaite. v.269 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- L'amitié qui se vante est souvent indiscrète. v.270 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Cependant trouvez bon qu'au rang de ses amis v.271 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Quelqu'autre puisse encore avec vous êtes mis. v.272 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- L'amitié n'admet point de basses jalousies, v.273 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- C'est à l'amour qu'il faut laisser ces frénésies. v.274 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Mes amis, prenez part à la joie où je suis. v.275 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Mon bonheur est prochain ; si j'en crois tous les bruits, v.276 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- On dit qu'en ma faveur la Cour est réunie. v.277 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Ah ! Monsieur. C'est me faire une grâce infinie. v.278 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Ces Messieurs sont témoins si depuis mon retour v.279 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Ma santé m'a permis de vous faire ma cour. v.280 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Votre santé va bien ; je vous en félicite. v.281 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Et moi, de la nouvelle... v.282 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- En cas de réussite. v.282 (Acte 1, scène 7, ARAMONT)
- Tout Paris là-dessus n'a qu'une seule voix. v.283 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- C'est qu'il te rend justice. On l'obtient quelquefois, v.284 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Quand on a le secret de se la faire rendre. v.285 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Une affaire dépend du tour qu'on lui fait prendre. v.286 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- La fortune et l'amour se ressemblent tous deux : v.287 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- C'est la même façon pour traiter avec eux. v.288 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Je commence à le croire. v.289 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Osais-tu te promettre v.289 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Un aussi bon effet ?... v.290 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- De quoi ? v.290 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- De cette lettre v.290 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Qu'il a fallu te faire écrire, et t'arracher ? v.291 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Car avec toi, mon cher, à moins de se fâcher... v.292 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Je trouvais que le style en était un peu ferme. v.293 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Eh ! Tant mieux. Tu voulais mesurer chaque terme. v.294 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Ou du moins adoucir... v.295 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Va, va, le style est bien. v.295 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- La souplesse est pour nous un indigne moyen, v.296 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Presque toujours nuisible, et jamais légitime : v.297 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Qui s'abaisse soi-même est sa propre victime. v.298 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- On ne cherche que trop à nous humilier. v.299 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Nous devons exiger, et non pas supplier. v.300 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- N'est-il pas vrai, Monsieur ? v.301 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Chacun a ses usages. v.301 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- J'ai vu tous nos amis... v.302 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Qui ne sont pas plus sages. v.302 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Je ne pouvais suffire à leurs embrassements. v.303 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Quoi ! vous avez reçu tous ces vains compliments ? v.304 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Oui, je les ai reçus. Devais-je m'en défendre ? v.305 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Vous n'empêcherez pas ces bruits de se répandre ? v.306 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Les empêcher ? Je dis que c'est un coup d'état. v.307 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- On n'y saurait donner trop de cours et d'éclat. v.308 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Sur la foi de ce bruit heureux et profitable, v.309 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Chacun trouve que rien n'était plus équitable. v.310 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Tout le monde applaudit. Je vous laisse à penser v.311 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Si la Cour, qui le voit, pourra se dispenser v.312 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- D'un acte d'équité que l'on trouve à sa place. v.313 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Il ne dépend plus d'elle. Il faut qu'elle le fasse, v.314 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Et qu'enfin elle cède à la nécessité... v.315 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Vous en parlez, Monsieur, avec capacité. v.316 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- En seriez-vous surpris ? v.317 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Vous êtes politique. v.317 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Et bien meilleur ami. C'est de quoi je me pique. v.318 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Contre cet étourdi je ne saurais tenir. v.319 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Dans un instant, Monsieur, pourrais-je revenir ? v.320 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Commandez. v.321 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- J'aurais eu quelque chose à vous dire. v.321 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Je veux prendre mon temps. v.322 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Enfin il se retire. v.322 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Je puis donc m'applaudir avec vous sans témoins, v.323 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Et vous féliciter du succès de vos soins. v.324 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Permettez ce transport à ma reconnaissance : v.325 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- D'autres effets seront peut-être en ma puissance. v.326 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Ma chute était horrible ; il faut en convenir. v.327 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Si je vous faisais voir quel affreux avenir v.328 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Était devant mes yeux !... v.329 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Éloignons cette idée ; v.329 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Puisqu'aussi-bien l'affaire est presque décidée. v.330 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- D'ailleurs, ton désespoir m'était injurieux. v.331 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Suis-je donc un ami si frivole à tes yeux ? v.332 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Que le sort te trahisse, ou soit qu'il te seconde, v.333 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Mets-toi bien dans l'esprit que je n'ai rien au monde v.334 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Qui ne te soit acquis : je crois que là-dessus v.335 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Tu veux bien m'épargner des serments superflus. v.336 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Bien souvent ce ne sont que des mots d'habitude v.337 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Qui joignent le parjure avec l'ingratitude. v.338 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Va, j'en suis convaincu ; ce n'est pas d'aujourd'hui : v.339 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Mais je ne veux pas être a la charge d'autrui. v.340 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Vous dirai-je pourtant que la froideur d'Ariste v.341 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Jette dans mon esprit un doute qui m'attriste ? v.342 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- C'est un homme fâché, qui voit avec dépit v.343 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Que nous n'ayons point eu recours à son crédit. v.344 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Eh ! combien n'est-il pas de ces gens tyranniques, v.345 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- De ces jaloux amis qui veulent être uniques ; v.346 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Assez durs, pour trouver mauvais qu'un malheureux v.347 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Leur fasse voir enfin qu'on peut se passer d'eux ? v.348 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Heureux, qui peut ainsi mortifier leur gloire. v.349 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Et venger l'amitié !... Mais si tu veux m'en croire, v.350 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Le temps est cher, il faut, et même dès ce jour, v.351 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Aller tête levée, et paraître à la Cour. v.352 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Oui, c'est bien mon dessein, dès que je serai quitte v.353 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Du rendez-vous d'Ariste. v.354 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Expédie au plus vite. v.354 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Sans adieu. Tout ira comme je le prévois. v.355 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Je vais nous faire écrire à dix ou douze endroits. v.356 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Moi, je vais faire un tour chez tous nos gens d'affaires, v.357 (Acte 1, scène 9, ARAMONT)
- Pour rassembler ici ceux qui sont nécessaires. v.358 (Acte 1, scène 9, ARAMONT)
- Hortense, est-il possible ?... Ah, qu'il me serait doux v.359 (Acte 1, scène 10, MONROSE)
- D'avoir à vous offrir un rang digne de vous ! v.360 (Acte 1, scène 10, MONROSE)
- Quel entretien fâcheux !... Il finira peut-être ? v.361 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Je puis donc vous parler ? v.362 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous en êtes le Maître. v.362 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Usez de tous vos droits. v.363 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous me le permettez ? v.363 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ma famille a toujours éprouvé vos bontés. v.364 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Une étroite amitié m'unissait avec elle. v.365 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Votre oncle n'eut jamais un ami plus fidèle, v.366 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et plus tendre que moi. Je vous trahirais tous, v.367 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Si je dissimulais davantage avec vous. v.368 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous vous perdez. v.369 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Daignez me le faire connaître. v.369 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous entrez dans le monde ; et vous allez paraître v.370 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Sur ce fameux théâtre, où j'ignore comment v.371 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- J'ai pu me soutenir jusques à ce moment. v.372 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous n'êtes pas encore instruit de ses mystères. v.373 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Jusqu'ici vos emplois, vos devoirs militaires, v.374 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous en ont écarté. La Cour est en tout temps v.375 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Une terre inconnue à tous ses habitants. v.376 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Après un long séjour, après un long usage, v.377 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On s'y retrouve encore à son apprentissage ; v.378 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On y marche toujours sur des pièges nouveaux ; v.379 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On y vit, entouré d'un peuple de rivaux, v.380 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ou d'amis dangereux. Heureux qui les devine ! v.381 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On n'y peut s'élever que sur quelque ruine ; v.382 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On n'y peut profiter que des fautes d'autrui. v.383 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Tel, au gré de ses voeux, s'y maintient aujourd'hui, v.384 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Qui demain ne pourra faire tête à l'orage : v.385 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et l'on finit souvent par y faire naufrage. v.386 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais d'après ce portrait qu'on ne peut qu'ébaucher, v.387 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- N'avez-vous en secret rien à vous reprocher ? v.388 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je ne crois pas avoir de reproche à me faire : v.389 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Et du moins le succès vous prouve le contraire. v.390 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Le succès ! Puissiez-vous n'être point dans l'erreur ! v.391 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je voudrais avoir pris une fausse terreur : v.392 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais je tremble pour vous. v.393 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je vous suis redevable. v.393 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Votre sécurité me semble inconcevable. v.394 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- J'apprends de toutes parts le bonheur que j'attends : v.395 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- N'ai-je pas à la Cour des droits assez constants ? v.396 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Et d'ailleurs, un refus est-il en sa puissance ? v.397 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Je dois tout espérer de sa reconnaissance. v.398 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Dites de ses bontés. v.399 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je réclame mon bien. v.399 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous méritez beaucoup ; mais on ne vous doit rien. v.400 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Du moins on doit à ceux dont le Ciel m'a fait naître. v.401 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous vous faites un droit qui pourrait ne pas être. v.402 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vos aïeux ont chacun obtenu dans leur temps, v.403 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Le prix que méritaient leurs services constants. v.404 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ce sont leurs actions, plutôt que leurs Ancêtres, v.405 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Qui les ont fait combler des faveurs de leurs Maîtres, v.406 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et monter aux honneurs que vous sollicitez. v.407 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Les bienfaits sont à ceux qui les ont méritez. v.408 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Les grâces ne sont point des biens héréditaires : v.409 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Nous n'en sommes jamais que les dépositaires : v.410 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais par la même voie on peut les obtenir. v.411 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vos pères ont laissé leur nom à soutenir, v.412 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Leur vertu, leur exemple, et leur carrière à suivre. v.413 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Voilà ce qu'après eux il faut faire revivre, v.414 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et dont vous vous devez mettre en possession. v.415 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Tout le reste n'est point de leur succession. v.416 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ma poursuite, Monsieur, n'est donc pas raisonnable ? v.417 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- La façon pouvait être un peu plus convenable. v.418 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Lorsque j'ose avancer qu'il ne vous est rien du, v.419 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je ne dis pas, Monsieur, qu'il vous soit défendu v.420 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- D'employer les moyens qui sont à votre usage, v.421 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Pour sauver le débris d'un aussi grand naufrage. v.422 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous y devez songer ; et je dois vous aider. v.423 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je ne vois pas en quoi j'ai pu me dégrader. v.424 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Ce serait trop payer la plus haute fortune. v.425 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Non, non, Monsieur, perdez cette crainte importune. v.426 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Je ne sais point jouer un rôle humiliant : v.427 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Et l'on peut demander, sans être Suppliant. v.428 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- J'ai fait solliciter, avec cette décence, v.429 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Et cette liberté, digne de ma naissance : v.430 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- J'en aurais épargné la peine à mes amis ; v.431 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Mais enfin, ma santé ne me l'a pas permis. v.432 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- S'ils ont agi pour moi, c'est sans me compromettre. v.433 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- J'ai même écrit en Cour... v.434 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- La voici cette lettre. v.434 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Quelqu'un veillait pour vous. Son bonheur a permis v.435 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Qu'il ait su le danger où vous vous étiez mis. v.436 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Quoi ? Vous osez, Monsieur, dans l'état où vous êtes, v.437 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Poursuivre des bienfaits comme on poursuit des dettes ? v.438 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- L'orgueil et la fierté sollicitent pour vous ? v.439 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Si vous aviez des droits, vous les détruiriez tous. v.440 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- C'est indirectement s'attaquer à son Maître, v.441 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- C'est l'offenser lui-même, et c'est le méconnaître, v.442 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Quand on manque aux égards que l'on doit à son choix. v.443 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous m'effrayez, Monsieur. v.444 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Je fais ce que je dois. v.444 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je ne sais point flatter quand le mal est extrême. v.445 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais vous n'étiez pas fait pour vous perdre vous-même. v.446 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Eh ! laissez-vous aller à votre naturel, v.447 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Au caractère heureux qui vous est personnel. v.448 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous êtes né prudent, humain, doux, et flexible : v.449 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ce sont-là les moyens qui rendent tout possible. v.450 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Il faut gagner les coeurs ; la fortune les suit. v.451 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Lorsque vous le pouvez, quelle erreur vous séduit ? v.452 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On ne peut s'observer avec trop de scrupule, v.453 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Un langage superbe est toujours ridicule : v.454 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Plus on est élevé, plus il est messéant. v.455 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- C'est ainsi que le Peuple, au fond de son néant, v.456 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Toujours séditieux, quelque bien qu'on lui fasse, v.457 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Parle indiscrètement de ceux qui sont en place : v.458 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous en seriez traité de même, à votre tour, v.459 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Si vous étiez chargé de le régir un jour. v.460 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous m'en dites assez ; épargnez-moi le reste. v.461 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous venez de détruire un charme trop funeste. v.462 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Que la décision n'est-elle en mon pouvoir ! v.463 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais c'est un dénouement que l'on ne peut prévoir. v.464 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Peut-être est-il prochain : et votre destinée v.465 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Peut, d'un moment à l'autre, être déterminée. v.466 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Attendez votre sort ; et ne recevez plus v.467 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ces compliments suspects autant que superflus. v.468 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Peut-être des amis un peu trop pleins de zèle, v.469 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ou des Rivaux, ont fait courir cette nouvelle. v.470 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Un bruit trop favorable est souvent dangereux. v.471 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Voyez des gens qui soient un peu mieux instruits qu'eux ; v.472 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et du reste daignez agréer mes services. v.473 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- C'est à moi d'implorer toujours vos bons offices. v.474 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Souffrez que pour jamais je commence aujourd'hui v.475 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- À vous être attaché, comme à mon seul appui. v.476 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous n'avez pas besoin de faire aucune instance. v.477 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Allez : et moi, je vais prendre congé d'Hortense. v.478 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Cherchons en même temps à servir son amour. v.479 (Acte 2, scène 2, ARISTE)
- Sachons si sa Maîtresse a pour lui du retour. v.480 (Acte 2, scène 2, ARISTE)
- En cas qu'il soit aimé, je pourrais par la suite... v.481 (Acte 2, scène 2, ARISTE)
- Mais, la voici qui vient recevoir ma visite. v.482 (Acte 2, scène 2, ARISTE)
- Ah ! Madame, excusez... en ce même moment v.483 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- J'allais vous prévenir dans votre appartement. v.484 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Monsieur, j'ai su l'honneur que vous vouliez me faire. v.485 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- C'en est donc fait, Madame ! un départ nécessaire v.486 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Éloigne de la Cour son plus bel ornement ? v.487 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Il est bien douloureux de vous perdre, au moment v.488 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Où tout semblait devoir fixer ici vos charmes. v.489 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Que vous allez coûter de soupirs et de larmes ! v.490 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Je sais apprécier des discours si flatteurs. v.491 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Ce sont les sentiments qui sont dans tous les coeurs. v.492 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Madame, il en est un, sans vous parler du reste, v.493 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Pour qui ce contretemps doit être bien funeste. v.494 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Il semblait être fait pour vous appartenir. v.495 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Pourrez-vous conserver un tendre souvenir ? v.496 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Vous garantirez-vous des effets de l'absence ? v.497 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Elle n'en aura point sur ma reconnaissance. v.498 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Que deviendront ces noeuds que l'amour avait faits ? v.499 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Votre coeur, votre main, sont les plus grands bienfaits, v.500 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Que puissent procurer l'Amour et la Fortune. v.501 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- L'espoir va ranimer une foule importune. v.502 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- On cherchera sans doute à forcer votre choix. v.503 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Vous ressouviendrez-vous qu'un autre avait des droits ?... v.504 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Celui dont vous parlez mérite mon estime. v.505 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Un sentiment plus doux est-il moins légitime ? v.506 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Monsieur ; vous m'étonnez ? v.507 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Par des noeuds pleins d'appas v.507 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Vous alliez être unis. v.508 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Nous ne le sommes pas. v.508 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Quoi donc ? Que voulez-vous par-là me faire entendre ? v.509 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Que pour m'abandonner au penchant le plus tendre, v.510 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Il faudrait que l'hymen m'en eut fait un devoir. v.511 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Quand l'amour vous aurait soumise à son pouvoir v.512 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Sur la foi d'un hymen prochain et convenable... v.513 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- À vos yeux, comme aux miens, j'eusse été condamnable. v.514 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Nous avons des devoirs qui ne sont que pour nous. v.515 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Vous pouvez être amants avant que d'être époux, v.516 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Et vous livrer sans crainte à votre ardeur extrême : v.517 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Mais, que pour notre sexe il n'en est pas de même ! v.518 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Quand nous prenons trop-tôt un légitime amour, v.519 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Il peut nous coûter cher. Par un affreux retour v.520 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Il arrive souvent qu'on nous en fait un crime, v.521 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Qu'un trop injuste époux nous ôte son estime : v.522 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Et qu'il se croit alors en droit de nous taxer, v.523 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- D'avoir un coeur, hélas ! trop facile à blesser. v.524 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Vous ne m'honorez point de votre confiance, v.525 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Madame, je le vois : j'ai quelque expérience. v.526 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Pourquoi me craignez-vous ? Ne dissimulez plus. v.527 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Ah de grâce, cessez d'insister là-dessus. v.528 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Un intérêt plus tendre, et plus fort qu'on ne pense, v.529 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- M'oblige à redoubler une si vive instance. v.530 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- J'espère par la suite obtenir mon pardon. v.531 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- À quelque chose enfin l'on peut vous être bon, v.532 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Et même auprès de ceux dont vous allez dépendre. v.533 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- De mon faible crédit je puis assez prétendre... v.534 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Un homme tel que vous... v.535 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Ah ! vous y comptez peu. v.535 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Si vous ne daignez pas m'accorder votre aveu, v.536 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Donnez-moi les moyens d'agir en assurance ; v.537 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Dites-moi votre goût, ou votre répugnance ; v.538 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Par pitié pour vous-même, ordonnez ; et comptez... v.539 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Je ressens vivement de si grandes bontés : v.540 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Mais je ne dois penser, ni vous dire autre chose. v.541 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Pour changer d'entretien... Que dit-on de Monrose ? v.542 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Que l'espoir d'être à vous faisait tout son bonheur. v.543 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Parlons de sa fortune, et non pas de son coeur. v.544 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Il est vrai que depuis qu'il est sous votre empire, v.545 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Son coeur vous est assez connu pour n'en rien dire. v.546 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Dites-moi seulement ce qu'il va devenir. v.547 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Je vous l'ai demandé, sans pouvoir l'obtenir. v.548 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Est-ce-là m'éclaircir ?... Lui rendra-t-on justice ? v.549 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Il l'attendait de vous, Madame. v.550 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Ah, quel supplice ? v.550 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Vous me persécutez. v.551 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- J'en ai bien du regret. v.551 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Eh bien, Monsieur, gardez aussi votre secret. v.552 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Ah ! je ne métais pas trompé dans mon attente. v.553 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Il faut vous deviner ; et vous serez contente. v.554 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Je ne vous presse plus. Puisse un retour heureux v.555 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Satisfaire au plutôt mes désirs et vos voeux ! v.556 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Ses désirs, et mes voeux ! v.557 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Le portrait est en vue. v.557 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Monrose va rentrer ; attendons-en l'issue. v.558 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Je ne puis revenir de mon émotion, v.559 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Je viens de soutenir la persécution, v.560 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- L'attaque la plus vive, et la plus continue... v.561 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Qu'ai-je fait ? Qu'ai-je dit ? Que suis-je devenue ? v.562 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Conçois-tu les efforts, peut-être superflus, v.563 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Que j'ai faits ? v.564 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Contre qui ? Je ne sais rien de plus. v.564 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Pour pénétrer au fond de mon coeur trop sensible, v.565 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ariste... v.566 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Eh bien, Ariste ? v.566 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Il a fait son possible. v.566 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- C'est-à-dire qu'enfin cet homme a deviné. v.567 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- J'en serais accablée. v.568 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Il s'est imaginé v.568 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ce que depuis longtemps j'imagine moi-même. v.569 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Conçois-tu ses desseins ? D'où vient ce soin extrême, v.570 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Dis ? v.571 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- C'est pour contenter certains vouloirs malins, v.571 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Où naturellement les hommes sont enclins : v.572 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ils ont tous la fureur de savoir nos faiblesses. v.573 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Je me flatte d'avoir éludé ses finesses. v.574 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Et que sait-on ? Peut-être il vous trouve à son goût. v.575 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Lui ? v.576 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Mon_Dieu ! Pourquoi non ? Il faut s'attendre à tout, v.576 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Quand on a, comme vous, tant d'attraits en partage. v.577 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Va, tu n'y songes pas : c'est un homme trop sage. v.578 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ne sont-ce que des fous qui peuvent nous aimer ? v.579 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Mais à propos d'amant, vous m'allez bien blâmer. v.580 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- De quoi donc ? v.581 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Que je cherche au fond de ma mémoire ! v.581 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- C'est à l'occasion... tenez... voilà l'histoire. v.582 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Il faut vous l'avouer ; c'est pour votre portrait... v.583 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Que diantre ! Il ne peut pas se perdre tout-à-fait. v.584 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Tu l'auras égaré. C'est une bagatelle. v.585 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Je vais plus loin. Par tout ce que je me rappelle, v.586 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Je ne sais... J'entrevois du mystère en ceci. v.587 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Comment ? v.588 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Je gagerais qu'il n'est pas loin d'ici. v.588 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ni moi, ni mon portrait, n'intéressent personne. v.589 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- On le rapportera. v.590 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Celui que je soupçonne... v.590 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Si Monrose l'avait !... Eh bien, vous m'entendez ? v.591 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Que veux-tu qu'il en fasse ? v.592 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ah ! vous me demandez v.592 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ce qu'on fait du portrait d'une femme qu'on aime ? v.593 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Qui, lui, m'aimer encore ? Ah, quelle erreur extrême ! v.594 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Hélas ! Son infortune, ou quelqu'autre sujet, v.595 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- M'ont ôté son amour : je n'en suis plus l'objet. v.596 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Tu vois depuis un temps comme il fuit ma présence. v.597 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Lui-même il a déjà commencé notre absence. v.598 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Nous sommes en exil dans la même maison. v.599 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Si vous ne l'aimiez pas, il peut avoir raison. v.600 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Si je ne l'aime pas... Étais-je la maîtresse ? v.601 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ne m'a-t-on pas livrée à toute ma faiblesse, v.602 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Aux charmes d'un espoir que le sort a trahi ? v.603 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Apprends-moi donc comment j'aurais désobéi. v.604 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Qu'on s'en prenne au devoir : c'est lui qui m'a séduite. v.605 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Madame, j'en reviens au soupçon qui m'agite. v.606 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Monrose, si j'en crois ce que j'ai dans l'esprit, v.607 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Aura votre portrait, comme je vous l'ai dit. v.608 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- La restitution peut en être incertaine. v.609 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Madame, il vous convient de vous en mettre en peine. v.610 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Enfin, à tout hasard, et sans plus marchander, v.611 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Je vous conseillerais de le lui demander. v.612 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Qui ! Moi, lorsqu'il me suit, je chercherais sa vue ! v.613 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Vous avez tous les deux besoin d'une entrevue. v.614 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ce serait trop risquer mon malheureux secret, v.615 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Mon amour vient de prendre un essor indiscret ; v.616 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- C'est le dernier. v.617 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Mais si d'un air soumis et tendre v.617 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Il vous le rapportait, sans vouloir vous le rendre ! v.618 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Pourriez-vous le forcer ?... v.619 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Puis-je faire autrement ! v.619 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Clorine, il faudrait bien... v.620 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Qu'il vienne seulement ! v.620 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ah ! Madame, c'est vous ! J'en suis comblé de joie. v.621 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- C'est à propos qu'ici la fortune m'envoie v.622 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- Pour vous marquer mon zèle et ma discrétion. v.623 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- Je n'ai jamais douté de votre attention. v.624 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Je viens de ramasser ce portrait ici proche : v.625 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- Sans doute qu'il était tombé de votre poche : v.626 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- Quelqu'autre moins fidèle aurait pu s'en saisir. v.627 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- Eh bien, quel enragé ! v.628 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Je me fais un plaisir... v.628 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- Clorine était en peine... v.629 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Et la voilà finie. v.629 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Fussiez-vous dans le fond de votre Baronnie ! v.630 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Monsieur, je suis sensible à votre procédé. v.631 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Reprenez ce portrait. v.632 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Cet homme-est possédé. v.632 (Acte 2, scène 6, CLORINE)
- Ouais ! mon petit service est pris en déplaisance ! v.633 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- En vous remerciant de votre diligence. v.634 (Acte 2, scène 6, CLORINE)
- Fallait-il le garder afin qu'on le cherchât, v.635 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- Et ne pas vous le rendre avant qu'on l'affichât ? v.636 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- J'aurais pu le trouver tout aussi bien qu'un autre. v.637 (Acte 2, scène 6, CLORINE)
- En cela mon bonheur a prévenu le vôtre. v.638 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- Il vaudrait tout autant qu'il eût été perdu. v.639 (Acte 2, scène 6, CLORINE)
- Ma foi, vous avez fait ce que vous avez pu. v.640 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- Donnez, Monsieur, donnez, puisqu'il faut le reprendre. v.641 (Acte 2, scène 6, CLORINE)
- Mais ce n'était pas vous qui deviez nous le rendre. v.642 (Acte 2, scène 6, CLORINE)
- Je serais bien surpris si je n'étais qu'un sot, v.643 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- Oui, vraiment, à la fin j'entends à demi-mot. v.644 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- Il s'ensuit qu'il fallait d'abord entr'autre chose v.645 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- Remettre ce portrait dans les mains de Monrose : v.646 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- Et je conclus de-là qu'Hortense a le coeur pris. v.647 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- Travaillons là-dessus ; il n'importe à quel prix. v.648 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- Parbleu, tu nous as fait une belle bévue ! v.649 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Laquelle ? v.650 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- A ton avis ? v.650 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- L'aurait-il déjà sue ? v.650 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Tu prônes l'héritage... v.651 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Oui : c'est un tour d'ami. v.651 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Et que le défunt laisse un argent infini. v.652 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Sans doute : je l'ai dit en faveur de Monrose. v.653 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Peut-on se maintenir à moins qu'on n'en impose ? v.654 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Par-là, ses créanciers, prêts à fondre sur lui, v.655 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Se sont tranquillisez. v.656 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Tu vas voir aujourd'hui v.656 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Que ta finesse aura des suites bien contraires. v.657 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Tous ces coquins mettront le feu dans les affaires. v.658 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Ils savent qu'on les joue : ils vont saisir partout. v.659 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- J'ignore si Monrose en pourra voir le bout ; v.660 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Pourvu que son honneur n'en soit pas la victime. v.661 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Quelle chimère ! v.662 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Point : ma crainte est légitime. v.662 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Pour être serviable, il faut être prudent. v.663 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- On est bien dangereux, quand on est trop ardent. v.664 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- J'aimerais cent fois mieux une amitié stérile, v.665 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Que celle qui me nuit, en voulant m'être utile. v.666 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- J'ignorais que mon zèle eut si mal réussi. v.667 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Mais de plus d'un endroit il me revient aussi v.668 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Que le vôtre n'a pas tout le succès possible : v.669 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- À Monrose, au contraire, on dit qu'il est nuisible. v.670 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- On dit, fut de tout temps la gazette des sots. v.671 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- C'est le Public. v.672 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Ah ! Ah ! Quels sont donc ces propos ? v.672 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Que Monrose se perd, et que c'est par la faute v.673 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- De ceux qui lui font prendre une allure trop haute. v.674 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- La Cour trouve mauvais qu'il ait entretenu v.675 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- La croyance où l'on est qu'il a tout obtenu. v.676 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- La Cour trouve mauvais ! v.677 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Voilà ce qui se passe. v.677 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- On conseille un ami, sans se mettre à sa place, v.678 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Ce qui fait qu'on le perd, c'est qu'ordinairement v.679 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- La vanité, l'humeur, et le tempérament v.680 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Suggèrent la plupart des avis qu'on lui donne. v.681 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Il vaudrait cent fois mieux ne conseiller personne. v.682 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Nous verrons qui des deux aura le plus de tort. v.683 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Monrose qui survient va nous mettre d'accord. v.684 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Le Baron me contait de plaisantes nouvelles. v.685 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Le Marquis m'en disait qui sont assez cruelles. v.686 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Je faisais un beau songe ; il faut se réveiller. v.687 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- De quels biens à la fois je me vois dépouiller ! v.688 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- La mort m'enlève un oncle, illustre, et secourable ; v.689 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je perds l'espoir prochain d'un hymen favorable ; v.690 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Par un inévitable et triste enchaînement v.691 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je manque tout, la Charge, et le Gouvernement. v.692 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Il ne restera rien de tant de récompenses, v.693 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- De ses travaux, des miens, de toutes mes dépenses. v.694 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mon bien ne suffira qu'à peine à m'acquitter. v.695 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Que vais-je devenir ? Il faudra tout quitter. v.696 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Entendons-nous un peu. Quelle est cette aventure, v.697 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ou plutôt cette énigme ? v.698 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Elle n'est point obscure. v.698 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Tout est perdu. v.699 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Quel conte ? v.699 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Oui ; c'est la vérité. v.699 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- On vient de me tirer de ma sécurité. v.700 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Comment ? La Cour aurait !... v.701 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Il lui plaît de répandre v.701 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ses grâces sur quelqu'un qui peut mieux y prétendre. v.702 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Elle accorde au plus digne... v.703 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Eh ! dis au plus heureux. v.703 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Le nomme-t-on ? v.704 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Non : mais le fait n'est plus douteux. v.704 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- C'est un autre que moi. v.705 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- N'es-tu point trop crédule ? v.705 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Mon malheur est certain. v.706 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mais il est ridicule. v.706 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ceux que je viens de voir ne m'ont que trop instruit. v.707 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Un autre est désigné. Ce n'est point un faux bruit. v.708 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ma plus grande infortune en cette conjoncture v.709 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Vient d'avoir devancé ma fortune future. v.710 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Comptant sur l'avenir que j'ai trop espéré, v.711 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- J'en avais pris l'état ; je me suis obéré. v.712 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Parbleu, qui ne l'est pas ! Surtout parmi nous autres ! v.713 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Messieurs tes créanciers feront comme les nôtres. v.714 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ils prendront patience. Ils sont faits pour cela. v.715 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ne va pas, en payant, nous gâter ces gens-là. v.716 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- D'autant plus qu'ils ont fait avec vous leurs affaires. v.717 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Ils t'auront rançonné : ce sont tous des Corsaires. v.718 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Quand tout cela serait, j'en ai subi la loi. v.719 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- L'on ne me verra point réclamer contre moi. v.720 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ah ! si tu veux payer, il faut te laisser faire. v.721 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Mais cela ne conduit à rien ; tout au contraire. v.722 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ou tu veux t'acquitter par un nouvel emprunt, v.723 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ou tu comptes beaucoup sur les biens du défunt ? v.724 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Point du tout, je vous jure : et j'ai tout lieu de croire v.725 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Que mon oncle, après lui, ne laisse que sa gloire. v.726 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Il ne fut jamais riche : et tout ce que l'on dit v.727 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ne sera qu'un faux bruit, qu'on répand à crédit. v.728 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je crois que je pourrai conserver ce Domaine, v.729 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Que vous me connaissez au fond de la Touraine ; v.730 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- C'est-là que pour jamais je m'ensevelirai. v.731 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- J'empêcherai ta fuite. v.732 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Et moi, je vous suivrai. v.732 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Le dessein en est pris, et j'y resterai ferme. v.733 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Il faut s'exécuter. v.734 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je n'entends point ce terme. v.734 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je veux me libérer. v.735 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Te libérer ? Comment ? v.735 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Pour payer, je vendrai jusqu'à mon Régiment. v.736 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- C'est te couper la gorge. v.737 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Il le faut bien. Que faire ? v.737 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Que deviendras-tu ? v.738 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Rien. Suis-je si nécessaire ? v.738 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Faut-il pour soutenir toujours le même état ? v.739 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- À mille malheureux emprunter mon éclat ? v.740 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- À l'abri d'une fausse et coupable importance, v.741 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Les forcer de m'aider de leur propre substance, v.742 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Et braver à la fois mes remords et leurs cris ? v.743 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- J'aime mieux n'être plus, que de vivre à ce prix. v.744 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- C'est une extrémité fâcheuse, abominable. v.745 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Que diable ! au bout du compte elle n'est pas tenable. v.746 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je voudrais bien t'aider, mais je ne sais par où. v.747 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Mon fripon d'Intendant dit qu'il n'a pas un sou. v.748 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Mais qu'il en ait, ou non, il faut bien qu'il m'en donne : v.749 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- J'ai promis une fête à certaine personne, v.750 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Que j'avais ménagée expressément pour toi. v.751 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- De plus, je te dirai... Tu le sais comme moi ; v.752 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Il semble qu'on avait un présage infaillible, v.753 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Qu'aux besoins d'un ami je serais trop sensible. v.754 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- On m'a lié les mains : sans quoi... Mais après tout, v.755 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ne précipitons rien. Il faut voir jusqu'au bout. v.756 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- La révolution me paraît un peu prompte. v.757 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je le saurais. Je vais m'en faire rendre compte. v.758 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- C'est encore un faux bruit que l'on aura semé. v.759 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ne conclus rien avant que j'en sois informé. v.760 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Tu parais pénétré de mon malheur extrême. v.761 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je ne le soutiens pas aussi-bien que vous-même. v.762 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Il faut s'en consoler. v.763 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Que nous veut le Marquis ? v.763 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Je reviens. Quand j'y pense... Il faut tout mettre au pis. v.764 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Nous vivons dans un siècle où rien n'est impossible ; v.765 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Où, bien loin de servir, le mérite est nuisible. v.766 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Il pourrait arriver que, sans savoir pourquoi, v.767 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- La Fortune aurait pris un travers avec toi. v.768 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Tu perdrais à beau jeu. Mais en cas de disgrâce, v.769 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- J'entre dans tes raisons, je me mets à ta place. v.770 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je sens que le dépit justement irrité, v.771 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ton honneur, en un mot, et la nécessité, v.772 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Malgré tous tes amis, pourraient bien te réduire v.773 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- À prendre le parti dont tu viens de m'instruire : v.774 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- En ce cas, je propose un accommodement, v.775 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Qui nous arrangerait tous deux également. v.776 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Parle. v.777 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ton régiment est à ma bienséance. v.777 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Pourrais-je de ta part avoir la préférence ? v.778 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- De tout mon coeur. v.779 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Oui : mais vous n'avez point d'argent. v.779 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Parbleu, j'en trouverai. v.780 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Cet homme est obligeant. v.780 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Pour un si bon usage, on n'est point sans ressources. v.781 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Mes amis m'aideront... v.782 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Oui-da. v.782 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Si dans leurs bourses v.782 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je ne trouve pas tout, je ferai mon billet v.783 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Du surplus. v.784 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Un billet : je suis votre valet. v.784 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- On peut s'ajuster. v.785 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mal. v.785 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Je t'en laisse l'arbitre. v.785 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je te suis obligé. v.786 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ce serait à bon titre. v.786 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Puisque nous convenons, mon cher, en attendant, v.787 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Garde-moi le secret, de crainte d'accident. v.788 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- La proposition me paraît surprenante, v.789 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Et pour trancher le mot, elle est impertinente. v.790 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Quoi ! de votre dépouille il veut s'accommoder, v.791 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Après vous avoir dit qu'il ne peut vous aider ? v.792 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Je ne vois pas d'où vient cette surprise extrême, v.793 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Dornane ne peut rien pour moi ni pour lui-même, v.794 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Mais quand il s'agira de faire son chemin, v.795 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Sa famille pour lors y donnera la main. v.796 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Ce marché ridicule aura donc lieu ? v.797 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Sans doute. v.797 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Puisqu'il faut que je vende. Heureux dans ma déroute v.798 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- De pouvoir obliger quelqu'un de mes amis v.799 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- C'est le dernier plaisir qui me sera permis ! v.800 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- On pourrait s'en passer. v.801 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Souffre que je te quitte. v.801 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Je voudrais voir Ariste ; et j'y cours au plus vite. v.802 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Nous n'avons plus qu'Hortense en cette extrémité. v.803 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Allons hâter le coup que j'ai prémédité ; v.804 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Portons au coeur d'Hortense une atteinte fatale ; v.805 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Faisons-lui redouter une heureuse rivale ; v.806 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Et puisqu'il faut, contre elle, employer ce détour, v.807 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Armons la jalousie en faveur de l'amour. v.808 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- J'attendrai son retour. Surtout, qu'on l'avertisse, v.809 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Sitôt qu'il rentrera. v.810 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Faut-il que je ne puisse v.810 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Lui dire mon secret ? Monrose est étonnant v.811 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- De ne pas voir quel est le péril imminent, v.812 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Où son humeur facile expose sa fortune. v.813 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- La remontrance ici deviendrait importune ; v.814 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Et loin de s'éclairer par mes avis secrets, v.815 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Il irait les traduire à ces gens indiscrets, v.816 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- À qui sa confiance est un peu trop livrée. v.817 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Oh ! jeunesse, toujours d'elle-même enivrée ! v.818 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Monrose est dans ce temps difficile à passer. v.819 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Il faut y suppléer, et ne nous point lasser : v.820 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Du moins j'ai réparé les fautes qu'ils ont faites. v.821 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Quoi qu'il puisse arriver, j'ai mis ordre à ses dettes ; v.822 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Il ne se perdra point. v.823 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Nous nous cherchons tous deux. v.823 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Oui, je sors de chez vous. v.824 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Quel est ce bruit fâcheux ? v.824 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ce qu'on dit, est-il vrai ? Vous quittez le service ? v.825 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Je ferai malgré moi ce cruel sacrifice. v.826 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- On vous prendrait au mot. v.827 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Je vends mon Régiment v.827 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Afin de m'acquitter. Puis-je faire autrement ? v.828 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Peut-être, rien ne presse encore ; il faut attendre... v.829 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Attendre.... Quoi, Monsieur ? Qu'ai-je encore à prétendre ? v.830 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- C'est d'un autre que moi dont la Cour a fait choix. v.831 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Savez vous si cet autre accepte ? v.832 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ah ! je le crois. v.832 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ou vous le supposez. Est-ce une conséquence ? v.833 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- On revient quelquefois de plus loin qu'on ne pense. v.834 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Empêchez cependant qu'on n'aille débiter v.835 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- À la Cour, et par-tout, que vous voulez quitter. v.836 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Un bruit si ridicule a l'air d'une menace, v.837 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ou du moins d'un dépit qui n'est pas à sa place. v.838 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ce sont mes ennemis... v.839 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Non ; ce n'est point eux. v.839 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Il est bien d'autres gens qui sont plus dangereux. v.840 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ne croyez pas, Monsieur, que je taxe personne v.841 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Dans ces réflexions que je vous abandonne. v.842 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Quand j'y pense, entre nous, je vois présentement v.843 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Que l'amitié se donne et se prend aisément ; v.844 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Elle est, comme l'amour, hasardeuse et légère. v.845 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Une conformité frivole et passagère v.846 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- D'âge, d'état, d'humeur, et surtout de plaisir, v.847 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Sans nul autre examen, suffit pour nous saisir. v.848 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Nous nous associons, comme on fait en voyage, v.849 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Sans savoir avec qui le hasard nous engage ; v.850 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Et l'on devient ami comme on devient amant : v.851 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Pour faire une maîtresse, il ne faut qu'un moment : v.852 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Mais l'amitié, du moins comme je l'envisage, v.853 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- De part et d'autre exige un long apprentissage ; v.854 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Et vous devez savoir à vos propres dépens, v.855 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Qu'un ami véritable est l'ouvrage du temps. v.856 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- On peut me reprocher quelques moments d'ivresse, v.857 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Trop de facilité, des erreurs de jeunesse ; v.858 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ma confiance a pu s'égarer quelquefois v.859 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Dans la prospérité peut-on faire un bon choix ? v.860 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Et comment démêler l'amitié véritable v.861 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- D'avec la flatterie alors inévitable ? v.862 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- La Fortune nous met un bandeau sur les yeux. v.863 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Depuis qu'elle a changé la face de ces lieux, v.864 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Pouvais-je mieux choisir dans cette circonstance, v.865 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Que ceux qui sont venus m'offrir leur assistance ? v.866 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Je n'ai retrouvé qu'eux dans mon adversité. v.867 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- L'ascendant, l'habitude, et la nécessité, v.868 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- M'ont forcé d'accepter leurs secours salutaires ; v.869 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ils se sont partagé le poids de mes affaires ; v.870 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ils s'en sont emparez. S'ils ne sont pas heureux, v.871 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Que voulez-vous ? Du moins, je ne crains avec eux v.872 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Aucune ingratitude, aucune fourberie. v.873 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Mais ne craignez-vous rien de leur étourderie ?... v.874 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Pardonnez ; je m'échappe ici mal-à-propos : v.875 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- C'est, je crois, vous en dire assez en peu de mots. v.876 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Du reste est-il permis de vous parler d'Hortense ? v.877 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Hélas ! v.878 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Qu'est-ce ? On soupçonne un peu votre constance. v.878 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Vous ne la voyez plus. D'où vient ce changement ? v.879 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Parlez ; auriez-vous pris quelqu'autre engagement ? v.880 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Quand la fortune change, et devient si cruelle, v.881 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Le coeur d'un malheureux devrait changer comme elle. v.882 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ma constance est du moins un secret ignoré. v.883 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Je dévore mes feux, et j'en suis dévoré. v.884 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Qui peut vous imposer ce pénible silence ? v.885 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- La probité l'exige, et l'intérêt d'Hortense : v.886 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Tous deux font qu'à ses yeux j'ai cessé de m'offrir. v.887 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- J'ai craint de l'offenser, j'ai craint de l'attendrir. v.888 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Son repos m'est trop cher, pour oser le détruire, v.889 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Et je l'estime trop, pour vouloir la séduire. v.890 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- La distance à présent est trop grande entre nous. v.891 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Il faut que son amant puisse être son époux. v.892 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ainsi je dois cesser une vaine poursuite. v.893 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Je n'ai plus que les pleurs, le silence, et la fuite. v.894 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- C'est assez. On me mande ; et je vais à la Cour. v.895 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Peut-être vous verrai-je avant la fin du jour. v.896 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Il n'est plus temps ; ses soins ne me serviront guéres. v.897 (Acte 3, scène 4, MONROSE)
- On vous attend. Ce sont, je crois, des gens d'affaires ; v.898 (Acte 3, scène 5, CLORINE)
- Ils en ont bien la mine. v.899 (Acte 3, scène 5, CLORINE)
- Allons, je vais les voir. v.899 (Acte 3, scène 5, MONROSE)
- Le départ de Madame est fixé pour ce soir. v.900 (Acte 3, scène 5, CLORINE)
- Je sais que je lui dois rendre un compte fidèle. v.901 (Acte 3, scène 5, MONROSE)
- Dis-lui que je m'occupe à travailler pour elle. v.902 (Acte 3, scène 5, MONROSE)
- S'il voulait la revoir, il ferait beaucoup mieux. v.903 (Acte 3, scène 6, CLORINE)
- Mais la voici qui vient d'achever ses adieux. v.904 (Acte 3, scène 6, CLORINE)
- Je suis au désespoir ; la méprise est cruelle : v.905 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Comment la réparer ? v.906 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Madame quelle est-elle ? v.906 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Mes gens se sont trompez. v.907 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Peut-on savoir en quoi ? v.907 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- J'ai lu, sans y penser, ce qui n'est pas pour moi. v.908 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Ah ! n'est-ce que cela ? Quitte à brûler la lettre, v.909 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Et ne s'en pas vanter ! v.910 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Il faut la lui remettre v.910 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Absolument. v.911 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Madame, à qui donc, s'il vous plaît ? v.911 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Et peut-être ai-je lu mon arrêt. v.912 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- On finit ses malheurs, s'il veut être sensible : v.913 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Ce billet l'en assure. v.914 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Ah ! Serait-il possible ? v.914 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Des offres qu'on lui fait il peut-être charmé. v.915 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- S'il n'est pas inconstant, du moins il est aimé. v.916 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Oui, c'est un grand attrait. v.917 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Hélas ! qu'elle est heureuse v.917 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- De pouvoir à son gré se montrer généreuse, v.918 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Et d'employer ainsi !... v.919 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Je ne sais ; mais enfin v.919 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Cela sent la beauté qui touche à son déclin. v.920 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Va trouver Aramont... lui-même. Il faut lui dire v.921 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Que je veux lui parler, avant qu'il se retire. v.922 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Eh, qu'en voulez-vous faire ? Ah ! si vous l'employez, v.923 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Vous l'allez bien charmer. Mais si vous m'en croyez... v.924 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Vous le voulez charger de rendre cette lettre ? v.925 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Sans doute. v.926 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- En quelles mains allez-vous la remettre ? v.926 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- La supprimerait-il ? v.927 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Ah ! n'en ayez pas peur. v.927 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- D'un bout du monde à l'autre il irait de bon coeur. v.928 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Ils la liront ensemble ; et puis, gare la glose ! v.929 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Il fera ses efforts pour pervertir Monrose. v.930 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Il n'importe. v.931 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Madame, il vous sacrifiera. v.931 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Plus il est son ami, mieux il me servira. v.932 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Monrose est son idole ; il l'aime ; il l'a vu naître ; v.933 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Son zèle est sa folie ; il n'en est pas le maître. v.934 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Sais-tu bien que je suis lasse de t'écouter ? v.935 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- J'ai donc une rivale ? Il n'en faut point douter. v.936 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- La preuve que je tiens a de quoi me suffire. v.937 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Je ne suis pas la seule à qui l'amour inspire v.938 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- En faveur de Monrose un projet généreux ! v.939 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Une autre s'intéresse à son sort malheureux... v.940 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Si nous nous rencontrons dans la même pensée, v.941 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- J'ai le secret plaisir de l'avoir devancée... v.942 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Mais on ne revient point... Ah ! que les Valets sont... v.943 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- J'ai lassé le paquet chez Monsieur Aramont. v.944 (Acte 3, scène 9, LE VALET)
- Avez-vous bien pris garde à ne vous pas méprendre ? v.945 (Acte 3, scène 9, HORTENSE)
- Oui. Son Valet de chambre aura soin de le lui rendre. v.946 (Acte 3, scène 9, LE VALET)
- Qu'ai-je fait ? Quand je veux l'empêcher de périr, v.947 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- N'est-ce point un ingrat que je vais secourir ? v.948 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Eh ! dois-je me livrer à cette inquiétude, v.949 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Et le sacrifier à cette incertitude ? v.950 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- N'est-ce que l'intérêt qui doit nous émouvoir ? v.951 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Pour être généreuse, a-t-on besoin d'espoir ? v.952 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Employons les moyens qui sont en ma puissance. v.953 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Et qu'il n'en ait jamais la moindre connaissance, v.954 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Il est perdu pour moi. Sauvons le seulement : v.955 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Que ce soit comme ami, si ce n'est comme amant. v.956 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- On attend Aramont. v.957 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- A-t-on quelques nouvelles ? v.957 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Oui, Madame, beaucoup ; et même assez cruelles. v.958 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Pourrais-je encore avoir de nouvelles douleurs ? v.959 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Armez-vous de courage ; il est d'autres malheurs... v.960 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Ils vous sont personnels. v.961 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Serais-je condamnée v.961 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- À passer sous le joug d'un cruel hyménée ? v.962 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Ma fortune sans doute aura tenté quelqu'un, v.963 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Et l'on m'accorde aux voeux d'un amant importun ! v.964 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Vous n'avez plus à craindre aucune violence. v.965 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- S'il est vrai, tu peux rompre un si cruel silence. v.966 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Tu pleures ? Les détours deviennent superflus ; Parle. v.967 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Vous étiez riche, et vous ne l'êtes plus. v.968 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Cet Oncle de Monrose... v.969 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Explique ce mystère. v.969 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Cet homme qu'on croyait un sûr dépositaire, v.970 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Que votre père avait chargé de votre bien... v.971 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- L'aurait-il dissipé ? v.972 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- L'on ne retrouve rien ; v.972 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Rien du tout, en un mot. v.973 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Mais en es-tu bien sûre ? v.973 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Hélas ! que trop, Madame ; et je vous en assure. v.974 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- À l'instant même on vient de lever le scellé. v.975 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- J'ai tout su d'un témoin qui me l'a révélé ; v.976 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Et ce Témoin, Madame, est un des Commissaires. v.977 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Que dit Monrose ? v.978 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Il est avec ces gens d'affaires. v.978 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- D'un oeil presque insensible il voyait ses malheurs : v.979 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Les vôtres l'ont atteint des plus vives douleurs. v.980 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- On dirait que lui-même il s'en croit responsable : v.981 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Dans son accablement il est méconnaissable : v.982 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Toute sa fermeté se change en désespoir : v.983 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Sans détourner les yeux, il n'a pas pu me voir : v.984 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Il m'a caché des pleurs, que sans doute il dévore ; v.985 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- J'en ai versé moi-même ;... Et j'en répands encore. v.986 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Ah ! c'est trop m'attendrir, et me désespérer. v.987 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- En l'apprenant, j'ai cru que j'allais expirer. v.988 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Quel bonheur ! j'ai sauvé ce qui m'est nécessaire. v.989 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Qu'allez-vous devenir ? v.990 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Ce sera mon affaire. v.990 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- J'envisage pour vous quelques soulagements v.991 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Qui pourront... v.992 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Quels sont-ils ? v.992 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Ce sont vos diamants : v.992 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Vous en avez ; ils sont d'un prix considérable. v.993 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Du moins, vous vous ferez un sort moins déplorable. v.994 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Le Baron par hasard saurait-il mon état ? v.995 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- La nouvelle n'a fait encore aucun éclat. v.996 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Il peut n'en rien savoir. v.997 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Si cela pouvait être ! v.997 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Il n'était point ici quand... je le vois paraître. v.998 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Songe un peu que je pars dans deux heures d'ici. v.999 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Voyons donc si ma lettre aura bien réussi. v.1000 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Voici l'instant fatal ; tout mon coeur en frissonne. v.1001 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Monsieur, en arrivant, n'avez-vous vu personne ? v.1002 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- En entrant, on m'a dit que je devais vous voir ; v.1003 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Et je viens m'acquitter de ce premier devoir. v.1004 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Puis-je compter sur vous ? v.1005 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Tout me sera facile. v.1005 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je le souhaite. v.1006 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- En quoi puis-je vous être utile ? v.1006 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Avant de m'exposer, il faudrait m'assurer... v.1007 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Choisissez le serment ; je suis prêt à jurer. v.1008 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Le service est unique ; et je vais vous surprendre. v.1009 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Voilà précisément comme j'aime à les rendre. v.1010 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Peut-être pourrez-vous le trouver indiscret. v.1011 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Il faut bien du courage, et beaucoup de secret. v.1012 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je ferai l'impossible. En serez-vous contente ? v.1013 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Vous vous engagez donc à remplir mon attente ? v.1014 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je m'en fais un plaisir, un devoir, une loi. v.1015 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je vous engage tout, mon honneur, et ma foi. v.1016 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Que je sois réputé le plus grand des parjures !... v.1017 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je vais donc vous donner les preuves les plus sûres v.1018 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- De l'état que je fais de votre probité. v.1019 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Mon coeur va s'épancher avec sécurité. v.1020 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Monrose vous est cher ? v.1021 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Beaucoup plus que moi-même. v.1021 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je vous crois trop sensible à son malheur extrême, v.1022 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Pour craindre de vous mettre avec moi de moitié, v.1023 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Sûrement. v.1024 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Unissons... l'amour et l'amitié. v.1024 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Cachez-moi la surprise où ce discours vous jette. v.1025 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Votre ami va périr. Je sais ce qu'il projette. v.1026 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Puisque le sort s'obstine à le persécuter, v.1027 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Vous ne l'ignorez pas, il va s'exécuter. v.1028 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- S'il vend son Régiment, sa perte est infaillible : v.1029 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Il met à sa fortune un obstacle invincible. v.1030 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Il est vrai ; son dessein est de quitter la Cour : v.1031 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Son malheur l'y contraint ; ce sera sans retour. v.1032 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Que ne puis-je empêcher ce cruel sacrifice ! v.1033 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Ma fortune, mes biens, seraient à son service ; v.1034 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je saurais employer des moyens détournez : v.1035 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Mais malheureusement mes pouvoirs sont bornez. v.1036 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Oserais-je vous prendre à vos propres paroles ? v.1037 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je ne fais point ici des avances frivoles ; v.1038 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Et je voudrais pouvoir me vendre, où m'engager. v.1039 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je n'ai qu'un revenu modique et viager ; v.1040 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- C'est à quoi me réduit la fortune cruelle. v.1041 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Pour la première fois je murmure contre elle. v.1042 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Les malheurs d'un ami me font sentir les miens. v.1043 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Si quelqu'un par hasard vous offrait des moyens !... v.1044 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je les saisirais tous : mais, hélas ! Qui sera-ce ? v.1045 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Moi-même. v.1046 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Vous, Madame ?... Ah ! ah ! ceci me passe. v.1046 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Ne pourrais-je être aussi généreuse que vous ? v.1047 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Avez-vous des vertus qui ne soient pas pour nous ? v.1048 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je sais qu'il n'en est point qui ne vous soit commune ; v.1049 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Mais avec tout cela, Madame, il en est une v.1050 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Que l'on n'a point laissée à votre liberté : v.1051 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- C'est malheureusement la générosité : v.1052 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Quoique vous jouissiez d'un bien considérable, v.1053 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Vous ne pouvez en rien nous être secourable. v.1054 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Mais si par un hasard je le pouvais !... Hé bien ? v.1055 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Un si, rend tout possible, et ne conduit à rien. v.1056 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Peut-être. v.1057 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Eh non. Les lois, votre sexe, votre âge, v.1057 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Vous mettant hors d'état... v.1058 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je sais notre esclavage. v.1058 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Si vous voulez pourtant ne vous pas opposer... v.1059 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- J'ai quelque superflu dont je puis disposer. v.1060 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Comment ? v.1061 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- C'est peu de chose : et toutefois j'espère v.1061 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Que ce secours pourrait, du moins... v.1062 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Quelle chimère ! v.1062 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Ah ! Madame... Monsieur, excusez, s'il vous plaît. v.1063 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Je suis toute saisie... v.1064 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Eh bien, qu'est-ce que c'est ? v.1064 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Tout est perdu. v.1065 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Quoi donc ? v.1065 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Ce sont vos pierreries... v.1065 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Clorine, parle bas. v.1066 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Qui sont évanouies : v.1066 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Je viens de les chercher, mais inutilement ; v.1067 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Et vous êtes volée... indubitablement. v.1068 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Que veux-tu que j'y fasse ? v.1069 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Eh, comment donc, Madame ? v.1069 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Ne savez-vous pas bien que cela le réclame ? v.1070 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Ce n'en est pas la peine. v.1071 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Ah ! vous me confondez. v.1071 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Taisez-vous. v.1072 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Je ne sais comment vous l'entendez... v.1072 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Mais je ne comprends rien à cette politique. v.1073 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- J'entrevois du mystère ici. v.1074 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Point de réplique. v.1074 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Sortez ; retirez-vous. v.1075 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Me serais-je mépris ? v.1075 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Ce sont vos diamants qui vous ont été pris ? v.1076 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Permettez ; je m'en vais chez tous les lapidaires, v.1077 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Leur donner sur ce vol les avis nécessaires : v.1078 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Il faut entre leurs mains arrêter ces bijoux. v.1079 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Épargnez-vous ce soin, Monsieur ; ils sont chez vous. v.1080 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Chez moi ? v.1081 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Je les ai fait porter, sans vous l'apprendre. v.1081 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Je craignais vos refus ; et j'ai du vous surprendre. v.1082 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Vous me l'aviez bien dit. v.1083 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Enfin j'ai vos serments, v.1083 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Songez à satisfaire à vos engagements. v.1084 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Le salut de Monrose est en votre puissance. v.1085 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Ah ! C'est trop exiger de mon obéissance. v.1086 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Son sort est dans vos mains, et vous en répondez : v.1087 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Vous nous sauvez tous trois, si vous me secondez. v.1088 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Oh ! parbleu, serviteur. v.1089 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Quelle froideur funeste ? v.1089 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Cette faible ressource est tout ce qui nous reste. v.1090 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Cessez de me séduire. v.1091 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Eh quoi ! vous hésitez ? v.1091 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Puis-je mieux employer ces superfluités ! v.1092 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Qui ne seraient pour moi qu'une charge importune ! v.1093 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- N'aurait-il pas joui de toute ma fortune ? v.1094 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Il l'aurait partagée. v.1095 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Eh ! Peut-on me blâmer ? v.1095 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- C'est un infortuné que l'on m'a fait aimer... v.1096 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- C'est l'ami le plus cher que vous ayez au monde ; v.1097 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- C'est sur vous à présent que notre espoir se fonde ; v.1098 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Par-là vous détournez son plus pressant malheur ; v.1099 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Et bientôt il devra le reste à sa valeur. v.1100 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Ce serait le moyen de lui sauver la vie. v.1101 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Hé bien, sauvez-le donc. v.1102 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- J'en aurais bien envie. v.1102 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Mais si par un malheur que je ne puis prévoir, v.1103 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Monrose, quelque jour, venait à le savoir, v.1104 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Comptez qu'il en aurait une douleur amère, v.1105 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Et qu'il m'accablerait de toute sa colère. v.1106 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Je le connais, Madame ; il serait furieux. v.1107 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Mais il serait sauvé. Lequel aimez-vous mieux ? v.1108 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Son courroux est-il plus à craindre que sa perte ? v.1109 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Comment en ferait-il la moindre découverte ? v.1110 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Il ne peut le savoir que de vous, ou de moi. v.1111 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Ainsi bannissez donc un ridicule effroi. v.1112 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Comptez sur mon secret ; je compte sur le vôtre. v.1113 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Ô sexe, toujours sûr de triompher du nôtre ! v.1114 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- L'action est si belle... v.1115 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Ah ! J'éprouve en ce jour, v.1115 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Que l'amitié n'est pas moins tendre que l'amour. v.1116 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Allez ; que votre zèle ait une heureuse suite ! v.1117 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- De tous ces créanciers empêchez la poursuite. v.1118 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Ce n'est pas tout. v.1119 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Encore ? v.1119 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Oui ; j'exige de vous v.1119 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Un service moins grand, mais peut-être plus doux. v.1120 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Rendez-lui ce billet, qui s'adresse à lui-même : v.1121 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Il peut-être pour lui d'une importance extrême. v.1122 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Je te cherche... Que vois-je ? Hortense ? Ah ! si je puis, v.1123 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Cachons-lui sa ruine, et l'état où je suis. v.1124 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- J'ai pris à vos malheurs la part qu'on y doit prendre. v.1125 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Vous les adoucissez, en daignant me l'apprendre. v.1126 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Continuez un soin qui m'est si précieux. v.1127 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Madame, je comptais ne m'offrir à vos yeux, v.1128 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Qu'après avoir donné quelque ordre à vos affaires. v.1129 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Je m'occupais des soins qui vous sont nécessaires. v.1130 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Monsieur, occupez-vous d'un objet plus pressant. v.1131 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Ne nous direz-vous rien de plus intéressant ? v.1132 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Je me trouve garant de votre destinée ; v.1133 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Et je compte qu'avant la fin de la journée... v.1134 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- N'avez-vous plus d'espoir du côté de la Cour ? v.1135 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- La fortune cruelle est-elle sans retour ? v.1136 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Ce serait me flatter contre toute apparence. v.1137 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- J'ai reçu mon arrêt avec indifférence. v.1138 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Le sort peut à présent multiplier ses coups : v.1139 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Les maux dont on me plaint sont les moindres de tous. v.1140 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Mais d'un si grand malheur quelle sera la suite ? v.1141 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Si de mon avenir vous daignez être instruite, v.1142 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- J'irai traîner ailleurs le reste de mes jours : v.1143 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Du moins aucun remords n'en troublera le cours. v.1144 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Un tendre souvenir me tiendra lieu du reste. v.1145 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- On voudrait détourner cet avenir funeste... v.1146 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Monsieur, vous n'êtes pas si fort abandonné... v.1147 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- À des voeux impuissants l'on ne s'est pas borné... v.1148 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Si le sort vous poursuit... v.1149 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Ô Ciel ! que vais-je faire ? v.1149 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Vous verrez que l'amour ne vous est pas contraire. v.1150 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Tenez... v.1151 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Ma fermeté commence à succomber. v.1151 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Lisez... v.1152 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- À ses regards il faut me dérober. v.1152 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Hortense se déclare. v.1153 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- On se lasse de feindre ; v.1153 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- On vous aime. v.1154 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Voilà ce que j'avais à craindre. v.1154 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- À craindre ? Votre coeur n'en est-il plus charmé ? v.1155 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ne me parle jamais d'aimer, ni d'être aimé. v.1156 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Bon ! v.1157 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il ne manquait plus à cette infortunée v.1157 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Qu'un malheureux amour. Ah, quelle destinée ! v.1158 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Quel changement est-il arrivé dans son coeur ? v.1159 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Si je veux renoncer à tout autre vainqueur, v.1160 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Elle offre... Ah ! je succombe à son malheur extrême. v.1161 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Vois comme elle m'écrit. v.1162 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Eh ! Morbleu, c'est le même ! v.1162 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ce billet-là t'étonne ? v.1163 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il n'aurait jamais dû v.1163 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Tomber entre vos mains ; et j'en suis confondu. v.1164 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Eh, quand elle pourrait régler son hyménée, v.1165 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que ferait-elle, hélas ! puisqu'elle est ruinée ? v.1166 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Elle est ruinée ? v.1167 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Oui. v.1167 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Je suis désespéré. v.1167 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Tout de bon ? v.1168 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- C'est un fait. v.1168 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- J'ai fort bien opéré. v.1168 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Je vois que tu la plains ! v.1169 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Point du tout, je me loue ! v.1169 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ah ! S'il savait le reste ! v.1170 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il faut que je l'avoue, v.1170 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Je ne reconnais guère Hortense à cet éclat. v.1171 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Pourquoi ne m'avoir pas instruit de son état ? v.1172 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Cher ami, le savais-je ? On vient de me confondre, v.1173 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Et moi, de même. v.1174 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il faut cependant lui répondre. v.1174 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- En voici la réponse. Il n'y faut plus penser. v.1175 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Je n'imagine pas pouvoir m'en dispenser. v.1176 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Faut-il que je l'abuse, ou que je la méprise ? v.1177 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Je ne puis. v.1178 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il faut donc avouer ma sottise. v.1178 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Si ce billet vous cause un si grand embarras, v.1179 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- On peut vous en tirer. v.1180 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Que tu m'obligeras ! v.1180 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Se déclarer un sot, est un grand sacrifice. v.1181 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ne me refuse pas un aussi bon office. v.1182 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Vous vous tourmentez fort, vous vous creusez l'esprit v.1183 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Pour faire une réponse à ce maudit écrit ; v.1184 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il n'en faut point. v.1185 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Pourquoi ? v.1185 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Non, vous dis-je ; et pour cause. v.1185 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il n'est point d'elle. v.1186 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il n'est ?... v.1186 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Oui ; j'en sais quelque chose. v.1186 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il n'est point d'elle ?... Eh ; mais elle me l'a donné. v.1187 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- N'en es-tu pas témoin ? v.1188 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- J'en suis fort étonné. v.1188 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Les femmes vont toujours plus loin que l'on ne pense, v.1189 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Et que l'on ne voudrait. J'ai fait une imprudence... v.1190 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Est-il d'une autre ? v.1191 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Non. v.1191 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- De grâce, explique-toi. v.1191 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Tempêtez, fulminez ; que diable ! il est de moi. v.1192 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- De toi ? v.1193 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Vous l'avez dit ? v.1193 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Quelle est ta frénésie ? v.1193 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Je voulais lui donner un peu de jalousie v.1194 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Pour tirer son secret. C'est un petit secours v.1195 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Que j'avais employé pour aider vos amours. v.1196 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Quelle fureur as-tu de signaler ton zèle ? v.1197 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que sais-tu si je veux qu'on me serve auprès d'elle v.1198 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- T'ai-je employé pour être éclairci de mon sort ? v.1199 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Eh ! n'est-on pas assez puni quand on a tort ? v.1200 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ce serait à présent contre toute apparence v.1201 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que je pourrais douter de son indifférence. v.1202 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Hortense vient de faire éclater son mépris. v.1203 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Oui. v.1204 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Si du moindre amour son coeur était épris, v.1204 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Elle aurait supprimé cette lettre fatale, v.1205 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que sans doute elle a dû croire d'une rivale. v.1206 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Une amante ordinaire eut commencé par-là. v.1207 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- C'est un malheur de moins. Mais laissons tout cela, v.1208 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Et songeons à l'état de cette infortunée, v.1209 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que, je ne sais comment, mon oncle a ruinée. v.1210 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Je tenais tout de lui ; je n'avais presque rien. v.1211 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il est vrai. v.1212 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Jusqu'ici j'ai vécu sur son bien ; v.1212 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- J'ai jusques à sa mort surchargé sa dépense : v.1213 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Ainsi j'ai partagé les dépouilles d'Hortense. v.1214 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il me serait affreux de vivre à ses dépens. v.1215 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Autant que je pourrai, je dois, et je prétends v.1216 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Réparer en secret des pertes aussi grandes. v.1217 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il me reste une Terre. Il faut que tu la vendes. v.1218 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Eh ! ne vous chargez point de semblables remords. v.1219 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- S'il fallait réparer les sottises des morts, v.1220 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ma foi, leurs héritiers n'y pourraient pas suffire, v.1221 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ce n'est pas votre faute : on n'a rien à vous dire. v.1222 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- L'honnête homme ne doit s'en rapporter qu'à lui : v.1223 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il se juge lui-même ; et jamais par autrui : v.1224 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Sitôt qu'il se condamne, on ne saurait l'absoudre. v.1225 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- En un mot, je le veux. v.1226 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Mais... v.1226 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il faut t'y résoudre. v.1226 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Tiens ; voilà... v.1227 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Qu'est-ceci ? v.1227 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ma procuration. v.1227 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Doucement ; s'il vous plaît. v.1228 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Point d'obstination ; v.1228 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- L'affaire presse. Avant que sa ruine éclate, v.1229 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Va, cours, vends à tout prix. v.1230 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Ma foi, non. v.1230 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Je m'en flatte. v.1230 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- À tort. v.1231 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Épargne-toi d'inutiles refus. v.1231 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Mais, vous dis-je... v.1232 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Je fuis ; je ne t'écoute plus. v.1232 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Monrose, écoutez donc... Il est bien loin. v.1233 (Acte 3, scène 17, ARAMONT)
- Que faire ? C'est à vous, mon esprit, à me tirer d'affaire. v.1234 (Acte 3, scène 17, ARAMONT)
- Vous avez à combattre, en ce moment fâcheux, v.1235 (Acte 3, scène 17, ARAMONT)
- La probité, l'amour, et le diable avec eux. v.1236 (Acte 3, scène 17, ARAMONT)
- Puis-je obtenir d'Hortense un moment d'audience ? v.1237 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Madame va venir ; donnez-vous patience. v.1238 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Clorine a le coeur triste, à ce qui me paraît ? v.1239 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Vous êtes pénétrant. v.1240 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Ah ! je vois ce que c'est. v.1240 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Vous comptiez suivre Hortense au Couvent ; mais sa tante v.1241 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Avec impolitesse a frustré votre attente v.1242 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Par un sot compliment. v.1243 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Pareil à vos discours. v.1243 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Où diable vouliez-vous achever vos beaux jours ? v.1244 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Dans les ennuis forcez d'une triste clôture, v.1245 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Vous, dont l'esprit actif, toujours à la torture, v.1246 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Pétille dans un corps de salpêtre et de feu ? v.1247 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- D'ailleurs, si vous voulez, vous m'en ferez l'aveu ; v.1248 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Mais, à proportion, vous êtes mieux qu'Hortense. v.1249 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Vous y mettez bon ordre. v.1250 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Et dans sa décadence v.1250 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Elle ne peut vous faire aucun bien désormais. v.1251 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Il me reste à gagner les biens qu'elle m'a faits. v.1252 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Clorine est héroïque ! v.1253 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Et vous ne l'êtes guère. v.1253 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Je voudrais me charger de toute sa misère. v.1254 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Que ne puis-je ?... Du moins, je ne suis pas de ceux, v.1255 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Qui savent abuser d'un coeur trop généreux. v.1256 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Écoute, mon enfant. Je vois qu'auprès d'Hortense v.1257 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Il faut que je te serve. v.1258 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Ah ! je vous en dispense. v.1258 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Tu n'as jamais voulu me croire propre à rien ; v.1259 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Mais je veux t'en punir, en te faisant du bien. v.1260 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Non, Monsieur, s'il vous plaît. v.1261 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Parbleu, Mademoiselle, v.1261 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Ce sera malgré vous... Mais je la vois ; c'est elle. v.1262 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Moi, je vais vous servir de la bonne façon. v.1263 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Cette fille paroît avoir quelque soupçon. v.1264 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Vous m'apportiez, sans doute, une heureuse nouvelle ? v.1265 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Mon coeur impatient volait au devant d'elle. v.1266 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Oui-da. v.1267 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- N'êtes-vous pas notre libérateur ? v.1267 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Vous me donnez, Madame, un titre trop flatteur. v.1268 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Ne vous est-il pas dû ? v.1269 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Que le Ciel m'en préserve ? v.1269 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- D'où vient cet embarras ? Quelle est cette réserve ? v.1270 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Avez-vous fait usage ?... v.1271 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Ils sont toujours chez moi : v.1271 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Et mon dessein n'est pas d'en faire aucun emploi. v.1272 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Que dites-vous, Monsieur ? Ô Ciel ! est-il croyable ? v.1273 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Est-ce donc-là cet homme utile et serviable ? v.1274 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Je le trouve en défaut quand j'ai besoin de lui ! v.1275 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Vous vous démentez donc pour moi seule aujourd'hui ? v.1276 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Monrose m'est bien cher : mais je suis incapable v.1277 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- De le servir ainsi. Je serais trop coupable. v.1278 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Eh ! Le serez-vous moins en le laissant périr ? v.1279 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Je voudrais, autrement, le pouvoir secourir. v.1280 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Vous prétendez l'aimer ? v.1281 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Autant qu'il est possible. v.1281 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Ne vous en vantez plus... Serez-vous inflexible ? v.1282 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Ce n'est pas sans raison. Eh ! Madame en effet, v.1283 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Pouviez-vous recueillir le fruit de ce bienfait ? v.1284 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- La gloire que mérite une action si belle, v.1285 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Devait s'ensevelir et se perdre avec elle. v.1286 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Vous ne pouviez passer pour en être l'auteur. v.1287 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Toute ma récompense est au fond de mon coeur. v.1288 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- La générosité n'en veut pas davantage. v.1289 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- L'intention suffit. v.1290 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Eh ! quel est ce langage ? v.1290 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- En périra-t-il moins ? Nous connaissons ses biens. v.1291 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Que peut faire un guerrier, borné dans ses moyens ? v.1292 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Il languit, s'il ne tient un état honorable ; v.1293 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Sa valeur n'est jamais dans un jour favorable. v.1294 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- La gloire coûte cher à qui veut l'acquérir : v.1295 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Il la faut acheter ; il la faut conquérir. v.1296 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Et malheureusement (puisqu'il faut vous le dire) v.1297 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Le courage tout seul n'a pas de quoi suffire. v.1298 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Vous l'avez éprouvé. v.1299 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Pour le faire briller. v.1299 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Du reste de vos biens faut-il vous dépouiller ? v.1300 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Songez à vous, Madame. v.1301 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Il faut que je m'en tire. v.1301 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Vous êtes ruinée. Il est bon de vous dire v.1302 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Que vous n'avez plus rien que ces faibles débris. v.1303 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- S'il est vrai, mon désastre y met un nouveau prix. v.1304 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- L'usage que j'en fais me tient lieu de fortune. v.1305 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Mais quelle prévoyance, un peu trop importune, v.1306 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- En cette occasion vous révolte si fort ? v.1307 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Un peu plus, un peu moins, ne fait rien à mon sort. v.1308 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Pour qui conservez-vous un intérêt si tendre ? v.1309 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Savez-vous seulement si ?... v.1310 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- C'est me faire entendre v.1310 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Que Monrose peut-être adresse ailleurs ses voeux. v.1311 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Jusqu'ici, vous avez si peu flatté ses feux... v.1312 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Eh ! ne vous chargez point d'excuser ce que j'aime : v.1313 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Je saurai mieux que vous m'en acquitter moi-même, v.1314 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Je lui pardonne tout pourvu qu'il soit heureux : v.1315 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Son bonheur me suffit, c'est tout ce que je veux. v.1316 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Et j'y dois concourir autant qu'il m'est possible. v.1317 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Pour trancher, en un mot, je demeure inflexible ; v.1318 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Vous ne me ferez point reprendre ce dépôt. v.1319 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Je désavouerai tout ; et je nierai plutôt... v.1320 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Au surplus, vous avez le secret de ma vie : v.1321 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Disposez-en, Monsieur, au gré de votre envie ; v.1322 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Voyez, quand je descends jusqu'à vous implorer, v.1323 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Si vous voulez me perdre, et vous déshonorer. v.1324 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Oh ! parbleu, serviteur. Pour moi, je m'en désiste. v.1325 (Acte 4, scène 3, ARAMONT)
- Je remettrai le tout entre les mains d'Ariste. v.1326 (Acte 4, scène 3, ARAMONT)
- Allons... v.1327 (Acte 4, scène 3, ARAMONT)
- Arrête. Un mot. Daigne un peu m'éclaircir. v.1327 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Tu me vois furieux. On vient de te noircir v.1328 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- D'une accusation que je crois téméraire. v.1329 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Il me serait cruel de trouver le contraire. v.1330 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Clorine... v.1331 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Ah ! C'en est fait. v.1331 (Acte 4, scène 4, ARAMONT)
- Vient de me confier v.1331 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Un mystère affreux. Songe à te justifier. v.1332 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Cette fille m'en veut. v.1333 (Acte 4, scène 4, ARAMONT)
- Ce n'est pas là répondre. v.1333 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Ne récrimine point, si tu veux la confondre. v.1334 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Cette fille fait plus que de te soupçonner. v.1335 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Que dis-je ? Elle prétend que tu t'es fait donner, v.1336 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Pour moi, les diamants d'Hortense. Est-ce une injure ? v.1337 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Les aurais-tu reçus ? Parle, je t'en conjure. v.1338 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Tu conviens de ta faute, en n'osant la nier. v.1339 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Il ne s'agit donc plus que d'y remédier. v.1340 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Monsieur, un étranger m'a chargé de vous rendre v.1341 (Acte 4, scène 5, LE VALET)
- Ce paquet-là. v.1342 (Acte 4, scène 5, LE VALET)
- Sachons ce que l'on veut m'apprendre. v.1342 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Que vois-je ? Mes billets qui me sont renvoyez ! v.1343 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Oui, vraiment, ce sont eux ; ils se trouvent payez ! v.1344 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Tant mieux. v.1345 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ah, malheureux, c'est donc-là ton ouvrage ? v.1345 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Qu'elle indigne ressource as-tu mise en usage ? v.1346 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Aucune. v.1347 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- À quel complot as tu prêté la main ? v.1347 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Il faut avoir un coeur bien dur, bien inhumain. v.1348 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- J'aurais donné mon sang pour cette infortunée, v.1349 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Si j'avais pu lui faire une autre destinée. v.1350 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Tu connais sa ruine, et tu vas l'achever ! v.1351 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Ah ! c'est m'assassiner, en voulant me sauver, v.1352 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Impitoyable ami, barbare que vous êtes ! v.1353 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Est-ce ma faute, à moi, si l'on paye vos dettes ? v.1354 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- J'ignore à qui l'on doit imputer ce bienfait : v.1355 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Mais je n'ai point de part au tour que l'on vous fait. v.1356 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Il est bien vrai qu'Hortense a voulu me séduire. v.1357 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Puisqu'enfin l'on m'y force, il faut vous en instruire. v.1358 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Elle avait fait porter chez moi ses diamants : v.1359 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ils y sont : venez-y ; vous verrez si je mens. v.1360 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ils y sont ? Et pourquoi ? Ne pouviez-vous les rendre ? v.1361 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Eh que diable ! ai-je pu les lui faire reprendre ? v.1362 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ce que veut une femme est écrit dans le Ciel. v.1363 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Enfin, j'ai tenu bon : voilà l'essentiel. v.1364 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- J'ai fait ce que j'ai pu contre cette obstinée, v.1365 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Jusqu'à lui découvrir qu'elle était ruinée. v.1366 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Nous étions convenus que tu n'en dirais rien, v.1367 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Puisque j'ai résolu d'y suppléer du mien. v.1368 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Elle a, fans sourciller, appris cette nouvelle. v.1369 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Alors, pour votre honneur, et par pitié pour elle, v.1370 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- J'ai cru que je devais lui dire franchement v.1371 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Qu'elle n'est plus l'objet de votre attachement. v.1372 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Moi, je ne l'aime plus ! Moi, je suis infidèle ! v.1373 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- N'avez-vous pas rompu cette chaîne cruelle ? v.1374 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Je l'ai cru. v.1375 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Non ; jamais je n'en eus le dessein. v.1375 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Hélas ! c'est lui porter un poignard dans le sein. v.1376 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- C'est pour son bien. Ma foi, j'ai cru faire merveilles. v.1377 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ne me propose point des excuses pareilles... v.1378 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Mais à qui dois-je donc imputer ce bienfait ? v.1379 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Tu grondes le Baron ! C'est toujours fort bien fait. v.1380 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Pardonne, si je viens troubler la vespérie. v.1381 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Sais-tu ce qui m'arrive ? Écoute, je te prie... v.1382 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je n'en puis revenir. C'est pour ton régiment. v.1383 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je pouvais me flatter d'en avoir l'agrément. v.1384 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je vais chez qui tu sais en faire la poursuite. v.1385 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je me nomme ; on m'annonce ; et j'entre tout de suite. v.1386 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Il me voit ; il se lève ; et d'un air prévenant v.1387 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Il m'embrasse, et me fait un accueil surprenant. v.1388 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je le tire à quartier ; je lui fais ma semonce : v.1389 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Mon homme alors se trouble ; et voici sa réponse. v.1390 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- "Je suis au désespoir (je crois qu'il disait vrai) v.1391 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Vous êtes malheureux pour votre coup d'essai." v.1392 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Bref, avec des discours à peu près de la sorte, v.1393 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Il s'est acheminé du côté de la porte. v.1394 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Nous nous sommes quittez. Ariste a manoeuvré : v.1395 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Il venait d'en sortir, lorsque je suis entré. v.1396 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Nous aurions fait ensemble une assez bonne affaire ; v.1397 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Car j'aurais rassemblé tout l'argent nécessaire : v.1398 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Mais enfin, je te rends ta parole. v.1399 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Tant mieux. v.1399 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Il s'agit d'un service un peu plus sérieux. v.1400 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Il est vrai ; l'aventure est presque inconcevable. v.1401 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Dis-moi si c'est à toi que je suis redevable v.1402 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- D'un service récent... v.1403 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ma foi, peut-être bien ; v.1403 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Car je sers tant de gens sans que j'en sache rien... v.1404 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je viens de recevoir fous une simple adresse v.1405 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Tous mes billets. v.1406 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Que t'a renvoyez ta maîtresse ? v.1406 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Non : mes créanciers. v.1407 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Bon. v.1407 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Oui, te dis-je ; à l'instant. v.1407 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Je voudrais que les miens en pussent faire autant. v.1408 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Tu n'en devrais pas moins. Tout ce qui m'embarrasse, v.1409 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- C'est de savoir celui qui s'est mis à leur place. v.1410 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Quelqu'un les a payez pour moi. v.1411 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Sans contredit. v.1411 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Marquis, n'est-ce pas toi ? v.1412 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Moi ! je te l'aurais dit. v.1412 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Quoi, véritablement ? v.1413 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Non, parbleu, je te jure. v.1413 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Tu le prends pour un autre ; et c'est lui faire injure. v.1414 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Serait-ce le Baron ? v.1415 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Si j'étais dans le cas, v.1415 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Ce serait un secret que je n'avouerais pas. v.1416 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Serait-ce Ariste ? v.1417 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ariste... Il mérite à merveille v.1417 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Qu'on mette sur son compte une action pareille. v.1418 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Tu l'en crois incapable ? Il n'est pas de ton goût. v.1419 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ma foi, je crois qu'Ariste est capable de tout. v.1420 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Apprends où t'a conduit une erreur trop durable. v.1421 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Cet homme vertueux, ce sage inaltérable, v.1422 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Toujours pur au milieu d'un air empoisonné, v.1423 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Qui paraissait avoir acquis et moissonné v.1424 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- De nouvelles vertus où l'on n'a que des vices ; v.1425 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Ce rare Courtisan, fameux par ses services, v.1426 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Dont tout autre que lui se serait prévalu, v.1427 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Qui pouvant être tout ce qu'il aurait voulu... v.1428 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Tu parais ironique ! v.1429 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Il faut cesser de l'être. v.1429 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Ce grave personnage, Ariste n'est qu'un traître ; v.1430 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- C'est lui qui te dépouille ; il a tout envahi. v.1431 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Cela ne se peut pas. v.1432 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ariste l'a trahi ? v.1432 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Lui-même, il a commis une action si basse. v.1433 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Va le féliciter, te dis-je ; il est en place. v.1434 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Au moment que je parle, entouré de flatteurs. v.1435 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Le coupable et son crime ont des Adulateurs v.1436 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Eh bien ! Que penses-tu d'un tour de cette espèce ? v.1437 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Ah ! daignez-vous prêter à ma délicatesse. v.1438 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Je l'ai trop estimé pour ne pas l'excuser. v.1439 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Que savons-nous ? Sans doute il n'a pu refuser. v.1440 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- D'ailleurs, j'étais exclus : je n'y pouvais prétendre. v.1441 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- C'était des biens vacants, des grâces à répandre : v.1442 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ariste en était digne ; il en est revêtu ; v.1443 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Et la Cour a du moins décoré la vertu. v.1444 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- La vertu ! c'est un fourbe, et je ne puis m'en taire. v.1445 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Mais s'il t'avait servi, comme il aurait dû faire, v.1446 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Et comme j'eusse fait ; en parlerais-tu mieux ? v.1447 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Rends-lui justice : va, c'est un monstre odieux. v.1448 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Voilà mon dernier mot. Je le lui dirais en face, v.1449 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Et je l'afficherais... Si j'étais à ta place, v.1450 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Nous nous verrions de près. v.1451 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- L'avis est assez doux. v.1451 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Je n'écouterais plus qu'un trop juste courroux ; v.1452 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Du haut de sa grandeur je le ferais descendre ; v.1453 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Ou je le forcerais du moins à la défendre. v.1454 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Par ma foi, ce serait des exploits mal placés. v.1455 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Son déshonneur nous verge, et le punit assez. v.1456 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Et sur ce faible espoir sa vengeance se fonde ? v.1457 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Se déshonore-t-on maintenant dans le monde ? v.1458 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Voit on que cette crainte alarme bien des gens ? v.1459 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- N'en soyons point surpris. Nous sommes indulgents. v.1460 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Grâce à cette ressource un peu trop éprouvée, v.1461 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Le plus vil des Mortels va la tête levée. v.1462 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Nous laissons, parmi nous, habiter des proscrits : v.1463 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Bientôt leur impudence épuise nos mépris ; v.1464 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Et nous avons enfin la basse politesse v.1465 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- De jouir avec eux de leur scélératesse. v.1466 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Ariste y peut compter : et peut-être, à mon tour, v.1467 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Serai-je un jour forcé de lui faire ma cour. v.1468 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Non pas moi, sûrement. v.1469 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Ce dénouement m'étonne ? Ariste... v.1469 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ah ! c'en est fait... Puisque tout m'abandonne, v.1470 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Va, j'ai pris mon parti. v.1471 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- C'est assez... je t'entends : v.1471 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Et j'ose me flatter que nous serons contents. v.1472 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je m'en vais à la Cour savoir ce qui s'y passe ; v.1473 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Et je te l'écrirai. Serviteur ; je t'embrasse. v.1474 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Voilà donc mon Arrêt ! Espoir, Fortune, Amour, v.1475 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Vous ne m'êtes plus rien : je perds tout en un jour. v.1476 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Le coup dont tu gémis est celui qui m'accable. v.1477 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Viens, cher ami ; fuyons un siècle trop coupable ; v.1478 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Sous un Ciel étranger allons vivre pour nous ; v.1479 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Pourvu que je te suive, il me sera trop doux. v.1480 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- De ma faible fortune accepte le partage. v.1481 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Que ne m'est-il permis de t'offrir davantage ! v.1482 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Hélas ! Je puis devoir beaucoup plus à tes soins. v.1483 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Écoute ; je suis quitte ; et je n'en dois pas moins v.1484 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- À l'auteur inconnu d'un aussi grand service. v.1485 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Cherche à le découvrir ; rends-moi ce bon office. v.1486 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Le soin de m'acquitter est mon premier devoir. v.1487 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Mais au destin d'Hortense il faut aussi pour voir. v.1488 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- À ce nom, cher ami, tu vois couler mes larmes. v.1489 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Ah ! Quand mon coeur serait insensible à ses charmes, v.1490 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Pourrait-il n'être pas sensible à la pitié ! v.1491 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Partout ce que t'inspire une vive amitié, v.1492 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Ôte-moi de l'horreur où son état me plonge. v.1493 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- C'est-là mon plus grand mal. Le reste n'est qu'un songe. v.1494 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Je mourrais mille fois : et je n'ai plus que toi v.1495 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Qui puisse dissiper un aussi juste effroi. v.1496 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Cher ami, sauve-moi dans un autre moi-même : v.1497 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- D'une indigne détresse affranchi ce que j'aime ; v.1498 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Répare sa ruine autant qu'il m'est permis, v.1499 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Emploie en sa saveur ce que je t'ai remis ; v.1500 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Et surtout si tu crains, comme je dois le croire, v.1501 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Si tu crains de souiller ton honneur et ma gloire, v.1502 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- À tel prix que ce soit, remets-lui ses bienfaits : v.1503 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Alors j'accepterai l'offre que tu me fais. v.1504 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Si vous avez un mot à dire à ma Maîtresse, v.1505 (Acte 4, scène 8, CLORINE)
- Je viens vous avertir, Monsieur, que le temps presse. v.1506 (Acte 4, scène 8, CLORINE)
- Elle part à l'instant. v.1507 (Acte 4, scène 8, CLORINE)
- Ô Ciel ! Il faut... j'y cours. v.1507 (Acte 4, scène 8, MONROSE)
- En vous remerciant de tous vos beaux discours. v.1508 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- En êtes vous content ? Pour moi, j'en suis ravie. v.1509 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Je vous devais cela, pour m'avoir bien servie. v.1510 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Vous êtes bon ami. v.1511 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Vous vouliez me brouiller v.1511 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- Avec Monrose ; mais... v.1512 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- Vous vouliez dépouiller v.1512 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Ma Maîtresse ; mais... v.1513 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Moi. v.1513 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- La ressource est commode. v.1513 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Ruiner une femme est si fort à la mode, v.1514 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Que ce n'est presque plus la peine d'en parler. v.1515 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- On ne voit autre chose ; c'est un pis-aller v.1516 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Permis, et toujours sûr. On ne s'en fait pas faute. v.1517 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Vous vous formez de nous une idée assez haute. v.1518 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- Vous n'aviez pas dessein de m'en faire changer, v.1519 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Notre sexe, vous dis je, est un Peuple étranger, v.1520 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Un ennemi, sur qui tout est de bonne prise : v.1521 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Ce sont-là des exploits que l'amour autorise. v.1522 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Mais sachez donc.... v.1523 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- Je sais que pour notre malheur v.1523 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Vous ne traitez pas mieux nos biens que notre honneur. v.1524 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Quand vous aurez lassé votre langue maudite, v.1525 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- J'espère... v.1526 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- On vient. J'ai fait, j'ai dit, et je vous quitte. v.1526 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Ah ! Ne m'exposez point devant un indiscret, v.1527 (Acte 4, scène 10, HORTENSE)
- Qui ne devait jamais avouer mon secret. v.1528 (Acte 4, scène 10, HORTENSE)
- Laisse-nous, cher ami ; ta présence la blesse. v.1529 (Acte 4, scène 10, MONROSE)
- Ainsi, grâce à leurs soins, vous savez ma faiblesse ! v.1530 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- N'êtes vous pas cruel de paraître à mes yeux ? v.1531 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- À quoi nous serviront les plus tendres adieux ? v.1532 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Je partais sans vous voir, j'aurais fait l'impossible. v.1533 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Le sort qui me poursuit est toujours invincible. v.1534 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- En suis-je mieux traité ? Pour comble de malheurs, v.1535 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je dois le détester jusques dans ses faveurs. v.1536 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Il n'en est point pour moi qu'il n'ait empoisonnées. v.1537 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- L'amertume et le fiel les ont assaisonnées. v.1538 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Tout, jusqu'à votre amour... Quand m'est-il annoncé ? v.1539 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Ah, que pour mon malheur tout est bien compensé ! v.1540 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Eh ! N'examinons point quel est le plus à plaindre. v.1541 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Il n'importe ; achevez. Je ne saurais plus craindre v.1542 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Tout ce qui peut servir à me désespérer. v.1543 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Hortense, il est donc vrai, j'ai pu vous inspirer ?... v.1544 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Est-ce pour insulter davantage à vos larmes, v.1545 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Que j'ose demander un aveu plein de charmes, v.1546 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- À qui doit me haïr autant que je me hais ? v.1547 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Pourquoi se reprocher des maux qu'on n'a point faits ? v.1548 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Voulez-vous que je sois injuste et malheureuse ? v.1549 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ah ! C'est trop exiger.... v.1550 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Quoi, toujours généreuse ? v.1550 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Hortense, hélas ! pourquoi nous avez-vous connus ? v.1551 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Un bonheur assuré, des plaisirs continus, v.1552 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- La plus haute fortune, un brillant hyménée, v.1553 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Auraient rempli le cours de votre destinée. v.1554 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Quel contraste inouï ! funestes liaisons, v.1555 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Que le Ciel en courroux mit entre nos maisons ! v.1556 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Vous partez ; vous allez ensevelir vos charmes. v.1557 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- L'exil, l'abaissement, l'infortune, les larmes, v.1558 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Voilà ce qui vous reste ; et je dois m'imputer v.1559 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- D'avoir aidé le sort à vous persécuter. v.1560 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- J'ai le remords affreux d'en être le complice, v.1561 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- D'être un de vos Bourreaux ; jugez de mon supplice. v.1562 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Me consolerez-vous en vous désespérant ? v.1563 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Des coups de la fortune êtes-vous le garant ? v.1564 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Vous me plaignez ! Eh quoi ! Ne peut-on vivre heureuse, v.1565 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Si ce n'est au milieu d'une Cour orageuse ? v.1566 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- À l'égard de ce bien qui s'est évanoui, v.1567 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ne pouvant être à vous, en aurais-je joui ? v.1568 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- En effet, à quoi sert une opulence extrême, v.1569 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Si l'on ne la partage avec ce que l'on aime ? v.1570 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Je ne sens pas qu'on puisse en jouir autrement. v.1571 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Vous l'avez bien fait voir. v.1572 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Et véritablement v.1572 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ma ruine fera le repos de ma vie. v.1573 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ma liberté me reste, on l'aurait poursuivie. v.1574 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- L'autorité, contraire à nos voeux les plus doux, v.1575 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- M'aurait voulu forcer à prendre un autre époux. v.1576 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Peut-être auriez-vous fait son bonheur et le vôtre. v.1577 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Il dépendait de vous ; je n'en connais point d'autre. v.1578 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- J'ignore si l'on peut aimer plus d'une fois ; v.1579 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Mais quand on s'est livrée sans réserve à son choix, v.1580 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Il est bien dangereux de prendre d'autres chaînes. v.1581 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Que l'on s'apprête un jour de tourments et de peines ! v.1582 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Sait-on ce que l'on donne ? Est-on bien sûr d'un coeur, v.1583 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Qu'on arrache de force à son premier Vainqueur ? v.1584 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Et, puisque mon amour s'irritait, à mesure v.1585 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Que je pouvais vous croire infidèle, ou parjure... v.1586 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Non, vous n'avez jamais cessé de m'enflammer. v.1587 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Hélas ! vous ignorez comme on peut vous aimer. v.1588 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Depuis que ma fortune incertaine et flottante v.1589 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Me tient dans une triste et douloureuse attente, v.1590 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Il est vrai, mon amour craignait de se montrer. v.1591 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- J'ai prévu le néant où je viens de rentrer : v.1592 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Et je ne suis pas fait pour être téméraire. v.1593 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Pouvais-je imaginer que j'avais pu vous plaire ? v.1594 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Et quand je l'aurais su, qu'avais-je à vous offrir ? v.1595 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je devais vous tromper afin de vous guérir. v.1596 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Mais vous l'avez dû voir, même avant mon naufrage ; v.1597 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je n'osais qu'en tremblant vous offrir mon hommage : v.1598 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je ne l'ai jamais cru digne de vos appas. v.1599 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Si vous n'y suppléez, si vous n'en jugez pas v.1600 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Par ma discrétion et par ma retenue, v.1601 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- La moitié de mes feux ne vous est pas connue. v.1602 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Hélas ! que dites-vous ? Croyez que mon devoir v.1603 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- M'empêchait d'y répondre, et non pas de les voir. v.1604 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Quel aveu ! Permettez à mon âme ravie v.1605 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Un transport, qui sera le dernier de ma vie. v.1606 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je puis donc une fois tomber à vos genoux ! v.1607 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Ah ! Devrait-on survivre à des moments si doux ? v.1608 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Il le faut cependant. Si je vous intéresse, v.1609 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Vivez, pour illustrer l'objet de ma tendresse ; v.1610 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Remplissez mon idée ; elle est digne de vous ; v.1611 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Soyez tel qu'il fallait pour être mon époux ; v.1612 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Devenez l'Artisan de votre destinée. v.1613 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Il est beau de dompter la fortune obstinée, v.1614 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- D'arracher ses bienfaits, au lieu d'en hériter, v.1615 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Et de n'avoir que ceux qu'on a su mériter. v.1616 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ce sont-là mes adieux, mes voeux, et mon présage... v.1617 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Va, l'on ne peut manquer quand on a du courage... v.1618 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Imitez mon exemple ; et sachez... v.1619 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Vous pleurez ! v.1619 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Séparons-nous ; adieu. v.1620 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Pour jamais !... v.1620 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Demeurez. v.1620 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Je ne puis. v.1621 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je le veux. v.1621 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- L'instance est superflue. v.1621 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Non ; dussai-je expirer, en vous perdant de vue !... v.1622 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Quel état est le mien ! Fortune, en est-ce assez ? v.1623 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- À peine suis-je né, mes beaux jours sont passés. v.1624 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ai-je pu mériter un sort si déplorable ? v.1625 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Le seul bien qui me reste, est un nom qui m'accable. v.1626 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je ne sais où tourner mes pas ni mes regards. v.1627 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ah ! je sens que mon coeur s'ouvre de toutes parts. v.1628 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Allons traîner ailleurs mon infortune extrême. v.1629 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je ne puis plus ici me supporter moi-même. v.1630 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Quel est votre dessein ? Où voulez-vous aller ? v.1631 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Partout où je pourrai vivre, et me signaler. v.1632 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Dans l'état où je suis on n'a plus de Patrie : v.1633 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- J'abandonne la mienne, où, malgré mon envie, v.1634 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je ne puis plus m'ouvrir un illustre tombeau : v.1635 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Un sujet inutile est pour elle un fardeau. v.1636 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je vais mourir ailleurs, ou mériter de vivre. v.1637 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je frémis du projet ; gardez-vous de le suivre. v.1638 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Je crois que tu voudrais m'obliger à rester ? v.1639 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Vous êtes enchaîné. v.1640 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Qui pourrait m'arrêter ? v.1640 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Quelles raisons ? En quoi suis-je ici nécessaire ? v.1641 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Tu restes ; on n'a point de reproche à me faire. v.1642 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- On m'en ferait d'affreux, si vous vous écartez. v.1643 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Comment ? v.1644 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Vous me perdez d'honneur, si vous partez. v.1644 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Quel rapport mon départ a-t-il avec ta gloire ? v.1645 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Le rapport est plus grand que vous ne pouvez croire. v.1646 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Je ne le comprends pas. v.1647 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- On m'accuse... v.1647 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Eh de quoi ? v.1647 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- D'être votre complice. v.1648 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Ah ! Tout autre que toi... v.1648 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Le Destin a comblé toutes ses injustices. v.1649 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Depuis quand l'innocence a-t-elle des complices ? v.1650 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ce nom convient au crime. Eh, quel est donc le mien ? v.1651 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Il est imaginaire. v.1652 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Ah ! ne me cache rien. v.1652 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Quel que soit mon destin, je saurai m'y soumettre : v.1653 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Dis... v.1654 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Dornane m'écrit : jugez-en par sa lettre. v.1654 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- "Je t'écris à la hâte. Ariste, non content v.1655 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Des biens de notre ami, lui ravit sa maîtresse ; v.1656 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Il l'a fait demander : le fait est très constant. v.1657 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Tu lui diras, en cas que cela l'intéresse. v.1658 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- À propos ; on le croit riche ; et je te l'apprends. v.1659 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Entre nous, tu lui vaux cette galanterie. v.1660 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- On l'accuse d'avoir détourné... tu m'entends ? v.1661 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Fait finir au plutôt cette plaisanterie." v.1662 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Je suis riche ! v.1663 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- On le dit. v.1663 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Comment ? Explique-moi... v.1663 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Et je suis accusé d'avoir détourné ?.... Quoi ? v.1664 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Les effets du défunt, et tous les biens d'Hortense. v.1665 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- L'on croit que je vous ai prêté mon assistance. v.1666 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Ah Ciel ! quelle noirceur ! Je deviens furieux. v.1667 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- D'où peuvent provenir ces bruits injurieux ? v.1668 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- L'horreur qu'on m'attribue est-elle imaginable ? v.1669 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ah ! Si j'en connaissais l'auteur abominable... v.1670 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Jusques à mon honneur, quoi, l'on ose attenter ! v.1671 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Il n'est point de malheur qui ne puisse augmenter. v.1672 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Qui peut avoir fondé cette imposture affreuse ? v.1673 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Mon amitié constante, et toujours malheureuse. v.1674 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Sans elle, notre honneur serait encore entier. v.1675 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Je vous ai fait passer pour un riche héritier. v.1676 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Ces bruits avantageux m'ont paru nécessaires v.1677 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Pour vous donner le temps d'arranger vos affaires. v.1678 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Je les ai répandus ; c'était pour votre bien. v.1679 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- On m'a cru. Cependant il ne s'est trouvé rien. v.1680 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Et je suis soupçonné. Vous devinez le reste. v.1681 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Quoi ! l'amitié m'aura toujours été funeste ! v.1682 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- De mes jours malheureux elle est donc le fléau ? v.1683 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Le sort me réservait ce supplice nouveau. v.1684 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Soyez sûr que ces bruits ne seront pas durables. v.1685 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Vous n'êtes accusé que par des misérables : v.1686 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- C'est par des gens comme eux que leurs discours sont crus. v.1687 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Dans la rage où je suis, je ne me connais plus. v.1688 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Opposez le courage à cette calomnie. v.1689 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Du courage ? En est-il contre l'ignominie ? v.1690 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- On la mérite alors qu'on peut la supporter. v.1691 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Demeurez ; c'est à quoi j'ose vous exhorter. v.1692 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Non, tu n'entendras plus parler d'un misérable. v.1693 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je comptais que mon nom me serait favorable : v.1694 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Il faut l'abandonner. Je ne dois plus songer v.1695 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Qu'à me cacher. Je vais me perdre, et me plonger v.1696 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Dans une obscurité la plus impénétrable. v.1697 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Périssent ma mémoire, et le sang déplorable v.1698 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Qui m'a fait naître ? v.1699 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ô Ciel ! v.1699 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Et toi, laisse-moi fuir. v.1699 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Pour la dernière fois, ne te fais point haïr. v.1700 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Adieu. v.1701 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Mais que nous veut cet homme ? Ô Ciel ! Serait-ce ? v.1701 (Acte 5, scène 2, MONROSE)
- Je suis chargé d'un ordre... v.1702 (Acte 5, scène 2, LE-GARDE)
- Est-ce à moi qu'il s'adresse ? v.1702 (Acte 5, scène 2, MONROSE)
- Oui, Monsieur. À regret je remplis un devoir... v.1703 (Acte 5, scène 2, LE-GARDE)
- On m'arrête ! Eh pourquoi ? v.1704 (Acte 5, scène 2, MONROSE)
- Vous devez le savoir ? v.1704 (Acte 5, scène 2, LE-GARDE)
- Souffrez que je m'acquitte... v.1705 (Acte 5, scène 2, LE GARDE)
- Allons. Que faut-il faire ? v.1705 (Acte 5, scène 2, MONROSE)
- Faut-il que je vous suive ? v.1706 (Acte 5, scène 2, MONROSE)
- Il n'est pas nécessaire, v.1706 (Acte 5, scène 2, LE-GARDE)
- Et vous m'avez été consigné seulement. v.1707 (Acte 5, scène 2, LE GARDE)
- Voulez-vous bien passer dans cet appartement. v.1708 (Acte 5, scène 2, ARAMONT)
- On m'arrête ! Et déjà l'on me traite en coupable ! v.1709 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- On m'enchaîne au forfait dont on me croit capable ! v.1710 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Mes fers me font horreur. v.1711 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- D'où vient cet accident ? v.1711 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Dornane aura parlé. C'est un homme imprudent. v.1712 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Vous aurez devant lui projeté votre fuite. v.1713 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Ce bruit vous aura nui. La Cour en est instruite : v.1714 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Et voilà ce qui fait qu'on s'assure de vous. v.1715 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Comme d'un criminel. v.1716 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Vous les confondrez tous. v.1716 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Eh ! Comment les confondre ? Est-il en ma puissance. v.1717 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Le crime se défend bien mieux que l'innocence. v.1718 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Quelle preuve opposer ? Où pourrai-je en trouver ! v.1719 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Votre ruine même. v.1720 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Eh, comment la prouver ? v.1720 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Par quels moyens veux-tu que je les désabuse ? v.1721 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- En croit-on les serments de ceux que l'on accuse ? v.1722 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Ah ! tout concourt encore à ma conviction. v.1723 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Ces bruits avantageux à la succession ; v.1724 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Mes créanciers payez, et le bruit de ma fuite ; v.1725 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- La fortune d'Hortense entièrement détruite ; v.1726 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Le reste de ses biens, dont malheureusement v.1727 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Tu te trouves chargé pour moi secrètement ; v.1728 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Clorine qui le sait, pourra-t elle se taire ? v.1729 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Moi-même puis-je et dois-je éclaircir ce mystère ? v.1730 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Non : Il faut que ce soit un secret éternel. v.1731 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Je serai convaincu, sans être criminel. v.1732 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Je me perds dans l'horreur de chaque circonstance. v.1733 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Lorsque pour réparer la ruine d'Hortense, v.1734 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Je détourne sur moi les indignes besoins, v.1735 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Qu'elle aurait par la suite éprouvé sans mes soins ; v.1736 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Lorsque pour la sauver de cet état funeste, v.1737 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Je me prive en secret de tout ce qui me reste, v.1738 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- On croit que dans ses biens j'ai pu souiller mes mains ; v.1739 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Et je suis réputé le dernier des humains ! v.1740 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Ô Destin ! Est-ce assez maltraiter ta victime ? v.1741 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- On m'arrête, on me force à me purger d'un crime, v.1742 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Qu'est-ce qu'un scélérat a de plus à souffrir ? v.1743 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Le remords... v.1744 (Acte 5, scène 4, HORTENSE)
- Quelle voix, quel objet vient s'offrir. v.1744 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- C'est une amante en pleurs. On empêche ma fuite ; v.1745 (Acte 5, scène 4, HORTENSE)
- J'ignore à quel dessein, je n'en suis pas instruite. v.1746 (Acte 5, scène 4, HORTENSE)
- On m'a fait revenir. v.1747 (Acte 5, scène 4, HORTENSE)
- Laissez-moi me cacher. v.1747 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- Quoi ! vous voulez me fuir ? v.1748 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Laissez-moi m'arracher. v.1748 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Eh ! ne nous quittons point dans l'état où nous sommes. v.1749 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Ces regards sont-ils faits pour le dernier des hommes ? v.1750 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Je ne puis soutenir vos yeux, ni mes revers. v.1751 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Je ne suis donc plus rien pour vous dans l'Univers ? v.1752 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je ne croyais pas être un objet si funeste. v.1753 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je ne puis que pleurer. Le temps fera le reste. v.1754 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Dites, mon désespoir. v.1755 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Ah ! Cruel, arrêtez. v.1755 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Il finira bientôt des jours trop détestés. v.1756 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Mon état, mon amour, ma présence, et mes larmes. v.1757 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- N'auront donc point assez de puissance et de charmes, v.1758 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Pour vous rendre un peu moins sensible à vos malheurs ? v.1759 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Qu'on ne nous vante plus le pouvoir de nos pleurs ! v.1760 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Vous ne songez qu'à vous. v.1761 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Quel reproche ! v.1761 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Il ne tombe v.1761 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Que sur ce désespoir où votre coeur succombe, v.1762 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je sais de quels bienfaits vous vouliez me combler. v.1763 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Du reste de vos biens vous vouliez m'accabler. v.1764 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Qui m'a trahi ? v.1765 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- C'est toi. Va, tu n'as qu'à poursuivre. v.1765 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Laisse-moi donc mourir, si tu ne veux plus vivre. v.1766 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Ah ! Madame, vivez... répondez-moi de vous, v.1767 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Et toute ma fureur expire à vos genoux. v.1768 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Que je vive ? Est-ce à moi d'avoir plus de courage ? v.1769 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je conviens qu'on vous fait le plus sanglant outrage : v.1770 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Mais enfin ce n'est pas un opprobre éternel. v.1771 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Tombe-t-il sur vous seul ? M'est-il moins personnel ? v.1772 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- L'amour qui nous unit n'admet point de partage. v.1773 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je souffre autant que vous ; si ce n'est davantage. v.1774 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Et cependant mon coeur n'en est point abattu. v.1775 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- La vérité fera triompher la vertu. v.1776 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Jusqu'à ce que le temps la mette en évidence, v.1777 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Ayons la fermeté qui sied à l'innocence : v.1778 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Elle en est la ressource, et le plus sûr garant. v.1779 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Rétablit-on sa gloire en se désespérant ? v.1780 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Le découragement autorise une injure. v.1781 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Il faut vivre pour vaincre ; et la victoire est sûre ; v.1782 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Et qui perd tout espoir mérite son malheur. v.1783 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je vous parle sans doute avec trop de chaleur. v.1784 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Excusez une amante, ou plutôt une amie. v.1785 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Qui me condamne à vivre, accablé d'infamie ! v.1786 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Le sort qui me poursuit peut-il aller plus loin ? v.1787 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Il ne me manque plus que d'être le témoin v.1788 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Du bonheur d'un rival... Il en est un, Madame. v.1789 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Ariste jusqu'ici vous a caché sa flamme ; v.1790 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Jusques dans votre coeur il veut m'assassiner : v.1791 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Pour être votre époux, il s'est fait destiner. v.1792 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Ariste, dites-vous ? L'entreprise est hardie. v.1793 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Il m'aime ? Il payera bien cher sa perfidie. v.1794 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Je viens d'être éclairci. Vous n'êtes arrêté, v.1795 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Qu'en vertu d'un propos que l'on vous a prêté. v.1796 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Dornane... v.1797 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Eh bien ? v.1797 (Acte 5, scène 6, MONROSE)
- Son zèle et sa prudence éclatent. v.1797 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- C'est un homme qui veut que les autres se battent. v.1798 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Il dit que votre idée est de tirer raison v.1799 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Du procédé d'Ariste, et de sa trahison : v.1800 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Et voilà ce qui fait que l'on vous garde à vue. v.1801 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Mais vous allez avoir une étrange entrevue. v.1802 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Comment ? v.1803 (Acte 5, scène 6, MONROSE)
- Ariste... Il ose ici... v.1803 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Quel embarras ? v.1803 (Acte 5, scène 6, MONROSE)
- Vous l'allez voir paraître ; il marche sur mes pas. v.1804 (Acte 5, scène 6, CLORINE)
- Ah Ciel ! que n'ai-je autant de charmes que de haine ? v.1805 (Acte 5, scène 6, HORTENSE)
- Je le veux accabler sous le poids de sa chaîne. v.1806 (Acte 5, scène 6, HORTENSE)
- Mais le voici qui vient ; contenons-nous un peu. v.1807 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Vous pouvez nous laisser : votre ordre n'a plus lieu : v.1808 (Acte 5, scène 7, ARISTE)
- Je me charge de tout ; la Cour en est instruite. v.1809 (Acte 5, scène 7, ARISTE)
- Je viens rendre raison de toute ma conduite. v.1810 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- On n'en demande point à ceux qui sont heureux. v.1811 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Il est vrai, je le suis ; tout succède à mes voeux. v.1812 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Monsieur, vous voulez bien que je vous félicite ! v.1813 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Vous voyez quels transports votre bonheur excite. v.1814 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Je n'en suis point surpris. v.1815 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Ma foi, je le crois bien. v.1815 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- On m'a tout accordé. v.1816 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Pour qu'il n'y manque rien, v.1816 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Tenez ; voilà leur reste : ils n'en savaient que faire. v.1817 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Ni moi non plus... Prenez toujours ; c'est votre affaire. v.1818 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Madame... v.1819 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Laissez-moi. v.1819 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Je suis hors d'embarras. v.1819 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Je ne sais ce que c'est, mais je n'ignore pas v.1820 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Qu'il vous a plu, Monsieur, d'empêcher ma retraite. v.1821 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Je crois que vous pourrez en être satisfaite. v.1822 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Quelle audace ! Est-ce à vous que je dois mon retour ? v.1823 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Oui ; j'ai sollicité cet ordre de la Cour. v.1824 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- On ne vous perdra point. L'amour et l'hyménée v.1825 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Y vont fixer vos jours, et votre destinée. v.1826 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- On m'a favorisé... v.1827 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Qui ? Vous, perfide ami ? v.1827 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- C'est dans la trahison être bien affermi ! v.1828 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Vous voulez que ma main couronne votre ouvrage ; v.1829 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Mais il faut repousser l'injure par l'outrage. v.1830 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Notre état différent vous rend audacieux. v.1831 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Vous croyez m'éblouir, et je lis dans vos yeux v.1832 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Un espoir insultant fondé sur mes disgrâces : v.1833 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Mais je ne connais point de ressources si basses... v.1834 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Non, Madame, l'hymen vous garde un sort plus doux. v.1835 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- D'ailleurs, vous êtes riche. v.1836 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- En quoi ? v.1836 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Que dites-vous ? v.1836 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Qu'il est faux que Madame ait été ruinée. v.1837 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Quel conte ! v.1838 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Cette histoire est mal imaginée. v.1838 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Ce bruit injurieux s'est détruit aussitôt. v.1839 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Chez un homme public ses biens sont en dépôt. v.1840 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Qu'entends-je ? v.1841 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Est-il possible ? v.1841 (Acte 5, scène 8, CLORINE)
- Ô Ciel ! Quelle surprise ? v.1841 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- C'est la précaution que votre oncle avait prise. v.1842 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Oui, Monsieur, ce n'est plus un secret aujourd'hui. v.1843 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Il est justifié ; vous l'êtes comme lui. v.1844 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Je suis justifié ! v.1845 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- C'est moi qui vous l'atteste. v.1845 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Fortune, c'est assez, je te quitte du reste. v.1846 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Mes voeux sont épuisés. Mon honneur m'est rendu. v.1847 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Madame, pardonnez à mon coeur éperdu v.1848 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Ce transport excessif... v.1849 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Permettez ; je vous prie ; v.1849 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Il est bien juste aussi que je me justifie. v.1850 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- J'ai dû jusqu'à la fin vous cacher des secrets, v.1851 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Où vous auriez pu faire entrer des indiscrets. v.1852 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Vos amis vous flattaient contre toute apparence. v.1853 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Lorsque je vous ai vu sans aucune espérance, v.1854 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- J'ai brigué pour moi-même ; et j'ai tout obtenu : v.1855 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- C'est depuis quelques jours que j'y suis parvenu. v.1856 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Mais j'avais mes raisons pour en faire un mystère. v.1857 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Je voulais obtenir une grâce plus chère. v.1858 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- L'essentiel manquait à ma félicité. v.1859 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Après avoir longtemps pressé, sollicité, v.1860 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Ce n'est que d'aujourd'hui qu'à force de prière, v.1861 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Enfin la Cour m'a fait la faveur toute entière. v.1862 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Jouissez-en, Monsieur : ses bienfaits sont à vous. v.1863 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Le Prince m'a permis de vous les céder tous : v.1864 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Et je vous les remets avec toute la joie... v.1865 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Souffrez qu'en m'acquittant tout mon coeur se déploie. v.1866 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Monsieur, ce n'est pas-là tout ce que je vous dois. v.1867 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Mes créanciers... v.1868 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Laissons cet incident. v.1868 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Je vois. v.1868 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Que c'est à vous, Monsieur, que j'en suis redevable. v.1869 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- J'ai pensé m'en douter. v.1870 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Que je me sens coupable ! v.1870 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Madame, c'est pour lui que je viens d'obtenir v.1871 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Le don de votre main : vous pourrez vous unir. v.1872 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- J'ai des torts avec vous. v.1873 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Bon, bon ; point de rancune : v.1873 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Pour moi, je vous réponds que je n'en garde aucune. v.1874 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Notre premier devoir nous appelle à la Cour. v.1875 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Venez ; partons ; l'hymen vous attend au retour. v.1876 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Ah ! permettez du moins que ma reconnaissance. v.1877 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Se manifeste autant qu'il est en ma puissance. v.1878 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- En vous faisant jouir du destin le plus doux. v.1879 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Croyez-vous que je suis moins fortuné que vous ? v.1880 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Ah ! Madame, souffrez que mon coeur se partage. v.1881 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Monsieur, je ne puis rien vous offrir davantage. v.1882 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Ô Fortune ! je sens et j'éprouve à présent. v.1883 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Qu'un ami véritable est ton plus grand présent. v.1884 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
LA GOUVERNANTE (1773)
- Angélique, est-ce tout ? Faites-vous violence : v.1 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Je voudrais bien savoir à quoi sert le silence v.2 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Il ne guérit de rien ; au contraire, il aigrit v.3 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Les maux et les tourments du coeur et de l'esprit. v.4 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Se taire est n'être plus qu'une ombre qui s'ennuie ; v.5 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Le babil est le charme et l'âme de la vie... v.6 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Vous ne répondez rien ! Quel est donc votre but, v.7 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Et votre idée ? v.8 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Hélas ! v.8 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Un soupir ! Beau début ! v.8 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Après, continuez. v.9 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Je n'ai plus rien à dire. v.9 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- On n'a que trop de quoi parler quand on soupire. v.10 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Où sont donc ces transports, cette vivacité ? v.11 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Nos entretiens faisaient votre félicité ; v.12 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Vous ne pouviez finir. Lorsque je me rappelle... v.13 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Je ne te parlais pas alors d'un infidèle. v.14 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Doit-on, lorsque l'on perd le coeur d'un inconstant, v.15 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Perdre aussi la parole ? Allons, il faut d'autant v.16 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Soulager son dépit ; rien n'est plus salutaire. v.17 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Où parle la raison, le dépit doit se taire ? v.18 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Et la raison vous parle, à vous, Angélique ? v.19 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Oui. v.20 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Ah ! Le bel entretien ! Ma foi, gare l'ennui ; v.20 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Mais il est tout venu. v.21 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Non, ce guide propice v.21 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- A porté la lumière au fond du précipice v.22 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Où j'aurais essuyé le plus grand des malheurs. v.23 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Bon ! Bon ! L'amour bientôt le comblera de fleurs. v.24 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Non, je n'ai plus en lui la moindre confiance. v.25 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Où m'allait entraîner mon peu d'expérience ! v.26 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Comment pouvons-nous ne nous pas égarer ? v.27 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Comment fuir les dangers qu'on nous laisse ignorer ? v.28 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- À qui notre jeunesse est-elle confiée ? v.29 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Hélas ! Pour l'ordinaire elle est sacrifiée. v.30 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Quel est le sort du sexe ! Ah ! Juliette, il s'ensuit v.31 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Qu'on croit qu'il ne vaut pas la peine d'être instruit. v.32 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Ah ! Diantre, vous voilà tout-à-fait surprenante ! v.33 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Ce beau chef-d'oeuvre vient de notre gouvernante. v.34 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Depuis six ou sept mois qu'elle a trouvé moyen v.35 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- De s'impatroniser ; je n'y connais plus rien ; v.36 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- La Baronne elle-même en a fait son amie, v.37 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Et ne fait que vanter sa rare prud'hommie : v.38 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Nous étions, vous et moi, bien mieux auparavant. v.39 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Je voudrais l'avoir eue en sortant du couvent : v.40 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- oui, Juliette, ce sont quatre ans que je regrette. v.41 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Oui, votre tante a fait une fort belle emplette... v.42 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Cette femme n'entend qu'à donner des vapeurs. v.43 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Mais parlons de Sainville. Espérez que vos coeurs v.44 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Seront bientôt remis en bonne intelligence. v.45 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Je sais que de sa part un peu de négligence... v.46 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Tu nommes négligence un total abandon ! v.47 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- L'excuse n'a plus lieu non plus que le pardon. v.48 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Si Sainville a quitté sa retraite profonde v.49 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Pour aller se fourrer dans le tracas du monde, v.50 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- C'est malgré lui ; pour moi, j'ai tout lieu de douter v.51 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Qu'il puisse encor longtemps s'y plaire et le goûter ; v.52 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Il n'a fait qu'obéir, et par force, à son père ; v.53 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Son esprit, son humeur, son goût, son caractère, v.54 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Feront qu'il y sera tout-à-fait étranger : v.55 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Il est trop philosophe. v.56 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Ils l'auront fait changer. v.56 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Non, il est trop bien né ; c'est sur quoi je me fonde. v.57 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Quel triomphe pour vous ! Quand dégoûté du monde... v.58 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Qu'il y reste, et s'y fasse un nom bien éclatant. v.59 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Juliette, je médite un projet important. v.60 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous voulez tout-à-fait renoncer à Sainville ? v.61 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Je voudrais être encor dans mon premier asile. v.62 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Pourquoi faire ? Au lieu de bénir chaque jour v.63 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- La main qui vous a fait sortir de ce séjour, v.64 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Où les infortunés de qui vous êtes née, v.65 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Dès vos plus jeunes ans vous ont abandonnée, v.66 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Vous songez à rentrer dans le sein de l'ennui ? v.67 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Le monde n'a plus rien qui me plaise. Aujourd'hui ; v.68 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Mais demain il pourra vous plaire davantage. v.69 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Le dépit prend toujours le parti le moins sage. v.70 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Demeurez... les absents sont bientôt oubliés. v.71 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- La Baronne vous fait mille et mille amitiés ; v.72 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- elle a pour vous les yeux de la plus tendre mère ; v.73 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- C'est une tante enfin comme il ne s'en voit guère ; v.74 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Mais si vous ne restez sous ses yeux, j'ai bien peur v.75 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Qu'un autre ne parvienne à vous ôter son coeur, v.76 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Et qu'avec un époux elle ne s'en console. v.77 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- La veuve la plus sage est toujours assez folle v.78 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Pour se remarier ; cela se voit souvent. v.79 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Il ne sera plus temps de sortir du couvent ; v.80 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Il y faudra gémir, enrager comme une autre, v.81 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Et pleurer à la fois sa folie et la vôtre : v.82 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Je vous en avertis, craignez cet incident. v.83 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Mais la voici qui vient avec le Président. v.84 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Sortons. v.85 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous n'avez fait aucune découverte ? v.85 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Ah ! Ciel, n'aurais-je plus qu'à gémir de leur perte ? v.86 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Faudra-t-il que j'emporte avec moi la douleur v.87 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- De n'avoir jamais pu réparer un malheur, v.88 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Dont en quelque façon je suis presque coupable ? v.89 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Mais vous ne l'êtes point : est-ce qu'on est comptable v.90 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Des jugements qu'on croit rendre avec équité ? v.91 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Quoi ! Ne peut-on jamais cacher la vérité ? v.92 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Tant de gens sont payés pour conspirer contre elle, v.93 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Pour lui tendre toujours une embûche cruelle ! v.94 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Quel juge est à l'abri d'un semblable malheur ? v.95 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Et voilà justement ce qui fit mon erreur, v.96 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Et l'arrêt dont je fus l'organe trop funeste : v.97 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Mais se peut-il qu'enfin nul espoir ne vous reste, v.98 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Et qu'en dix ou douze ans à peine révolus, v.99 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Des gens d'un si grand nom ne se retrouvent plus ? v.100 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Eh ! Croyez-moi, monsieur, quand on est misérable, v.101 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- C'est un fardeau de plus qu'un nom considérable ; v.102 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Ils en ont pu changer. Peut-être que la mort v.103 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Au sein de l'indigence aura fini leur sort. v.104 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Mais le défunt avait une femme, une fille ; v.105 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Il doit être resté quelqu'un de leur famille. v.106 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- J'ai bien quelques soupçons ; mais ils sont si légers, v.107 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Ils sont si dépourvus... v.108 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Qu'importe ? Ils me sont chers ; v.108 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Ne les négligez pas, redoublez votre zèle ; v.109 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Vous n'aurez jamais eu d'occasion plus belle v.110 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- D'obliger un parent que vous-même avez mis v.111 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Depuis longtemps au rang de vos plus vrais amis. v.112 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Croyez que c'est à quoi mon zèle s'intéresse. v.113 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Je vois d'un pas rapide arriver la vieillesse ; v.114 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- J'aurai bientôt fini le cours qui m'est prescrit : v.115 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Que je serais content et de coeur et d'esprit, v.116 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Si je pouvais, avant le terme qui s'approche, v.117 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- N'être plus accablé d'un si cruel reproche ! v.118 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Ce serait mon plus cher et mon plus grand bonheur. v.119 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- En tout cas, j'ai mon fils ; il est homme d'honneur, v.120 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Et capable, entre nous, j'ai tout lieu de le croire, v.121 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- De faire une action qui le couvrant de gloire, v.122 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Éternise après moi le sang dont il est né, v.123 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Et me donne en mourant un repos fortuné. v.124 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Oui, j'en jouis d'avance, et mon âme est tranquille. v.125 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Il pourrait cependant arriver que Sainville, v.126 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Répandu, dissipé comme il l'est à présent, v.127 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Eût altéré ses moeurs. v.128 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- L'exemple est séduisant ; v.128 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Mais... v.129 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- D'un autre côté, c'est sur quoi je me fonde, v.129 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Sainville a grand besoin de l'école du monde. v.130 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Philosophe un peu jeune, et même trop ardent, v.131 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Il s'abandonne trop à son zèle imprudent : v.132 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Ami de la franchise, il croit que la souplesse v.133 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Est indigne d'un homme, et taxe de bassesse v.134 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Ces égards mutuels dont la nécessité v.135 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- A forgé les liens de la société. v.136 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Que sert une sagesse âpre et contrariante ? v.137 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Heureuse la vertu douce, aimable et liante, v.138 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Dont les ris et les jeux accompagnent les pas ; v.139 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- La raison même a tort, quand elle ne plaît pas. v.140 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- La sienne se ressent des défauts de son âge, v.141 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Le temps adoucira ce qu'elle a de sauvage. v.142 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Espérez. v.143 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Que je crains qu'il n'ait été trop loin ! v.143 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Tel est des jeunes gens le malheureux besoin, v.144 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Qu'il faut, pour les polir, risquer de les corrompre ; v.145 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Avec lui-même enfin je l'ai forcé de rompre, v.146 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- D'aller, de se répandre, et de se faire voir ; v.147 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Mais son obéissance a passé mon espoir : v.148 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Vous ne le voyez plus, moi-même il me néglige. v.149 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Croyez que l'amour seul aura fait ce prodige. v.150 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Ah ! Pourvu qu'il ne soit devenu qu'amoureux, v.151 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- L'amour ne gâte point un caractère heureux ; v.152 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Je lui laisse le choix entre d'aimables filles v.153 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Qu'il pourra rencontrer dans de riches familles v.154 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Où je l'ai présenté ; mais je l'attends ici, v.155 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Et par lui-même enfin je vais être éclairci. v.156 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Vous, madame, de grâce, achevez votre ouvrage ; v.157 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Et surtout, point d'éclat, le moindre est un outrage : v.158 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Vous avez des soupçons, ne les méprisez pas. v.159 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- J'approfondirai tout, et j'y vais de ce pas. v.160 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Il me semble qu'il a plus de grâce et d'aisance. v.161 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Je n'abuserai pas de votre complaisance, v.162 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Le temps vous est trop cher pour en perdre avec moi. v.163 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Puis-je en faire un plus doux et plus heureux emploi ? v.164 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Vous devenez flatteur. v.165 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Je dis ce que je pense. v.165 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ce sont des compliments, et je vous en dispense. v.166 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Eh ! Bien, vous voilà donc au milieu du torrent. v.167 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Votre genre de vie est un peu différent : v.168 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Que dites vous du monde ? Allons, daignez m'instruire. v.169 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Moi, mon père, j'en dis tout ce qu'on en peut dire ; v.170 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Il n'est qu'une façon de le bien définir. v.171 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Je ne crois pas qu'il soit aisé d'en convenir. v.172 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Avec sincérité, s'il faut que je réponde, v.173 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- J'ai vu que l'impudence est la reine du monde, v.174 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Et qu'il faut, quand on veut y faire son chemin, v.175 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Aller à la fortune avec un front d'airain ; v.176 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Que l'art d'en imposer est le seul art utile ; v.177 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Qu'une louange aride, une estime stérile, v.178 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Est tout ce qu'on accorde à peine aux gens de bien. v.179 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- En exagérant tout, on ne définit rien : v.180 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Brisons là. Mais d'ailleurs, dites-moi, je vous prie, v.181 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Vous avez fréquenté la bonne compagnie ? v.182 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- La bonne compagnie ! Eh ! Croyez-vous aussi v.183 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- À cette rareté que l'on appelle ainsi ? v.184 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- J'ai tout vu, j'ai partout cherché cette merveille, v.185 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Dont le nom résonnait sans cesse à mon oreille ; v.186 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mais ce n'est qu'un grand mot nouvellement admis, v.187 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Qui n'a rien de réel, que l'usage a transmis v.188 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Par l'organe des sots dans la langue ordinaire, v.189 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Qui sert à désigner un être imaginaire, v.190 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ouvrage de l'orgueil et de la vanité ; v.191 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Tout cercle, quel qu'il soit, toute société v.192 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Croit en être, de droit, la véritable sphère : v.193 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Du bien, de la naissance, et telle autre chimère, v.194 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- De la fatuité, des airs et du jargon, v.195 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Voilà tout ce qu'il faut pour usurper ce nom. v.196 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Quant à moi, j'en appelle ; elle est mal définie : v.197 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ce sont les moeurs qui font la bonne compagnie. v.198 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Il en est cependant à qui ce titre est dû ; v.199 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Mais avec ces défauts le monde vous a plu, v.200 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Et j'en vois la raison : parlons avec franchise, v.201 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- L'amour... eh ! Comment donc, ce mot vous scandalise ! v.202 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- À votre âge, parbleu, c'est une nouveauté ! v.203 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Qui m'en aurait donné ? v.204 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- L'esprit, ou la beauté. v.204 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- La beauté, j'en conviens, peut, quand elle est réelle, v.205 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Inspirer un amour aussi passager qu'elle. v.206 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Quant à l'esprit du sexe... v.207 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Il est sans contredit, v.207 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Que l'on ne vit jamais tant de femmes d'esprit. v.208 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Qu'une femme aisément passe pour un prodige ! v.209 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mais c'est nous qui faisons nous-même le prestige. v.210 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Comment ? v.211 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Pour peu qu'elle ait de jeunesse et d'appas, v.211 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- L'amour et les désirs attirent sur ses pas v.212 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Une foule empressée à porter jusqu'aux nues v.213 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mille perfections qu'elle aurait peut-être eues, v.214 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Si l'on ne l'accablait d'un encens trop flatteur : v.215 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Elle peut tout risquer ; plus d'un adulateur v.216 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Lui prête avidement et le coeur et l'oreille, v.217 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Et d'avance applaudit. Qu'alors cette merveille, v.218 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Aux dépens du bon-sens, anime ses propos, v.219 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Et surtout avec art distribue à propos v.220 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Une oeillade traîtresse, un souris infidèle, v.221 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Et voilà tous nos sots enchantés autour d'elle. v.222 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Vous n'avez pas été du nombre ? v.223 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Ah ! Vraiment non. v.224 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Quand tout le monde a tort, tout le monde a raison. v.224 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Pourquoi se distinguer ? v.225 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Je n'en suis pas le maître. v.225 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Lorsqu'on est comme un autre, on est comme on doit être ; v.226 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Qui donne de l'encens ne donne rien du sien. v.227 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Eh ! Mais, pardonnez-moi, mon estime est mon bien. v.228 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Le bel amendement ! v.229 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Souffrez que je réponde. v.229 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- À des faits ? v.230 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Permettez. Quand j'entrai dans le monde, v.230 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Je le vis à peu près des mêmes yeux que vous ; v.231 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Chacun m'y déplaisait, et je déplus à tous ; v.232 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Ne faisant point de grâce, on ne m'en fit aucune. v.233 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- On s'en passe. v.234 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- L'on prit ma franchise importune v.234 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Pour un fiel répandu par la malignité ; v.235 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- D'autres ne la taxaient que de rusticité ; v.236 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Et chacun s'élevait sur mes propres ruines. v.237 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Où l'on cueillait des fleurs, je cueillais des épines. v.238 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Ainsi par un scrupule un peu trop rigoureux, v.239 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- J'ôtais à la vertu le droit de rendre heureux. v.240 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Alors, par une erreur qui n'est que trop commune, v.241 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- J'imputais mes malheurs à l'aveugle fortune, v.242 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- J'en faisais son forfait, loin de m'en accuser. v.243 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- L'expérience enfin sut me désabuser : v.244 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Je rompis mon humeur, rompez aussi la vôtre. v.245 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Nos besoins nous ont faits esclaves l'un de l'autre. v.246 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Il faut suivre ce joug ; qui se révolte à tort, v.247 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Et devient l'artisan de son malheureux sort. v.248 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Sachez donc vous soumettre à cette dépendance : v.249 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- L'usage des vertus a besoin de prudence. v.250 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Dans un juste milieu la raison l'a borné : v.251 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- D'ailleurs il faut toujours que leur front soit orné v.252 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Des grâces et des fleurs qui sont à leur usage. v.253 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Quand la vertu déplaît, c'est la faute du sage. v.254 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Sachez la faire aimer, vous serez adoré. v.255 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Son éclat naturel doit être décoré ! v.256 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Quoi ! D'un fard étranger, secours de l'imposture, v.257 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- L'art oserait souiller la beauté la plus pure ! v.258 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mon père, croyez-moi, son attrait lui suffit. v.259 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Je n'ajoute qu'un mot à tout ce que j'ai dit. v.260 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Ma fortune, mon fils, est moins considérable v.261 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Qu'on ne le croit ; je suis dans un poste honorable, v.262 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Où l'on n'amasse point ; ainsi je vous préviens, v.263 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Que, bien loin de trouver après moi de grands biens, v.264 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Vous serez étonné d'un si faible partage : v.265 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Il faut vous faire ailleurs un plus grand héritage ; v.266 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Et vous ne le pourrez qu'en cherchant un parti v.267 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Qui soit digne, en un mot, de vous être assorti v.268 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Par son nom, par son rang, et par son opulence ; v.269 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Mais, pour le mériter, faites-vous violence : v.270 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Allez, voyez le monde ; et mettez à profit v.271 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Ce que mon amitié vous dicte et vous prescrit. v.272 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Qui ? Moi ! Pour mendier les biens les plus frivoles, v.273 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- J'irais de porte en porte encenser des idoles, v.274 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Et feindre d'adorer l'objet de mes mépris ! v.275 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- La plus haute fortune est trop chère à ce prix. v.276 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Ah ! Mon père, en effet, quelle erreur est la vôtre ! v.277 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Mon bonheur dépend-il d'être au-dessus d'un autre, v.278 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- De briller dans le monde un peu plus, un peu moins ? v.279 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Eh ! Bien, mon existence aura moins de témoins. v.280 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Est-ce un si grand malheur de n'éblouir personne, v.281 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- De n'avoir que l'éclat que la probité donne ? v.282 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Quoi qu'il en soit enfin, je serai dans le cas ; v.283 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Et c'est un être heureux qu'on ne connaîtra pas. v.284 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Oui, cet objet charmant aura la préférence : v.285 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Adorable Angélique, ah ! Quelle différence ! v.286 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Le ciel a pris plaisir à la former pour moi. v.287 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- C'en est fait pour jamais, je rentre sous sa loi... v.288 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Depuis que j'ai cessé de cultiver sa flamme, v.289 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Puis-je encore espérer de régner dans son âme ? v.290 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Elle m'a tant aimé, que je dois me flatter v.291 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- D'obtenir un pardon que je vais mériter. v.292 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Monsieur, un mot, de grâce ; Angélique m'envoie. v.293 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Angélique ? v.294 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Elle-même. v.294 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Ah ! Ciel ! Quelle est ma joie ! v.294 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Dieux ! Elle me prévient. v.295 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Sans vous le reprocher, v.295 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- C'est la dixième fois que je viens vous chercher. v.296 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Ah ! Je suis trop heureux. v.297 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Apprenez à quels titres, v.297 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Et prenez ce paquet ; c'est un recueil d'épîtres. v.298 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Ô gages fortunés du plus fidèle amour ! v.299 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Ô bonheur qui m'assure un éternel retour ! v.300 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Quand je semblais avoir abjuré son empire, v.301 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Elle pensait à moi, s'occupait à m'écrire ; v.302 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Ce sont tous ses billets. v.303 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Vous verrez à loisir. v.303 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Je ne me souviens pas de t'avoir fait plaisir. v.304 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Ni moi non plus. v.305 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Tu m'as trop bien servi près d'elle, v.305 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Pour ne pas aujourd'hui récompenser ton zèle. v.306 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Tiens, Juliette... Ah ! Prends tout. v.307 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Que de biens à la fois ! v.307 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Eh ! Puis-je trop payer tous ceux que je reçois ? v.308 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je suis votre servante. v.309 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Attends. v.309 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Monsieur, je n'ose. v.309 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Sois témoin des transports que mon bonheur me cause. v.310 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Tu lui diras... Grands dieux ! Quel retour inhumain ! v.311 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je vois, je lis ma perte écrite de ma main ; v.312 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Mes lettres, mon portrait ! Il faudra que j'en meure ! v.313 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne crois pas qu'il soit besoin que je demeure. v.314 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- L'espoir n'a donc servi qu'à mieux m'assassiner. v.315 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Eh ! Quoi ! Tu fuis ! v.316 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je crains de vous importuner. v.316 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Parle donc, ton silence augmente mon supplice. v.317 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Tu ne te tairais pas, si tu n'étais complice. v.318 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Mais en serez-vous mieux, quand je vous aurai dit, v.319 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Que jusqu'à la rupture on pousse le dépit, v.320 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Qu'à l'amour d'Angélique il ne faut plus prétendre, v.321 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Et qu'elle ne veut plus vous voir ni vous entendre ? v.322 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- On ne peut donc jamais former qu'un noeud fatal. v.323 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Il n'est donc que trop vrai que tout choix est égal. v.324 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- À tout âge, en tout lieu, l'amour n'est qu'en idée. v.325 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Enfin, c'en est donc fait, ma perte est décidée : v.326 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je n'ai donc plus ce coeur que j'avais enflammé. v.327 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Jugez-vous. Quand on a le bonheur d'être aimé, v.328 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Il faudrait résider auprès d'une maîtresse, v.329 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Cultiver par soi-même, et nourrir sa tendresse. v.330 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- L'amour qu'on nous inspire exige bien du soin ; v.331 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Des yeux qui l'ont fait naître, il a toujours besoin ; v.332 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- La moindre négligence y porte un coup funeste. v.333 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Est-ce que notre coeur a des forces de reste ? v.334 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Et parce que j'ai tort, m'abandonneras-tu ? v.335 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- La bonne volonté fait toute ma vertu : v.336 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Mais je suis sans crédit ; je rougis de le dire. v.337 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Certaine gouvernante a sur elle un empire, v.338 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Que, pendant votre absence, elle a jusqu'à ce jour v.339 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Acquis, malgré moi-même, aux dépens de l'amour. v.340 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Mais, malgré cette femme, au moins je puis écrire. v.341 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Et l'on refusera constamment de vous lire ; v.342 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Car ce maudit Argus pense à tout, n'omet rien... v.343 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Écrivez cependant. v.344 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Je m'en garderai bien. v.344 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Ah ! C'en est trop enfin... je ne veux rien entendre ; v.345 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Puisqu'on me rend mon coeur, il faut bien le reprendre ; v.346 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Puisqu'on brise ma chaîne, il faut bien en sortir. v.347 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Non, je ne prétends pas perdre mon repentir. v.348 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Laisse-moi, c'est en vain que la perfide y compte : v.349 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- J'aime encor mieux mourir de rage que de honte : v.350 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- J'aurais vécu pour elle, et je vivrai pour moi. v.351 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Que je suis soulagé d'avoir repris ma foi ! v.352 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Que je vais désormais vivre heureux et tranquille ! v.353 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Tu le veux, j'écrirai ; mais ce sera d'un style... v.354 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Elle apprendra qu'on peut cesser de l'adorer. v.355 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Perdez-vous la raison ? Au lieu de réparer... v.356 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Un seul regret me tue, il faut que j'en convienne, v.357 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- C'est que son inconstance ait prévenu la mienne. v.358 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Toi, tu lui remettras ma lettre en temps et lieu ; v.359 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Tu la lui feras lire... allons, j'y compte. Adieu. v.360 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Voilà comme ils sont tous, quand on leur rend le change ; v.361 (Acte 1, scène 6, JULIETTE)
- Furieux, hors de sens : c'est une espèce étrange ; v.362 (Acte 1, scène 6, JULIETTE)
- Mais enfin, quels qu'ils soient, tout bien apprécié, v.363 (Acte 1, scène 6, JULIETTE)
- Il ne faut pas laisser que d'en avoir pitié. v.364 (Acte 1, scène 6, JULIETTE)
- Ô tendresse du sang ! Doux charme de ma vie, v.365 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Qui devrait dès longtemps m'avoir été ravie ! v.366 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Quel état m'as-tu fait préférer à la mort ? v.367 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Grands dieux ! Lorsque j'y pense, était-ce là mon sort ? v.368 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais je n'en rougis point, la cause en est trop chère. v.369 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Continuons les soins de la plus tendre mère ; v.370 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Avant que de rentrer dans ce cloître écarté, v.371 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Où la main d'un parent a daigné par bonté v.372 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Assurer mon destin, consommons mon ouvrage. v.373 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Ciel, permets enfin qu'à travers un nuage, v.374 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- J'achève de verser sur l'objet de mes pleurs, v.375 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Les seuls biens qui me soient restés de mes malheurs ; v.376 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et du moins, qu'au défaut de tout autre avantage, v.377 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- L'usage des vertus lui serve d'héritage. v.378 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Voyons ce que sur elle ont produit mes avis ; v.379 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et si, pour son bonheur, elle les a suivis. v.380 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ma bonne, embrassez-moi. Que je suis satisfaite ! v.381 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Quoi donc, ma chère enfant ? v.382 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ma victoire est complète. v.382 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Que je crains ces transports ! v.383 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qu'est-il donc arrivé ? v.383 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Que j'ai tout renvoyé, je n'en ai rien sauvé. v.384 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- J'ignorais qu'on aimât si fort ces bagatelles ; v.385 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je n'ai pu m'en priver sans des peines mortelles : v.386 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je les regrette encor ; mais j'ai fait mon devoir. v.387 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ah ! Je suis bien vengée ; il est au désespoir. v.388 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Il en fait semblant. v.389 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Non ; il n'est pas homme à feindre, v.389 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Et Juliette m'a dit qu'il était fort à plaindre. v.390 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle a pensé vous perdre, et sa fausse amitié v.391 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Voudrait contre vous-même armer votre pitié. v.392 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- De ces personnes-là craignez le caractère ; v.393 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- On ne se perd jamais que par leur ministère ; v.394 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et, si vous m'en croyez, détachez-la de vous ; v.395 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- En un mot, fuyez-la, rompez. v.396 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais, entre nous, v.396 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Me voilà donc réduite à ne voir plus personne ? v.397 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Car vous m'ordonnerez, du moins je le soupçonne, v.398 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- De ne plus voir Sainville. v.399 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Oui, ne balancez pas. v.399 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais s'il m'écrit ? v.400 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Peut-être. v.400 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Sans doute. v.400 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- En ce cas, v.400 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sans la décacheter renvoyez-lui sa lettre... v.401 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Voilà précisément ce qu'il faut me promettre. v.402 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Quoi ! Vous hésitez ! Vous vous taisez ? v.403 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Parlez. v.404 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Vous faites de moi tout ce que vous voulez. v.404 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais c'est pour votre bien. v.405 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Hélas ! v.405 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Daignez m'en croire, v.405 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- C'est pour vous conserver votre honneur, votre gloire. v.406 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- L'honneur est donc toujours l'ennemi de l'amour ? v.407 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Non vraiment ; au contraire, il l'approuve à son tour. v.408 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et pourquoi donc le mien vous semble-t-il un crime ? v.409 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- C'est qu'il faut que l'amour ait un but légitime. v.410 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Puisque vous m'y forcez : devez-vous ignorer v.411 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Que pour pouvoir aimer sans se déshonorer, v.412 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Il faut qu'un doux espoir mieux fondé que le vôtre, v.413 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Assortisse deux coeurs qui soient faits l'un pour l'autre ? v.414 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Pour qui donc Sainville et moi sommes-nous faits ? v.415 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Que de faiblesse encor ! Que j'en crains les effets ! v.416 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sans nous trop avancer, ôtons-lui l'espérance v.417 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qu'elle ose concevoir contre toute apparence. v.418 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ma fille, (vous m'avez permis un si doux nom,) v.419 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Il faut, à vous guérir, forcer votre raison. v.420 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Non, ce n'est point à vous que le ciel le destine : v.421 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Peut-il s'associer avec une orpheline v.422 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Inconnue, et d'ailleurs réduite à ses attraits, v.423 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qui n'a ni bien, ni rang, qui n'en aura jamais ? v.424 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sur La Baronne en vain vous fondez votre attente. v.425 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et par quelle raison ? N'est-elle pas ma tante ? v.426 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Hélas ! v.427 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Que dites-vous ? v.427 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ôtez-vous cet espoir. v.427 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais encor, pourquoi donc ? v.428 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Voulez-vous le savoir ? v.428 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle ne vous est rien, le rapport est fidèle. v.429 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Depuis plus de quatre ans que je suis avec elle, v.430 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle fait tout pour moi. v.431 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous l'avez mérité ; v.431 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais ce n'en est pas moins l'effet de sa bonté. v.432 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous étiez, dans un cloître une charge importune, v.433 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Où l'on était enfin las de votre infortune. v.434 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais d'où provenait donc cet abandon total ? v.435 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Vos parents ruinés par un procès fatal, v.436 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Furent forcés de faire un si grand sacrifice. v.437 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Plaignez-les ; ce fut là leur plus cruel supplice. v.438 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous vous attendrissez. Vous les avez connus ? v.439 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- S'il est vrai, dites-moi ce qu'ils sont devenus, v.440 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ne me cachez plus rien. v.441 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Votre malheureux père v.441 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Saisit l'occasion d'une guerre étrangère : v.442 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Son courage lui fit espérer tout du sort ; v.443 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais il s'exposa trop, il y trouva la mort. v.444 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Grands dieux ! Et ma mère alors que devint-elle ? v.445 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Votre mère ! Jugez de sa douleur mortelle ; v.446 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Peignez-vous son état et son adversité. v.447 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Enfin, après avoir longtemps sollicité, v.448 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- D'une pension faible, à peine suffisante v.449 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Pour soutenir sa vie infirme et languissante, v.450 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- On crut payer assez les jours de son époux. v.451 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle comptait alors se réunir à vous, v.452 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et vous faire venir pour essuyer ses larmes ; v.453 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Toute prête à jouir d'un bien si plein de charmes, v.454 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sa santé succomba sous des maux si constants. v.455 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Dans les bras de la mort elle resta longtemps ; v.456 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- À peine elle en sortait que ce bienfait modique, v.457 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qui faisait sa fortune et sa ressource unique, v.458 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Fut discontinué sans espoir de retour. v.459 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sans doute que depuis un si malheureux jour, v.460 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle n'a pu survivre à ce coup si funeste ; v.461 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Vos larmes, vos soupirs m'apprennent tout le reste. v.462 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ne comptez plus sur elle, et revenons à vous. v.463 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous étiez au couvent, où je sens, entre nous, v.464 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Jusqu'où pouvait aller votre disgrâce affreuse, v.465 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Quand le ciel qui voulait que vous fussiez heureuse, v.466 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- De La Baronne un jour y conduisit les pas : v.467 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- On lui parla de vous. Votre âge, vos appas, v.468 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Des larmes, qui pour lors vous prêtèrent leurs charmes. v.469 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Tout força La Baronne à vous rendre les armes ; v.470 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle vous prodigua ses généreux secours : v.471 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Enfin, son amitié s'augmentant tous les jours, v.472 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle vous prit chez elle, et sa vive tendresse v.473 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Daigna vous honorer du titre de sa nièce. v.474 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Quelle différence ! v.475 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ainsi, ne l'étant pas, v.475 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Voyez quel précipice est ouvert sous vos pas. v.476 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Pouvez-vous vous livrer à l'espoir inutile v.477 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- De devenir un jour l'épouse de Sainville ? v.478 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Non ; cessez de compter sur cet heureux lien. v.479 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- La Baronne pourra vous faire quelque bien ; v.480 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais ce n'est pas assez pour que l'on vous préfère v.481 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Au plus riche parti que lui cherche son père : v.482 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sainville en a besoin pour vivre avec l'éclat v.483 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qu'exigeront bientôt son rang et son état. v.484 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et le plus tendre amour n'est donc rien dans la vie ? v.485 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Au gré de la fortune il faut qu'on se marie. v.486 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Pourvu qu'on soit bien riche, on est donc bien content ? v.487 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je ne l'aurais pas cru. v.488 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Le plus sûr est pourtant v.488 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- De ne plus espérer que l'hymen vous unisse : v.489 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- N'attendez pas, vous dis-je, un si grand sacrifice, v.490 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je n'imagine pas qu'il y puisse songer. v.491 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous découvrez l'abîme où j'allais me plonger. v.492 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Que de combats vont être arrosés de mes larmes ! v.493 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ce n'est que loin de lui que je trouve des armes. v.494 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je dois vous avouer que mon coeur révolté v.495 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Sur mes réflexions l'a toujours emporté ; v.496 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Et si je reste ici... v.497 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Venez. v.497 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Où donc, ma bonne ? v.497 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Où l'honneur vous attend, aux pieds de La Baronne : v.498 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Venez lui confier votre état dangereux ; v.499 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle aime la vertu, son coeur est généreux : v.500 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Priez-la de finir une peine si rude, v.501 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- En vous faisant rentrer dans cette solitude v.502 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Où vous étiez. Pressez, redoublez votre effort ; v.503 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle est riche, elle y peut assurer votre sort. v.504 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Doutez-vous du succès ? La Baronne vous aime. v.505 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je ne puis avouer ma honte qu'à moi-même. v.506 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais vous vous êtes bien confiée à ma foi ? v.507 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous n'êtes pas un tiers entre mon coeur et moi. v.508 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- N'est-il que ce moyen ? Si je vous intéresse, v.509 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ma bonne, sauvez-moi l'aveu de ma faiblesse. v.510 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Hâtez-vous d'employer des motifs si pressants : v.511 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Les remèdes tardifs sont toujours impuissants. v.512 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Disposez d'un aveu que je vous abandonne, v.513 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Chargez-vous-en vous-même auprès de La Baronne. v.514 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous me le permettez ? v.515 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Oui, je vous le permets. v.515 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous me désavouerez. v.516 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Non, je vous le promets. v.516 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- J'y vais donc. v.517 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Attendez... partez, volez, ma bonne : v.517 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je pourrais révoquer l'ordre que je vous donne. v.518 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- J'obéis. v.519 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Écoutez ; c'est à condition, v.519 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Si l'on daigne accepter ma proposition, v.520 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Que vous viendrez aussi, que nous vivrons ensemble ; v.521 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je me soumets à tout, pourvu qu'on nous rassemble. v.522 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- N'y consentez-vous pas ? v.523 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Oui, c'est bien mon dessein. v.523 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Je pourrai du moins soupirer dans son sein ; v.524 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Car je ne compte pas guérir de ma faiblesse. v.525 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Viens quand je tousserai. v.526 (Acte 2, scène 3, JULIETTE)
- Comptez sur mon adresse. v.526 (Acte 2, scène 3, LE-LAQUAIS)
- Pourrait-on vous parler ? v.527 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Tu lui diras que non. v.527 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- C'est moi qui vous demande audience en mon nom. v.528 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Qui ? Toi ! v.529 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Moi-même. v.529 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Eh ! Bien, je ne veux plus t'entendre. v.529 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Et par quelle raison ? v.530 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Je n'en ai plus à rendre. v.530 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- On vous l'a défendu ? v.531 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Je n'obéis qu'à moi. v.531 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Depuis assez longtemps, parlons de bonne foi, v.532 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Votre bonne, jalouse, envieuse, inquiète, v.533 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Cherche à me supplanter ; sa victoire est complète. v.534 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Votre humeur trop facile a comblé son désir. v.535 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- N'agissez, ne pensez que sous son bon plaisir, v.536 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Ayez pour tout instinct celui qu'elle vous prête, v.537 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Soyez comme un enfant qu'on mène à la baguette. v.538 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- De grâce, finissons ; je ne vois que trop bien v.539 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Quel est le but secret de ce bel entretien. v.540 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous pourriez vous tromper. v.541 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Va, je sais qui t'envoie. v.541 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Ne vous en faites pas une si grande joie. v.542 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Quoi ! Tu me soutiendras ? v.543 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Moi, je ne soutiens rien. v.543 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Tu ne viens pas exprès pour trouver le moyen v.544 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- D'apaiser, s'il se peut, une amante outragée ? v.545 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Ce serait volontiers, s'il m'en avait chargée ; v.546 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Et d'ailleurs, (ce n'est pas que je parle pour lui : ) v.547 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Mais enfin, croyez-vous les hommes d'aujourd'hui v.548 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- D'humeur à nous passer tous nos petits caprices, v.549 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- À faire tous les jours les plus grands sacrifices, v.550 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- À braver, à souffrir les mépris, les rebuts, v.551 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- À demeurer constants lorsque l'on n'en veut plus, v.552 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- À revenir à nous, si-tôt qu'on les rappelle ? v.553 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Non ; l'art d'aimer a pris une forme nouvelle : v.554 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- C'est à nous à présent à remplir, en aimant, v.555 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Tout ce qu'une maîtresse exigeait d'un amant ; v.556 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Encore arrive-t-il qu'on croit nous faire grâce. v.557 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Nos esclaves ont mis leurs vainqueurs à leur place ; v.558 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Ils se sont emparés de nos droits les plus doux ; v.559 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Tout le poids de l'amour est retombé sur nous. v.560 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Que m'importe ? v.561 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Avouez que si, par aventure, v.561 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Sainville revenait après cette rupture, v.562 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Plus tendre que jamais, vous rapporter son coeur, v.563 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Le vôtre aurait pour lui la dernière rigueur. v.564 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Sans doute. v.565 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Il fait donc bien de ne se pas commettre : v.565 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- je dis plus, s'il osait hasarder une lettre, v.566 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Pleine de désespoir, (je suppose le cas,) v.567 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Vous la refuseriez ? v.568 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Je n'y toucherais pas. v.568 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Il se le tient pour dit. Il est temps que je tousse. v.569 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- À la dernière épreuve il faut que je la pousse. v.570 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Qu'as-tu donc ? v.571 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Est-il sourd ? Recommençons encor. v.571 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- N'avez-vous pas toussé ! v.572 (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
- Peste soit du butor. v.572 (Acte 2, scène 5, JULIETTE)
- J'ai donc mal entendu. v.573 (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
- Donne. v.573 (Acte 2, scène 5, JULIETTE)
- Qu'est-ce ? v.573 (Acte 2, scène 5, ANGELIQUE)
- Une lettre v.573 (Acte 2, scène 5, JULIETTE)
- Que ce drôle a sans doute ordre de me remettre. v.574 (Acte 2, scène 5, JULIETTE)
- Ah ! La belle finesse ! v.575 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- En quoi donc, s'il vous plaît ? v.575 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- De grâce, expliquez-vous. v.576 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Va, je sais ce que c'est. v.576 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Il faut, pour m'attraper, être un peu plus habile. v.577 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Ce billet qu'on t'apporte est... v.578 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- De qui ? v.578 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- De Sainville. v.578 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- De lui ? v.579 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Je gagerais. v.579 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Il faut voir. v.579 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Que fais-tu ? v.579 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Je l'ouvre. v.580 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Je dirai que je ne l'ai pas lu. v.580 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Pour la pousser à bout, changeons un peu le texte, v.581 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Et lisons autrement. Pourquoi prendre un prétexte ? v.582 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Arrête, ou je m'en vais. v.583 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Eh ! Bien, lisons tout bas. v.583 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Lis, puisque tu le veux ; mais je n'entendrai pas. v.584 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- "Lorsque nous avons cru nous aimer l'un et l'autre, v.585 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Nous nous sommes trompés." v.586 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Dieux ! Qu'est-ce que j'entends ? v.586 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- "Il n'est pas malheureux de rompre en même temps ; v.587 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Car mon erreur n'a pas duré plus que la vôtre. v.588 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- J'accepte la rupture, ainsi n'en parlons plus. " v.589 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Est-ce à moi qu'on écrit ?... Regardons le dessus. v.590 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- À qui, diantre, en veut-on ? Quelle est cette aventure ? v.591 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Pourriez-vous, par hasard, connaître l'écriture ? v.592 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Elle est de mon perfide. v.593 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Ah ! Vous l'avez bien dit. v.593 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Oui, Juliette, elle en est ; c'est à moi qu'il écrit, v.594 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Et c'est lui qui m'outrage après m'avoir trahie, v.595 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Et qui joint le mépris avec la perfidie... v.596 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Poursuis. v.597 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Restons-en là. v.597 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Quelle était mon erreur ! v.597 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Achève, j'ai besoin de l'avoir en horreur. v.598 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Vous l'aimiez donc encore ? v.599 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Aimer sans espérance v.599 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Est un état cruel. Mais quelle différence ! v.600 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Haïr est le tourment le plus affreux de tous. v.601 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Donne-moi ce billet. v.602 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Tenez, contentez-vous. v.602 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Avertissons Sainville, il est temps qu'il arrive. v.603 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Cédons, l'impatience où je suis est trop vive. v.604 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Fuyons, sans doute il vient jouir de son forfait. v.605 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Vous me fuyez ? v.606 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Tenez, voilà votre billet. v.606 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- A-t-il pu vous déplaire ? v.607 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Autre insulte mortelle. v.607 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- C'est de mes sentiments l'expression fidèle. v.608 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- De peur que je n'en doute encore, il en convient. v.609 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Je viens vous assurer de tout ce qu'il contient. v.610 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- C'en est trop. v.611 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Quel courroux ! v.611 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Auriez-vous bien l'audace, v.611 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Auriez-vous la fureur de m'insulter en face ? v.612 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Quel est donc mon forfait ? v.613 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Feignez de l'ignorer. v.613 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- D'un éclaircissement pourriez-vous m'honorer ? v.614 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Perfide, on n'en doit point à ceux qui nous outragent. v.615 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Ah ! Je ne vois que trop quels motifs vous engagent v.616 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- À m'accabler encor d'un si cruel refus. v.617 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Hélas ! Tout ce qui vient de ce qu'on n'aime plus v.618 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Dégénère en offense, et se tourne en injure. v.619 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Cessez de m'arrêter. v.620 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Je ne puis. Non, parjure ; v.620 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- La révolte devient permise au désespoir : v.621 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Vous me rendrez raison d'un procédé si noir. v.622 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Eh ! Je vous cherche. v.623 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Parle, est-ce là cette lettre v.623 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Qu'à l'instant de ma part tu viens de lui remettre ? v.624 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Tu dois la reconnaître, est-ce elle ? v.625 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- En doutez-vous ? v.625 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Eh ! Bien, mademoiselle en est dans un courroux v.626 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Qui ne se conçoit pas ; sa fureur est extrême. v.627 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Vous pourrez la calmer en la lisant vous-même. v.628 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Mais à quoi servira... v.629 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Je puis avoir mal lu. v.629 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Puisqu'il convient de tout, c'est un soin superflu. v.630 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Écoutez ; vous, lisez. v.631 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- "Le secours de l'absence v.631 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- M'a bien mieux fait sentir le prix de votre coeur ; v.632 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Et lorsque je reviens à mon premier vainqueur, v.633 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- C'est avec plus d'amour et plus de connaissance. " v.634 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Vous lisez faux. v.635 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Voyez. v.635 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- N'interrompez donc pas. v.635 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Suivez des yeux. v.636 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- "Partout où j'ai porté mes pas, v.636 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Je n'ai trouvé que vous, dont mon âme asservie v.637 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Pût faire son bonheur le reste de ma vie. " v.638 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Il a raison... Juliette. v.639 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Eh ! Bien, vous vous aimez. v.639 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Mais, quoi ! v.640 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Plus que jamais vos coeurs sont enflammés. v.640 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Quelle explication faut-il que je vous donne ? v.641 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Eh ! Trop heureuse encor l'amante qui pardonne. v.642 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Voilà ce que j'ai craint... Sainville, il n'est plus temps, v.643 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Je retourne au couvent. v.644 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Dieux ! Qu'est-ce que j'entends ? v.644 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Vous voulez donc ma mort ? v.645 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Et sans doute la mienne. v.645 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- J'ai donné ma parole, il faut que je la tienne. v.646 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- L'amour n'avait-il pas la vôtre auparavant ? v.647 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Eh ! Que voulez-vous donc faire dans ce couvent ? v.648 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- On est allé, pour moi, le demander en grâce. v.649 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- En grâce, dites-vous ? v.650 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Voilà ce qui se passe, v.650 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- J'en attends la réponse : et je vous dirai plus, v.651 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Je tremble... v.652 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Et de quoi donc ? v.652 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- De n'avoir qu'un refus. v.652 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Cette grâce, en effet, vous doit être fort chère. v.653 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Entendez mes raisons, sans vous mettre en colère. v.654 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- En pouvez-vous avoir pour me désespérer, v.655 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Lorsqu'à tout l'univers je viens vous préférer ; v.656 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Quand je mets mon bonheur, ma fortune, ma vie, v.657 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- À vous faire régner sur mon âme ravie, v.658 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- À m'assurer la vôtre, à vous lier à moi v.659 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Par le don éternel de ma main, de ma foi ? v.660 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Auriez-vous ce dessein ? v.661 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Puis-je en avoir un autre ? v.661 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- On l'a craint. v.662 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Justes dieux ! Quel soupçon est le vôtre ! v.662 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Il ne vient point de vous ; et je vois en ce jour v.663 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- L'horreur qu'on a voulu verser sur mon amour, v.664 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Et l'effroi qu'on a mis dans le fond de votre âme. v.665 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Oui, pendant mon absence on vous a peint ma flamme v.666 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Comme un amusement frivole et criminel, v.667 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Qui pourrait vous couvrir d'un opprobre éternel. v.668 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Avez-vous pu souffrir qu'on me fît cette injure ? v.669 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- A-t-on vu dans mon coeur le germe du parjure v.670 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Et de la perfidie ? Et vous, qui me blessez, v.671 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Angélique, est-ce ainsi que vous me connaissez ? v.672 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- On a jugé bien mal de l'amour de Sainville. v.673 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Et vous avez été trop prompte et trop facile v.674 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- À vous déterminer. v.675 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Vos beaux yeux sont baissés ! v.675 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Eh ! Regardez du moins ceux que vous offensez. v.676 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Ah ! Sainville. v.677 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Quoi donc ! Qui fait couler vos larmes ? v.677 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Vous ne savez pas tout. v.678 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Quelles sont ces alarmes ? v.678 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Quels secrets devez-vous cacher à mon amour ? v.679 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- J'ignore qui sont ceux à qui je dois le jour. v.680 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Vous croyez que je suis nièce de La Baronne ? v.681 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Comment ? v.682 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Il n'en est rien, je ne tiens à personne. v.682 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Ah ! Grands dieux ! Quel sera mon bonheur de pouvoir v.683 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- vous tenir lieu de tout ! Couronnez mon espoir. v.684 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Quoi ! Malgré cet aveu ? v.685 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Je n'en aurai point d'autre ; v.685 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Assurez à la fois mon bonheur et le vôtre. v.686 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Je pourrais être à vous ? v.687 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Oui, le plus tendre amant v.687 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- S'engage, et pour jamais vous en fait le serment. v.688 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Tendez-moi cette main... mais quel trouble vous presse ? v.689 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Mais, Sainville, comment retirer ma promesse ? v.690 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Nous verrons. Cependant, cachons bien notre amour ; v.691 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Dissimulons tous deux jusques à l'heureux jour. v.692 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Levez-vous, et fuyez. v.693 (Acte 2, scène 9, JULIETTE)
- Que vois-je ! C'est ma bonne ! v.693 (Acte 2, scène 9, ANGELIQUE)
- Évitons cette femme, et fuyons La Baronne. v.694 (Acte 2, scène 9, SAINVILLE)
- Sont-ce là les adieux de ces pauvres enfants ? v.695 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Je suis au désespoir. v.696 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Vos soins sont triomphants. v.696 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Ah ! Madame. v.697 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- En voilà l'heureuse réussite : v.697 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Ils ont bien opéré ; je vous en félicite. v.698 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Ah ! Daignez me traiter avec moins de rigueur. v.699 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ce que je viens de voir a déchiré mon coeur. v.700 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et croyez-vous encor qu'Angélique ait envie v.701 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- D'aller dans un couvent passer toute sa vie ? v.702 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Ne la consultez point en cette extrémité, v.703 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Madame ; il faut user de votre autorité. v.704 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Comment voulez-vous qu'une fille à son âge v.705 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Puisse de sa raison faire un heureux usage, v.706 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Quand la séduction, avec tous ses appas, v.707 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- L'environne, l'obsède, et la suit pas à pas ? v.708 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Arrachez au péril une aveugle victime, v.709 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- que son propre penchant entraîne dans l'abîme. v.710 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Feignons. v.711 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Il peut avoir dessein de l'épouser. v.711 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Angélique à ce point ne saurait s'abuser ; v.712 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Sa facilité seule emporte la balance. v.713 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Sait-elle seulement qu'elle est sans espérance ? v.714 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Dans l'ivresse où son coeur est plongé sans retour, v.715 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ses yeux ne portent pas plus loin que son amour ; v.716 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et son bonheur présent, qui n'est qu'une chimère, v.717 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Fait que son avenir ne l'embarrasse guère : v.718 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Elle ne sait qu'aimer, et ne sait rien prévoir. v.719 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Mais enfin, supposé qu'un si fatal espoir, v.720 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Sur la foi des serments, autorise sa flamme, v.721 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et, malgré la raison, règne au fond de son âme, v.722 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Que de sujets pour vous de crainte et de terreur ! v.723 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Jusqu'où peut la conduire une semblable erreur ! v.724 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Je frémis ; ôtez-vous cette frayeur mortelle. v.725 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! L'amour et l'hymen ne sont pas faits pour elle. v.726 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Je le sais comme vous, Sainville est dépendant ; v.727 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Jamais il n'obtiendrait l'aveu du président. v.728 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Mais sur une terreur qui peut être indiscrète, v.729 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- L'enterrer toute vive au fond d'une retraite, v.730 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- C'est une cruauté. v.731 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Qui lui sauve l'honneur. v.731 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Leur amour passera. Vous-même, en sa faveur, v.732 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Empruntez un moment des entrailles de mère. v.733 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Quoi ! Vous priveriez-vous d'une fille si chère ? v.734 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Vous soupirez ? Parlez. v.735 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- J'y résoudrais mon coeur. v.735 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Fort bien. v.736 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Je ne saurais avoir cette rigueur. v.736 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Mais je veux lui parler ; et, si ma remontrance v.737 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Est sans succès, j'irai jusques à la défense. v.738 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Elle ne servira que d'un attrait de plus. v.739 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Veillez-la de plus près encor. v.740 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Soins superflus ! v.740 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Contre deux coeurs unis que sert la vigilance ? v.741 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- J'embrasse vos genoux. v.742 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Faisons-nous violence. v.742 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Éloignez Angélique, ôtez-la de ces lieux. v.743 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Voulez-vous la voir se perdre sous vos yeux ? v.744 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- C'en est trop ; laissez-moi, je vous demande grâce. v.745 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Tant de vivacité m'importune et me lasse. v.746 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Eh ! Puis-je en mettre moins ? v.747 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Allons cacher mes pleurs. v.747 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Ciel, daigne empêcher le plus grand des malheurs ! v.748 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Le piège a réussi ; ma froideur affectée v.749 (Acte 2, scène 11, LA BARONNE)
- A produit les effets dont je m'étais flattée. v.750 (Acte 2, scène 11, LA BARONNE)
- Achevons ; on a dû lui surprendre en secret v.751 (Acte 2, scène 11, LA BARONNE)
- Des papiers qui pourront m'instruire tout-à-fait. v.752 (Acte 2, scène 11, LA BARONNE)
- Allons, il faut un peu faire tête à l'orage. v.753 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Trop de confusion a glacé mon courage. v.754 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- L'amour est cependant fait pour en inspirer. v.755 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Je ne puis que rougir, me taire, et soupirer. v.756 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Reprenez vos esprits. v.757 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Non, quoi que je me dise, v.757 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne puis revenir d'avoir été surprise. v.758 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Pour un petit malheur faut-il se dérouter ? v.759 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- La Baronne, entre nous, n'est pas à redouter ; v.760 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Elle est femme du monde, et n'en fera que rire : v.761 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Pour l'autre, au pis aller, il faut la laisser dire. v.762 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- C'est elle qui me cause aussi le plus d'effroi. v.763 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Quelle enfance ! Eh ! Qui peut, malgré vous, malgré moi, v.764 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Vous contraindre à rester ainsi sous sa tutelle ? v.765 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Sa raison, sa vertu. v.766 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Je n'en ai pas moins qu'elle. v.766 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Je ne sais, mais je sens qu'elle ne me dit rien, v.767 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Qui véritablement ne soit que pour mon bien : v.768 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- C'est un fait ; mais j'ai beau m'en convaincre moi-même, v.769 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Quelle conviction tient contre ce qu'on aime ? v.770 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Quand Sainville paraît, tout est évanoui. v.771 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Cela se doit ; il va venir. v.772 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Eh ! Vraiment, oui. v.772 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Arrangez-vous tous deux, tandis que La Baronne v.773 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Dans le fond du jardin est avec votre bonne, v.774 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- En un grand pour-parler. v.775 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- C'est à notre sujet. v.775 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Bon ! Bon ! Qu'importe ? Adieu, je vais faire le guet. v.776 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Nous nous étions promis qu'une ombre salutaire v.777 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- De nos voeux mutuels couvrirait le mystère : v.778 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Cependant vous voyez que tout est découvert. v.779 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous puis-je, à ce sujet, parler à coeur ouvert ? v.780 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Hélas ! Vous le pouvez ; je répondrai de même. v.781 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Que vois-je dans vos yeux ? v.782 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Mon désespoir extrême. v.782 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- D'où vient ? v.783 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Je suis perdu. v.783 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous ! Quel trouble est le mien ! v.783 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- On pourrait me sauver ; mais vous n'en ferez rien. v.784 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous savez que l'amour nous a faits l'un pour l'autre. v.785 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! Bien ? v.786 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous trahirez et son choix, et le vôtre. v.786 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Les persécutions vous feront succomber v.787 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On travaille au malheur où nous allons tomber. v.788 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- De quoi me grondez-vous ? Puis-je aimer davantage ? v.789 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Je veux autant d'amour avec plus de courage. v.790 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Laissez-moi vous aimer comme je puis aimer. v.791 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Non, ce n'est pas assez. v.792 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Qui peut vous alarmer ? v.792 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- L'instant où je vous parle est le seul qui nous reste ; v.793 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On va vous accorder cette grâce funeste v.794 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que votre complaisance a fait solliciter ; v.795 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On saura vous résoudre enfin à l'accepter. v.796 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que dis-je ! On obtiendra de votre obéissance v.797 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- D'agréer les horreurs d'une éternelle absence. v.798 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- À subir cet arrêt je dois me préparer ; v.799 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais sans nous désunir on peut nous séparer. v.800 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Oui, je dois prendre en vous de grandes assurances ! v.801 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Jamais l'éloignement, le temps, les remontrances v.802 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ne produiront sur vous leur infaillible effet, v.803 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Et vous braverez tout, comme vous avez fait. v.804 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que me reprochez-vous ? v.805 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Une épreuve cruelle. v.805 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! N'avais-je pas lieu de vous croire infidèle ? v.806 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Cruelle ! On vous aidait à vous l'imaginer ; v.807 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- mais au fond du désert où l'on va vous mener, v.808 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On ne tardera guère à vous le faire croire, v.809 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- À noircir un absent par quelque fausse histoire v.810 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que l'on aura grand soin de circonstancier ; v.811 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Et je n'y serai point pour me justifier. v.812 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vos feux ne pourront pas se nourrir de leurs cendres. v.813 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ne m'écrirez-vous pas ? v.814 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Les lettres les plus tendres v.814 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ne peuvent soutenir longtemps un faible coeur : v.815 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Notre ennemie alors usera de noirceur ; v.816 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Les unes en secret seront interceptées ; v.817 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Les autres à son gré seront interprétées. v.818 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- La perfide saura, d'un air doux et trompeur, v.819 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous fasciner les yeux de l'esprit et du coeur. v.820 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Mais je les lirai seule. v.821 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Elle les aura vues : v.821 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous n'en recevrez point qu'elle ne les ait lues ; v.822 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Elle s'en servira, vous dis-je, à mes dépens, v.823 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Et les supprimera quand il en sera temps. v.824 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Je vois, en frémissant, quel péril nous menace. v.825 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Puis-je le détourner ? Que faut-il que je fasse ? v.826 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Me croire, m'imiter, et m'en signer autant ; v.827 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Voilà ce que l'amour exige en cet instant : v.828 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- De notre sûreté c'est-là l'unique gage. v.829 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Quel est donc ce papier ? v.830 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Le serment qui m'engage v.830 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- À rendre à vos appas un hommage éternel, v.831 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Le garant et le sceau de ce don solennel, v.832 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que vous font à jamais l'amour et l'hyménée, v.833 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- De ma main, de mon coeur, et de ma destinée... v.834 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Quoi donc ! Vous hésitez à recevoir ma foi, v.835 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Et votre main balance à se donner à moi ! v.836 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! Le puis-je ? v.837 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Comment ! v.837 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Quel courroux vous enflamme ? v.837 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- L'impossibilité n'est qu'au fond de votre âme. v.838 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! Quel obstacle empêche un noeud si plein d'appas ? v.839 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Hélas ! Vous le cherchez et ne le trouvez pas. v.840 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Si vous m'avez dit vrai, vous êtes à vous-même, v.841 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous dépendez de vous ; votre infortune extrême, v.842 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Dont je rends grâce au sort, vous met en liberté v.843 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- De choisir qui vous plaît. v.844 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Oui, c'est la vérité ; v.844 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Je n'ai point de parents, du moins que je connaisse. v.845 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais, quoi ! Puis-je, à mon âge, être assez ma maîtresse, v.846 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Pour que mon seul aveu dispose de ma main ? v.847 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Non : j'attendais de vous ce refus inhumain. v.848 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Une raison n'est pas un refus. v.849 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- L'inconstante ! v.849 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Mais si je consultais... v.850 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Qui ? Votre gouvernante ? v.850 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Et vous consulterez ensuite votre coeur ? v.851 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Tenez, vous me traitez avec trop de rigueur ; v.852 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous me troublez si fort, qu'à peine je respire : v.853 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Je ne sais déjà plus ce que j'avais à dire. v.854 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Si vous daigniez sur vous faire un juste retour... v.855 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! Je crains ma raison autant que mon amour. v.856 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Croyez donc l'un et l'autre. Eh ! Comment, je vous prie, v.857 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- M'assurer autrement de vous, et de ma vie ? v.858 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Je ne veux seulement, pour calmer mes frayeurs, v.859 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que le titre d'époux : consentez, ou je meurs... v.860 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ah ! Ciel ! v.861 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Je règne, ou non, dans le fond de votre âme. v.861 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Le temps nous presse ; optez d'accorder à ma flamme v.862 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Le titre que le ciel semble me désigner, v.863 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ou de m'ôter la vie. v.864 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! Bien, je vais signer : v.864 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais vous en répondrez. v.865 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- On a bien de la peine v.865 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- À vous faire agréer d'éterniser ma chaîne, v.866 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- À vous faire accepter le plus heureux lien. v.867 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Est-ce ainsi qu'on se rend ? v.868 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous ne pardonnez rien. v.868 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Non, sans doute, à l'amour. v.869 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ah ! Quelle tyrannie ! v.869 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Décampez au plus vite ; il nous vient compagnie. v.870 (Acte 3, scène 3, JULIETTE)
- Qui donc ? v.871 (Acte 3, scène 3, SAINVILLE)
- Le président. v.871 (Acte 3, scène 3, JULIETTE)
- Ah ! J'ai le coeur transi. v.871 (Acte 3, scène 3, ANGELIQUE)
- Par où diantre allez-vous ? Sauvez-vous par ici. v.872 (Acte 3, scène 3, JULIETTE)
- Toi, ne la quitte pas ; ton soin m'est nécessaire. v.873 (Acte 3, scène 4, SAINVILLE)
- Je suis piquée au jeu ; laissez, laissez-moi faire. v.874 (Acte 3, scène 4, JULIETTE)
- Bon ; nous serons ici plus en particulier : v.875 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- On voudrait votre avis sur un cas singulier. v.876 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Mon père, vous savez que jamais je ne flatte. v.877 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est par cette raison. L'affaire est délicate ; v.878 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Les conseils les plus vrais sont ici les meilleurs. v.879 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Un juge assez habile, honnête homme d'ailleurs... v.880 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Vous riez ? v.881 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- C'est de voir ce titre imaginaire v.881 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Être si constamment l'épithète ordinaire v.882 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Que s'accordent, entre eux, les hommes indulgents. v.883 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ainsi, vous ne croyez guère aux honnêtes gens. v.884 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ma foi, ceux que j'ai vus me font douter des autres. v.885 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Mon fils, quels préjugés étranges que les vôtres ! v.886 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Il est des gens de bien... je pense, sur ma foi, v.887 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Que vous ne jugez pas plus sainement que moi. v.888 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Mon père, en vérité, ce reproche me pique. v.889 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Vous me croyez, du moins, un peu trop politique. v.890 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Eh ! Prenez, ou laissez les hommes tels qu'ils sont, v.891 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Tout aussi-bien que vous, je les connais à fond : v.892 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Mais je suis envers eux, avec moins de rudesse, v.893 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Indulgent par lumière, et non pas par faiblesse. v.894 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Mais revenons enfin. Ce juge en question v.895 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Fut chargé d'un procès, dont la décision v.896 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Devait, à son rapport, régler la destinée v.897 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- De gens de qualité qu'un heureux hyménée venait d'unir. v.898 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Laissons la noblesse du sang : v.899 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Aux yeux de l'équité tous ont le même rang. v.900 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Pesons les droits réels : la plus haute naissance v.901 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ne doit pas faire un grain de plus dans la balance. v.902 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Oui, mais tout l'embarras est de bien rencontrer ; v.903 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Souvent le meilleur droit ne sait pas se montrer : v.904 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Car vous n'ignorez pas qu'il n'est rien que n'emploie v.905 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ce monstre ingénieux à poursuivre sa proie, v.906 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Dont le métier cruel, et cependant permis, v.907 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Est souvent de corrompre ou d'égarer Thémis. v.908 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- À ce fléau funeste, à ce mal sans remède, v.909 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ajoutez pour surcroît que la main qui nous aide v.910 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Peut se laisser surprendre, ou gagner. En effet, v.911 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ne saurait-on nous faire un infidèle extrait ? v.912 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Tout juge qui s'en sert a tort : c'est mon système ; v.913 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Jamais il n'est trop bon pour voir tout par lui-même : v.914 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Et s'il ne donne pas tous ses soins, tout son temps, v.915 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Cette épargne est un vol qu'il fait à ses clients. v.916 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Pourquoi se charge-t-il des fortunes publiques ? v.917 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Vous êtes bien rigide ! v.918 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Et des plus véridiques. v.918 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je vois d'ici ce juge, indigne de pardon, v.919 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Comme il le méritait, dupé par un fripon. v.920 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Vous l'avez dit. Un traître, un serpent domestique, v.921 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Priva la vérité de sa preuve authentique. v.922 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Le titre disparut ; le bon droit succomba ; v.923 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- L'erreur dicta l'arrêt, et le malheur tomba v.924 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Sur des infortunés trop pleins de confiance, v.925 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Et qui n'avaient, d'ailleurs, aucune expérience. v.926 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Mais leur juge était fait pour en savoir plus qu'eux. v.927 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Peut-il se consoler de leur désastre affreux, v.928 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Et d'en avoir été la cause ? v.929 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Involontaire. v.929 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Qu'importe ? Il a laissé trahir son ministère ; v.930 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Il avait un dépôt ; à qui l'a-t-il remis ? v.931 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Si l'excuse avait lieu, tout deviendrait permis. v.932 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Le temps et le hasard firent enfin connaître, v.933 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Mais trop tard, les excès qu'avait commis ce traître. v.934 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- On sut la vérité : le titre n'était plus ; v.935 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Et le juge, accablé de regrets superflus, v.936 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Fut réduit à verser des pleurs trop légitimes ; v.937 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ensuite l'on apprit que l'une des victimes, v.938 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Cherchant à réparer les rigueurs de leur sort, v.939 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Sous un ciel étranger avait trouvé la mort ; v.940 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Que sa veuve, sans biens, pour élever leur fille, v.941 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Unique rejeton d'une illustre famille, v.942 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- L'avait abandonnée aussi-bien que son nom. v.943 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Eh ! Bien, s'il est ainsi, que me demande-t-on ? v.944 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ce que doit faire un juge en ce malheur extrême. v.945 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Tout homme qui consulte est peu sûr de lui-même ; v.946 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Et que dire à celui qui ne se juge pas ? v.947 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Mais, vous, qu'auriez-vous fait en un semblable cas ? v.948 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ce juge le demande. v.949 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Il veut que je prononce : v.949 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Qu'il tremble ? Mais à quoi servira ma réponse ? v.950 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Quoi qu'il en soit, enfin, j'aurais déjà rendu v.951 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- À ces infortunés tout ce qu'ils ont perdu. v.952 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est à quoi je condamne un juge qui s'abuse. v.953 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Qu'il répare ses torts, s'il veut qu'on les excuse ; v.954 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- L'ignorance et l'erreur sont des crimes pour lui. v.955 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- On prononce aisément dans la cause d'autrui : v.956 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Celui dont je vous parle est peu riche. v.957 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Qu'importe ? v.957 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- La restitution pourrait être si forte... v.958 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- La somme n'y fait rien. L'exacte probité v.959 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ne peut jamais avoir de terme limité. v.960 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ainsi vous vous seriez exécuté vous-même ? v.961 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Assurément. v.962 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Fort bien. v.962 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Je vous parais extrême ; v.962 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ma façon de penser, contraire aux moeurs du temps, v.963 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- N'attirera sur moi que des ris insultants. v.964 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Pardonnez-moi, mon fils. v.965 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Que dites-vous, mon père ? v.965 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- J'ai pensé comme vous ; j'ai fait plus, et j'espère v.966 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Que vous y donnerez l'aveu le plus flatteur. v.967 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Vous voyez le coupable, et le réparateur. v.968 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Vous ? v.969 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Moi-même. v.969 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ah ! Grands dieux ! Que ma source m'est chère ! v.969 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Que je suis enchanté de vous avoir pour père ! v.970 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Pardonnez ces transports à mon coeur éperdu. v.971 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Sitôt que je l'ai pu, j'ai fait ce que j'ai dû, v.972 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Et je viens d'expier ma méprise funeste ; v.973 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Il vous en coûtera. v.974 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Votre vertu me reste. v.974 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ah ! Qu'il m'est doux de voir que je revis en vous ! v.975 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ah ! Père fortuné ! v.976 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Vous méritez de tous v.976 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- La vénération, l'estime la plus haute. v.977 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Que vous êtes heureux d'avoir fait une faute v.978 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Qui vous a procuré l'heureuse occasion v.979 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- De faire une si grande et si bonne action. v.980 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Le ciel me l'inspira, le ciel la récompense ; v.981 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Sachez ce qui m'arrive en cette circonstance. v.982 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Un ancien ami, de même rang que nous, v.983 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Et qui m'attend chez moi, vient de m'offrir, pour vous, v.984 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Un des meilleurs partis qui soient peut-être en France ; v.985 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- C'est une fille unique, une fortune immense : v.986 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Je réponds de ses moeurs, et j'en suis enchanté : v.987 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Car c'est-là, selon moi, la première beauté. v.988 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- D'ailleurs, elle est charmante. Enfin, l'on vous préfère. v.989 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Je vous en parle ici de la part de son père. v.990 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Et c'est un mariage à conclure au plutôt. v.991 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Vous savez notre état, je vous l'ai dit tantôt ; v.992 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ce qui vient d'arriver, comme vous pouvez croire, v.993 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Nous dérange beaucoup, en nous couvrant de gloire. v.994 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- J'ai vendu cette terre où vous vous plaisiez tant. v.995 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Donnez, engagez tout, j'en serai plus content. v.996 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Vous paraissiez bien froid, quand la fortune même... v.997 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Mon père, pardonnez ma répugnance extrême. v.998 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- L'hymen vous fait-il peur ? v.999 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Non, j'y vois mille appas : v.999 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Cette fille est trop riche, et ne me convient pas. v.1000 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Comment donc ? v.1001 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Il faudrait lui devoir ma fortune ; v.1001 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est une dépendance un peu trop importune. v.1002 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Les grands biens d'une femme augmentent trop ses droits, v.1003 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Et par reconnaissance il faut subir ses lois ; v.1004 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ce bienfait-là devient une dette éternelle, v.1005 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Dont on ne peut jamais s'acquitter avec elle. v.1006 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Quoi qu'il en soit, malgré ma situation, v.1007 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne veux pas avoir cette obligation. v.1008 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Bon ! Est-ce qu'un mari n'est pas toujours le maître ? v.1009 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Je ne veux point d'esclave, et je ne veux pas l'être. v.1010 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Votre prudence ici me paraît en défaut. v.1011 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Une compagne aimable est tout ce qu'il me faut ; v.1012 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- J'épouse pour aimer, pour être aimé de même : v.1013 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne pourrais prétendre à ce bonheur extrême. v.1014 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Vingt exemples pour un semblent m'en avertir ; v.1015 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est se vendre, en un mot, et non pas s'assortir. v.1016 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ah ! Vos réflexions détruiront ce scrupule ; v.1017 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Car, entre nous, mon fils, il est trop ridicule. v.1018 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Je vous laisse y penser, et je vais de ce pas v.1019 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Engager cet hymen. v.1020 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Qui ne se fera pas. v.1020 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Que diantre un fils a-t-il tant à dire à son père ? v.1021 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Votre Angélique est folle, elle me désespère ; v.1022 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- La crainte, l'épouvante, et la timidité v.1023 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Triomphent pour le coup de sa facilité. v.1024 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Vous ne la tenez plus. v.1025 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Ah ! Ciel, quel coup de foudre ! v.1025 (Acte 3, scène 6, SAINVILLE)
- Voyez si vous pouvez vous-même la résoudre ; v.1026 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Mais ne l'espérez plus. v.1027 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Je m'en vais la trouver. v.1027 (Acte 3, scène 6, SAINVILLE)
- Elle est dans le jardin qui s'occupe à rêver. v.1028 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Être fille, et vouloir l'être toute sa vie, v.1029 (Acte 3, scène 7, JULIETTE)
- Me paraît, par ma foi, la dernière folie. v.1030 (Acte 3, scène 7, JULIETTE)
- Le beau titre à garder ! N'est-il pas bien charmant, v.1031 (Acte 3, scène 7, JULIETTE)
- Surtout lorsque l'on peut épouser son amant ! v.1032 (Acte 3, scène 7, JULIETTE)
- Où peut être Angélique ? v.1033 (Acte 3, scène 8, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Je vous le demande ! v.1033 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- L'ai-je à ma garde ? Elle est, ce me semble, assez grande v.1034 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Pour être sa maîtresse ? v.1035 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Il faut me l'amener. v.1035 (Acte 3, scène 8, LA GOUVERNANTE)
- J'obéis à madame, elle peut ordonner ; v.1036 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Mais, vous... v.1037 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Obéissez, quand madame l'ordonne. v.1037 (Acte 3, scène 8, LA BARONNE)
- Madame ! Ah ! Par ma foi, l'épithète m'étonne ! v.1038 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Eh ! Bien, ma chère amie ! v.1039 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Ah ! C'est trop m'honorer. v.1039 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Ce titre vous est dû, je ne puis l'ignorer ; v.1040 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Avouez que c'est vous qu'un procès déplorable v.1041 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- A contrainte à subir un sort si misérable. v.1042 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Vous me désespérez. v.1043 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Madame, achevez v.1043 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Cet aveu que j'implore, et que vous me devez. v.1044 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Que voulez-vous de plus de ma reconnaissance ? v.1045 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- La faveur d'être admise en votre confidence : v.1046 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Mais je lis dans votre âme une noble fierté, v.1047 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Un courage au-dessus de toute adversité, v.1048 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Vous fait désavouer votre infortune extrême ; v.1049 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Et vous vous imposez ce déni de vous-même, v.1050 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Par égard pour le rang où vous avez été, v.1051 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Par mépris pour le sort qui vous a tout ôté : v.1052 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Mais ce que vous cachez, n'en est pas moins visible ; v.1053 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Vous brillez, malgré vous, d'un éclat trop sensible ; v.1054 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Vous voulez vous couvrir d'une ombre qui vous fuit ; v.1055 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Madame, écartez donc le charme qui vous suit. v.1056 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Vous êtes dans l'erreur, le Président s'abuse. v.1057 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Bien, pour vous convaincre, il faut que je m'accuse. v.1058 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- De quoi ? v.1059 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Votre secret n'en est plus un pour moi, v.1059 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- J'ai surpris des papiers qui sont dignes de foi. v.1060 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Ciel ! v.1061 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- J'ai vu de mes yeux la preuve la plus claire v.1061 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- D'un fait dont vous voulez soutenir le contraire ; v.1062 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Vous êtes sûrement la Comtesse_d'Arsfleurs. v.1063 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Qu'entends-je ? v.1064 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Pardonnez : pour finir vos malheurs, v.1064 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Cette conviction m'était trop nécessaire. v.1065 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Madame, quel usage en avez-vous pu faire ? v.1066 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Fallait-il me trahir ? Jugez de mon regret, v.1067 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Et de quelle importance est pour moi mon secret, v.1068 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Puisque je le cachais à tout ce que j'adore, v.1069 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- À ma fille, en un mot ! v.1070 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Angélique l'ignore ! v.1070 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Et jamais de ma part elle n'en saura rien. v.1071 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Quoi, la pouvez-vous priver d'un si grand bien ? v.1072 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Je la sers beaucoup mieux que vous ne pouvez croire. v.1073 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Que lui produirait ma douloureuse histoire ? v.1074 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Qu'en peut-il arriver, de lui faire savoir v.1075 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Sa naissance ? v.1076 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- L'orgueil et l'affreux désespoir. v.1076 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Non, madame, laissons à cette infortunée v.1077 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- L'esprit de son état, et de sa destinée. v.1078 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- On n'est point malheureux, quand on peut ignorer v.1079 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Tout ce que l'on pourrait avoir à déplorer. v.1080 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- J'ai dit ce qu'il fallait. v.1081 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Ma chère comtesse, v.1081 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Mes soins n'ont point blessé votre délicatesse ; v.1082 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Croyez que je n'ai fait nul éclat indiscret. v.1083 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Aucun autre que moi ne sait votre secret ; v.1084 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- J'ai su le ménager avec un soin extrême. v.1085 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Le président, qui veut être inconnu lui-même, v.1086 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Et qui m'en imposait la plus expresse loi, v.1087 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- A daigné s'en fier aveuglément à moi ; v.1088 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Content de relever votre illustre famille, v.1089 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Madame, il ne connaît ni vous, ni votre fille ; v.1090 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Son bonheur lui suffit : en effet, il est tel v.1091 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Qu'il se croit à présent le plus heureux mortel. v.1092 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Madame, prenez part à ma douleur extrême ; v.1093 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Je croyais être heureux, vous l'avez cru vous-même ; v.1094 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- Pour moi, tout votre zèle en vain s'est déployé. v.1095 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- Je suis au désespoir, on m'a tout renvoyé ; v.1096 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- Oui, tout m'est revenu. v.1097 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- Ciel ! Quelle est ma surprise ! v.1097 (Acte 3, scène 10, LA BARONNE)
- Il faut qu'absolument vous vous soyez méprise ; v.1098 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Et votre erreur me rend d'autant plus malheureux, v.1099 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- Que j'avais pu me croire au comble de mes voeux. v.1100 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- Comment voulez-vous donc que je me justifie ? v.1101 (Acte 3, scène 10, LA BARONNE)
- Ah ! Je vois bien qu'il faut que je me sacrifie, v.1102 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et que j'avoue enfin un secret échappé. v.1103 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- C'est vous-même, monsieur, qui vous êtes trompé. v.1104 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Est-elle du secret ? v.1105 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Elle sait tout. v.1105 (Acte 3, scène 10, LA BARONNE)
- Qu'entends-je ? v.1105 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Votre indiscrétion me paraît bien étrange ! v.1106 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- Vous me pardonnerez ce que j'ose avancer. v.1107 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ce renvoi vous étonne ! Avez-vous dû penser v.1108 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Qu'il pût être permis à cette infortunée, v.1109 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- De relever ainsi sa triste destinée, v.1110 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et de vous dépouiller en cette occasion ? v.1111 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- La générosité vous fait illusion. v.1112 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- De quel droit, s'il vous plaît, prenez-vous sa querelle ? v.1113 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Ah ! Je n'en ai que trop, je puis parler pour elle ; v.1114 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Mettez-vous à sa place : auriez-vous accepté ? v.1115 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Elle a tout refusé ; ce n'est point par fierté, v.1116 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Par dédain, par mépris ; elle en est incapable. v.1117 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Mais n'avouez-vous pas que son juge est coupable v.1118 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- D'avoir été surpris ? v.1119 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- Qui peut ne l'être pas ? v.1119 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Il compte que l'erreur est un crime en ce cas, v.1120 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Et qu'il doit l'expier. v.1121 (Acte 3, scène 10, LE PR?SIDENT)
- La victime en appelle ; v.1121 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Il a cru bien juger, il est quitte envers elle. v.1122 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Mais de son ministère il s'est mal acquitté. v.1123 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Dès qu'il n'est point coupable aux yeux de l'équité, v.1124 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Il ne peut l'être aux yeux de cette infortunée ; v.1125 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Vous ne la vaincrez point, elle est déterminée : v.1126 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- N'en parlons plus ; elle a subi son jugement, v.1127 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Le ciel même a pris soin du dédommagement. v.1128 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Comment ? v.1129 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- En lui donnant la force et le courage v.1129 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- D'accepter, de braver constamment son naufrage, v.1130 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- De voir, d'envisager désormais le passé, v.1131 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et tout ce qu'elle fut, comme un songe effacé v.1132 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Que l'on ne devrait plus offrir à sa mémoire. v.1133 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Dans son abaissement laissez-lui cette gloire ; v.1134 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- C'est tout ce qu'elle veut. v.1135 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Je serais criminel... v.1135 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Vous ne lui devez plus qu'un secret éternel. v.1136 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Pardonnez ma surprise, elle est trop légitime ; v.1137 (Acte 3, scène 11, LE PRÉSIDENT)
- Je n'en saurais douter, voilà donc ma victime ! v.1138 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- C'est moi qui suis la sienne... ô refus douloureux ! v.1139 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Dieux ! Qu'elle m'a rendu confus et malheureux ! v.1140 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Que son abaissement l'élève et m'humilie ! v.1141 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Ainsi j'aurai causé le malheur de sa vie ; v.1142 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Et pour le réparer mes soins sont sans effet, v.1143 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Elle veut à jamais me laisser mon forfait. v.1144 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Eh ! C'est trop se venger : unissons-nous contre elle. v.1145 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Je prétends m'acquitter ; la dette est trop cruelle. v.1146 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- J'admire, entre elle et vous, ces généreux combats. v.1147 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- Eh ! L'admiration ne la sauvera pas. v.1148 (Acte 3, scène 11, LE PRÉSIDENT)
- Aussi ne veux-je point y borner tout mon zèle. v.1149 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- J'en ressens, comme vous, une peine mortelle : v.1150 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- S'il est quelque moyen ; venez, j'ose espérer v.1151 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- Que le ciel aura soin de nous le suggérer. v.1152 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- Elle rêve... feignons de ne l'avoir pas vue, v.1153 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Lorsque tous deux ont eu leur dernière entrevue. v.1154 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous m'avez fait chercher ? v.1155 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Oui : mon empressement v.1155 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous donne, je le vois, du refroidissement ; v.1156 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il m'a, dans votre coeur, en secret desservie. v.1157 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Quand j'ai de l'amitié, c'est pour toute ma vie. v.1158 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Puis-je vous demander, sans indiscrétion, v.1159 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- S'il vous souvient encor d'une commission, v.1160 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Dont vous m'aviez chargée auprès de La Baronne ? v.1161 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous me la rappelez... mais à propos... ma bonne... v.1162 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Quoi ? v.1163 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Si vous m'en croyez, sans trop précipiter, v.1163 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous attendrez encore à vous en acquitter. v.1164 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Pourquoi ? v.1165 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Dissimulons. v.1165 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- C'est qu'il faut que j'y pense. v.1165 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Mettez-vous à ma place en cette circonstance ; v.1166 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Il s'agit de quitter, et d'abandonner tout. v.1167 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Le monde vous doit-il inspirer tant de goût ? v.1168 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Se peut-il qu'à vos yeux il offre tant de charmes v.1169 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Pour préférer d'y vivre au milieu des alarmes, v.1170 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et de l'incertitude où je vois votre sort ? v.1171 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Lorsqu'à l'abri de tout, tranquille dans le port, v.1172 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On peut, ainsi que vous, se rendre fortunée, v.1173 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Faut-il mettre au hasard toute sa destinée ? v.1174 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne doute de rien dans le cours des beaux jours, v.1175 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On croit que l'avenir y répondra toujours. v.1176 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je m'en flatte. Calmez vos frayeurs indiscrètes. v.1177 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous vous éblouissez de l'état où vous êtes ; v.1178 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et s'il vient à changer, que ferez-vous alors ? v.1179 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Le néant est caché sous de si beaux dehors ; v.1180 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- La Baronne vous aime, et j'en suis convaincue ; v.1181 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais d'un moment à l'autre, une mort imprévue v.1182 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Peut, en vous l'enlevant, vous laisser sans espoir. v.1183 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous mettez tout au pis. v.1184 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne fais que prévoir. v.1184 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je ne soutiendrai point cette disgrâce affreuse. v.1185 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ne craignez rien pour moi, je serai plus heureuse. v.1186 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous ne le voulez pas, j'en mourrai de douleurs, v.1187 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et ce sera pour vous le moindre des malheurs. v.1188 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je sais que la retraite, à des gens de votre âge, v.1189 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- N'offre pas d'elle-même une riante image ; v.1190 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- La jeunesse s'en fait un portrait peu charmant, v.1191 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Bientôt l'expérience en décide autrement. v.1192 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Que ne m'est-il permis de vous citer la mienne ? v.1193 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais vous n'y croirez pas, on ne croit que la sienne ; v.1194 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- À tout ce qu'il vous plaît, il faut se conformer ; v.1195 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne veut pas vous perdre. Eh ! Qui pourrait former v.1196 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Un projet, un complot si cruel ? Non, vous dis-je, v.1197 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Un sacrifice entier n'est point ce qu'on exige : v.1198 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Bien loin de vous réduire à cette extrémité, v.1199 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Consentez seulement, pour un temps limité, v.1200 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- D'essayer avec moi d'un séjour plus tranquille, v.1201 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Jusques au mariage... v.1202 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! De qui ? v.1202 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- De Sainville. v.1202 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Convient-il à vos yeux d'en être les témoins ? v.1203 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- En parle-t-on ? v.1204 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Son père y donne tous ses soins. v.1204 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et quelle est la future ? v.1205 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Une riche héritière ; v.1205 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- C'est de quoi l'on m'a fait la confidence entière. v.1206 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On vous trompe. v.1207 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Pourquoi voulez-vous vous flatter, v.1207 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Quand cet événement va bientôt éclater ? v.1208 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je vous ai toujours dit que jamais l'hyménée v.1209 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- N'attacherait Sainville à votre destinée ; v.1210 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et s'il vous l'a juré, c'est le serment trompeur v.1211 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- D'un traître, d'un perfide, et d'un lâche imposteur. v.1212 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- À votre zèle ardent je me livre moi-même ; v.1213 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Mais n'allez pas plus loin, respectez ce que j'aime. v.1214 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous l'aimez ? v.1215 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et jamais je n'aurai d'autre amour ; v.1215 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Oui, mon coeur le lui jure à chaque instant du jour : v.1216 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je le dois, je remplis un devoir plein de charmes. v.1217 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Un devoir ! ... excusez de trop vives alarmes ; v.1218 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Si j'ai tort, il en faut accuser l'amitié : v.1219 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais enfin, par tendresse autant que par pitié, v.1220 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ne me direz-vous rien de plus de ce mystère ? v.1221 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Faut-il que je l'ignore ? v.1222 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Oui, j'aurais dû me taire. v.1222 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Pourquoi me celer vos secrets les plus doux, v.1223 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- À moi, qui ne puis être heureuse que par vous, v.1224 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Que par votre bonheur ? Je n'en puis avoir d'autre, v.1225 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et vous me le cachez ? Quel refus est le vôtre ? v.1226 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Que vous ai-je donc fait pour l'avoir mérité ? v.1227 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- L'état où je vous vois, et la nécessité v.1228 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- De me justifier dans tout ce que j'adore, v.1229 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Vont vous ouvrir mon coeur. v.1230 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Quels secrets vont éclore ? v.1230 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Sainville n'est pas tel que vous l'avez pensé : v.1231 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Quels regrets vous aurez de l'avoir offensé ! v.1232 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Cet hymen que l'on croit si prêt à se conclure, v.1233 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Ne se fera jamais, comptez que j'en suis sûre... v.1234 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Sainville est engagé. v.1235 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Ciel ! Quel est mon effroi ! v.1235 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Sainville est engagé, dites-vous ? v.1236 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Avec moi. v.1236 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Qui ? Vous, Angélique ? v.1237 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Oui, moi-même. v.1237 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Est-il possible ? v.1237 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Un noeud qu'à tous les yeux nous rendrons invisible, v.1238 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Nous enchaîne à jamais au gré de nos soupirs. v.1239 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Quoi ! N'était-ce pas-là l'objet de vos désirs ? v.1240 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous doutiez seulement que l'amour de Sainville v.1241 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Eût un but légitime ? Eh ! Bien, soyez tranquille. v.1242 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- J'ai sa main et sa foi, mes destins sont les siens. v.1243 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! De quel droit ? v.1244 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Faut-il d'autres droits que les miens ? v.1244 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Mon aveu doit suffire, à ce que j'imagine : v.1245 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Ne m'avez-vous pas dit que j'étais orpheline, v.1246 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Et sans nulle fortune, à la merci du sort ? v.1247 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- S'il est vrai, j'ai donc pu, sans avoir aucun tort, v.1248 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Ne prendre auparavant les ordres de personne. v.1249 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Du moins vous auriez dû consulter La Baronne : v.1250 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Peut-être auriez-vous pu me faire cet honneur... v.1251 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais, non, je ne crois point ce prétendu bonheur. v.1252 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous ne le croyez pas ? Il faut donc vous confondre. v.1253 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Tenez, voyez, lisez. Qu'aurez-vous à répondre ? v.1254 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Est-ce là, de sa foi, le garant immortel ? v.1255 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Dès que nous le pourrons, nous irons à l'autel, v.1256 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- confirmer, en secret, cette union parfaite... v.1257 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- vous en serez témoin... êtes-vous satisfaite ? v.1258 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Surtout, ne dites rien de ma félicité ; v.1259 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Gardez bien le secret. v.1260 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Cette nécessité v.1260 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- de vous envelopper des ombres du mystère, v.1261 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Aurait dû vous donner un remords salutaire. v.1262 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Voyez quel est l'abîme où vous vous enchaînez ! v.1263 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ces noeuds défectueux, toujours infortunés, v.1264 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Sont un piège couvert d'une fausse espérance, v.1265 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Un écueil invisible aux yeux de l'innocence, v.1266 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et qu'elle n'aperçoit que lorsqu'il n'est plus temps. v.1267 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Pourquoi voulez-vous l'apprendre à vos dépens v.1268 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! N'est-on pas assez à plaindre quand on aime ? v.1269 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Un amant n'est déjà que trop fort par lui-même, v.1270 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Sans lui fournir encor des titres et des droits, v.1271 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Dont on a vu l'amour abuser tant de fois. v.1272 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je ne serai jamais dans ce cas déplorable. v.1273 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- La sagesse n'est pas toujours inaltérable ; v.1274 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- C'est en vain qu'on se flatte, et qu'on croit être sûr v.1275 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- De ne brûler jamais que du feu le plus pur ; v.1276 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Malgré soi-même, enfin, l'on manque à sa promesse, v.1277 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et l'on cède, par force, à sa propre faiblesse : v.1278 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Tout se découvre alors, un noeud si criminel v.1279 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ne laisse, en se brisant, qu'un opprobre éternel. v.1280 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Cette femme n'a rien à voir que de funeste. v.1281 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Tranquillisez-vous, je prendrai soin du reste. v.1282 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Un si grand intérêt ne saurait vous toucher ; v.1283 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je n'ajoute qu'un mot. v.1284 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je ne puis l'empêcher. v.1284 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Sainville vous est cher ? v.1285 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Cent fois plus que moi-même. v.1285 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Bien, vous le perdrez. v.1286 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ma surprise est extrême ! v.1286 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Comment ? v.1287 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Sa fortune est au-dessous de lui : v.1287 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Le plus riche parti se présente aujourd'hui ; v.1288 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- S'il rejette, pour vous, l'hymen qu'on lui propose, v.1289 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Le président, surpris, en cherchera la cause : v.1290 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Craignez tout d'un courroux justement mérité ; v.1291 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- N'en doutez pas, son fils sera déshérité, v.1292 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et vous aurez causé son malheur et le vôtre ; v.1293 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Alors vous deviendrez à charge l'un à l'autre. v.1294 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous croyez que l'amour, qui vous unit tous deux, v.1295 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous tiendra lieu de tout ! Il fuit les malheureux : v.1296 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il aime la fortune, et n'est pas plus fidèle ; v.1297 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne l'a que trop vu s'envoler avec elle, v.1298 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et ne laisser à ceux qu'il avait enflammés, v.1299 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Que l'affreux désespoir de s'être trop aimés... v.1300 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous ne m'écoutez pas ? v.1301 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il est vrai, je ne songe v.1301 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Qu'à ma félicité. v.1302 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Mais ce n'est qu'un mensonge... v.1302 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Enfin, vous persistez ? v.1303 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Oui, sans doute, à jamais. v.1303 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je n'ai donc plus qu'à voir si ces noeuds sont bien faits ; v.1304 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je n'en sais pas assez touchant cette matière ; v.1305 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Pour prendre en ce papier une assurance entière, v.1306 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il faut que je consulte. v.1307 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il n'en est pas besoin ; v.1307 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne souffrirai pas que vous preniez ce soin. v.1308 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- La moindre défiance est un manque d'estime ; v.1309 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Sainville, avec raison, pourrait m'en faire un crime. v.1310 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne veux, contre lui, ni garants, ni témoins ; v.1311 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne l'aimerais pas, si je l'estimais moins. v.1312 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Pour plus de sûreté, souffrez que je m'informe ; v.1313 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je crains que cet écrit ne pêche par la forme. v.1314 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Que m'importe, à moi ? Mes voeux sont satisfaits. v.1315 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je crois mieux les serments que Sainville m'a faits, v.1316 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Que tout ce qu'on pourrait vous dire : ainsi, ma bonne, v.1317 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Rendez-moi... v.1318 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne puis. v.1318 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Votre refus m'étonne ! v.1318 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Laissez-moi le garder, j'ose vous en prier. v.1319 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Non, vraiment... mais on vient... v.1320 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Quel est donc ce papier v.1320 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Qu'elle cache avec soin ? v.1321 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- C'est notre mariage. v.1321 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous allez me gronder. v.1322 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Quel est donc ce langage ? v.1322 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Qu'avez-vous fait ? v.1323 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- J'ai cru pouvoir m'y confier. v.1323 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Qu'entends-je ? v.1324 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- J'ai tout dit, pour vous justifier. v.1324 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- De quoi donc ? v.1325 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Elle a tort ; il lui plaisait de croire v.1325 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Que vos feux offensaient votre honneur et ma gloire, v.1326 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Que l'hymen ne pouvant jamais les couronner, v.1327 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Au plus fatal espoir j'osais m'abandonner. v.1328 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- À présent, je ne sais quel scrupule l'arrête ; v.1329 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Tenez, demandez-lui ce qu'elle a dans la tête. v.1330 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Tout ce qu'on peut penser d'un hymen clandestin. v.1331 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Pouvions-nous autrement fixer notre destin v.1332 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Que par un noeud secret ? Il était nécessaire ; v.1333 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Mais enfin, je le sais, vous m'êtes trop contraire v.1334 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Pour ne pas abuser du malheureux secret v.1335 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Dont elle vous a fait l'aveu trop indiscret. v.1336 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Vous fûtes, vous serez toujours mon ennemie ; v.1337 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et cependant jamais je ne vous ai haïe. v.1338 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je vous détesterais, si j'étais criminel : v.1339 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Connaissez un amour qui doit être éternel ; v.1340 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Sachez qu'il n'en est pas moins pur pour être extrême. v.1341 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- J'adore sa vertu, j'en fais mon bien suprême ; v.1342 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je n'ai rien qui me soit plus cher que son honneur : v.1343 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Pourrais-je l'en priver, sans perdre mon bonheur, v.1344 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Sans me déshonorer, sans m'avilir moi-même ? v.1345 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Ce n'est qu'à ses dépens qu'on corrompt ce qu'on aime. v.1346 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Connaissez mes désirs ; je borne tous mes droits v.1347 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Au seul titre secret... v.1348 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Ignorez-vous les lois v.1348 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et les droits paternels ? v.1349 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Hélas ! Qui les ignore ? v.1349 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je les sais comme vous ; mais je connais encore v.1350 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Un pouvoir au-dessus de leur autorité, v.1351 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- C'est celui de l'honneur et de la probité. v.1352 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Ne peut-il arriver des temps plus favorables ? v.1353 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et les pères sont-ils toujours inexorables ? v.1354 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Un fils au désespoir en peut tout espérer ; v.1355 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Mais j'ai fait un serment, rien ne peut l'altérer, v.1356 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et c'est entre vos mains que je le renouvelle. v.1357 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je ne le reçois point. v.1358 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Soyez moins cruelle, v.1358 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Et consentez. D'abord que je réponds de lui... v.1359 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Eh ! Bien, séparez-nous, même dès aujourd'hui, v.1360 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- C'était votre dessein ; loin que je le combatte, v.1361 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je vous offre un moyen : La Baronne vous flatte. v.1362 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Comment ? Expliquez-vous. v.1363 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je sais, à ce sujet, v.1363 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Qu'elle ne compte point remplir votre projet ; v.1364 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Elle adore Angélique ; et, malgré votre zèle, v.1365 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Elle n'a pas dessein de se séparer d'elle. v.1366 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Puisque vous me craignez, partez dès-à-présent ; v.1367 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- J'ai le bien de ma mère, il sera suffisant v.1368 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Pour vous faire à jamais le sort le plus paisible, v.1369 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- En cas que mon bonheur soit toujours impossible. v.1370 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Avec elle, en un mot, abandonnez ces lieux, v.1371 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je remets à vos soins ce dépôt précieux ; v.1372 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Recevez-le de moi, pour le garder vous-même, v.1373 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et pour le rendre un jour à ma tendresse extrême. v.1374 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- N'y consentez-vous pas jusqu'à des temps plus doux ? v.1375 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Moi, Sainville ? Ah ! Pourvu que je vive pour vous, v.1376 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- au milieu des transports d'une si douce attente, v.1377 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Fût-ce dans un désert, je serai trop contente ; v.1378 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- L'espérance tient lieu des biens qu'elle promet. v.1379 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Oui, ma bonne y consent... votre coeur s'y soumet. v.1380 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous êtes-vous flattés, aveugles que vous êtes, v.1381 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- que je me prêterais au complot que vous faites ? v.1382 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Voilà donc la vertu que vous me supposez ? v.1383 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- C'est un enlèvement que vous me proposez. v.1384 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Pouvez-vous concevoir cette affreuse chimère ? v.1385 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Moi, je vous aiderais à trahir votre père, v.1386 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- À son sang révolté je servirais d'appui ? v.1387 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- La nature y répugne, et me parle pour lui. v.1388 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Croyez que sa voix ne m'est pas étrangère. v.1389 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais songez qu'Angélique... v.1390 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Elle a beau m'être chère, v.1390 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je ne porterai point un coup si douloureux v.1391 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Au mortel le plus digne et le plus généreux. v.1392 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je ne veux que du temps, pour amener mon père v.1393 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- À m'accorder enfin cet aveu que j'espère ; v.1394 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Il m'aime, je ne crains qu'un premier mouvement : v.1395 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Du moins, en attendant l'heureux événement, v.1396 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Gardez-nous le secret, ayez la complaisance... v.1397 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Qui ? Moi ! Je garderais un coupable silence ! v.1398 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je me suis contenue autant que je l'ai pu ; v.1399 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais vous ne cessez point d'offenser la vertu. v.1400 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous doutez qu'on en puisse avoir dans la misère ; v.1401 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Il faudra prendre un juge. v.1402 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Grands dieux, c'est mon père v.1402 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Je frémis ! Elle est femme à lui révéler tout. v.1403 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Madame, gardez-vous de me pousser à bout. v.1404 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Je ferai mon devoir. v.1405 (Acte 5, scène 3, LA GOUVERNANTE)
- Qu'est-ce qu'elle m'annonce ? v.1405 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Eh ! Bien, mon fils, je viens chercher votre réponse v.1406 (Acte 5, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Au sujet d'un hymen qui flatte mes souhaits. v.1407 (Acte 5, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Elle est entre mes mains, et je vous la remets. v.1408 (Acte 5, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Quoi donc ? v.1409 (Acte 5, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Ceci n'a pas besoin que je l'explique. v.1409 (Acte 5, scène 3, LA GOUVERNANTE)
- Mais en tout cas, monsieur, je vous laisse Angélique. v.1410 (Acte 5, scène 3, LA GOUVERNANTE)
- Tout est perdu. v.1411 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Restez, attendez votre sort. v.1411 (Acte 5, scène 3, LA GOUVERNANTE)
- Ce sera votre arrêt, et celui de ma mort. v.1412 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Dites-moi donc, Sainville, est-ce moi qui m'abuse ? v.1413 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Qu'ai-je lu ? v.1414 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Vous voyez ma faute et mon excuse. v.1414 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Quel est donc cet écrit ? v.1415 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Le serment solennel v.1415 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Qui m'engage à lui rendre un hommage éternel. v.1416 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Quoi donc ? êtes-vous libre ? Avez-vous pu promettre ? v.1417 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Et tant qu'il me plaira de ne le pas permettre, v.1418 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Pouvez-vous acquitter un semblable serment ? v.1419 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Eh ! Regardez, mon père, un objet si charmant. v.1420 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Voyez. Pouvais-je prendre une chaîne plus belle ? v.1421 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Rassurez-vous. v.1422 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- C'est donc avec mademoiselle ? v.1422 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Oui, voilà mon vainqueur. v.1423 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Quelque soit votre choix, v.1423 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Ainsi donc vous croyez être au-dessus des lois ? v.1424 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Voilà de votre part un oubli qui me passe. v.1425 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Mon père, je sais tout ; mais je demande grâce : v.1426 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- La forme est contre moi ; mais, sans aller plus loin, v.1427 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Voulez-vous mon bonheur ? Laissez-m'en donc le soin. v.1428 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Eh ! Qui peut mieux choisir sa chaîne que soi-même ? v.1429 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Si vous avez sur moi l'autorité suprême, v.1430 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Est-ce un droit tyrannique, une loi de rigueur ? v.1431 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Ah ! Voulez-vous m'ôter l'usage de mon coeur, v.1432 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Et des liens du sang me faire des entraves ? v.1433 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Les enfants sont-ils donc de malheureux esclaves ? v.1434 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Non, mon fils ; mais enfin nous en savons plus qu'eux ; v.1435 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Ce n'est donc que par nous qu'ils peuvent être heureux, v.1436 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Et c'était-là le droit d'un père qui vous aime. v.1437 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Eh ! Que n'ai-je pas fait pour me vaincre moi-même ? v.1438 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Depuis plus de trois mois errant jusqu'à ce jour, v.1439 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- J'ai cherché dans le monde à perdre mon amour ; v.1440 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Je me suis répandu pour éteindre ma flamme ; v.1441 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- J'ai moi-même frayé le chemin de mon âme ; v.1442 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Aux plus rares beautés j'ai mendié des fers, v.1443 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Qu'en vain plus d'une fois les plaisirs m'ont offerts : v.1444 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- À ce premier objet d'une flamme si belle, v.1445 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Le ciel même a voulu que je fusse fidèle. v.1446 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Oui, le ciel a tout fait. Eh ! Quelle illusion ! v.1447 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Je ne vous parle point de la séduction v.1448 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Qu'on peut vous accuser d'avoir mis en usage ; v.1449 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Mon fils, j'aurais sur vous un trop grand avantage. v.1450 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Ah ! Monsieur, arrêtez ; il a dû me charmer. v.1451 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Est-ce séduction que de se faire aimer ? v.1452 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Reprochez-moi plutôt l'ardeur dont je l'enflamme. v.1453 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Oui, monsieur, c'est sur moi que doit tomber le blâme ; v.1454 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- On séduit, quand on plaît sans l'avoir mérité. v.1455 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Qu'il use, contre lui, de sa sévérité. v.1456 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Devait-il vous laisser ignorer qu'à votre âge, v.1457 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Se donner sur la foi d'un pareil mariage, v.1458 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Est un vol que l'on fait à ceux dont on dépend ? v.1459 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- L'amour rend, comme un autre, un sage inconséquent. v.1460 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Il ne m'a point ravie à ceux dont je suis née, v.1461 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Dès ma plus tendre enfance ils m'ont abandonnée ; v.1462 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Il savait que je puis disposer de mon sort ; v.1463 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- À cet égard encor vous l'accusez à tort. v.1464 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Sans doute ; et je me dois rendre à cette chimère. v.1465 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Pourquoi non ? v.1466 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Une tante a les droits d'une mère. v.1466 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Eh ! Ne savez-vous pas ?... v.1467 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quoi ? v.1467 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Qu'elle ne m'est rien. v.1467 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- La Baronne ? v.1468 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Oui, monsieur, elle me veut du bien ; v.1468 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Mais... v.1469 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Comment ? v.1469 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Je n'en suis point du tout héritière. v.1469 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- C'en est fait. v.1470 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Quel soupçon ! v.1470 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Ma disgrâce est entière. v.1470 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Ce que vous m'apprenez... v.1471 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Doit le justifier, v.1471 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Et vous autoriser à me sacrifier. v.1472 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quelle énigme ! v.1473 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- En effet, vous n'êtes point sa nièce ? v.1473 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Non, monsieur, je ne dois ce nom qu'à sa tendresse. v.1474 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- À merveille. v.1475 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Il en est encor plus irrité. v.1475 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Ne faut-il pas toujours dire la vérité ? v.1476 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Plus j'y songe... ah ! Grands dieux ! v.1477 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Quel courroux vous enflamme ! v.1477 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Un rapport enchanteur règne au fond de notre âme. v.1478 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Quels titres sont plus doux, quels biens ont plus d'appas ! v.1479 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Laissez-moi... serait-elle ?... Allons voir de ce pas v.1480 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- La Baronne. v.1481 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Ah ! Mon père, arrêtez, je vous prie ; v.1481 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Si vous nous séparez, il y va de ma vie. v.1482 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- J'ai tort d'avoir formé ces noeuds sans votre aveu ; v.1483 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Mais, si dans votre coeur l'excuse n'a plus lieu, v.1484 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- J'irai dans un désert déplorer ce que j'aime, v.1485 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Et subir les horreurs d'un désespoir extrême. v.1486 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Puisse le ciel, qui lit dans mon coeur éperdu, v.1487 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Ajouter à vos jours ceux que j'aurais vécu, v.1488 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Si vous l'eussiez voulu ! Que faut-il que j'espère ? v.1489 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Eh ! Rapportez-vous-en, de grâce, à votre père : v.1490 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Croyez que je prendrai le plus sage parti ; v.1491 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Bientôt de votre sort vous serez averti. v.1492 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Rentrez... v.1493 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Et vous, allez retrouver votre bonne. v.1493 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Sortez, vous dis-je. v.1494 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Et nous, allons chez La Baronne v.1494 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- La forcer de céder à mon empressement ; v.1495 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Il faut que j'en obtienne un éclaircissement. v.1496 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Je vous dis qu'en un mot cela n'est pas possible ; v.1497 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Ni pour moi, ni pour vous, elle n'est pas visible : v.1498 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- L'accès près d'Angélique est si bien interdit, v.1499 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Qu'avec tout votre amour, avec tout mon esprit... v.1500 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Mais comment ? v.1501 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- C'est un fait : elle est comme enchaînée ; v.1501 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- La porte du jardin vient d'être condamnée ; v.1502 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Car on a bien pensé que vraisemblablement v.1503 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Vous pourriez en venir à quelque enlèvement. v.1504 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- J'aurais eu cette idée ? v.1505 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Enfin, on l'a prévue. v.1505 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Et que dit Angélique ? v.1506 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Il faudrait l'avoir vue : v.1506 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Mais il vous est aisé de vous l'imaginer ; v.1507 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Sans se voir, quand on s'aime, on peut se deviner. v.1508 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Ah ! Mon père, sans doute, achève la vengeance ! v.1509 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Et La Baronne est-elle aussi d'intelligence ? v.1510 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Je ne sais, mais souvent, au déclin des beaux jours, v.1511 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Notre sexe prend moins le parti des amours. v.1512 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Ils me l'enlèveront... ma perte est résolue ; v.1513 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Je veux la voir, dussé-je expirer à sa vue. v.1514 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Je commence à douter qu'il soit si doux d'aimer ; v.1515 (Acte 5, scène 2, JULIETTE)
- D'abord, la seule idée avait su me charmer : v.1516 (Acte 5, scène 2, JULIETTE)
- Je le croyais le bien le plus grand de la vie ; v.1517 (Acte 5, scène 2, JULIETTE)
- Ce que j'en vois m'en fait presque passer l'envie. v.1518 (Acte 5, scène 2, JULIETTE)
- Quand l'amour tourne à mal, c'est un cruel vainqueur ; v.1519 (Acte 5, scène 2, JULIETTE)
- Il est vrai : cependant, que faire de son coeur ? v.1520 (Acte 5, scène 2, JULIETTE)
- Comment ! Vous voilà seule ? v.1521 (Acte 5, scène 3, JULIETTE)
- Ah ! Laisse-moi tranquille. v.1521 (Acte 5, scène 3, ANGELIQUE)
- Allons, tout au plus vite, en avertir Sainville. v.1522 (Acte 5, scène 3, JULIETTE)
- Ah ! Ciel, je te rends grâce... Eh ! Daignez me parler. v.1523 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Non, cruelle. v.1524 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Arrêtez. Où voulez-vous aller ? v.1524 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Que m'importe à présent, pourvu que je vous fuie ? v.1525 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ne vous attendez plus, après m'avoir trahie, v.1526 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Que je veuille avec vous passer mes tristes jours. v.1527 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Non, entre vous et moi, c'en est fait pour toujours. v.1528 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je supporterai tout, pourvu qu'on nous sépare. v.1529 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous prononcez bien vite un arrêt si barbare. v.1530 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- C'est qu'il est dans mon coeur. v.1531 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Juste ciel, quel aveu ! v.1531 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Non, ce faux désespoir vous avancera peu. v.1532 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je ne croirai jamais que vous m'ayez aimée. v.1533 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Eh ! De quels sentiments suis-je donc animée ? v.1534 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- D'un zèle amer, toujours trop inconsidéré, v.1535 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Porté jusqu'à l'excès le plus immodéré, v.1536 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Et qui vient de m'ôter le bonheur de ma vie. v.1537 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Il n'était qu'apparent. v.1538 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Laissez-moi, je vous prie ; v.1538 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Dans toutes vos raisons je ne veux plus entrer. v.1539 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quelle fatalité nous a fait rencontrer ! v.1540 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je rendais grâce au ciel d'un présent si funeste ! v.1541 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Aveugle que j'étais ! v.1542 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ce ciel que j'en atteste, v.1542 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Connaît si je vous aime. Hélas ! Jusqu'à ce jour, v.1543 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Qu'ai-je fait qui ne serve à prouver mon amour, v.1544 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- À mériter le vôtre ? v.1545 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Grands dieux ! à quel titre ! v.1545 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je pourrais à présent vous en rendre l'arbitre. v.1546 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Quel intérêt cruel vous attache si fort ? v.1547 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Pourquoi vous êtes-vous subordonné mon sort ? v.1548 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- D'où vous arrogez-vous ce pouvoir tyrannique ? v.1549 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Eh ! Non, il ne l'est pas... Ah ! Ma chère Angélique ! v.1550 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Moi ? v.1551 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous ; pour un moment, laissez couler mes pleurs. v.1551 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Ne me voilà-t-il pas sensible à ses douleurs, v.1552 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Et presque hors d'état de soutenir ses larmes ? v.1553 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quel est cet ascendant ? Où prenez-vous vos armes ? v.1554 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Au fond de votre coeur, qui ne peut se trahir, v.1555 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Et qui ne parviendra jamais à me haïr. v.1556 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Je ne vous conçois pas. v.1557 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous êtes étonnée v.1557 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- De me voir si sensible à votre destinée ? v.1558 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Vous demandez pourquoi : craignez de le savoir. v.1559 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Par un ménagement que j'ai cru vous devoir, v.1560 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Je m'étais à jamais condamnée à me taire : v.1561 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Vous le voulez, il faut dévoiler ce mystère, v.1562 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Et vous causer peut-être un éternel regret. v.1563 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Que vais-je découvrir ? v.1564 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Quel est donc ce secret ? v.1564 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous dépendez... v.1565 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Comment ! De qui puis-je dépendre ? v.1565 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Autant qu'il m'en souvient, vous m'avez fait entendre v.1566 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Que vous connaissiez ceux à qui je dois le jour. v.1567 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ne m'avez-vous pas dit qu'en un autre séjour, v.1568 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Un généreux trépas m'avait ravi mon père, v.1569 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Que je ne devais plus compter sur une mère, v.1570 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Qu'en ma plus tendre enfance à peine ai-je pu voir ? v.1571 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous a-t-elle en mourant laissé tout son pouvoir ? ... v.1572 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous la pleurez ? v.1573 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Le ciel n'a point fini sa vie. v.1573 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Que dites-vous ? La mort ne me l'a point ravie ? v.1574 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Achevez donc. v.1575 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je n'ose. v.1575 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Elle vit ? v.1575 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Hélas ! Oui ; v.1575 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Et c'est pour vous aimer. v.1576 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Ô bonheur inouï ! v.1576 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je vous pardonne tout. Ah ! Ciel ! Quelle est ma joie ! v.1577 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ma bonne, absolument il faut que je la voie ? v.1578 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Cessez... v.1579 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Par ces refus cruels, injurieux, v.1579 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous me désespérez... que vois-je dans vos yeux ? v.1580 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Lui pardonnerez-vous son état et le vôtre ? v.1581 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Vous êtes ma mère ; oui, je n'en veux point d'autre. v.1582 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Tout me le dit ; cédez, et qu'un aveu si doux v.1583 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Couronne tous les biens que j'ai reçus de vous. v.1584 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Eh ! Bien, vous la voyez. Puisque je vous suis chère, v.1585 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- La nature triomphe, et vous rend votre mère. v.1586 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Ciel ! Mais quel remords vient déchirer mon coeur ! v.1587 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- C'est vous que j'ai traitée avec tant de rigueur ! v.1588 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ma fille, oublions tout. Je crains qu'on ne m'entende ; v.1589 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Cachons notre secret, je vous le recommande. v.1590 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- M'en croirez-vous ? Laissons régner ici la paix. v.1591 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Vous voyez notre état ; renoncez pour jamais v.1592 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- À l'espoir d'un hymen hors de toute apparence. v.1593 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Que sacrifiez-vous ? Une folle espérance. v.1594 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Dans le sein de l'oubli, cherchons un sort plus doux ; v.1595 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Abandonnons le monde, il n'est pas fait pour nous. v.1596 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Je me rends, et je sens que ce n'est que la fuite v.1597 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Qui pourra garantir mon âme trop séduite. v.1598 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Mais, hélas ! Comment fuir ? v.1599 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Le ciel en a pris soin ; v.1599 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- De La Baronne, enfin, vous n'avez plus besoin. v.1600 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Un parent éloigné, dont j'étais héritière, v.1601 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- A depuis quelques jours terminé sa carrière ; v.1602 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Je viens de le savoir, et que dès-à-présent v.1603 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Nous jouissons d'un bien qui sera suffisant v.1604 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Pour vivre, loin du monde, en une aisance honnête. v.1605 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Partons secrètement, que rien ne nous arrête ; v.1606 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Et, pour nous dérober, allons tout préparer. v.1607 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Quoi ! Si-tôt pour jamais il faut s'en séparer ! v.1608 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Nous ne saurions trop tôt quitter cette demeure. v.1609 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Que va-t-il devenir ? Quoi ! Partir tout-à-l'heure, v.1610 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Sans se revoir du moins pour la dernière fois ! v.1611 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Obtenez ce triomphe. v.1612 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Il le faut, je le dois... v.1612 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Arrachez-moi d'ici ; je me perds, si je reste. v.1613 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ah ! Vous me trahissez. v.1614 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Quel contre-temps funeste ! v.1614 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- Cruelle ! Il est donc vrai que vous lui pardonnez ! v.1615 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- À ses séductions vous vous abandonnez ! v.1616 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Elle triomphe encore ! v.1617 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Arrêtez ! C'est ma mère... v.1617 (Acte 5, scène 5, ANGELIQUE)
- Si vous saviez combien elle doit m'être chère ! v.1618 (Acte 5, scène 5, ANGELIQUE)
- Quel obstacle cruel ! ... ô sort plein de rigueur ! v.1619 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Madame... dites-vous... elle aurait ce bonheur ? v.1620 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- J'en fais gloire. v.1621 (Acte 5, scène 5, ANGELIQUE)
- Elle doit en faire aussi la sienne. v.1621 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- C'est votre mère ? ... Eh ! Bien, soyez aussi la mienne. v.1622 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Eh ! Madame, d'où vient cette opposition ? v.1623 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne reconnais point de disproportion ; v.1624 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- La nature et l'amour ne l'ont jamais admise. v.1625 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Tant de félicité ne nous est pas permise. v.1626 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- Un inutile espoir vous enivrait tous deux ; v.1627 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- La fortune s'oppose au succès de vos voeux. v.1628 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Vous m'allez quitter ! Votre fuite s'apprête ! v.1629 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Vous méditez ma mort ! v.1630 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Que rien ne nous arrête. v.1630 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- Nous ne nous verrons plus, recevez mes adieux. v.1631 (Acte 5, scène 5, ANGELIQUE)
- Que dites-vous ? v.1632 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Lisez le reste dans mes yeux. v.1632 (Acte 5, scène 5, ANGELIQUE)
- Barbares, arrêtez... v.1633 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Ah ! Madame ! Ah ! Mon père ! v.1633 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Vous n'avez plus de fils. v.1634 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Vous voyez ce qu'opère v.1634 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Votre indiscrétion. v.1635 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Je n'y survivrai pas. v.1635 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Ah ! Madame, c'est vous qui voulez mon trépas. v.1636 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Qui ? Moi ! v.1637 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Vous permettez qu'Angélique me fuie ; v.1637 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Sa mère me l'arrache, elle emporte ma vie. v.1638 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Voilà ce que j'ignore. v.1639 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Arrêtez donc leurs pas ; v.1639 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Mais un père cruel n'y consentira pas. v.1640 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Qui vous dit que j'exige un si grand sacrifice ? v.1641 (Acte 5, scène 6, LE PRÉSIDENT)
- Nos enfants n'ont jamais su nous rendre justice. v.1642 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Madame, épargnons-nous des discours superflus. v.1643 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Nous nous connaissons tous, ne dissimulons plus ; v.1644 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Ce désaveu cruel n'a rien qui m'en impose. v.1645 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- J'ai voulu réparer les maux dont je suis cause ; v.1646 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Vos refus m'ont porté le poignard dans le sein : v.1647 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Madame en est témoin. Est-ce votre dessein v.1648 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Que le père et le fils périssent l'un par l'autre ? v.1649 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- C'en est fait si mon sang ne s'associe au vôtre. v.1650 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Ah ! Daignez nous admettre aux titres les plus doux. v.1651 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Ma mère, il y consent. v.1652 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
- Pourquoi nous fuyez-vous ? v.1652 (Acte 5, scène 6, LE PRÉSIDENT)
- Si nous fuyons, ce n'est que par reconnaissance. v.1653 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Comtesse, agréez cette heureuse alliance. v.1654 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Ciel ! Qu'entends-je ? v.1655 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Souffrez qu'un accord si charmant v.1655 (Acte 5, scène 6, LE PRÉSIDENT)
- Puisse au moins vous servir de dédommagement. v.1656 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Mais dois-je consentir qu'il perde sa fortune ? v.1657 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Madame, calmez cette crainte importune. v.1658 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- En faveur d'un hymen qui comblera mes voeux, v.1659 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Ils auront tout mon bien, je l'assure à tous deux ; v.1660 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Ils seront mes enfants, ils sont dignes de l'être. v.1661 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Monsieur, qu'ils soient heureux ; vous en êtes le maître. v.1662 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Quel bonheur ! La vie, au prix de ce bienfait, v.1663 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Est le moindre présent que vous nous ayez fait. v.1664 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
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Dans les 1862 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,32 % des textes) dans lesquels il y a 11802 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 1 967,00 occurences par texte.
n° | Titres | Prologue | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Total |
1 | LA FAUSSE ANTIPATHIE | 452 | 395 | 462 | 249 | 0 | 0 | 1558 |
2 | AMOUR POUR AMOUR | 335 | 607 | 456 | 298 | 0 | 0 | 1696 |
3 | LE PRÉJUGÉ À LA MODE | 0 | 454 | 475 | 411 | 434 | 282 | 2056 |
4 | L'ÉCOLE DES MÈRES | 0 | 512 | 561 | 469 | 440 | 384 | 2366 |
5 | ÉCOLE DES AMIS | 0 | 407 | 509 | 520 | 437 | 308 | 2181 |
6 | LA GOUVERNANTE | 0 | 395 | 482 | 460 | 0 | 608 | 1945 |
Total | 787 | 2770 | 2945 | 2407 | 1311 | 1582 | 11802 |